RE
Plus de 1000 chiens, chats, ou autres bêtes ont été capturés par l’objectif de la photographe australienne Alex Cearns.
30millionsdamis.fr s’est entretenu avec cette artiste mondialement connue et s’est intéressé au travail particulier qu’elle a réalisé pour réhabiliter les animaux « handicapés »…
Rendre l’imparfait, parfait. Tel est le crédo d’Alex Cearns, une photographe australienne passionnée par les animaux .
L’artiste met ainsi en lumière la beauté de ceux qui ont été touchés par le handicap et a eu l’idée de placer l’ensemble de ses clichés dans un livre intitulé « Parfaite imperfection : la résilience et l’amour des chien illustrés ».
« Immortaliser les adorables subtilités qui rendent toutes ces créatures précieuses et uniques est mon principal objectif, confirme la jeune femme. J’aime absolument tous les animaux que j’ai le privilège de photographier. Mais ceux qui sont perçus comme ‘’différents’’ occupent une place particulière dans mon cœur. Ces animaux qui ont perdu une jambe, sont nés sans yeux ou portent encore les cicatrices d’abus passés, possèdent une incroyable profondeur. »
Il faut dire que la photographe est mondialement réputée. Ses images ont été publiées à travers l’Australie, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, dans différents magazines ou pour des campagnes contre l’abandon. Et elle a reçu plus de 250 prix dans sa carrière.
« Ils s’adaptent à leur corps sans se plaindre et survivent avec détermination » La plupart de ses sujets viennent de refuges et portent les stigmates de leur mal-être. Avant de les placer devant son objectif, Alex Cearns aime mettre l’animal à l’aise.
« Je m’assois juste à côté de lui et je m’assure qu’il est totalement relaxé, détaille la photographe. Je ne démarre ma session qu’une fois le contact établi. »
Et à voir le résultat, on en oublierait que l’animal porte des cicatrices indélébiles.
« La plupart des animaux présentant un handicap ne sont pas habités par cela, estime Alex. Ils s’adaptent à leur corps sans se plaindre et survivent avec détermination. Ils désirent tout autant être impliqués dans leur foyer qu’un animal de compagnie valide. Ils méritent d’avoir la meilleure vie possible. » La Fondation 30 Millions d’Amis salue l’initiative d’Alex Cearns qui contribue à mettre la lumière sur des animaux qui ont bravé les obstacles de la vie et à leur redonner toute leur place.
Pour aider les oiseaux de nos jardins et d'ailleurs à construire un nid chaud et douillet pour leurs petits, gardons les poils de nos loulous ainsi que les peluches du filtre de votre séchoir placez les dans une mangeoire similaire à celle-ci. Ils peuvent s'en servir et en seront heureux (Fan)
http://fandeloup.f.a.pic.centerblog.net/73bd55ae.jpg
)
Il s'agit d'une limace aquatique, qui, avec ses oreilles pointues et son pelage, ressemble à un petit lapin. La Jorunna parva vit dans les eaux du Pacifique et peut atteindre 20 cm.
Voici le poulet sans plume, créé à l'Institut d'agronomie Rehovot près de Tel-Aviv, en Israël. Ces oiseaux nus souffrent encore plus que leurs amis à plumes. Ils sont plus sensibles aux parasites, aux piqûres d'insectes. Mais ils sont plus faciles à " traiter " ... pas de plumaison impliquée .
Voici une structure bien étrange... Il s'agit d'un nid collectif : le nid d'un passereau nommé le "républicain social" (Philetairus socius) !
Le Républicain social (Philetairus socius) est une petite espèce de passereau endémique des zones arides du sud de l'Afrique, notamment du Kalahari. Il est l'unique espèce du genre Philetairus.
L'espèce est remarquable par ses nids : collectifs et habités à l'année, ils sont énormes, et peuvent être construits par des centaines d'individus. Ces nids collectifs peuvent servir à des générations successives, ce qui leur ont valu leur nom.
Ces nids comptent parmi les plus grandes structures construites par des oiseaux , et sont utilisés toute l'année. Ils sont très bien structurés, et maintiennent une température plus supportable que celle de l'extérieur. La nuit, les chambres centrales, où les oiseaux dorment, maintiennent la chaleur
Les chambres en périphérie du nid sont utilisées de jour et permettent aux oiseaux de rester à l'ombre. Cette immense « botte de paille » pouvant atteindre 4 m de haut pour 7 m de long, peut parfois peser plusieurs tonnes et casser son support (arbre, poteau, etc.).
Ces nids sociaux peuvent accueillir jusqu'à 500 oiseaux , et sont aussi habités par plusieurs autres espèces d'oiseaux commensaux, notamment par le Fauconnet d'Afrique, ou d'autres petits passereaux.
De plus grands oiseaux peuvent même construire leur propre nid sur le nid des Républicains.
Bonne nuit