Reprise du message précédent :
 
Un chien sauvé d’une ferme d’élevage de viande en Corée du Sud compte bien profiter de sa deuxième chance au Royaume-Uni.
 
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Un petit Beagle nommé Charlie Brown a eu un début de vie bien sordide. Heureusement, il a été sauvé de la ferme d’élevage de commerce de viande dont il était prisonnier en Corée du Sud et a trouvé refuge au sein d’un foyer aimant au Royaume-Uni. Un parcours qui lui a néanmoins laissé des séquelles.
 
L’histoire de Charlie Brown a de quoi émouvoir. Alors qu’il n’était qu’un chiot, il vivait dans des conditions de vie abominables au sein d’un élevage destiné au commerce de viande à Namyangju en Corée du Sud. Le pauvre animal passait jours et nuits dans une minuscule cage grillagée du sol au plafond, sans eau ni nourriture.
 
« Charlie Brown faisait partie d'une douzaine de chiens innocents détenus dans des conditions de privation et de saleté extrême. Il aurait été tué par électrocution ou à l'abattoir puis transformé en aliment pour chiens », explique l’association Humane Society International (HSI) qui l’a sorti de cet enfer.
 
Une nouvelle vie au Royaume-Uni
Charlie Brown a été expatrié au Royaume-Uni par l’association All Dogs Matter qui travaille en collaboration avec les organisations qui luttent contre le commerce de viande en Corée du Sud. Il a ensuite été adopté par Caroline Day qui prend désormais soin de lui.
 
Lorsque le jeune chien est arrivé chez Caroline, il souffrait de blessures aux pattes. Elle explique au Mirror : « Ses coussinets n'avaient ni forme ni couleur parce qu'il n'avait jamais vraiment marché. De plus, il n'avait aucune masse musculaire dans ses membres arrière et une très mauvaise conscience spatiale. »
 
Avec de la patience et de la bienveillance, Charlie Brown a retrouvé son équilibre, s’est musclé et a réappris à faire confiance aux humains. « Charlie Brown aime sa vie maintenant. C’est un chien doux, tendre et amical qui adore les câlins et les longues promenades en forêt », a déclaré Caroline. Elle ajoute néanmoins : « Le fait qu'il ait encore peur quand nous sortons un balai suggère qu'il n'a pas été traité avec beaucoup de gentillesse dans sa vie passée. »
 
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On lui souhaite tout le bonheur du monde    
 
       
 
 
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Un Sphynx âgé trouve une famille d’adoption pour ses vieux jours malgré son air grincheux.
 

 
Schtroumpf est un Sphynx de 12 ans qui n’a pas eu une vie facile. Après une longue carrière dans un élevage, il peut désormais profiter d’une retraite bien méritée au sein d’un foyer aimant. Les images de l’animal à l’air mécontent postées sur Internet par son adoptant ont suscité beaucoup de réactions.
 
Ed et Deneen Hsu vivent à Abington, dans l’État de Pennsylvanie aux États-Unis. Le couple a récemment été dévasté par la disparition précoce de leur chat. « Nous avons eu le cœur brisé après avoir perdu notre chat précédent à seulement 5 ans. Nous voulions un autre Sphynx dans nos vies, alors ma femme a contacté un éleveur connu et a appris que Schtroumpf était à la retraite », a déclaré Ed à Newsweek.
 
Le félin à l’air grincheux et mécontent ne s’entendait pas avec les autres mâles. Les éleveurs n’avaient donc d’autres choix que de l’isoler continuellement, rendant l‘animal malheureux. Ed et Deneen n’ont pas hésité une seconde avant d’adopter Schtroumpf malgré ses 12 ans. « L’âge n’était pas un facteur pour nous. Nous avons raté l’âge d’or de notre autre chat, donc l’opportunité d’aimer Schtroumpf est une bénédiction », a confié le couple. Le chat a donc été castré et a rejoint son nouveau foyer au début du mois de mai 2022.
 
Une toute nouvelle notoriété
En rentrant chez lui, Ed a posté la nouvelle sur Internet. « Voici Schtroumpf, je viens d'adopter un vieux chat de 12 ans qui vit sa meilleure vie maintenant », a-t-il écrit sous la photo de Schtroumpf. Les réactions des internautes ne se sont pas fait attendre. Beaucoup félicitent les adoptants de lui avoir laissé sa chance quand certains sont choqués de l’apparence du félin.
 
Le Sphynx, lui, n’a que faire de ce que pense la communauté de son physique. « Schtroumpf passe ses journées à se détendre dans des endroits ensoleillés, à faire la sieste, à manger, à jouer et à câliner ma femme, ses nouveaux frères et sœurs chiens », a déclaré Ed.
 

 
Il est impressionnant...    
 
