Reprise du message précédent :

 
Byte ( sur un forum consacré à l'informatique )    

Bref ni plainte ni main courante car pas assez de "preuve *
M'ont dit de contacter le bailleur

Il me semble qu’ils n’ont pas le droit de refuser.

Raconte l'histoire sur les réseaux sociaux de site d'information à scandale en postant la photo du mot et en disant que tu as peur de vivre chez toi mais que la police ne veut rien faire.

C'est déjà fait

Link please

 
Poste ça sur Facebook en taggant le bailleur social  
 

 
Un petit mot pour répondre :
Merci pour la proposition mais pas la peine que je te pisse dans la bouche tu as déjà une haleine de chiottes.
Bisous, Aurélie.
 
Je veut bien tabasser ton voisin si tu tabasses le mien, personne ne se doutera de rien comme ca

 
Il me semble qu'ils n'ont pas le droit de refuser un dépôt de plainte ou de main courante. C'est à la justice ensuite de juger du bien-fondé de la démarche si une procédure est lancée. Le dépôt de lain courante est là pour consigner des faits.
 
Voilà : https://www.leger-avocat.fr/les-pol [...] _ad42.html

 
C'est tout de même plus facile qu'avant, car si tu as obtenu le concours de la force publique et que le préfet ne s'exécute pas, l'état doit indemniser le propriétaire des loyers perdus.

Pas de preuve suffisante ce n'est pas moi qui l'ai dit mais la policière
Vivement que je quitte cet immeuble

Tente d’écrire au proc. La policière peut se tromper et tu as des éléments. Au pire tu auras perdu le temps d’un courrier.  

 
j'aurais carrément fait une photocop' du papier, affichée dans l'ascenseur et sur la porte d'entrée :
"voisins, vous êtes prévenus"
 

 
Encore une fois, ce n'est pas à une policière de juger, mais à un juge. Tu veux par une main courante enregistrer des faits, appuyés d'une preuve écrite.
Comme suggéré, va plus loin.

Ils passent à côté de tellement de smileys...
 

Allez petite mise à jour de mes soucis de « voisinage ».
 
Vous trouverez le détail en filtrant mes messages mais rappel du contexte :  
Achat en 2018 d’une maison dans un quartier résidentiel et familial d’une ville de banlieue parisienne (ville moyenne ni cassos land ni huppée). Les maison se vendent quand même entre 350 et 500k€.
 
On commence à bien connaître le quartier, il n’y a que des gens normaux, des familles avec enfants, classe moyenne supérieure ou aisée. C’est donc super calme sauf… la maison à côté de la nôtre, squattée depuis des années par des moldaves.
 
Au début c’était horrible, bbq tout le temps, musique à fond dans le jardin à des heures pas possible mais aussi en pleine journée.  
On arrive un peu à chaque fois à gueuler, à les faire se calmer, j’ai un métier avec un gyrophare bleu ils le savent ils doivent se méfier (si ils savaient …). A chaque fois j’ai à faire à la mère, plus raisonnable que les hommes. Mais malgré tout, à chaque fois le bordel revient, comme des gosses qu’il faut sans cesse reprendre.
On est tranquille dès que les beaux jours sont finis en gros.  
 
En 2021 j’arrive à contacter la propriétaire qui m’explique que oui la maison est squattée, ils sont rentré illégalement et depuis voilà. Elle a tout d’abord porter plainte, pris un avocat, celui-ci l’a baladée et coudé son dossier.  S’en est suivi Covid + maladie où elle a un peu laissé traîner.
Je la motive donc, elle sait pas par ou commencer,  a plus confiance dans les avocats. En 2022 j’essaye de lui faire utiliser la nouvelle procédure mais elle prend quand même un cabinet.
En parallèle j’écris à la mairie, au député, que des réponses de convenance et « la PM passera ». Oui enfin si ils passent quand c’est calme…
 
Mars 2023, ils sont assignés au tribunal d’instance pour le squat en mai 2024. Arrive mai 2024, leur avocat (oui oui) demande un rapport pour préparer leur défense, accepté.  
A priori ils sont passés mi juin, j’ai pas eu de news depuis j’attends un peu.
La suite normalement, le jugement prononce l’expulsion, et ensuite il faudra demander le recours à la force publique.
 
