Bonsoir,
 
Je ne m'y connais pas du tout en littérature, et ayant chercher plus d'une heure sur Internet je n'ai rien trouvé de vraiment concret sur ces deux livres qui ont quelques dizaines d'années : 1889 et 1899.
 
1er livre:
 
Mémoires historiques sur le pays de Gévaudan et sur la ville de Mende, receuillis et dressés par le R. P L'Ouvreleul, pretre de la doctrine chrétienne, suivi de rectifications par l'abbé Pourcher, curé de Saint Martin de Boubaux, diocese de Mende. 1899. 400 pages encore fermées (jamais lu donc jamais découpé, elles sont liées).
Dommage qu'il y a autant de traces sur la couverture...
 
Aucunes infos trouvé sur le web a part qu'il est répertorié sur amazon, mais rien d'autre.
 

 
2eme livre:
 
Hitoire de la Bete du Gévaudan véritable fléau de dieu, d'apres les documents inédits et authentique, par l'abbé P Pourcher, curé de Saint Martin de Boubaux. pages liées également "jamais découpées", 1040 pages, 1889.
 
Pour celui la j'ai trouvé quelques informations, mais celui la les pages étant liées, peut cela a une valeur supplémentaire ? puis les prix me parraisent exorbitants...
 

 
Bref, pourriez vous me dire ou puis je me renseigner ou vers qui puis je me tourner pour les vendre ?
 
Merci à vous

Bonjour,
Le hasard fait bien les choses, m'intéressant à l'Abbé Pourcher, je tombe sur votre message...
je ne sais pas si vous avez reçu des réponses, je vais essayer de vous donner quelques éléments d'appréciation.
Je connais ces deux livres.
Incontestablement c'est celui qui traite de la bête qui à le plus d'intérêt.
En genéral, ces livres sont de mauvaise qualité tant pour le papier que pour l'impression, Pourcher était prètre exilé au milieu d'un territoire huguenot, il devait s'ennuyer ferme, c'est sans doute la raison de sa soudaine vocation d'imprimeur, car il imprimait ses livres lui même (c'est d'ailleurs ce coté du personnage qui m'intéresse).
Cela dit, si la qualité d'impression est mauvaise, et inégale d'un exemplaire à l'autre, la qualité du texte et sa composition sont bonnes, la mise en page également.
Le papier est souvent de médiocre qualité, peu encollé ce qui à pour effet de "pomper" l'encre, un peu comme un buvard.
Quant aux pages "non coupées", si sur un tel ouvrage cela n'apporte pas de plus-value en soi, c'est quand meme une garantie de trouver des pages en bon état puisqu'elles n'ont pas été lues.
La valeur : Impossible de vous donner un chiffre comme ça! sans voir! sans avois collationné l'ouvrage!
cependant, au moins pour la bête de Gévaudan, la valeur n'est pas anodine, Je pourrai si vous le souhaitez vous communiquer le prix de vente réalisé par un autre exemplaire vendu aux enchères en 2008.
Cordialement.
Michel.