Reprise du message précédent :

 
Moi je signe direct    
Le rea, le cast, le ton complètement barré. Viva la Revolucion!  

Il y a une petite vibe Frères Coen, ça change pas mal du registre habituel de PTA

 
J'aurais presque dit Wes Anderson  

Apparemment c'est une adaptation assez libre d'un bouquin de Thomas Pynchon (Vineland) comme l'était Inherent Vice précédemment.

C'est marrant, je l'ai lu, mais il y a très longtemps. Probablement une trentaine d'années
Le trailer ne m'en rappelle rien, mais j'avoue que mes souvenirs du roman sont un peu flous.

 
 
pour rappel c'est d'apres un roman
et c'est pareil dans le roman de lehane

Oui et je trouve l'idée débile aussi dans un roman.  

Mais effectivement le reproche n'est pas exclusif au film.

A quand un vrai film sur les BSOD ?

oui allez ok  
 
j'espère que link va enculer la princesse

On est en 2025 fisca... C'est Zelda qui va enculer Link

et bien d'accord alors

J'ai lu il y a 10 jours que Warner sacrifiait Mickey 17,
Vous savez si c'est dispo en VOD quelque part?

Sinon je vais le voir demain au cinéma.,. Ou je donne priorité à autre chose

8 avril aux US.

Perso (a l'exception de Shutter Island) je leur préfère largement Bringing Out the Dead, The Departed et Silence.
 

Ah ça a été repoussé. J'avais entendu parler du 25 mars merci

Le film sera sûrement basé sur Zelda: Oracles of Ages alors parce que dans ce jeux le but de Link c'est de trouver l'anneau magique    

Vermines vu sur Netflix. Sympa, même si a la fin c’est plus des araignées mais des face huggers d’Alien.  
J’ai quand même baissé le son à mort pendant deux ou trois passages "musicaux", banlieue oblige.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas été autant hypé qu'après la BA du prochain Paul Thomas Anderson  

Et ils vont surement prendre une fille pour jouer Zelda.

 
 
 
Après, on s'étonne que les salles de cinémas se vident...
 
Mais ils sont ou les gens qui peuvent nous faire un "Seven", ou un "I Comme Icare"..., enfin un bon film avec une intrigue, ou même une comédie comme "l'emmerdeur', avec Ventura..., et pas un "reboot" d'un film des années 80, ou une reprise d'une cartouche de jeu Nintendo... ?  
 
J'ai pas envie d'aller voir un film, dont le seul but c'est : "faire du pognon"...
 
Le prochain qui va sortir le 21 mai, c'est Lilo & Stitch : https://www.allocine.fr/film/fichef [...] 68362.html
 

 
Encore une reprise d'un DA en "prise de vue réelle"..., certes d'un très bon dessin animée (que j'aime beaucoup...   ), mais c'est juste reprendre un truc qui as fonctionné, et le "moderniser"..., y'a rien de nouveau...  
 
Perso, si je veux regarder Lilo & Stitch, je regarde le premier film sur Disney+, et basta, il est très bien..., pas besoin d'en faire un film en prise de vue réele..., je ne comprend pas pourquoi ils n'inventent plus rien de nouveau... ?

 
Un(e) transgenre black, ça m'étonnerait même pas...  
 

 
Elle a beaucoup changée Zelda, non...  ?  
 

 
Par-contre, ils prendront surement Jim Carrey  pour jouer Ganon...  

Bon sinon, très bon film de SF que j'ai regardé hier soir : "Predestination" de 2014
 
https://www.allocine.fr/film/fichef [...] 26449.html
 

 
Spoiler, car ça dévoile l'intrique du film (ne surtout pas lire, si vous n'avez pas vu le film) :  
 

Dans le film ça fonctionne plutôt bien en tout cas, c'est vraiment pas mal Prédestination.

 
J'vois pas l'souci

Va-t-on avoir droit à un featuring de Prodigy pour la 10 000ème page ?

