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N'empêche, c'est intéressant comme considération : bien que tous les caractères soient différent, on n'a pas à déchiffrer, on reconnait directement le mot entier par sa "proximité" avec sa graphie habituelle. Je suis sûr qu'il pourrait y avoir de la recherche sur ce sujet, on a déjà vu plus con

 
 
sylte une édtue de l'Uvinertisé de Cmabridge ?

 
 
sylte une édtue de l'Uvinertisé de Cmabridge ?

 
 
sylte une édtue de l'Uvinertisé de Cmabridge ?

 
 
sylte une édtue de l'Uvinertisé de Cmabridge ?

J'avais mis un Cambridge-proof, puis je l'ai viré

pendant que ma mère fessait sa consultation, elle lui à demandé de regarder pour mon pied.
Donc, elle ne sait pas trop, si celui-ci partiras. Elle m'as donner un produit à mettre.
Donc, pour le moment il n'y à rien de nouveau..
s'il part vraiment, le faire tenir avec un "pansement" pour guider la repousse, s'il ne part pas
être patient et faire le "traitement".
J'ai rendez-vous avec elle, dans 8 ou 9 jours. (en prime je suis malade  )

topic ongle de doi de pied
 

 
  l'un des deux prenait son pied pendant que l'autre consultait le-dit doigt.

Bon le sujet est clos..
Merci pour vos messages, puis bonne soirée à tous.
Je me déconnecte de l'ordinateur, bisous.

J'ai édité pour remettre en contexte, parce que sinon c'est vrai qu'on perd un peu de la subtilité du truc  

Si c'est pas de l'auto-bash déguisé...
(et qui confirme la règle de l'auto-bash...)

Si c'est pas de l'auto-bash déguisé...
(et qui confirme la règle de l'auto-bash...)

Si c'est pas de l'auto-bash déguisé...
(et qui confirme la règle de l'auto-bash...)

vous savez, ce curieux phénomène qui transforme la plus gentille des sympathiques personnes en un monstre sanguinaire assoiffé de justice routière dès lors qu'on la place en milieu automobile?  
Vous avez eu vent de ce mystère qui entoure la blanche brebis et qui, tel le mogwaï qui bouffe après minuit et fout mémé dans le mixer pour se marrer, se métamorphose en ours hyper mal léché et insulte à qui mieux-mieux ses congénères motorisés?
 
 
Et le clignotant, c'est en option? FILS DE PUTE, TA MERE SUCE DES QUEUES EN ENFER§§§
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                            \

 
 
Et bien sachez qu'il existe la même au format enfant. Remplacez la voiture par une salle d'attente, type chez le médecin, et le tour est joué.
Prenez deux enfants en bas âge (4 ans et 1,5 an), de préférence deux enfants au dessus de tout soupçon, genre les miens, qui en plus d'être incroyablement beaux sont mignons comme c'est même pas permis et provoquent éloges et applaudissement soutenus partout où ils passent - "Ohhhh mais qu'ils sont mignons. Ils sont sages, didonc". "Ouais la vieille, et ces mes gosses, c'est moi qui les ai élevés comme ça. T'as la haine, hein la vieille ".
 
Donc ces deux enfants, vous vous les carrez sous le bras et vous les déposez dans une salle d'attente remplie de gens migraineux, souffreteux, morts, grabataires et boursoufflés de streptocoques purulents. Bien sûr, vous avisez les 2 angelots qu'il faudra être gentil et pas faire de bruit et que papa a amené des livres et le tractopelle playmobil et qu'il n'y en aura pas pour longtemps.
 
