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  "The Blues" : 7 films sur l'histoire du blues...

 


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"The Blues" : 7 films sur l'histoire du blues...

n°1981173
cocorezo
Baaaaaaaaaaahhhh
Posté le 04-02-2004 à 11:54:50  profilanswer
 

Sept films pour célébrer le blues
Site officiel : http://www.bacfilms.com/presse/blues/
 
1er volet : The soul of a man sortie le 14 janvier
 
http://a69.e.akamai.net/7/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/16/01/18369729.jpg
 

Citation :

The Soul of a man est le premier film d'une série de sept intitulé "LE BLUES" lancée à l'occasion de l'année du blues, manifestation organisée par le Congrès américain. Ce projet initié par Martin Scorsese, Paul G. Allen et les producteurs Jody Patton et Ulrich Felsberg rassemble sept cinéastes unis par une passion commune pour le blues, chacun ayant décidé de livrer une vision personnelle de ce courant musical. Mis à part le documentaire de Wim Wenders, cette série propose des films de Martin Scorsese, Clint Eastwood, Mike Figgis, Charles Burnett, Marc Levin et Richard Pearce. Le 7 février 2003, un concert a également été enregistré au Radio City Hall de New York par de fameux bluesmen. Filmé par Antoine Fuqua et produit par Martin Scorsese, ce concert-documentaire devrait être diffusé dans le monde entier en 2004.

 
 
 
 
2ème volet : La route de Memphis : sortie le 25 février
 
http://a69.e.akamai.net/7/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/35/18/63/18370434.jpg
 

Citation :

chard Pearce retrace l'odyssée musicale de la légende du blues man B.B. King et rend hommage à la ville qui a donné naissance à un nouveau style de blues. Le film présente également des performances originales de Bobby Rush, Rosco Gordon et Ike Turner, et des images d'archives de Howlin' Wolf et Rufus Thomas.


Message édité par cocorezo le 02-03-2004 à 12:16:27
mood
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Posté le 04-02-2004 à 11:54:50  profilanswer
 

n°2023844
virtual_fr​ancky
Posté le 10-02-2004 à 17:03:12  profilanswer
 

j'ai vu le premier " The soul of a man" et j'ai bien aimé, j'ai hate de voir le second surtout que c'est sur la vie de BB king :)
 
Vivement le reste.

n°2023850
cocorezo
Baaaaaaaaaaahhhh
Posté le 10-02-2004 à 17:03:56  profilanswer
 

j'ai pas encore été voir le premeir. Faut que je me presse, il restera pas lontemps à l'affiche....

n°2023983
pikouz
accro
Posté le 10-02-2004 à 17:22:47  profilanswer
 

C'est un peu la mode des films documentaires qui reviennent sur des courants musicaux un peu oubliés: Motown, qui est vraiment super, oly the strong survive, plutot pas mal et the soul of a man, premier volet de ce projet de films sur le blues et qui est pas mal du tout.

n°2024291
virtual_fr​ancky
Posté le 10-02-2004 à 17:56:04  profilanswer
 

ce qui est interessant c d'entendre les enregistrements originaux des 3 blues men dont on relate l'histoire dans le film, de plus les chansons sont enchainées avec des enregistrements d'artiste actuelle qui revisite le répertoire de ses chanteurs. La reconstition de leur vie est bien filmé avec des documents de fiction retratité en noir et blanc pour donner du grain à l'image et des documents originaux d'époque.
Vraiment très sympas et à voir ;)

n°2024341
Kiriou
Vicious...
Posté le 10-02-2004 à 18:01:30  profilanswer
 

virtual_francky a écrit :

j'ai vu le premier " The soul of a man" et j'ai bien aimé, j'ai hate de voir le second surtout que c'est sur la vie de BB king :)
 
Vivement le reste.


 
Je n'ai vu que la bande annonce, mais je fus très surpris de voir une référence à Sam & Dave dont on parle trop peu.
 
Je l'ai adore après les avoir découvert par hasard (dans un épisode du prince de belair, c'est pour dire  :sarcastic: ). Depuis leur album "Soul Kings" ne sort que rarement de ma playlist mensuel :jap:


Message édité par Kiriou le 10-02-2004 à 18:02:05

---------------
Si tout fonctionne correctement, c'est que vous n'avez manifestement pas remarqué quelque chose.
n°2027000
rogr
Posté le 11-02-2004 à 01:06:15  profilanswer
 

je retrouve plus le topic où j'avais mis ça donc je recolle là.
(films vus à Venise en septembre - ouais je sais [:itm] - ceux de Wenders et de Eastwood n'y étaient pas)
 
*****
 
 
Hors compétition :
 
Feel Like Going Home (Martin Scorcese, 2003, 83mn)
Red, White & Blues (Mike Figgis, 2002, 87mn)
Godfathers and Sons (Marc Levin, 2002, 96mn)
The Road to Memphis (Richard Pierce, 2002, 89mn)

Quatres films sur le blues, produits par Scorcese, qui est aussi l'initiateur du projet ("The Blues" ).  
 
