Bonjour, et bien je crois que tout est dans le titre. J'ai déjà fait lire mon début de roman à plusieurs personne les critiques sont assez positive mais pas très précise. Donc si vous-pouviez me donner quelques conseils ou votres avis, ou même ce que vous pensez de l'histoire, cela m'aiderai beaucoup.
Les quatres continents d'Araud :
Prologue :
Il y a de nombreuses décennies, les hommes et les elfes s'entre-tuaient dans une guerre sanglante. Les elfes furent ceux qui déclenchèrent cette terrible guerre afin de contrer les ambitions des hommes.
La plupart des hommes ignorent l'existence des elfes et d'autres créatures fantastiques, et ceux qui en avait entendu parler disaient que ce n'étaient que des contes pour enfants. Seuls les hommes qui risquaient leur vie sur le champ de bataille pouvaient comprendre l'enjeu de la victoire.
Une antique légende racontait qu'une Porte existait entre le monde des vivants et celui des morts. Cette porte fût l'objet de nombreuses missions de reconnaissance elfes, aussi bien physiques que magiques. Finalement, ils trouvèrent la porte dans une plaine verdoyante. Mais peu après, les hommes découvrirent eux aussi la porte, avec l'aide du créateur de la porte, qui n'est personne d'autre que le légendaire Merlin. Lorsqu'ils arrivèrent, les elfes avaient déjà ouvert la porte. Une bataille éclata sur ces plaines qui devinrent vite couleur sang.
Mais cette bataille fut interminable. la Porte étant ouverte, les morts revenaient pour se battre à nouveau. Bientot, toutes sortes de créatures rejoignirent la bataille: des dragons, des centaures, pourtant pacifiques, et même les terribles Duergars. Ces derniers sont des alfs noirs d'une cruauté sans limite. Ils prenaient plaisir à blesser mortellement leur adversaire, les laissant mourir dans d'abominables souffrances. Ils attaquent par surprise, toujours en surnombre sur une malheureuse proie isolé. Ces monstres sont extrêmement dangereux en groupe, étant armés de torches et de gourdins, parfois de haches. Il est vivement conseillé d'éviter de camper près d'un village Duergar, particulièrement les nuits de pleine lune, moments de guerre inter-tribus. Devant cette qui n'en finissait plus, le Conseil des hommes et celui des Elfes se réunirent. La Reine des Elfes était accompagnée de son général nommé Asselas et de certains nobles. La présence du général n'est guère appréciée, car il descendait du Roi des Aulnes, réputé pour être un Elfe maléfique et sanguinaire. Seule la Reine croyait en lui, les autres n'avaient que du mépris pour lui. Cependant, personne n'osait le dire devant lui, ses multiples talents à la lutte, à l'escrime ou au tir à l'arc intimidant ses adversaires. Une elfe puissante faisait également partie des nobles. Elle était donc logiquement présente. Elle se nommait Elerïnna. Du côté des hommes, le roi ainsi que ses ministres et quelques nobles étaient-la. J’en faisais partie. A l’issue du conseil, ils tombèrent d’accord de fermer la porte et de cesser cette guerre. Les deux souverains réunirent alors les plus grands sorciers de leur temps, la porte fut scellée par la magie. Seuls ceux qui ont un extraordinaire potentiel tel que tous ceux qui ont fermé la porte peuvent la contrôler. Asselas était totalement contre la décision du conseil et il a menacé de quitter son poste de général. A vrai dire, les membres du conseil s’en fichaient totalement, la reine ne l’a pas cru. La porte fut donc fermée un 24 juin, jour de la Saint-Jean Batiste. C’est le seul jour en magie ou l’ont ne récolte pas ce que l’on sème. Asselas, le général de la reine fut déchu de ses fonctions car il essaya sans succès de rouvrir la porte et de déclarer à nouveau la guerre aux hommes.
Depuis quatre années, il réunit maintenant des elfes et des duergar ainsi que d’autres créatures maléfiques pour exterminer la race humaine . . .