Combe du comble aussi, avant le jugement l’avocat transmet à la proprio (en l’invitant à refuser) un courrier de l’avocat des autres. Un « chef d’entreprise » serait prêt à racheter la maison, par pure bonté d’âme avec cette famille qui a des problèmes de santé, mais avec qui il n’a aucun liens. Bien sûr il précise que vu l’état d’insalubrité de la maison (qu’ils ont eux même causé bordel), ça sera à un prix diminué et permettant de faire les travaux, et cerise sur le gâteau, si elle accepte elle abandonne toute poursuite contre les squatteurs (et donc sur les « loyers » impayés). Alors certes les types sont insolvables elle ne récupérerait rien, mais putain on est où là ?  
 
Entre temps, printemps 2023, c’est tranquille, on dirait qu’ils se méfient. Fin juillet, gros bordel, bbq et musique à fond à partir de 15h. Je vais demander de baisser, le mec m’envoie chier et le reproche même de pas avoir dit bonjour alors « qu’on est voisins ». Et le dit : il est pas 22h on a le droit bla-bla-bla. Ça a duré jusqu’à minuit.
 
2024 pareil, jusqu’à fin juillet quasi rien, pu de musique, pas de soirée bruyante. On part en congés et on revient vendredi. Dès le vendredi soir, les mecs qui restent dehors à parler fort jusqu’à 1h du mat.  
Et hier, bbq qui commence à 19/20h. Je vais dormir dans une chambre éloignée, à 5h je me lève pisser, les mecs sont toujours dehors on les entend fenêtres fermées (devait faire 12 degrés dehors à cette heure). Ma femme (qui dormait dans notre chambre, la plus proche deux) sort gueuler et menace d’appeler la police, on lui rétorque que « c’est les vacances ».
Bref 5h30 j’appelle et on me dit qu’un équipage passera dès que possible. À mon avis sont pas passés.
 
Je vais quand même déposer une (2e) main courante, si ça peut au moins servir à motiver le préfet une fois le jugement rendu. La première je m’étais plaint du bruit et d’un bout de brise vie qu’ils ont du faire cramer accidentellement, donc ils ont arraché me reste (des gosses) et l’ont mis sur leur portail et portillon.
 
Bref, le soucis c’est que j’en ai développé un état quasi dépressif aux beaux jours chez moi. J’arrive pas à profiter, j’ai pas envie de m’occuper du jardin, même quand il se passe rien (et depuis une ou deux années il ne se passe rien la majorité du temps) j’ai peur que ça commence. Je ne sais plus quoi faire à part attendre leur expulsion (mais quand putain) et subir. J’en arrive quasi à faire des crises d’angoisse, ma femme et des amis me conseillent de voir un psy. Alors que je suis un type plutôt optimiste, pas stressé ni angoissé pour un sous. C’est la seule chose qui m’atteint comme ça. J’ai toujours besoin d’un bruit de fond (tv, musique) pour m’assurer de pas les entendre, je suis heureux dans mon bureau qui est à l’opposé dans la maison à geeker.
 
Je ne peux pas utiliser la manière forte car j’ai beaucoup plus à perdre qu’eux, moi on me loupera pas en me rappelant que je représente le droit, l’ordre…
 
À côté de ça n’importe quel autre voisin que j’entends j’en ai rien à carrer, c’est le vie de quartier pavillonnaire, mais eux je peux pas, trop d’historique, et une situation inadmissible. On est les seul à être emmerdé en plus, leur maison fait un coin de rue, sur leur quatre côté en gros y’a nous, rue, rue, autre maison. Cette autre maison une famille emménage en ce moment, à voir si je peux les rallier à la cause.  
 
