Bonne analyse du rôle des banques, qui ont embauché Messier pour tenir le rôle d'aboyeur: rameuter les gogos par millions pour qu'ils achètent des actions Vivendi afin de financer les investissements ultra-risqués. Banques qui poussent au crime lors des fusions-acquisitions: elles se paient sans risque sur la bête (1% du C.A. des deux entités fusionnantes). Epinglés aussi les analystes-financiers et leurs conseils bidons.