Puisque l'on parle de voyage temporel, j'avais bien aimé cette comédie japonaise: Summer time machine blues.
C'est un peu loufoque parfois mais j'avais passé un bon moment.
 
 

IWH 9999 avec Omar Sy dans le rôle du 9

Dans la série des rattrapages inespérés, j’ai enfin vu les Goonies (M40). C’était interdit au moins de combien à l’époque ? Des gros mots à tout va, des allusions de cul, Sinok assez effrayant…. On était pas des tapettes à l’époque!

 
 
justement

Parce que Disney a perdu toute ambition artistique depuis longtemps et est juste devenu une machine à contenu ne raisonnant que financièrement. L'innovation comporte un risque risque financier que déteste ce genre de société.

Je me disais bien que Ash is the Purest White  ça me disait quelque chose. Ça s'appelle Les Eternels dans nos contrées.

C'était marrant cette mode de films un peu "mindfuck" s'appuyant sur des voyages temporels et/ou des univers parallèles. Ça me manque un peu.

Ouais, c'était prétexte à un IWH 9999  

Triangle/Coherence/Predestination/Cronocrimenes, c'était cool tout ça ouais.

Ainsi que Primer ou Looper  

 
Ganon ça sera The Rock  

Pour ma thématique ciné du mois de mars, j'ai opté pour Jack Nicholson. Parce que pourquoi pas.
 
Je n'ai donc regardé que des films avec lui.
 
J'ai commencé par Sans plus attendre (2007) de Rob Reiner (The Bucket list).
 
Jack Nicholson, un riche connard égoïste patron d'un hôpital, apprend qu'il ne lui reste que six mois à vivre. Dans le lit d'hôpital juste à côté de lui se trouve Morgan Freeman, qui n'a plus que six mois à vivre aussi, après une longue vie de labeur et de pauvreté.
Jack se dit que fuck it, quitte à mourir, autant le faire pour de vrai, alors ils se font une liste des choses qu'ils n'ont pas faites et qu'ils aimeraient faire avant de mourir, et ils se lancent à l'aventure.
 
Je n'avais pas vu de films de Rob Reiner récents, je ne savais pas ce que ça valait. Eh bien, c'est très correct. J'ai versé une petite larme à la fin. Les deux acteurs principaux sont évidemment excellents, le film délivre quelques beaux messages (même si assez convenus bien sûr), et quelques belles scènes. Un feel good movie qui ne prend pas beaucoup de risques mais qui fait tout bien du début à la fin, c'est tout de même à noter.  
 
Cinq pièces faciles (1970) de Rob Rafelson (Five easy pieces).
 
Jack Nicholson est un ancien pianiste talentueux qui a renoncé à sa vie d'avant pour devenir un ouvrier de chantier classique, qui mène une vie classique avec une femme qu'il n'aime pas particulièrement. Ils vont au bowling, ils boivent des bières avec leurs amis, mais il n'est pas vraiment épanoui ni même heureux. Lorsqu'il apprend que son père est très malade, et qu'il va probablement mourir, il décide de retourner dans sa famille une dernière fois.
 
Un film très "nouvel hollywood" : la structure narrative est floue, parfois décousue, et des scènes qui semblent ne jamais faire avancer l'histoire s'enchaînent. Je trouve que l'ensemble fonctionne cependant très bien, il y a une partie road movie au milieu qui est vraiment étrange, parsemée de rencontres et de moments hors du temps, mais qui se regarde très bien. Le dernier tiers, quand Jack retrouve sa famille, est encore plus bizarre. Les personnages sont très marquants, très 70's (notamment sur le rapport au sexe), et le film n'a toujours pas de réel enjeu. Le seul enjeu, que le spectateur doit se construire lui-même, est juste "est-ce qu'il va se réconcilier avec sa famille et/ou sa femme ?", mais le film ne le formule jamais.
J'ai passé un bon moment devant, même si ce n'est pas gai du tout comme film. L'un des premiers films de ma liste où Jack Nicholson est entouré de gens mais se sent complètement déconnecté (il y en aura d'autres). L'un des premiers films également où Jack Nicholson est imbuvable avec sa meuf.
 