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Pour combattre les elfes déchus et les démons, la cour des Hommes et celle des Elfes décidèrent de construire une école de magie, l’école d’Isgard. Cette école est en plus d’une école de magie principalement une école militaire, les élèves apprennent à se défendre contre Asselas et si possible une fois leur année terminée de rejoindre ce qui pourrait être une armée : l’armé d’opposition à Asselas. Le titre de directeur de l’école ne pouvant être remis ni à un Humain ni à un Elfes à cause du diffèrent de ceux-ci fut attribué au seigneur Eranor. En effet, ce puissant sorcier ayant participé à la fermeture de la porte est né d’une maléfique sorcière Elfe et d’un grand mage humain à 127 ans. Cependant, il est encore très vif grâce au fait qu’il soit à demi elfes. Son âge lui permet une grande expérience. Eranor est doté du don de déplacer les objets par l’esprit. Il est accompagné par son corbeau Serre-Vent qui surveille les élèves du haut des toits de l’école. Eranor porte toujours sur lui son chapeau noir de sorcier avec trois plumes : deux vertes et une rouge. Les plumes vertes représentant l’assurance, le printemps ainsi que la justice et même l’espérance. La plume rouge quant à elle, elle symbolise la force, la puissance, le pouvoir et l’éclat. Il garde également sur lui son médaillon pouvant contrer les sortilèges. Il est souvent habillé de gris avec une cape noire sur le dos. Il s’occupe de nombreuse chose : un homme normal ne pourrait pas suivre mais voila Eranor était tout sauf normal et heureusement pour nous. Directeur de l’école, professeur enseignant deux matières, conseiller des elfes des bois et directeur du grand conseil.
Il est aidé pour l’organisation de l’école par Dame Celerina, une elfe de 365 ans très jeune et d’une rare beauté pouvant communiquer avec les esprits des autres et étant toujours avec son hermine blanche. Elle est blonde magnifique et puissante. Souvent habillé de robe blanche et bleue. Le seigneur Larlas, un homme de 21 ans : moi. Pouvant contrôler le temps qu’il fait et toujours suivi de mon loup Armoise. J’ai les yeux et cheveux marron un bouc et je suis souvent habillé en orange. Maintenant seul les trois professeurs principaux, Dame Elerïnna, le Seigneur Larlas et le Seigneur Eranor connaissent l’emplacement caché de la porte se trouvant dans le Château de l’école. Le château d’Isgard est construit au cœur d’une forêt encore occupée par des elfes des bois avec à l’arrière de l’école une rivière prenant sa source non loin. Ces elfes se sont alliés avec les professeurs de l’école pour empêcher Asselas de contrôler la porte et continuer la guerre contre les Hommes et contre ces anciens amis les elfes commandés par la reine. Seul moi, Elerïnna, Eranor, le roi des hommes et la reine des elfes peuvent ouvrirent la porte mais si l’un de nous se fait tué la personne ayant commis le meurtre récupère le pouvoir du défunt et peut donc ouvrir la porte à sa place. Mais le don d’ouverture de la porte se transmet par le sang, les enfants de ceux qui peuvent l’ouvrir le pourront eux aussi. Celui qui contrôle la porte contrôle la mort.
1/ Début des cours :
La rentrée se passe bien pour l’instant, je l’appréhendais un peu. Elle se déroule le jour de la Saint-Jean de Capistran autrement dit le 23 octobre. Le directeur de l’école du Phénix, Le seigneur Eranor attendait les élèves sur l’escalier donnant sur la porte principale du château. Devant lui s’étendait le parc avec le chemin de pierre passant au milieu de cet énorme terrain, le traversant jusqu’au portail de l’entrée. Dans le parc, il y avait en plus des bancs pour la détente des élèves, l’écurie servant aussi d’armurerie, et un grand potager qui servait à fournir les plantes utilisées dans les cours de potions et aussi qui fournissait les légumes et fruits des repas. Des sortilèges de défense entouraient le potager car certains élèves risqueraient de vouloir récolté, enfin mieux vos prévoir. Le portail de l’entrer était tout à fait ordinaire bien qu’imposant. Une chose seulement pouvait le différencier des autres portails de ce genre, les mots Ecole de Magie du Continent d’Isgard étaient gravés en son centre.
Je tien à précisé que cette école de magie est la seul sur ce continent. Elle est d’ailleurs la seul de tous les continents.
Le seigneur Eranor était quelqu’un de très sympathique mais qu’il ne fallait pas pousser à bout. Il est aimé des professeurs, des mages, des elfes et de pleins d’autres créatures. C’est une chance de l’avoir pour directeur.
Sur l’escalier ou il était dressé, il y avait à sa droite la future directrice de la classe de la Licorne, Dame Elerïnna et sa gauche, moi, le futur directeur de la classe de la Salamandre.
