Je vais dans une banque et je me fais virer 100 millions de francs sur un compte que j'aurais ouvert en Suisse ou dans un paradis fiscal.
Puis, je vais à l'Elysée (ou au siège de l'UMP ou du parti socialiste) et je pique des dossiers hyper compromettants pour que, si jamais on arrive à me retrouver avec le coup des 100 millions de francs, je sois intouchable.
Et, en fin de journée, après l'effort, le réconfort, je vais dans les douches et les vestiaires (féminins) d'une piscine.