Comptez jusqu'à 3, à 2 il y en a déjà un qui a choppé le dernier VSD (celui de mars 2005) par la couverture et a tenté gentiment de vous l'apporter. Au final il ne vous a apporté que ladite couverture puisque le reste de l'ouvrage s'est rapidement désolidarisé des agrafes qui le maintenaient jusqu'alors et s'est écrasé la gueule par terre dans un froissement de feuilles bruyant.  
Vous refoutez le truc dans sa couverture et reposez le magazine sur sa table en rotin en chuchotant avec aplomb "faut pas faire ça, regarde qu'est-ce que t'as fait! c'est pas bien!". Une rapide oeillade vous permet de constater que oui oui, tout le monde vous regarde.
 
Puis l'autre enfant va taper son tractopelle playmobil sur le genou d'un pépé qui n'en demandait pas tant.  
Puis ils accordent leur espièglerie pour dévisser le pied de la chaise de la dame qui respire fort en transpirant.  
Puis ils vous tapent lorsque vous les prenez fermement pour les mettre sur vos genoux.  
Ils passent leur temps à détruire, maltraiter, hurler, voler et à vous coller la hontasse jusqu'à ce que le médecin daigne enfin vous accueillir.
 
Alors vous sortez triomphateur de la pièce, sous les huées de l'audience, un mollard vous atteint à la nuque, une mémé vous fait un bras d'honneur et au final même le médecin se venge et vous diagnostique une maladie pourrie à soigner par un lavement au white spirit.
 
Et vous sortez enfin de ce lieu maléfique aux ondes négatives. Vous allez enfin pouvoir tabasser vos gosses à l'abri des regards inquisiteurs. Mais tous deux arborent désormais ce sourire craquant et ce regard malicieux qui font d'eux les enfants les plus adorables de la Terre. Vous avez échoué jusqu'au bout.
 
Vous montez dans la voiture, sortez du parking...
Tûûûûûtttttttt, "T'as eu ton permis dans un kinder surprise? ESPECE DE GROGNASSE MAL BAISEE§§§"

Les métiers d'antan.  
 
 
Aujourd'hui : Viking
 
 
                           
Mais qui sont donc ces gros barbus qui emboucanent le rollmops faisandé et que l'ont voit débouler sur la Seine, tous les mois de janvier de l'année, lors d'une course de pirogues bariolées, le fameux Paris-Drakkar?
Et bien ce sont les vikings, oui Madame!
Invention scandinave s'il en est, le mot viking vient de "Vhï King", ce qui signifie Elvis Presley en suédois. A l'origine était Olaf Olafson, un rude gaillard de Stockholm. Un dimanche après-midi de 219 après Jesus Christianson, Olaf Olafson s'ennuyait dru, d'autant qu'il pleuvait des halebardes et qu'il n'y avait rien à la télé. Emporté par sa soulographie du dimanche, il se leva de son canapé en peau de loutre, il leva ses yeux avinés au ciel et bravant la foudre, il s'adressa à Thor et à travers aux dieux de la météo en ces termes : "Föck Yü, biåtch!!" (vas donc, hey, patate!). Puis il se rassit à coté de son canapé, mais de peu et en peau de loutre, et mangea une canette de bière cul sec.
Ce n'est que 423 ans plus tard que, sans aucun lien avec l'anecdote précédente, un rude gaillard danois dénommé Dédé Andersen remporte le prix Goncourt des inventeurs grâce à son création : le viking. Ainsi a-t-il eu la bien bonne idée de coller un chapeau de goldorak et une jupe de fillette sur des rudes gaillards, de leur laisser pousser tout ce qu'ils ont de poilu, de les coller dans des canoés kayaks de 200 places et de les envoyer mettre sur la tronche aux gentilles gens aux tas de coins de l'Europe.  
 