Feel Like Going Home (Martin Scorcese, 2003, 83mn)
On distingue deux parties dans ce film.  
La première est une sorte d'historique du blues "ancien" (années 20 et 30). Le problème avec le blues des origines est que à part les enregistrements, nombreux, les documents autres sont la plupart du temps inexistants. Pour tel artiste génial on doit souvent se contenter d'une seule photographie. Et évidemment disposer d'un document filmé est absolument rarissime. Scorcese a pour contourner la difficulté adopté un double dispositif. D'une part les enregistrements effectués par Alan Lomax pour la Bibliothèque du Congrès, à partir des années 30, avec un studio mobile, ce qui a permis de découvrir dans les campagnes de nombreux bluesmens jusque là inconnus. A ces enregistrements s'ajoute une documentation écrite détaillant beaucoup de choses sur les scéances d'enregistrement et sur les artistes eux-mêmes. Le problème avec ces enregistrements est qu'ils ont donné une sorte de célébrité à des artistes qui étaient finalement assez mineurs (l'exemple le plus flagrant est celui du dénommé Leadbelly), mais au moins on trouve pour ceux-là quelques documents filmés. Les bluesmens vraiment géniaux, qui étaient déjà "connus" et avaient déjà enregistré par ailleurs, ne font pas du tout partie de cette "écurie Lomax". Mais enfin ce point de vue a le mérite d'exister, même s'il frustre les aficionados.
Deuxième dispositif : Scorcese a été dénicher le fils d'un vieux bluesmen décédé ; on voit ce fils (déjà âgé) jouer avec un pote et causer de choses et d'autres autour du blues. Rien de transcendant. Sauf qu'à un moment tout se met à fonctionner : Scorcese passe un morceau d'un des plus antiques bluesmens, Charlie Patton (enregistré bien avant que Lomax débarque), un excellent blues parlant d'une grande inondation qui a ravagé je ne sais quelle région US. Là dessus Sorcese alterne d'une part des documents filmés d'époque montrant peut-être cette même inondation, et d'autre part des commentaires du "fils" et de son pote sur le morceau lui-même, s'extasiant sur la qualité du chant et de la musique du vieux Patton. C'est véritablement le clou de cette première partie, le reste peut je pense passer aux oubliettes.
 
La deuxième partie est admirable et fait que ce film doit être vu absolument. L'objectif de cette 2ème partie est de démontrer les véritables origines du blues : la musique africaine importée par les esclaves. Scorcese montre d'abord un jeune bluesman noir-américain actuel (un bon, comme il y en a des centaines aux USA), on le voit un peu jouer avec le "fils" de la première partie. Et puis à un moment Scorcese transplante directement ce bluesman américain en Afrique, au Mali, et le fait rencontrer des musiciens africains. Il faut être peut-être un peu aficionado pour véritablement apprécier ce qui se passe, en tous cas jamais à ma connaissance la filiation musique africaine / blues n'avait été montrée d'une telle façon si vivante et lumineuse et évidente.  
D'abord on voit le bluesman américain avec un musicien africain dans un petit village. Le musicien africain lui explique que les musiques africaines (très nombreuses et différentes) sont toutes basées sur la gamme pentatonique, et il improvise pour montrer l'exemple quelques airs de son cru sur un espèce d'instrument à cordes. Le bluesman américain met quelques secondes à percuter : mais oui le blues aussi est basé sur cette gamme pentatonique, et alors sur sa guitare il improvise à son tour quelques motifs, mais là c'est du blues. On sent que ces deux musiques sont comme deux frères ou soeurs séparés depuis leur naissance et qui se retrouveraient là pour la première fois : c'est absolument lumineux et magnifique.
Ensuite le bluesman rencontre ce musicien africain albinos qui s'appelle je crois qqchose Keita. Keita joue et chante un morceau de sa composition, c'est encore une fois magnifique, c'est là davantage dans le ton et le sentiment véhiculé que l'on sent une grande parenté avec le blues. Et Keita ensuite explique de façon détaillée et sensible que lorsqu'il écoute du blues américain, il sent cela comme de la musique africaine, mais comme transplantée, comme coupée de ses origines, avec comme une souffrance justement d'une perte ou recherche d'identité je ne sais plus, peut-être de désir souterrain de retour au bercail, enfin c'est parfait.
Troisième rencontre : avec Ali Farka Touré, le pape de la musique africaine tous pays confondus. Farka Touré a un discours très profond qui rejoint celui de Keita. A un moment le bluesman américain et Farka Touré jouent en duo un blues. L'américain fait comme il fait d'habitude : c'est bien. Et lorsque Farka Touré se met à chanter, c'est du blues, mais enrichi de multiples nuances et idées toutes venues de sa musique africaine : le morceau se transforme en un chef-d'oeuvre aux multiples résonances, c'est comme un miracle.
Il faut ajouter à tout ça beaucoup de paroles sensibles sur ce qu'ont du être les souffrances des esclaves arrachés à leur pays et horriblement maltraités, et ne survivant que grâce à leur culture et en particulier leur musique.  
Ce film de Scorcese est affaibli par sa première partie assez terne, mais sa deuxième partie est un chef-d'oeuvre, construit simplement par petites touches modestes, comme prises au vol. On sort de là ravi.
 
