Question de ouf que je viens de me poser.

A la base y'a les loisirs, faits pour se détendre etc.
Pour qu'un loisir soit considéré comme un loisir, faut que ça plaise et faut qu'on en ait envie.
Bien.

Si ça nous plaît pas, ça devient une corvée ou un travail.

Et bien justement, que se passerait-il si nous nous mettions à pratiquer des loisirs que l'on aime pas ?
Vous allez me dire "A part quand on est sado à quoi ça sert ?"

Et là je reviens sur le travail. La tâche en elle-même est désagréable et pénible mais on a quasi-systématiquement un sentiment de satisfaction quand on l'a terminé.

Et bien je me demande si ce sentiment de satisfaction, on pourrait pas l'avoir en pratiquant des loisirs que l'on aime pas.
Exemple : Je déteste le tricot, je n'éprouve aucun plaisir à en faire. Mais si je me donnais quand même la peine d'en faire ? Juste pour avoir un sentiment de satisfaction lié au fait d'avoir terminé de tricoter quelque chose...

Idem pour les jeux vidéo, supposons que je n'aime pas un jeu. Mais si je me donne la peine de le terminer, en retirais-je une quelconque satisfaction ? Satisfaction de l'avoir fini, ou d'avoir gagné.

Idem pour le sport. Et idem pour tous les loisirs.

So ?

 
Tout comme quand on arrête de bouger la fourchette que l'on s'est planté dans la main.
 
Je préfère faire des trucs que j'aime bien. C'est plus agréable et je suis contant tant que j'arrête pas
 

La seule satisfaction que tu auras une fois la tâche terminée de faire ce que tu n'aime pas, c'est simplement de ne plus avoir à la supporter

Donc autant ne pas le faire du tout

C'est donc une question de degré de satisfaction donc.
 
Satisfaction d'avoir terminé < Agréabilité de la chose