Pour peu qu'on le connaisse bien, le viking c'est plutôt le bon gars, pas bégueule, un peu soupe-au-lait, certes, mais toujours respectueux de ses collègues de boulot avec qui il aime aller boire des alcools qui piquent les yeux, vous gâtent les dents et vous dissolvent le système digestif.
L'été venu, le viking part à la plage en Berlingo diesel et joue au freesbee avec ses enfants (et pourtant Dieu sait si ça vole mal, un enfant).
L'été parti, le vinking nettoie son barbeccue et ses meubles de jardin, puis il repasse son costume de viking, aiguise sa lance, affûte son canif et le voilà prêt pour aller casser la binette à tous ceux qui se trouveront sur son chemin. Le viking ne se bat qu'en automne et en hiver, quand le temps est au mauvais, parce qu'il trouve que "ça a plus de gueule". Le viking est ainsi.
Les vikings débarquent alors en tous sens, qui sur son renne, qui en Golf GTI, qui en rollers, et se donnent rendez-vous place de la mairie, devant le café des spørts. Le chef des vikings arrive, il pose sa Harley sur la béquille, il crache par terre et il se plante devant sa troupe. Autant vous dire que ça ricane pas trop. Puis il prend sa grosse voix de rude gaillard et lance un tonitruant "Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet!!" (Passe moi le salami!). Les autres lèvent tout ce qu'ils ont d'armes au ciel en poussant des cris primitifs, puis ils chaussent leurs montures et enquillent le pas au chef, direction le baston. Voir ainsi débouler une horde de vikings partant au combat, ça en jette! En témoigne cette scène mythique de l'attaque de la diligence dans le film historique "Le viking de Saint-Tropez".
Sur leur chemin, les vikings tuent, volent, violent, zigouillent, pique-niquent, boivent, se fouillent dans le nez et rotent, le tout agrémenté de champs guerriers : ""Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet!! Lålålå" (Bleu, bleu, bleu Suède chaussures!).
 
Arrivés à destination, ils se garent au parking T2 car il y a toujours de la place. Puis ils montent là haut sur la colline, avec un petit bouquet d'églantines, se rangent en tas et regardent au loin, la colline d'en face, où l'ennemi ne devrait plus tarder, à l'heure qu'il est. Mais l'ennemi n'arrive pas et il va bientôt se faire l'heure du goûter. Allons bon. Soudainement, brisant le silence, retentit une musique, celle du P'tit Quinquin. C'est Sony Eriksson, le viking messager, qui siffle en polyphonique. Le chef des vikings décroche. C'est le chef des autres, les vikings adverses, qui l'appelle.
- Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet? (Wesh ma gueule, ça va ou bien? Ouais, tranquille. T'es où là?)
- Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet? (T'as regardé dans ton cul, au fond à droite? mdrrr)
- Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet!! (Arrête ton délire, chef des vikings adverses, et dis moi où tu te situes géographiquement, quoi!)
- Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet!! (On est sur la colline derrière la votre, espèce de chef des vikings adverses toi même! Y'avait un accident de drakkars sur la rocade, on a du la quitter par la sortie sud, c'est pour ça!).
- Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet. (Bon bougez pas, on arrive... Non c'est toi qui raccroche en premier! Bisous.)
 
Alors ils font une manoeuvre pour se retourner et vont affronter les autres vikings. Et là, y'a plutot intérêt à planquer les enfants, ranger les bibelots, décrocher les miroirs du mur et attacher mamie au fauteuil. Les joutes bagarreuses entre vikings donnent lieu à des combats d'une rare violence. Et vas-y que je t'étripe avec une lime à ongles rouillée, voilà-t-il pas que je te mets la tête dans un étau et que je serre très fort, viens voir par là que je te fasse une ablation du pancréas sans anesthésie, mange toi donc un coup de barre à mine dans les gencives et dis moi si c'est de la guimauve, etc… Les combats durent jusqu'à la tombée de la nuit, aux alentours de 13h30 dans ces pays à la con. A la fin du temps réglementaire, et en cas d'égalité, on procède à un tirage au hareng saur. Le vaincu ne repartira pas les mains vides puisqu'il se verra remettre un bon d'achat dans les magasins Husqvarna d'une valeur de 150 søus nørdiques. Quant au vainqueur, en plus d'être qualifié pour les demi-finales du grand Tournoi de Sixte Inter Scandinave, il repart avec une Saab break de la couleur de son choix, sauf rouge.
 
