Leg9 a écrit :
Sans façon.
Je préfère observer le monde aller droit vers sa perte, comme une gigantesque boule grouillante constituée de milliards d'êtres humains entremélés, ne sachant s'ils se battent ou s'ils se caressent, qui roulerait inéluctablement vers le bord d'une falaise improbable.
Mais assis plus haut sur la colline, dans un confortable voltaire, avec dans une main un verre de Calvados, et dans l'autre un cigare roulé sur les cuisses d'une belle Cubaine.
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