 
Red, White & Blues (Mike Figgis, 2002, 87mn)
Ce film est une honte. J'aurais du me méfier : les couleurs indiquées dans le titre sont celles du drapeau anglais. Donc pour parler du blues, le réalisateur n'a rien trouvé de mieux que d'aller interviewer de vieux musiciens anglais... C'est n'importe quoi. On peut sauver de ce film : un document filmé rarissime (le seul à ma connaissance) du génial Big Bill Broonzy, interprétant Hey Hey Baby. Mais le réalisateur coupe ça au bout de quelques secondes alors que le document fait au moins une minute : c'est une honte un scandale, seul un dégénéré abatardi et coupé de tout a pu avoir une telle idée de fou, tout aficionado a là souffert et maudit ce réalisateur et toute sa descendance (s'il en a mais j'espère que non, il y a assez de pauvres hères égarés et ahuris sur cette planète). Autre chose à sauver : quelques moments montrant la chanteuse Koko Taylor, une rugissante qui explique que le blues ne véhicule pas forcément des choses tristes : effectivement avec elle on est pas très loin d'une incantation flamenco. Enfin on se demande comment Scorcese a pu laisser passer un tel "film", c'est totalement inepte et inintéressant et pout tout dire hors sujet.
 
 
Godfathers and Sons (Marc Levin, 2002, 96mn)
Les choses s'arrangent légèrement avec ce troisième film du cycle "The Blues". Le sujet est le blues de Chicago d'après guerre. Le réalisateur a choisi comme guide le fils du créateur de la maison de disques Chess, qui a enregistré pas mal de bluesmens (en particulier Muddy Waters), mais aussi des rockers comme Chuck Berry. Le problème est que ce fils Chess, doté d'un bagout immense, est une authentique tête à claques. Une photo de ce gars gamin ne laisse aucun doute à ce sujet : tout être humain sensé n'aurait pu que lui asséner une paire de baffes en guise d'apéritif. Le réalisateur, qui était présent lors de la projection et qui est une sorte de péteux sans envergure, s'est manifestement laissé ballader et embobiner par ce fils Chess : celui-ci est absolument omniprésent dans le film. Il y a diverses choses intéressantes ici ou là, mais enfin ce film est comme le précédent à oublier.
 
 
The Road to Memphis (Richard Pierce, 2002, 89mn)
Ce film est un chef-d'oeuvre, bien davantage qu'un simple documentaire, il surclasse même le film de Scorcese. Dès la première séquence, par la façon dont un bluesmen est pris en coulisses puis comme projeté en scène, en particulier grâce à un montage d'un rythme et pour tout dire d'une musicalité parfaite, on sait là que l'on est en présence d'un vrai bon réalisateur, et que ce film va être un bon film. Impossible de tout détailler, les musiciens sont magnifiquement choisis et magnifiquement mis en relief, à la scène comme à la ville : le film arrive à brasser son immense sujet avec une inspiration et une dynamique qui ne se relâchent pas un seul instant. Le sujet est le blues de Memphis d'après guerre, avec comme figure centrale B.B. King ; mais bien sûr c'est le blues en son entier qui est dans ce film magnifiquement illustré, et au delà tout ce qui touche au métier de musicien un peu itinérant. Nul doute que ce film sortira en salles : à ne pas manquer.
 