Oui mais voilà, ça c'était au temps jadis. Aujourd'hui c'est une toute autre histoire, bien moins rigolote, que la bétise aveugle de l'être humain est un train d'écrire. L'avènement de l'internet et le téléchargement illégal de vikings de contrefaçons ont sonné le glas de la vie échevelée de ces rudes gaillards. D'aucuns se sont mis au tuning, d'autres ont choisi de faire l'album panini de Hägar Dünor, les plus radicaux d'entre eux se sont inscrits dans des clubs de scrabble ou de je-te-tiens-tu-me-tiens-par-la-barbichette. Dans son autobiographie "Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet Ikea" (Comment je suis devenu vendeur chez Cønførama), Jean-Paul Jeanpaulson lâchera cette phrase très dure, mais pleine de lucidité : "Men jeg kender ikke manden i huset og stor er han også blevet!" (Si c'est pas malheureux!)  
Sur la plage, ils ont remplacé le freesbee par les raquettes en bois, c'est déprimant. D'ailleurs le viking déprime, de nos jours. Et un viking qui déprime, c'est déprimant. Il s'envoie des palanquées de litres de bières et d'apéricubes au goût de saumon et de caribou, il tire-larigot sur des cigarettes au parfum de goudron et se gave d'anti-dépresseurs, ça coûte un max à la sécurité sociale, c'est déprimant.
 
Cons de vikings!

Topic papas/mamans :
 

Si on commence à basher stipey, on est pas rendus!

blagounettes vécues    
- crever les 4 pneux de sa voiture
- lui jeter de l'acide au visage et se barrer en courant
- le pousser dans les escaliers
- tuer ses enfants et mettre les photos en fond d'écran

Seul Faman peut faire mieux que Stipey, s'il est en forme

Un plus vieux et plus court de stipey, qui m'avait fait mourir de rire :
 
Topic blagues à faire au bureau  ( http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] m#t8161366 )
 

 
C'est pas toi qu'a déjà été TT ou BAN ou pour un topic sur "Comment se venger de son ex" ?
Pasque ce que tu dis là    

ces filles

 
La réponse de tuxbleu    
 

Sports contre-nature.
 
 
Aujourd'hui : Le rugby
 
                                   
      Baptiste Lagiscade et Dominique Papoulangelo, piliers de l'équipe du bataillon de Joinville (1951)
 
 
Introduction:
Il est de ces sports qui prônent la virilité, qui revendiquent l'hétérosexualité, qui se refusent à se vautrer dans les méandres boueux du contact charnel entre les hommes. Le rugby n'est pas au nombre de ceux-ci et se veut, a contrario, le porte-drapeau des sports de tapettes.
Le tennis, par exemple, a depuis de nombreuses années éradiqué le problème de l'homosexualité en imposant de séparer les adversaires par un grillage souple. Les boxeurs se sont équipés de gants très épais afin d'éviter le contact physique direct lors de leurs joutes de je-te-tiens-tu-me-tiens-par-la-barbichette. Le football a quant à lui instauré un système très efficace pour enrayer les problèmes de tripotages, que ce soit par la mise en place de nouvelles règles strictes ou par la formation des sportifs eux-mêmes. Les entraineurs viennent souvent à répéter à leurs joueurs "qu'on est pas des pédés" et ses derniers ne manquent jamais de s'écrouler, comme foudroyés par la honte, au moindre contact d'un autre homme. Il n'est pas rare de voir la victime de tels attouchements au niveau du genou se rouler ensuite dans l'herbe afin de se laver de ce sacrilège puis supplier l'intervention d'un désenvoûteur qui appliquera sur la partie du corps souillée un coup de "bombe magique". Puis, par sécurité, l'imprécateur coupable se verra infliger un carton rouge l'obligeant à aller prendre sa douche avant les autres.
Oui mais voilà, les instances du rugby se refusent à admettre que l'amour entre hommes est une hérésie et au final on se retrouve avec un sport de tatas dont les anglais sont champions du monde.
 
