Xeen a écrit :
Il est vrai que nos nuits sont plus insipides depuis leur départ inopiné.
Las, les lucides ont déserté les lieux, nulle malice, nulle liesse ne pénétrera nos coulisses à nous, les insomniaques collants et poisseux. Ah, qu'ils reviennent, adoucis et offerts, qu'on puisse à nouveau savourer leur délicieux parfum de trollesse à la jupe cartonnée d'ivresse (charnelle=.
Oh stupre linguistiques ! Où sont-ils passés ?
E-nyar, nous ne nous connaissons guère encore, ayez pitié de nous...
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