 
*****
 
vala c'était en septembre y faisait beau et ct encore les vacances :fou:

n°2027244
pikouz
accro
Posté le 11-02-2004 à 01:43:09  profilanswer
 

kiriou a écrit :


 
Je n'ai vu que la bande annonce, mais je fus très surpris de voir une référence à Sam & Dave dont on parle trop peu.
 
Je l'ai adore après les avoir découvert par hasard (dans un épisode du prince de belair, c'est pour dire  :sarcastic: ). Depuis leur album "Soul Kings" ne sort que rarement de ma playlist mensuel :jap:


 
ben jsutement non, c'est pas dans soul of a man, mais dans only the strong survive (cf. mon post precedant) que ça cause de Sam & Dave. D'ailleurs, Dave fait une performance à couper le souffle à un moment (concert hommage à Isaac hayes). Ca m'a laissé bouche bée et poils hérissés  :pt1cable:

n°2027282
pikouz
accro
Posté le 11-02-2004 à 01:48:34  profilanswer
 

rogr a écrit :


 
...
 
The Road to Memphis (Richard Pierce, 2002, 89mn)
Ce film est un chef-d'oeuvre, bien davantage qu'un simple documentaire, il surclasse même le film de Scorcese. Dès la première séquence, par la façon dont un bluesmen est pris en coulisses puis comme projeté en scène, en particulier grâce à un montage d'un rythme et pour tout dire d'une musicalité parfaite, on sait là que l'on est en présence d'un vrai bon réalisateur, et que ce film va être un bon film. Impossible de tout détailler, les musiciens sont magnifiquement choisis et magnifiquement mis en relief, à la scène comme à la ville : le film arrive à brasser son immense sujet avec une inspiration et une dynamique qui ne se relâchent pas un seul instant. Le sujet est le blues de Memphis d'après guerre, avec comme figure centrale B.B. King ; mais bien sûr c'est le blues en son entier qui est dans ce film magnifiquement illustré, et au delà tout ce qui touche au métier de musicien un peu itinérant. Nul doute que ce film sortira en salles : à ne pas manquer.
 
...
 


 
bluesman [:aloy] (histoire de signifier que j'ai lu tout le post avec attention :D)

n°2029625
virtual_fr​ancky
Posté le 11-02-2004 à 13:31:34  profilanswer
 

pikouz a écrit :


 
ben jsutement non, c'est pas dans soul of a man, mais dans only the strong survive (cf. mon post precedant) que ça cause de Sam & Dave. D'ailleurs, Dave fait une performance à couper le souffle à un moment (concert hommage à Isaac hayes). Ca m'a laissé bouche bée et poils hérissés  :pt1cable:  


 
Oui parceque je me disais bien que j'avais pas vu ca dans "The soul of a man" , par contre j'y ai connu JB Lenoir que je ne connaissais pas du tout et qui m'a bien plu ( aussi bien le personnage que ca musique ) . Pour les 2 premiers bluesmen ( Willy Blind et Skip James ) je connaissais certaines de leurs chansons sans savoir que c'était d'eux. C vraiment la que l'on se rencontre que la musique moderne puise vraiment son inspiration dans le blues ( y a qu'a voir le nombre de reprises qui ont fait un carton ).
 
Sinon comme dit plus haut j'ai hate de voir le deux sur B.B king que j'affectionne particulièrement.

mood
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Posté le 11-02-2004 à 13:31:34  profilanswer
 

n°2029645
Fendnts
My fading voice sings of love
Posté le 11-02-2004 à 13:34:34  profilanswer
 

y'en a pas un sur robert johnson ? :??:


---------------
(un posteur anonyme m'a renseigné là dessus tout à l'heure)
n°2030672
pikouz
accro
Posté le 11-02-2004 à 15:23:26  profilanswer
 

virtual_francky a écrit :


 
Oui parceque je me disais bien que j'avais pas vu ca dans "The soul of a man" , par contre j'y ai connu JB Lenoir que je ne connaissais pas du tout et qui m'a bien plu ( aussi bien le personnage que ca musique ) . Pour les 2 premiers bluesmen ( Willy Blind et Skip James ) je connaissais certaines de leurs chansons sans savoir que c'était d'eux. C vraiment la que l'on se rencontre que la musique moderne puise vraiment son inspiration dans le blues ( y a qu'a voir le nombre de reprises qui ont fait un carton ).
 