Derrière nous, se trouvé quelques autres professeurs : Roxane qui est une femme tellement belle que je serais près a tout pour elle, Sollen un mage très puissant, Lulina une elfe tirant très bien à l’arc ainsi que Dawkan le professeur infirmier de l’école.
Je l’avoue comme tout professeur qui fait sa rentrée dans une nouvelle école déjà si prestigieuse avec dès le départ de hautes responsabilités, j’étais légèrement inquiet. Pour cette année, 168 élèves étaient tout de même présents. Les professeurs et moi-même conduisîmes les élèves dans la salle du sablier nommée en général l’entrée. Comme son nom l’indique, un énorme sablier est posé au centre de la pièce sur un superbe socle. Ce sablier prend une journée entière pour s’écouler. Le sol de la salle composé de magnifiques carreaux de marbre blanc, vert et noir disposer en forme d’arcs de cercle s’arrêtant en dessous d’un double escalier ayant justement la même forme que la disposition des carreaux. En dessous de cet escalier, une énorme porte en chêne menait à la salle de théâtre où le directeur présenta l’école. Il expliqua que les élèves seraient divisés en trois classes selon leur caractère, leur comportement et d’autres critères comme leurs nombres d’arithmancie.
La première classe celle de la Licorne serait dirigée par le professeur Elerïnna enseignant la divination, la magie ainsi que parfois l’équitation, étant une professionnelle en la matière. Cette classe comprendrait les élèves ayant une grande ouverture d’esprit, et tournés vers la nature. La classe du Caladre qui est un oiseau blanc dit grand guérisseur, serait dirigée par le Seigneur Eranor : le directeur qui s’occupant des cours de sorcellerie et de l’étude des créatures fantastiques. Cette classe comprendrait donc les élèves s’intéressant à l’étude des magiciens et aux sorts. La troisième classe serait celle de la Salamandre, comprenant les élèves s’intéressant plutôt au côté scientifique du fantastique, comme les cours de potion et de mythologie que j’enseigne.
Je m’occupe également de temps en temps de l’infirmerie de l’école grâce à mes connaissances en potions et sur les plantes.
Avec les autres professeurs, nous avons visité avec les élèves les différentes salles du château pour qu’ils puissent se repérer plus facilement. Bien sur, il est interdis aux élèves de pénétrer à l’étage réservé aux professeurs ainsi qu’au bureau du directeur. Sauf pour les heures de colle ou s’ils doivent aller voir un professeur : ils peuvent alors ou doivent alors y aller. Nous leur avons aussi parlé de ce qu’ils vont apprendre durant l’année, comme une sorte de sommaire des matières. En magie, le premier trimestre portera sur les objets magiques. Comment s’en servir, comment s’en protégé, et quels sont-ils ? Pour ce qui concerne la sorcellerie, les élèves commenceront par étudier des contes de sorciers et leurs significations, ainsi que des sorciers célèbres tels que Merlin. Ou même encore la façon de lancer de simples sortilèges, des carrés magiques ainsi que certains moyens de se défendre. En étude des créatures fantastiques, les élèves commenceront par des créatures communes et connues tels que les dragons, les griffons ou même les sphinx.
Pour la divination, Dame Elerïnna leur expliqua bien que très peu d’entre eux comprendront cette matière. A vrai dire moi-même je ne la comprends pas. Beaucoup pourront voir des signes mais rien de bien précis. Ils commenceront par des branches simples de la voyance ; La bibliomancie qui est l’un des arts de la divination les plus simples à maîtriser, la tacéomencie, …
Dans mes cours pour la mythologie, nous commencerons par voir les croyances des scandinaves et les liens de ces croyances par rapport à la magie. Effectivement certains faits comme des éruptions où même des tornades sont quelque fois dues à un sorcier puissant en colère. Pour terminer dans les potions, les élèves apprendront à reconnaître les plantes et les mixtures simples et à en faire eux-mêmes.
Les élèves ne sont pas encore répartis dans les classes. Ils y seront établis le soir de la Nuit de toutes les ombres par les trois directeurs principaux. C’est aussi la qu’ils commenceront véritablement les cours car leur emploi du temps et le contenu des leçons seront différent selon la classe dans laquelle ils seront affectés.
