Oui je sais je suis relou (même trés) mais je peux pas m'en empécher: un petit résumé de ses phrases célèbres
Le Pen et "l'inégalité des races"
" Oui, je crois à l'inégalité des races " (Jean-Marie Le Pen, 31 août 1996)
o " Ce monsieur [Guy Konopnicki], vous vous en doutez, n'est pas un descendant des Gallo-Romains ni des Francs, nos ancêtres " et plaide pour " un pays multiracial et multireligieux ", ce " raz de marée destructuteur ", cette " submersion étrangère " qui " engloutit les Français de souche " (bulletin du Front National appelant à manifester le 8 mai 1983)
o " Or, les races existent. Les races existent dans les faits. " (Jean-Marie Le Pen, fête des Bleu-Blanc-Rouge, 29 septembre 1996)
o " Il y a donc des affinités entre catégories d'humanités " (Jean-Marie Le Pen, fête des Bleu-Blanc-Rouge, 29 septembre 1996)
* " La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen" pour Le Pen,
" début de la décadence de la France"
o " La Déclaration des droits de l'homme est la mère de tous les grands mouvements totalitaires du XXème siècle, car très rapidement l'aspiration à l'humanisme et à l'humanitarisme débouche sur la terreur " (Jean-Marie Le Pen, La Trinité-sur-Mer, meeting du Front National, 26 août 1989)
o La " déclaration des droits de l'Homme "marque le début de la décadence de la France (...), le rejet de l'ordre naturel et divin (...), nie le principe général d'autorité (...), ne reconnaît pas les droits de la famille, de la nation et ceux liés à la survie et à la pérennité de la lignée " (Jean-Marie Le Pen, Discours à la Trinité-sur-mer, 26 août 1989)
* Le Pen et les femmes
o " Il faut qu'il y ait une autorité, et nous pensons que l'autorité la plus qualifiée dans un ménage est celle de l'homme " (Jean-Marie Le Pen, La droite aujourd'hui, 1979)
o " L'affirmation que leur corps leur appartient [aux femmes] est tout à fait dérisoire, il appartient à la vie et aussi en partie à la nation. " (Jean-Marie Le Pen, interview au Parisien, 20 mars 1996)
* Le Pen et les juifs
o Le Grand Jury RTL-Le Monde (13 septembre 1988)
- " Que pensez-vous des thèses de MM. Faurisson et Roques ? (auteurs de thèses niant les chambres à gaz)
- Le Pen : Je ne connais pas les thèses. Mais quelles que soient ces thèses, et quelles que soient celles développées intellectuellement, je suis partisan de la liberté d'esprit. Je pense que la vérité a une force extraordinaire qui ne craint pas les mensonges et les insinuations. Par conséquent, je suis hostile à toutes les formes d'interdiction et de réglementation de la pensée. Tout ce que nous savons sur l'histoire des guerres nous apprend qu'un certain nombre de faits ont été controversés et discutés. Je suis passionné par l'histoire de la seconde guerre mondiale. Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas spécialement étudié la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre Mondiale.
- Six millions de morts, c'est un point de détail ?
- Le Pen : Six millions de morts ? Comment ?
- Six millions de juifs sont morts pendant la Seconde Guerre Mondiale, vous considérez que c'est un point de détail ?
- Le Pen : La question qui a été posée est de savoir comment ces gens ont été tués ou non.
- Ce n'est pas un point de détail.
- Le Pen : Si, c'est un point de détail de la guerre. Voulez-vous me dire que c'est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire, que c'est une obligation morale ? Je dis qu'il y a des historiens qui débattent de ces questions.
- Une immense majorité d'historiens et quelques autres l'ont dit et prouvé.
- Vous-même, monsieur Le Pen, considérez-vous qu'il y a eu génocide juif par les chambres à gaz ?
- Le Pen : Il y a eu beaucoup de morts, des centaines de milliers, peut être des millions de morts juifs et aussi des gens qui n'étaient pas juifs. Je suis étonné de devoir, à chaque émission de télévision et de radio, répondre à des questions qui prennent une forme inquisitoriale "
o " Durafour crématoire " (1988, contre le ministre Michel Durafour)
* Le Pen et les minorités
o " Les femmes maghrébines sont en rut, enfin en action, c'est la même chose " (Jean-Marie Le Pen, discours du 8 juin 1984)
o " Demain les immigrés s'installeront chez vous, mangeront votre soupe et coucheront avec votre femme, votre fille, votre fils " (Jean-Marie Le Pen, L'heure de vérité, 13 février 1984)
o " C'est le code de la nationalité qu'il faut revoir dans son ensemble. Et avant tout, il faut en finir avec les aberrations issues de ce prétendu droit du sol, dont on nous rebat les oreilles et qui n'est rien d'autre qu'une interprétation fallacieuse et récente de notre droit " (Jean-Marie Le Pen, fête des Bleu-Blanc-Rouge, 29 septembre 1996).
o " Le sidaïque est contagieux par sa transpiration, sa salive, son contact. C'est une espèce de lépreux " (Jean-Marie Le Pen, mai 1987).
* Les références historiques
o " Un million de chômeurs, c'est un million d%u2019immigrés de trop " (affiche du Front National pour les élections législatives de mars 1978)
" 700 000 chômeurs, 700 000 juifs, la solution est simple " (slogan du parti nazi dans les années 1930)
* Le Pen et les autres partis politiques
o A propos du RPR, de l'UDF, du PS et du PCF :
" Aussi je prends solennellement devant le peuple français, l'engagement que, lorsque nous serons au pouvoir, tous ces malfrats, tous ces escrocs, tous ces bandits devront rendre des comptes, mais aussi rendre gorge ! " (Jean-Marie Le Pen, fête des Bleu-Blanc-Rouge, 29 septembre 1996)
Comme disait renaud: le fascisme c'est la gangrène...
---------------
Recherche affiche de GITS Arise 3 et 4, faire offre.