Je suis dégoûté de cette situation et de ce pays où les gens peuvent faire chier le monde impunément, en ayant des droits dont ils abusent …

Il me semble en plus sur l'indemnité d'occupation vu la procédure que tu décris ne serait due que a compter du jugement, donc les arrièrés, j'ai un sérieux doute...
A par harceler la police a chaque problème, rien a faire malheureusement.

Y a des entreprises qui sont spécialisées dans l’achat de biens squattés.  
 
Par contre, l’offre doit-être bien basse en contrepartie de se débarrasser des « nuisibles. »  
 

J’ai essayé elle ne veut pas.
 
Reste qu’à attendre qu’elle réussisse à les virer. Je lui proposerai de racheter, enfin faire racheter par ma belle mère, qui sera près de nous par la même occasion.

Le pire dans tout ça c'est que le problème n'est même pas le squat pour toi, ce sont les nuisances sonores, ils ne seraient pas squatteurs ça serait la même (voir pire, parce que tu aurais zéro chances qu'ils finissent par dégager).
Et clairement la police ne se déplace plus pour ça en ville depuis un moment.
Bref, bon courage
Au lieu de déposer des mains courantes (ça ne sert à rien), tu peux peut-être porter plainte ?

je crois que ce qui me tue le plus dans cette histoire c'est le "Mars 2023, ils sont assignés au tribunal d’instance pour le squat en mai 2024", on a donc une situation connue et reconnue d'un squat, et on dit clairement aux squatteurs "on vous laisse dans la maison encore 1 an, vous avez le temps"....

 
Le fait que ce soit des squatteurs font que c’est des cassos avec des comportements de cassos. Dans le quartier tu peux te balader la nuit jamais tu entends des trucs comme eux font, juste des soirées de gens normaux qui se terminent au pire à minuit. Eux ils sont imprévisibles, genre hier quand je me suis rendu compte qu’à 5h du mat ils étaient toujours là j’étais sur le cul.
 
Le pire c’est que la famille qui squatte, eux ils se sont clamé, le père est malade toute façon. C’est les mecs qu’ils hébergent (famille ou pas j’en sais rien, ils ont aménagé le sous-sol) qui foutent le bordel.
 

 
Et en plus on leur accorde un délai supplémentaire pour leur défense, comme si 1 an ne suffisait pas. Mais c’est le droit.
Le jour où nos gouvernant comprendront que c’est ce genre de conneries qui fait monter les extrêmes. 99% de la population ne demande qu’à vivre leur vie paisiblement, et toute la machine juridique n’arrive pas à endiguer les 1% qui font chier et leur donne toujours plus de droits.

 
Certes, mais tu n'es jamais à l'abri d'avoir des débiles du genre à côté de toi, squat ou pas. Même dans des quartiers tranquilles.  
Le problème c'est que le bruit et les nuisances ne font en pratique plus partie du domaine d'intervention de la police.

Bonjour,
Mon problème n'est presque rien par rapport aux soucis que certains ont sur ce topic.
Mais voilà, là où j'habite, c'est très calme.
Sauf depuis 2 mois, apparemment un couple vient de louer l'appart juste à côté du notre.
Les types refont tout l'appart, c'est pas possible, on s'est tapés 5 dimanches avec des travaux bruyants.
Alors que la réglementation locale interdit les travaux sonores le dimanche.
 
Je suis déjà allé les voir une fois car pour couvrir le bruit des machines, ils foutaient la musique si fort que je pouvais quasiment percevoir les paroles des chansons depuis mon appart.
 
Est-ce que ces gens se disent Osef des règles relatives au bruit, ils font quand même leurs travaux, et attendent que quelqu'un vienne sonner s'il est gêné ?
Ou bien ils ont une vraie méconnaissance de la réglementation ?
Y a quoi comme solution raisonnable ?
Un mot dans la boite aux lettres ?
 
J'ai un bon seuil de tolérance mais le cumul devient pénible.
Je préférerais établir d'autres contacts avec mes voisins de palier tel qu'un apéro, plutôt que de devoir se plaindre à répétition à cause des nuisances

En clair ils se branlent des jours /heures autorisées contrairement à ceux qui se renseignent pour être dans les clous.