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Les élèves rentrèrent en classe et se placèrent à leur place habituelle :
« Asseyez-vous ». Mes paroles furent suivit de grincement de chaise qui se fut tout de même bref car les élèves adorent les cours et veulent apprendre le plus de choses possibles.
« Mr Larlas, Ce n’est pas Elerïnna qui nous donne cours aujourd’hui ? » dit avec regret une élève s’appelant Nassia, une élève elfe de grand talent.
« Votre directrice est très prise. Elle a une réunion avec les elfes des bois ce matin et vu que je n’avais pas de cours à donner, je la remplace. Bon et bien je pense que nous allons voir les objets magiques. Il y a un conte intéressant qui parle justement sur une boite en bois je pense que vous allez l’apprécier :
Il était une fois une jeune fille, princesse d’un grand royaume. Son père, le roi de ce royaume se faisait vieux. Il décida donc de convier les jeunes hommes du territoire au château, pour marier sa seule enfant. Il fit afficher sur toutes les portes des maisons ce message : « Ce soir, grand bal au château, tous les hommes à marier sont conviés. Celui qui donnera le plus beau cadeau à ma fille pourra l’épouser. »
Le soir même, tout le royaume était au château. La fille qui n’était pas au courant de la manigance de son père croyait assister à un simple bal. Quand le soleil fut couché, le père demanda à sa fille de s’asseoir sur son trône. Le roi lui demanda de choisir un seul cadeau parmi tous ceux qui lui seront présentés.
Les hommes du royaume s’avançaient devant la princesse et après une révérence bien basse, ils présentèrent leurs cadeaux. La plupart apportaient des pièces d’or, certain des bijoux et d’autres de somptueuses fourrures. Tous les hommes du royaume s’étaient présentés devant la princesse sauf un. Il s’avança, fit sa révérence et se redressa. C’était un homme assez vieux, bossu, portant une barbe grise et un chapeau de paille. Il était laid et semblait malade. Il tendit son présent à la princesse : « Voici une boite en bois, mais elle n’est pas ordinaire. A chaque fois que l’on ouvre cette boite, la chose que l’on désire le plus se trouvera à l’intérieur. »
L’homme se retourna et alla rejoindre les autres. Le roi pris la parole : « Voici ma fille tous ces présents, tu peus en choisir un. Cette dernière se leva de son trône et dit sans hésiter : « Je veux la boite en bois » ignorant que l’homme offrant le cadeau deviendrait son mari. Le vieillard s’avança et tendit la boite à la princesse. Elle l’ouvrit et y trouva à l’intérieur une magnifique parure d’argent, et des pierres précieuses. Elle la referma puis la rouvrit, elle en tira une robe en soie somptueuse faite de fils d’or. « Es-tu sûre que tu désires garder cette boite ma fille ? »
« Oui » s’enthousiasma-t-elle
Le roi lui annonça enfin la raison de ce bal.
« Mon enfant puisque c’est ainsi, tu épouseras l’homme qui ta offert cette boite. »
La princesse stupéfaite regarda l’homme ; elle le trouvait encore plus laid et repoussant que la première fois.
« Qu’on les marient sur-le-champs » A ce moment là la princesse ouvrit la boite ! Elle tomba : c’était la mort qui l’avait fauchée. »
Après quelque instant de silence, les élèves comprenant que le compte finissait ici, l’un d’eu pris la parole :
« Mr cette histoire c’est vraiment passé ? »
« Bien entendu, la boite en bois se trouve d’ailleurs dans l’école ». Quelques élèves levèrent la main. Je rajoutai alors que je ne dirais pas ou elle était plus exactement. Les élèves eurent un regard déçu, tous ceux qui avaient la main en l’air la baissèrent.
« Vous n’avez pas d’autres questions ? »
« Seigneur pouvez-vous nous dire quelle est la fonction de l’amulette que le directeur garde toujours sur lui ? » dit un élève nommé Mhitas.
« Ah ! Une question intéressante. Même si cela n’a pas un rapport direct avec l’histoire. En fait, l’amulette que porte Eranor à le pouvoir de contré les malédictions qui lui sont lancé en les absorbants pour fournir de l’énergie à son porteur ce qui est très utile ! ». Ceci n’était pas une question mais l’étudiant qui avait posé la question répondit tout de même :
« Je ne suis pas d’accord avec vous ! »
« Ce n’est d’ailleurs pas la première fois. Expliques-toi. »
« Les malédictions font partie de la magie noire. Ils peuvent donc en se faisant absorber détruire notre magie si elle est positive. »
« Mais heureusement pour nous, ceux qui fabrique les amulettes comme toi y avaient pensé. Cela ne peut pas arriver. La magie noire est convertie en magie positive dès son entrer dans l’amulette. »
« Encore une fois, je ne suis pas d’accord avec vous. »
La cloche de l’école sonna.
