Les chiens aboient trop fort : le “Refuge de l’Espoir” assigné en justice en Haute-Savoie
Refuge de l’espoir à Arthaz-Pont-Notre-Dame, en Haute-Savoie
Les aboiements des chiens du "Refuge de l'Espoir" d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, en Haute-Savoie, seraient-ils insupportables à vivre ?
C'est ce que pensent certains voisins qui ont décidé de porter l'affaire en justice. Les responsables du refuge doivent comparaître le 1er octobre 2019.
Les responsables du "Refuge de l'Espoir" d'Arthaz-Pont-Notre-Dame sont assignés au tribunal d'Annemasse en Haute-Savoie, le 1er octobre prochain. Ils vont être jugés pour des nuisances sonores provoquées par les aboiements des chiens du refuge. Un haut-parleur, qui sert aux soigneurs pour communiquer, est aussi dans le collimateur des plaignants.
"On ne nie pas les aboiements" admet Maxime Gaconnet, administrateur du refuge mais "de là à dire que c’est une problématique majeure et que les gens sont empêchés de sortir de chez eux je mettrais beaucoup de bémols."
Le refuge, qui accueille toutes sortes d'animaux en détresse, est présent depuis plus de 35 ans sur le territoire de la commune. Une étude acoustique réalisée en 1996 avait montré que les chiens n'étaient pas seuls responsables des nuisances sonores puisqu'une voie ferrée et une route se trouvent à proximité. A l'époque, le refuge pouvait accueillir 75 chiens.
Sa capacité a été réduite depuis (50 chiens maximum) et les box ont été modernisés et équipés de double vitrage. "On ne les empêche pas de dormir" plaide Maxime Gaconnet. Car les chiens ne sont dehors qu'en journée, entre 8 heures et 17 heures. Malgré tout, l'administrateur du refuge a décidé de jouer l'apaisement. Il a d'ores et déjà remisé le haut-parleur gênant et programmé une nouvelle étude acoustique qui sera effectuée sur une semaine d'ici la fin de l'année. Les responsables du refuge se disent prêts à faire de nouveaux travaux dans la mesure de leurs moyens qui sont limités puisque l'association ne vit que de legs et de dons.
"Il y a une chose sur laquelle on ne tranchera pas c’est sur le confort des animaux" indique toutefois Maxime Gaconnet.
"On continuera à les sortir en journée, de 8 heures à 17 heures".
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Ardèche : un chasseur tue un chiot parce qu'il risquait d'effrayer le gibier
Alors que la saison de la chasse s'est ouverte ce dimanche, un jeune chasseur de 22 ans est soupçonné d'avoir délibérément tué un chiot, le 26 août, en Ardèche. Le tireur, qui aurait reconnu les faits selon Le Dauphiné, aurait eu peur que le chiot n'effraie son gibier.
Il sera jugé le 14 février pour "acte de cruauté envers un animal domestique".
Abattu pour avoir aboyé.
Tel est le destin qu'a connu Kinder, un border collie de quatre mois, abattu par deux tirs de carabine le 26 août, à Saint-Agrève, en Ardèche, comme le rapporte le Dauphiné Libéré dans son édition de samedi. Le tireur présumé, un chasseur de 22 ans, a été interpellé avant d'être entendu par les gendarmes, à qui il a tenté d'expliquer son geste. Selon lui, le chiot, qui se baladait dans un bois, aboyait trop fort et risquait d'effrayer son gibier, à l'approche de l'ouverture de la saison de la chasse.
Le tireur serait alors rentré chez lui pour chercher sa carabine, avant de faire feu par deux fois sur l'animal. Le propriétaire du chiot, un agriculteur de 66 ans, a lui entendu l'animal hurler après le premier coup de carabine, juste avant le second, qui réduisit le chiot au silence. Il s'est alors mis à la recherche de l'origine des tirs, avant de trouver sur sa route la voiture du chasseur. Pour éviter sa fuite, l'agriculteur a alors bloqué la route à l'aide de son tracteur. C'est finalement son épouse qui aurait réussi à identifier le jeune chasseur, avant l'arrivée des gendarmes, rapporte encore le Dauphiné
Malgré un jugement en février, le tireur conserve son permis de chasse Ce drame est intervenu fin août, soit avant l'ouverture de la saison ce dimanche. C'est la raison pour laquelle les gendarmes ont écarté l'hypothèse d'un accident de chasse. Le tireur sera jugé le 14 février pour "acte de cruauté envers un animal domestique". Sa carabine, utilisée pour abattre le chiot, a été saisie, mais son permis de chasse, lui, n'a pas été suspendu. L'auteur présumé conserve également son droit de porter une arme.
Ils trouvent des argiopes frelons, araignée impressionnante mais sans danger, dans leurs jardins
« L’argiope frelon est sans danger pour les humains. Son nom vient de sa livrée jaune et noire, qui copie celle d’un frelon. Cela la met à l’abri de la voracité des oiseaux , qui associent cette robe à un danger. Elle se nourrit de gros insectes type criquets, sauterelles… », explique un représentant de l’association Lo Parvi.
Des habitants de La Tour-du-Pin et des Avenières-Veyrins-Thuellin ont fait part de leurs inquiétudes concernant la présence de cette araignée dans leurs jardins. Elle est impressionnante. Autant par sa robe striée jaune et noire que par sa taille. Tant et si bien que cette araignée a fini par inquiéter deux de nos lecteurs, qui ont repéré des spécimens dans leurs jardins : l’un à La Tour-du-Pin et l’autre aux Avenières-Veyrins-Thuellin.