Crossing Guard (1995) de Sean Penn (The Crossing Guard).
 
Jack Nicholson ne s'est jamais remis de la mort de sa fille, six ans auparavant. Son incapacité à tourner la page lui a même coûté son mariage. Cependant, il a une idée en tête, qui ne le quitte pas : la sortie de prison imminente de John, l'homme qui conduisait la voiture qui a écrasé sa fille...
 
Du beau monde au casting de ce petit polar sans prétention : Angelica Huston joue son ex-femme, David Morse le chauffard qui sort de prison, Piper Laurie la mère de David Morse, et il y a également Robin Wright. Tous sont très bons évidemment, et portent un film somme toute assez classique.
Cependant, cette histoire de vengeance se suit très bien, puisque le film a l'intelligence de nous montrer comment le personnage joué par David Morse, John Booth, ne s'est lui-même jamais remis de son erreur qui a causé la mort de la petite fille. Il ne tient plus à la vie, au point d'être prêt à laisser Jack Nicholson le tuer dans un premier temps. En tout cas, il hésite sur sa place dans ce monde, il n'est pas sûr d'avoir encore le droit de vivre, et j'ai trouvé tout cet arc plutôt fin. On n'est pas dans le cliché de l'alcoolique sans remords ou quoi.
 
Je précise que Jack Nicholson est imbuvable avec son ex-femme dans ce film, pour continuer sur sa lancée. Mais son personnage est bien écrit, cohérent de bout en bout.
 
Monsieur Schmitt (2002) d'Alexander Payne (About Schmitt).
 
Jack Nicholson part à la retraite. Tandis qu'il commence à envisager difficilement la vie sans son travail, il trouve un peu de sens dans le parrainage d'un enfant en Afrique, en envoyant des dons et des lettres. Cependant, sa femme décède sans prévenir, et il se retrouve tout seul, sans le moindre sens à donner à sa vie. Il part alors dans un road trip pour aller rejoindre sa fille sur le point de se marier.
 
WTF. Qu'est-ce que quoi ?
Alors. C'est honnêtement très sympa. Mais qu'est-ce que c'est chelou. Jack Nicholson passe TOUT le film à faire des trucs chelous. Son personnage est complètement déconnecté de tout, on ne nous dit jamais s'il a des troubles ou pas, mais il fait quand même quelques trucs bien WTF.
J'ai trouvé la première partie un peu plate, mais par contre la deuxième est excellente : il finit par rejoindre sa fille pour l'aider dans son mariage. SAUF QUE :
Sa fille va se marier avec un gros blaireau vendeur de waterbeds, sur le point de se lancer dans un système pyramidal foireux, dont tous les membres de la famille sont tarés. Sa mère, jouée par Kathy Bates, est une nymphomane ancienne hippie qui vit avec son ancien mari mais passe son temps à le bolosser. Le frère est un gros nerd presque mutique qui ne sort pas de sa chambre malgré ses 30 ans.  
Schmitt (Nicholson) est en permanence sur le point de devenir dingue, puisque sa fille ne l'écoute pas et veut absolument se marier (malgré qu'elle passe son temps à s'engueuler avec le gros blaireau vendeur de lits), il se bloque le dos en dormant dans le waterbed et sa fille l'engueule parce qu'il a fait exprès pour ne pas l'aider dans le mariage, Kathy Bates se fout à poil dans le jacuzzi, et j'en passe.
J'ai vraiment aimé tout cet arc complètement dingue, surtout que l'ensemble est traité de façon hyper sérieuse, sans effets comiques autres que le décalage entre Nicholson et les autres.  
Même la conclusion est cheloue.
 
C'était très bien.  
 
La suite plus tard !

et monsieur Certain après monsieur Schmitt ?

Putain sérieux, vous êtes pas fatigués de rabâcher les mêmes conneries anti-woke dignes du pire des trumpistes à longueur de temps ?

Surtout pour répondre à un message second degré...