Reprise du message précédent :

il me semble surtout ke le symbole est inversé et prend ainsi la signification opposée, si je me souviens bien...

Je confirme.

ça n'a rien à voir...
esthétisme et art, ça se rejoint...  
 
les idées politiques c autre chose...ça peut être inclu dans un travail artistique, mais également en être absent...
et vu le contexte dans lekel elle se trouvait, p-e k'elle n'avait d'autre choix ke d'inclure la politike, vu le statut de la personne ki passait commande...
 
 
ensuite, ben même en admettant k'elle ait pu être séduite par les idées nazies : il y a la force dégagée par ce système ki a pu être fascinante (regarder Hitler parler...même si on est contre ses idées, il y a une force attractive, hypnotique)
et enfin il y a tt de même tout un peuple (et plus) ki a été séduit par ces idées...pqe au départ les promesses étaient travail, argent, puissance, descendance parfaite...  
les méthodes poor les obtenir, la tentative d'éradicqation d'un autre peuple... tout cela oui est terrible, mais enfin k'a-t-elle su, kel pouvoir d'action avait-elle ?
 
 
j'en viendrais aussi à demander : ki c présenté poor passer commande auprès d'elle ? Hitler le dicateur ou Hitler le peintre raté ki aurait pu la séduire par des arguments 'artistiques', lui assurant de lui prêter tous les moyens nécéssaires à son travail ?

 
Ah oué !    
 
Prodigy

l'entité "les gens" est scientifiquement reputée comme etant tres tres tres con.

Ben lis ça:
http://forum.cine.free.fr/lumiere%20bleue.htm
 
Pour la réalisation de La Lumière bleue, son premier film, en 1931, elle avait demandé à l'écrivain hongrois et théoricien du cinéma Béla Balasz, émigré en Allemagne, de l'aider à venir à bout de son scénario. Au début de 1933, comme il n'avait toujours pas été payé pour ce travail et qu'il s'installe à Moscou, il lui réclame son dû. Comment réagit-elle ? Le 11 décembre 1933, elle donne "pleins pouvoirs" au dirigeant nazi le plus agressivement antisémite, Julius Streicher, avec qui elle s'est récemment liée d'amitié lors du tournage, à Nuremberg, de La Victoire de la foi. Elle lui confie la mission de régler la "réclamation" formulée par "le juif Béla Balasz (sic)".
Le litige, on s'en doute, était en de bonnes mains. Qui plus est, la cinéaste, s'avisant de ressortir La Lumière bleue en 1938, a profité d'une nouvelle copie pour enlever la mention de Balasz comme coscénariste. Le film, qui perd aussi dans son générique le nom de son producteur, Harry Sokal, un autre "juif" devient ainsi jusqu'à sa troisième copie, en 1953, "une légende de la montagne, racontée et mise en images par Leni Riefenstahl

Jsutement dans le cas des nazis la conception esthétique était tout sauf absente. Elle est même quasiment centrale, puisque censée refléter la supériorité d'une race d'élus...  
 

Elle avait le choix de ne pas tourner des images pour le régime, comme l'aurait fait n'importe quelle personne qui aurait eu au moins une petite réticence envers des démonstrations de force racistes.  
 

Je suis bien d'accord mais alors je vois absolument pas en quoi cela constituerait une circonstance atténuante. Tout le danger du système nazi est qu'il a fasciné certaines personnes au point d'en faire des fanatiques.  
 

Tu crois vraiment que c'étaient deux personnes différentes ? Hitler pensait avoir pour destin de faire "renaître" l'Allemagne, toute sa vie tournait autour de ça. La seule relation féminine qu'on lui connait est celle avec Eva Braun, et encore on pense qu'il s'agissait principalement d'une liaison platonique. Quant à sa conception de l'art, il suffit de regarder ses goûts architecturaux (son dada) pour voir que là aussi il fallait que tout soit "grand", voire écrasant de puissance.  

 
C'est clair que quand tu vois le nombre d'allemands qui se sont exilés, l'argument du "je savais pas" ou du "j'avais pas le choix" ça à un peu du mal à passer
 
Prodigy

 
« Même un paysage tranquille ;
même une prairie avec des vols de
corbeaux, des moissons et des
feux d'herbe ; même une route où
passent des voitures, des paysans,
des couples ; même un village
pour vacances, avec une foire et
un clocher, peuvent conduire tout
simplement à un camp de
concentration... »
Ainsi commence Nuit et Brouillard
(prix Jean-Vigo 1956), court métrage
d'Alain Resnais que François
Truffaut qualifiait d'?uvre « sublime,
incriticable, pour ne pas dire
indiscutable ».
 
« Je ne suis pas responsable » dit
l'officier.
« Je ne suis pas responsable ».
Alors, qui est responsable ?

Bien vu   Pour se lier d'amitié avec un être aussi infâme que Streicher, il fallait nécessairement être prodondément antisémite, c'est pas possible autrement.