   

 

17 à 22  moutons ont été tués par un loup dans réserve naturelle à Nassogne. D'autres bêtes ont été grièvement blessées. C'est la première fois qu'un loup fait autant de dégâts en si peu de temps en Wallonie..
Des barrières éléctriques ont été placées en urgence  pour les protéger....
 
https://www.msn.com/fr-be/actualite [...] ar-AAXt97A

 La bérgère Sophie DEGER
 
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  Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes        
   
 

 
Orque coincé dans la Seine : l'animal va être euthanasié...   :    
Il y a 1 heure
 
 
https://www.cnews.fr/environnement/ [...] ie-1223173
 

 
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PS. A saluer quand même tous les efforts pour le ramener vers l'océan...
     
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 Il aura fallu trop de temps pour le secourir peut-être...

 
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Hello les Animos _
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La génération Y, les milléniaux (de l'anglais : millennials) ou les millénariaux regroupent l'ensemble des personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990. Plus précisément, elle débuterait en 1984 et se terminerait en 1996 selon un article paru dans la revue Harvard Business Review.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 
 
 
Les millennials préfèrent leur animal de compagnie à leurs frères et sœurs>> Des chercheurs ont mené une étude à propos des millennials. Celle-ci suggère que 57 % d’entre eux préfèrent leur animal de compagnie à leur frère ou sœur. Et ils sont 50 % à penser la même chose par rapport à leur maman. Ambiance au repas !
Les millennials préfèrent leur animal de compagnie à leurs frères et sœurs  
Une étude révèle que les minnellials ne sont pas très famille. En effet, les chercheurs de ConsumeAffairs ont interrogé 1.000 propriétaires d’animaux de compagnie, dont près de la moitié était des personnes âgées entre 27 et 42 ans. Leur but était de comprendre la place que prend leur animal de compagnie dans leur vie, et de savoir s’il s’agit d’un membre important de leur famille.
 
« L’étude a commencé par une question très difficile : Quels membres de votre famille aimez-vous moins que votre animal de compagnie ? Pour avoir une idée de ce que sera l’avenir, nous avons également demandé aux personnes interrogées si elles préféraient avoir des animaux plutôt que des enfants », expliquent les experts par voie de communiqué. Ils sont 81 % a affirmé que les animaux de compagnie comptaient plus qu’au moins un membre de leur famille.
 
Et les premières victimes de ce constat sont les frères et sœurs : 57 % d’entre eux aimeraient leur animal plus que leur frère ou leur sœur. 50 % d’entre eux préfèrent carrément leur compagnon plus que leur mère. Même le partenaire passe après l’animal dans 30 % des cas. Et quelque 58 % des 27-42 ans préfèrent avoir un animal de compagnie plutôt que des enfants.  

http://www.slate.fr/story/213759/m [...] -obsession
 

Puissantes vocalises, pupilles étrécies et mouvements de queue saccadés : il y a de la bagarre dans l’air ? Pendant, comme après l’affrontement, adoptez les bons réflexes.
       
https://www.ouest-france.fr/science [...] 0e356db714
 

 
   
Soleil "froid" ce matin ....    
https://www.mirror.co.uk/news/uk-ne [...] a-21184340

Heureusement que tous les chats ne se battent pas entre eux ...      
 
 

Bienvenue tout le Monde
 

 

 

https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.ne [...] e=6299C8FB[img][/img]
 

 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Bon aprèm Peluche, Sundy et tout le monde  ...    
 
Magnifique la dernière photo en noir et blanc ...    
 

  Encore petits, mais déjà tout mignon...    
 
 
   
 
 
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Valerie Abbott)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
 
(Photo Françoise Moignet)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Anne-Marie Kalus)  
 
(Photo Tambako)  
 
(Photo Anne-marie Khalus)

Peluche tu as l'air de t'éclater avec ton nouvel ordi!    
 

 
Oui Sundy, je redeviens plus assidue sur le Forum, pourvu que ça dure...  

 
Merci Beced    

  Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes      
 
 
Les 3 mousquetaires qui étaient 4?            
 
 

 
Bonne nuit à tous
 

 
 
 

 
 
 Purée, j'ai dû mal à sortir de mon rêve....
 Mais bonjour tout le monde, quand même   ....    
 

 

Une école américaine embauche un chien pour empêcher les tueries de masse >>  En Floride, une école vient d’accueillir Colby, un chien spécialement entraîner pour empêcher les fusillades.  
 
Dans une école de la ville américaine de Naples, en Floride, un nouvel arrivant va aider à empêcher les fusillades. Colby est déjà le troisième chien des États-Unis qualifié de « Skool dog ». Son arme ? Son flair !  

Depuis deux ans, cette chienne est entraînée à détecter les munitions, les armes à feu chargées ainsi que les explosifs. Au sein de l’école, Colby ne travaillera pas seule. Elle passera ses journées à patrouiller sur le campus avec l’officier Daniel. « Nous sommes tous les deux certifiés en tant qu’équipe d’intervention pour lutter contre les fusillades et ce genre de menaces », a déclaré l’officier aux médias américains.  
 