Ceci est exact

Compteur électrique individuel dans les parties communes ?  

Linky dans l'appart
Y a que la flotte qui se coupe dans les PC

Tu perds toute rationalité là. Une soirée qui continue à 5h, ça a rien de cassos, c'est juste une soirée.
 
La question, c'est est ce que c'est du tapage nocturne. Bah ça y'a qu'un flic qui peut le dire, donc faut les appeler à chaque fois
 Qu'ils soient squatters ne rentrent pas en ligne de compte.
 
Et vu comment ça a l'air de t'affecter, suit le conseil de ta femme et voit un psy amha

La solution pour moi, ça serait que la proprio fasse les démarches pour les virer.

Mouais, à 5h du matin quand étant en pavillon tu entends la musique et les beuglements des voisins fenêtres fermées, c'est qu'il y a forcément tapage.

This.

Y'a entendre et entendre. Si l'environnement est silencieux, c'est pas étonnant de discerner du bruit. Ou alors y'a les basses à fond et les verres qui vibrent dans le vaisselier.

Pour donner une idée, les nuisances sonores par les pro (resto, bars,...) sont considérées comme telles dès +3dB la nuit par rapport au bruit ambiant et le niveau sonore global (bruit ambiant compris) doit dépasser 25 dB (c'est à dire plus bas qu'un ventilo d'ordinateur qui tourne).
Ça commence donc dès un niveau plutôt bas.

C’est facile de jouer au relativiste.
 
C’est ma femme, qui est beaucoup plus tolérante que moi au bruit et n’a pas le même affect que moi, qui a décidé de gueuler à 5h après avoir été réveillée plusieurs fois par les beuglements.
 
Donc bon, une « simple soirée » non. Ils savent très bien qu’on les entend d’ailleurs car ça leur a déjà été dit de multiples fois.  
Et le coup de l’environnement silencieux … bah c’est le propre des quartiers familiaux tranquilles, de surcroît à 5h du mat.

C'est pas vraiment comparable, on parle de pros. Pour les particuliers, c'est à l'appréciation unique des forces de l'ordre.

Oui (et pour les pros aussi si ça part sur tapage nocturne, pas besoin de sonomètre). Ça permet cependant d'avoir une idée objective de ce qu'est un tapage nocturne. Je pense que tu surestimes les limites.

Absolument pas. Ça n'a rien à voir, et tu le sais.  Sinon démarrer une voiture serait considéré comme du tapage nocturne.

Tu serais surpris mais dans la plupart des arrêtés municipaux contre le bruit, il est interdit de faire tourner une voiture ou une moto pour rien (à l'arrêt quoi) Techniquement, le motard qui fait chauffer sa moto pendant 10 min à 1h du mat est sanctionnable d'une amende.

Oui on est spécialistes pour avoir des lois et règles qui ne seront de toute façon jamais appliquées.

 
 
j'avais un voisin comme ca, mettant le volume plein les baskets :
-étape 1 : laisser passer une fois..
-étape 2 : semaine 2, toquer, sans avoir de réponse
-étape 3 : semaine 3, retoquer, cette fois ci il (ou elle) ouvre, ne veut rien entendre (et peut plus rien entendre vu le volume)
-étape 4 : semaine 4, gestionnaire de la résidence prévenu, avec enregistrements audio transmis de mon logement, dont la musique voisine a envahie les murs.
-étape 5 : semaine 5 : appels des flics, ne veulent rien faire
-étape 6 : semaine 6, déménagement temporaire (c'était prévu), en conservant le numéro d'une voisine très sympa -j'en dirai pas plus -
-étape 7 : semaine 7, la voisine se bat avec le 17, le gestionnaire de la résidence, et d'autres contacts (je sais plus trop qui) en plus des voisins, dont certains revendiquent le droit d'écouter le volume à fond ; comment je l'ai su? en appelant la dite voisine, et en essayant d'entendre ce qu'elle disait.
 
=> un con, ca ne se rééduque pas : ça se fuit au possible.
conclusion, déménagez.