Sinon comme dit plus haut j'ai hate de voir le deux sur B.B king que j'affectionne particulièrement.


 
Meme impression sur JB Lenoir. Un gars en avance sur son temps, assuremment. Et c'est vrai que le blues a influencé énormément des courants "actuels", aussi bien pop que plus pointus.

n°2032280
virtual_fr​ancky
Posté le 11-02-2004 à 18:30:43  profilanswer
 

fendnts a écrit :

y'en a pas un sur robert johnson ? :??:


 
Et non malheuresement, mais y a deja eu des films sur ca vie donc c peut être pour ca .
 

n°2032358
Fendnts
My fading voice sings of love
Posté le 11-02-2004 à 18:43:03  profilanswer
 

virtual_francky a écrit :


 
Et non malheuresement, mais y a deja eu des films sur ca vie donc c peut être pour ca .
 
 


 
des p'tits docus ridicule, mais pas de trucs bien comme the soul of a man


---------------
(un posteur anonyme m'a renseigné là dessus tout à l'heure)
n°2168926
cocorezo
Baaaaaaaaaaahhhh
Posté le 02-03-2004 à 09:46:44  profilanswer
 

Je suis allé voir soul of a man hier. Excellent documentaire ! J'ai bcp aimé la présentation de la vie de Skip James et JB Lenoir.
Le seul truc qui m'a un peu dérangé, c'est en fait l'attitude de certains contemporains qui reprenaient leurs titres : J'avais l'impression qu'ils se la pétaient, alors que les premiers bluesman étaint simples et humbles...
 
Enfin voila, très bonne entrée en matière pour la série :jap:

n°2169141
cocorezo
Baaaaaaaaaaahhhh
Posté le 02-03-2004 à 10:36:13  profilanswer
 

J'y comprends rien dans les Bandes originales de la série de ces films.
Visiblement, y'a un coffret 5CD à paraitre  qui s'appelle "The Blues" et y'a en plus des bandes originales pour chaque film... Mais ce sont pas les mêmes chansons, ou bien pas les mêmes interprètes...
Je sais pas koi acheter, au bout du compte... :/

n°2169718
rogr
Posté le 02-03-2004 à 11:49:13  profilanswer
 

Cocorezo a écrit :

Je suis allé voir soul of a man hier. Excellent documentaire ! J'ai bcp aimé la présentation de la vie de Skip James et JB Lenoir.
Le seul truc qui m'a un peu dérangé, c'est en fait l'attitude de certains contemporains qui reprenaient leurs titres : J'avais l'impression qu'ils se la pétaient, alors que les premiers bluesman étaint simples et humbles...
 
Enfin voila, très bonne entrée en matière pour la série :jap:

c'est surtout qu'ils étaient nuls et à côté de la plaque, y'a que la chanteuse blonde et Lou Reed qui s'en tiraient, les autres c'était tout bonnement scandaleux et infâmant de les mettre là, mais bon le pauvre Wenders ça fait un bout de temps qu'il faut pas trop lui en demander, qu'il ait fait ce film tel quel c'est déjà presque un miracle...

n°2169747
rogr
Posté le 02-03-2004 à 11:52:17  profilanswer
 

Cocorezo a écrit :

J'y comprends rien dans les Bandes originales de la série de ces films.
Visiblement, y'a un coffret 5CD à paraitre  qui s'appelle "The Blues" et y'a en plus des bandes originales pour chaque film... Mais ce sont pas les mêmes chansons, ou bien pas les mêmes interprètes...
Je sais pas koi acheter, au bout du compte... :/

achète les vrais et vieux disques de Skip James et JB Lenoir, qu'on doit pouvoir trouver dans des éditions pas chères, et oublie les cd en rapport avec le film qu'il va falloir banquer, en plus si faut se taper dans le paquet les reprises des ahuris de maintenant faut quand même pas pousser...

n°2169759
cocorezo
Baaaaaaaaaaahhhh
Posté le 02-03-2004 à 11:53:32  profilanswer
 

rogr a écrit :

achète les vrais et vieux disques de Skip James et JB Lenoir, qu'on doit pouvoir trouver dans des éditions pas chères, et oublie les cd en rapport avec le film qu'il va falloir banquer, en plus si faut se taper dans le paquet les reprises des ahuris de maintenant faut quand même pas pousser...

J'ai déjà des anciennes éditions De ces bluesmen.
Et puis la BO de soul of a man est à 8?99.... alors....  [:mr marron derriere]


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