J'ai tout recopié(désolé ya surement des fautes) :
"C'est à 451° Fahreneit que les livres s'enflamment." La société futuriste imaginée par Bradbury est celle du bonheur obligatoire : c'est pour empêcher les hommes de penser que les pompiers n'éteignent plus les incendis, brûlent les livres et purchassent toute personne qui a conservé des livres chez soi...
- Tu dois bien comprendre que notre civilisation est si vaste que nous ne pouvons nous permettre d'inquiéter ou de déranger nos minorités.Pose toi la question toi-même.Que recherchons nous, par dessus tout, dans ce pays? Les gens veulent etre heureux, d'accord?Ne l'as tu pas entendu répéter totue ta vie? Je veux etre heureux, déclare chacun. Eh bien, sont-ils heureux? Ne veillons nous pas à ce qu'ils soient toujours en mouvement, toujours distraits? Nou ne vivons que pour ça, c'est bien ton avis? Pour le plaisir, pour l'excitation? Et tu doi admettre que notre civilisation fournit l'un et l'autre a satiété.
- Oui.
-Les nègres n'aiment pas little black sambo. Brulons le.La case de l'oncle tom ne plait pa aux blanc.Brulons la.Un type a écrit un livre sur le tabac et le cancer du poumon? Les fumeurs de cigarettes sont dans la consternation.Brulons le livre.La sérénité, Montag, la paix, Montag.Liquidons nos problèmes, encore mieux, vidons les dans l'incinérateur; les enterrements sont tristes et païens? Eliminons les également. Cinq minutes aprè sa mort toute persone est en route pour le grand crématorium vers les incinérateurs desservis apr hélicoptère dans le pays entier.Dix minutes aprè sa mort, l'homme n'est plus qu'un grain de poussière noire.Ne vaticinons pas sur les individus a coups de mémoires inconsolables.Oublions-les.Brulons les, brulons tout.Le feu et brillant, le feu est propre
Ray Bradbury
Notes du prof :
1- Le personnage qui parle est Beatty, le capitaine des pompiers.Il s'adresse a Montag, un pompier de sa compagnie.
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