« Le temps passe si vite, vous ferez pour demain un résumé sur la puissance des objets magiques et leurs différentes catégories. Je vous rappelle également que la répartition dans les classes aura lieu dans quatre jours et qu’il y aura des tests à passer. Révisez bien et bonne journée! ». Le grincement des chaises recommença et un brouhaha de discussion se fit entendre.
« Mhitas reste la s’il te plait »
Les élèves sortirent au fur et à mesure de la classe jusqu'à qu’il ne reste plus que moi, mon loup et l’élève à qui je venais de parler à l’instant.
« Oui Mr ? »
« Il faudrait que tu arrêtes de me contredire sans arrêt. Je sais quand même ce que je dis. Je suis un professeur, donc bien qu’il ne soit pas exclu, je ne me trompe pas souvent. »
« C’est ce que je dois arrêter de faire ? »
« C’est ce que je te conseille. Arrête de contredire tout le monde comme moi et le directeur que tu as été voir pour « lui dire deux mots sur son incompétence. » Tu risques de te faire renvoyer.
« Je suis désolé. » répondit-il en se retournant tristement pour sortir.
En voyant cela je lui dis que ce n’était en aucun cas une réprimande. L’élève reprit alors un faible sourire, il s’inclina légèrement et sorti pour ne pas être en retard au cours suivant.
J’attendis un peu puis je remarquais que mon loup me regardé d’un air de reproche. Je me mis à le caresser et lui dis que certes j’avais était dur mais que cet enfant finirait par comprendre que j’ai eu raison d’agir ainsi. Je finis par me levé, il valait mieux que j’aille manger car tôt dans l’après-midi nous devions emmener les élèves faire une balade en forêt. Enfin de la détente.
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Le jour de la nuit des ombres autrement dit le 31 octobre, les élèves n’eurent pas cours. Les tests se déroulèrent le matin ou les élèves furent appelés un par un à se présenter devant les directeurs principaux. Nous trois moi, Dame Elerïnna et le seigneur Eranor nous réunirent donc afin de répartir cinquante-six étudiant dans chaque classe suivant les compétences que ceux-ci disposé. C’était des tests oraux et de pratique suivant les matières. En fin de matinée une fois tous les élèves passer nous avons décidé de leur répartition en mangeant puis dans l’après-midi nous avons divisé ces classes en deux groupes suivant le niveau des élèves. Pendant ce temps les professeurs et les brownies ont préparé le repas du soir. Les brownies sont de petite créature de moins d’un mètre, recouvertes de fourrure, qui effectuent les taches ménagères en échange d’être nourri. Il déteste être payé ou même posséder des objets. Ils doivent toujours avoir des choses à faire. Sept brownies vivent dans le château.
En milieu d’après-midi nous avons réuni les élèves dans la salle des banquets ou le seigneur Eranor a annoncé la répartition des élèves et leur a donné leurs emplois du temps. La fête a débuté à la tombé de la nuit, tout le monde était masqué comme le veut la tradition. Les elfes des bois étaient eux aussi masqués, Elerinna les ont prévenues voila donc se quel avait fait pendant que je la remplaçais. Il y eut un grand repas puis un bal. La soirée s’est vraiment bien passée. Tout le monde a dansé.
Vers onze heures, les élèves et les professeurs sont allés se coucher tandis que les directeurs des classes sont restés discutés avec les elfes des bois. Ces derniers sont, comme nous, en conflit avec les elfes déchus qui n’accepte pas la race des hommes. Nous les avons logé pour la nuit dans les chambres prévues à cet effet à l’étage des professeurs. Les elfes des bois sont retournés dans la forêt bordant le château aux premières lueurs du matin. Ils avaient dû passer un très bon moment car lorsqu’ils furent partis, je les entendis chanter les chansons du bal de la veille. Les cours commencèrent vers onze heures du matin pour laisser aux élèves et aux professeurs le temps de se reposer. J’avoue que j’ai beaucoup apprécié cette décision de grâce matinée décidée par le directeur.