 
Les premiers essais:
Tout commence en 1815 dans une YMCA catholique de Kwirasefolk, dans la banlieue de San Francisco. L'abbé Trave s'emmerdait sévère en attendant les vêpres et il se dit que ce serait pas une mauvaise idée que d'aller bénir le cul des poules. Il était bien trop affairé à essayer de faire rentrer son petit jésus dans le tabernacle des gallinacées pour se rendre compte qu'il était déjà l'heure du goûter et que Frère Hacheval sonnait les vêpres de toutes ses cloches et que si ça continuait il n'aurait que des miettes d'osties, ce qui est malcommode au possible pour tartiner le nutella dessus. "Gode blesse you", s'écria le Frère Hacheval qui avait appris l'anglais en lisant Scouts Pervertis Magazine, "he will see de what wood j'me chauffe!". Puis retroussant ses manches, il partit à la recherche de l'abbé Trave qui lui, retroussait son manche. Il savait pertinement que ce dernier était pédé comme un fuck et qu'il était en train de poulailler les cocks. L'abbé Trave entendit gueuler "Allez, les vêpres! Allez, les vêpres!" et il se douta bien que ça aller barder pour son matricule. Il prit un oeuf de pack et relevant sa jupe, il sortit du poulailler à toutes jambes, courant droit devant lui. Il savait qu'on pouvait se faire renvoyer du couvent à coups de pompes dans l'cul et il voulait absolument éviter de se faire botter en touche. "Fils d'en-but!", jura le Frère Hacheval. Puis retroussant lui aussi sa jupette, il se lança à la poursuite de l'abbé de San Francisco. Ses sandales Scholl en peau d'hébreu courraient beaucoup plus vite que les tongs en promo de l'abbé Trave (les tongs sont pourtant déconseillées pour la course, c'est des coups à vous défigurer la voûte plantaire et à vous faire des transformations au pied), et il le talonna rapidement. Lorsqu'il fut à distance respectable, il se jeta en-avant, ce qui est péché, et aggripa  le potentiel voleur de boeufs par la taille, puis le plaqua au sol. L'abbé Trave eut juste le temps d'aplatir son oeuf par terre en gueulant "Touch down". Essai ainsi que naquit le rugby. Et que l'abbé Trave évita le coup de pied de renvoi.
Par la suite, on remplaça l'oeuf en peau de coquille par un oeuf en peau de cuir pour éviter les omelettes. On ne sut pas éviter les femelettes, par contre, l'Ecosse prenant même un taquin plaisir à présenter une équipe en kilt, à monter soi-même.
 
Les transformations:  
Pas vraiment, non. Le rugby est resté ce sport de Trave, principalement pratiqué par des primates à mort qui passent leur temps, mais toujours en arrière!, à se vautrer les uns sur les autres dans la pelous, à se piétiner la moustache et à se faire des marques au nez.
On y croise des types à cheveux longs, des barbus, des maillots roses, des bandeaux dans les cheveux et des manchettes sans les boutons.
On a même vu récemment un célèbre fabricant de pneus s'associer à un grainetier pour publier un calendrier plein de photos de femmes à poils mais sauf que c'est des hommes. Dans ce calendrier Pirelli-La Graine on y découvre notamment des clichés d'équipiers se tripotant la demi-maul lors de véritables orgies fraternelles, des regroupements entre poteaux qui n'ont rien à envier aux Hole-Blacks ni aux String-Bottes.
 
Troisième mi-temps:
Quand ils ont fini de s'embrasser le gazon, les rugbymen vont faire un tour en moto sur la côte basque, en sifflotant du Mylène Farmer et en rêvant de mêlées ouvertes avec introduction. Puis ils rotent en se grattant un testicule, pour le folklore.