« Taille imposante, couleur tranchée » Pas d’inquiétude : l’argiope frelon, comme son nom ne l’indique pas forcément, « n’est pas dangereuse pour l’homme », ainsi que le spécifie Jérôme Petitprêtre, entomologiste au Muséum d’histoire naturelle de Grenoble. « Dans la mesure où elle ne fréquente pas vraiment l’intérieur des habitations et se tient plutôt tranquille sur sa toile, en milieu ouvert, en y étant très visible compte tenu de sa taille imposante et de sa couleur bien tranchée, les morsures doivent être franchement rares, quand on ne cherche pas à stresser l’animal en le manipulant n’importe comment », confirme Michaël Dierkens, arachnologue et membre de la Société linnéenne de Lyon
Qui complète : « L’espèce est extrêmement banale dans la région. Elle n’est pas protégée à l’échelle nationale. »
Nous sommes en 2019, nous vivons dans une société « évoluée ». Et encore, les humains ont le droit d’accomplir des traditions barbares, juste parce qu’elles sont des traditions. Même si ces traditions impliquent le racisme, le sexisme, ou dans ce cas, la cruauté envers les animaux. Ce que vous voyez ici, c’est le « Kallemooi » annuel sur l’île Néerlandaise Schiermonnikoog. Un coq est brutalement mis dans un panier de 140 sur 60 et 70 centimètres et accroché un mat à 18 mètres de haut pendant 3 jours. Durant les 3 jours, le coq sera complètement oublié et les gens vont continuer à boire et à faire la fête. Le droit auto-conféré est une merde ! Qui sommes nous pour décider que nous pouvons faire cela à un autre être vivant pour la tradition ? Comme « Kallemooi » il y a des milliers de traditions qui impliquent des actions injustes et de la cruauté.
Le cambrioleur de glands
Avec cet été particulièrement chaud et sec, la végétation semble avoir pris de l’avance sur l’automne. Les chênes sont déjà couverts de glands pour le plus grand bonheur des geais et des écureuils notamment.
Mais, un cambrioleur semble avoir pris les devants et beaucoup de fruits sont vides, les graines semblant s’être volatilisées. Seul indice, un minuscule trou percé dans la paroi. Le voleur est un insecte, un balanin.
Avec son allure éléphantesque, le balanin pourrait remporter la palme du plus rigolo des insectes. Mais cette trompe est une arme redoutable. Elle lui sert de forêt pour entrer en catimini dans le gland et y pondre au début de l’été alors que le fruit est tout juste formé.
L’œuf éclot à l’abri de ce berceau puis il va se nourrir de la graine. En fin d’été, lorsque le gland tombe, la larve est suffisamment grosse et elle creuse à son tour un petit trou pour sortir de sa logette.
Elle s’enfouit alors dans le sol pour parfaire son développement et sa métamorphose avant de sortir, adulte, au printemps prochain.
On te dit de ne pas pleurer.
On vous dit que ce n'est qu'un chien, pas une personne.
On vous dit que la douleur passera.
On vous dit que les animaux ne savent pas qu'ils doivent mourir.
On vous dit que l'important est de ne pas le faire souffrir.
On te dit que tu peux en avoir un autre.
On te dit que ça va t'arriver.
On vous dit qu'il y a des douleurs plus insupportables.
Mais ils ne savent pas combien de fois tu as regardé ton chien dans les yeux. Ils ne savent pas combien de fois tu as été toi et ton chien seuls à regarder les ténèbres.
Vous ne savez pas combien de fois votre chien a été le seul à être à vos côtés. Ils ne savent pas que le seul qui ne t'a jamais jugé est ton chien. Ils ne savent pas à quel point tu as eu peur la nuit où tes lamentations t'ont réveillé. Ils ne savent pas combien de fois ton chien a dormi près de toi. Ils ne savent pas combien tu as changé depuis que le chien est devenu une partie de ta vie. Ils ne savent pas combien de fois tu l'as embrassé quand il était malade.
Vous ne savez pas combien de fois vous avez fait semblant de ne pas voir comment vos cheveux devenaient de plus en plus blanc. Vous ne savez pas combien de fois vous avez parlé à votre chien, le seul qui écoute vraiment. Ils ne savent pas à quel point tu étais beau pour ton chien.
Ils ne savent pas que c'était juste ton chien qui savait que tu souffrais. Ils ne savent pas quels sentiments vous ont fait goûter votre chien. Ils ne savent pas ce que ça fait de voir ton vieux chien s'efforcer d'aller te dire bonjour. Ils ne savent pas que quand les choses allaient mal, le seul qui n'est pas parti est ton chien.
Ils ne savent pas que ton chien a confiance en toi chaque instant de sa vie, même dans le dernier. Ils ne savent pas à quel point ton chien t'a aimé et le peu qu'il lui suffisait d'être heureux, parce qu'il lui suffisais toi. Vous ne savez pas que pleurer pour un chien est l'une des choses les plus nobles, significatives, vraies, propres et sincères que vous pouvez faire. Ils ne savent pas à propos de la dernière fois que tu l'as déplacé avec difficulté...
Fais attention à ne pas le blesser. Ils ne savent pas ce que tu as ressenti en caressant leur visage dans les derniers moments de leur vie…(Fan)
Bon après midi @+++++++++++