Non seulement, Colby est capable de détecter les armes et les munitions, mais en plus elle a été spécialement formée pour traquer et arrêter un éventuel tireur. « S’il y a des coups de feu, elle emmènera le maître-chien vers eux. Elle n’hésitera pas une seule seconde à faire ce pour quoi elle a été formée », a précisé l’officier Daniel.  
https://www.skooldogs.com/k9s

 
En Espagne, le premier projet au monde d’élevage de poulpes inquiète les défenseurs de l’environnement et des animaux> Une ferme d’aquaculture de 52 000 mètres carrés, capable de produire près de 3 000 tonnes de poulpes par an, soit un million de spécimens de 3 kg en moyenne, devrait entrer en fonctionnement aux îles Canaries. / Par Sandrine Morel  
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Derrière un épais rideau noir, onze poulpes reproducteurs mâles éclairés par une barre de néons de faible intensité nagent dans un vaste bassin de 25 mètres carrés. Entourés de conduits garantissant les bonnes conditions de température et de qualité de l’eau, les uns s’approchent du bord en « marchant » sur leurs longs tentacules gris, à la rencontre des visiteurs, tandis que d’autres s’enlacent de leurs bras sur le fond noir de la cuve.
C’est ici, au sous-sol du Centre de recherche biomarin de l’entreprise espagnole Nueva Pescanova, située à O Grove, au bord de la ria d’Arousa, le plus grand estuaire de Galice, dans le nord-ouest de l’Espagne, que sont menées depuis 2018 les expériences qui doivent aboutir à l’ouverture de la première ferme d’élevage commercial de poulpes au monde. « Cela fait des dizaines d’années que les scientifiques tentent de compléter le cycle de vie du poulpe. Ni le Japon ni la Corée n’y sont parvenus. En ce qui nous concerne, nous sommes prêts, se félicite Roberto Romero, le directeur aquaculture de Nueva Pescanova pour l’Espagne. Le poulpe est devenu une des espèces les plus demandées, en particulier depuis que les Etats-Unis se sont mis à le consommer. Il s’agit d’un super aliment, riche en protéines et faible en graisse, sa valeur sur le marché est élevée et sa croissance suffisamment rapide pour que les perspectives de rentabilité soient bonnes. »

Dans le bassin adjacent à celui des mâles, séparées par un mur, cinq femelles reproductrices virevoltent autour des tuyaux en PVC qui font office de refuges, où elles s’apprêtent à pondre leurs cordons chargés en moyenne de 200 000 à 300 000 œufs microscopiques. Si tout se passe selon les plans de l’entreprise, en 2023, une ferme d’aquaculture de 52 000 mètres carrés, capable de produire près de 3 000 tonnes de poulpes par an, soit un million de spécimens de 3 kg en moyenne, devrait entrer en fonctionnement à 2 000 kilomètres plus au sud, dans le port de Las Palmas, à Gran Canaria, aux îles Canaries.
Densité confidentielle

Pour les défenseurs des animaux et de l’environnement, cependant, ce projet est un « non-sens écologique ». Portés par la répercussion du documentaire oscarisé La Sagesse de la pieuvre, qui a révélé au grand public l’intelligence fascinante de cet animal aux trois cœurs et au réseau neuronal décentralisé, ils se sont mobilisés ces derniers mois pour en dénoncer la « cruauté ».
 
 
« Le poulpe est un animal sauvage, solitaire et territorial. Les études réalisées jusqu’à présent montrent qu’il développe un comportement agressif en groupe, allant jusqu’au cannibalisme. C’est aussi un animal très curieux et intelligent : le seul mollusque capable de se servir d’outils, comme les coquillages qu’il utilise pour se cacher et se protéger. Et, comme il est dépourvu de coquille, il est très fragile et peut se blesser facilement, explique Elena Lara, docteure en biologie à l’université autonome de Barcelone, porte-parole de l’ONG Compassion in World Farming en Espagne et membre de l’Aquatic Animal Alliance (Alliance des animaux aquatiques, AAA), une coalition de plus de 110 ONG et de scientifiques du monde entier mobilisée contre le projet. Nous sommes très inquiets du bien-être de cet animal dans les conditions de captivité et de forte densité d’une ferme intensive, construite dans l’intérêt culinaire de quelques-uns. »  
https://www.leparisien.fr/environne [...] 62525Y.php
https://www.lemonde.fr/planete/arti [...] _3244.html

Une femelle pondeuse près de centaines de milliers d’oeufs, dans la ferme d’élevage commercial de poulpes de l’entreprise Nueva Pescanova d’O Grove en Galice (Espagne). PESCANOVA BIOMARINE CENTER
 
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La consommation des tentacules de poulpe, réputées pour leur saveur délicate et leur chair tendre, n’a cessé de progresser. En Europe, 130 000 tonnes de l'animal seraient mangées chaque année, contre 80 000 en 1990, selon un rapport de l‘association de défense du bien-être animal, CIWF. (Illustration) AFP/Frederic J. BROWN

   
Le Poulpe à bon goût    
 

 

 
Hello Peluche, Sundy et les Animautes    
 

 
   
 
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