Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
2478 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
 
 Page :   1  2  3  4
Auteur Sujet :

Topic pour l'égalité des salaires.

n°31450927
Profil sup​primé
Posté le 24-08-2012 à 23:30:40  answer
 

Reprise du message précédent :

roland- a écrit :


Hum, oui, on s'est compris, on peu pas dire que ça requiert des années d'études ou de formation. C'est bien, tu sais facilement passer d'un travail requérant peu de connaissances à un autre. D'autres métiers nécessites davantage de formation et il n'est pas aussi simple de passer de l'un à l'autre comme tu l'entends.


 
Il existe des centres d'intérêt pour lesquels il n'y a pas forcément beaucoup de connaissance à avoir.
Ca n'en fait pas des métiers bien payer du coup.
 
Je préfère avoir une tête bien faite plutôt qu'une tête bien pleine.
Et j'ai passé ma vie à cultiver des truc comme l'amour, l'empathie, la tendresse, tu vois ?

mood
Publicité
Posté le 24-08-2012 à 23:30:40  profilanswer
 

n°31451069
Profil sup​primé
Posté le 24-08-2012 à 23:39:11  answer
 

chiant, c'est une question de prix.
Pointu, c'est une question de capacité.
Tu voudrais pas donner moins à un citoyen malchanceux qu'au président des malchanceux ?

n°31451161
Profil sup​primé
Posté le 24-08-2012 à 23:44:28  answer
 

roland- a écrit :


Je n'ai pas compris. Peux-tu reformuler ?


 
Bien venu au Golband.

n°31451178
Ar Paotr
Posté le 24-08-2012 à 23:45:41  profilanswer
 

roland- a écrit :


Je n'ai pas compris. Peux-tu reformuler ?


Tu n'as pas compris un message de jovalise : bonne nouvelle, rien de négatif à signaler sur ton état de santé mentale :jap:

n°31451230
Profil sup​primé
Posté le 24-08-2012 à 23:48:33  answer
 

Ar Paotr a écrit :


Tu n'as pas compris un message de jovalise : bonne nouvelle, rien de négatif à signaler sur ton état de santé mentale :jap:


 
En effet tout est normal.
 
 
Je te dis pas la norme mais bon....


Message édité par Profil supprimé le 24-08-2012 à 23:49:07
n°31456587
Hubert Far​nsworth
Posté le 25-08-2012 à 17:45:45  profilanswer
 


 
Ou n'ont rien foutu à l'école, c'est selon . [:poutrella]

n°31457659
erimas
Posté le 25-08-2012 à 19:54:03  profilanswer
 

 

Juste une chose ou tu marques un point : L'élitisme en France est tellement développé qu'il privilégie et permet toujours aux Polytechniciens ou autres élèves d'école de commerce/grandes écoles fraîchement diplômés d'accéder des leur sortie d'école à des gros postes comme directeur, pdg, directeur adjoint etc etc. Il y'a beaucoup de copinage aussi entre anciens élèves et relations qui font que les boîtes se retrouvent au final dans la merde et sont plombés par ces incompétents sans expérience alors que derrière tout un tas de gens sans diplôme mais avec beaucoup d'exp pourraient mieux faire tourner la boîte.

 


Pour le reste tu trolles à mort mec. Les métiers que tu as fait dans ta vie, je trouve normal que tu aies été payé au smic. Tu t'attendais à une paie de PDG pour livrer des colis ou intervenir sur des postes informatiques ? Je sais pas si tu est au courant mais si tu t'étais donné le mal de bosser + longtemps dans une seule boîte au lieu d'enchainer les jobs, tu aurais pu prétendre à un poste plus avancé et plus élevé dans la hierarchie de l'entreprise. T'a qu'a faire vendeur dans une petite boutique franchisée, au début tu galère mais au bout de 2-3 ans tu pourras déjà demander à passer assistant manager ou adjoint, tu vivras bien mieux et 2 ans plus tard tu passeras manager à 2000-2500€/mois etc etc

 

Si tu veux gagner du fric autrement tu peux aussi te sortir les doigts et ouvrir ta propre affaire - Tu fais ce que tu veux, personne te recrute, t'a pas de diplômes à passer et rien a justifier, tu paie juste des impots et ton immatriculation chaque année, pas grand chose non plus.

 

évidemment ça demande des efforts mais ça semble beaucoup trop dur pour toi qui semble plutôt avoir vocation a ne rien foutre de ta vie, a se prélasser devant un pc et crier à l'injustice face a ton voisin qui gagne plus que toi inactif et chômeur a contrat indéterminé. On voit que le succès des autres te rend jaloux, ça te sort par le nez a tel point que tu en veux a mort au système de ne pas mettre en place une égalité (les autres bossent, moi je glande rien)

 

Xavier Niel (patron de Free) était aussi à un moment dans la merde quand il était jeune, le mec était en cours d'études et gagnait une misère dans des petits boulots.

 

Il en a eu ras-le-bol et s'est décidé à se sortir les doigts du cul, a ouvrir sa première société, puis une autre puis une autre jusque à parvenir à une entreprise que l'on connait aujourd'hui  ce qu'est Free aujourd'hui. Un bel exemple à suivre. trop dur pour toi puisque ta vocation est juste de te plaindre

 

t’inquiète, le jour ou le système changera en ta faveur et que ton dieu politique extrémiste sera au pouvoir, la France ne sera plus a ce moment la qu'un bon regroupement d'assistés comme toi et incapables de se bouger le derrière pour aller gratter et mériter sa paie en fin de mois.

Message cité 2 fois
Message édité par erimas le 25-08-2012 à 19:55:30
n°31457707
Profil sup​primé
Posté le 25-08-2012 à 20:02:43  answer
 

Oula. Prends donc un siège confortable et parle-nous de ton enfance, on va essayer de trouver ce qui te mine [:abakuk:3]

n°31460801
Profil sup​primé
Posté le 26-08-2012 à 03:39:56  answer
 

Hubert Farnsworth a écrit :


 
Ou n'ont rien foutu à l'école, c'est selon . [:poutrella]


 
 
Un élève qui a de mauvaise notes à l'école, c'est la société qui échoue, pas l'élève.


Message édité par Profil supprimé le 26-08-2012 à 03:40:16
n°31482006
Wunderlich
Posté le 27-08-2012 à 23:35:19  profilanswer
 

tout comme un délinquant multirécidiviste qui se retrouve en taule, c'est la faute à la société, pas au gentil délinquant.
et encore, sa victime l'avait bien cherchée, aussi.


---------------
The bell will ring tomorrow and everything will be fine.
mood
Publicité
Posté le 27-08-2012 à 23:35:19  profilanswer
 

n°31482549
Wunderlich
Posté le 28-08-2012 à 00:10:34  profilanswer
 

pas compris


---------------
The bell will ring tomorrow and everything will be fine.
n°31483305
medmhand
Membré
Posté le 28-08-2012 à 07:50:09  profilanswer
 

erimas a écrit :


 
Juste une chose ou tu marques un point : L'élitisme en France est tellement développé qu'il privilégie et permet toujours aux Polytechniciens ou autres élèves d'école de commerce/grandes écoles fraîchement diplômés d'accéder des leur sortie d'école à des gros postes comme directeur, pdg, directeur adjoint etc etc. Il y'a beaucoup de copinage aussi entre anciens élèves et relations qui font que les boîtes se retrouvent au final dans la merde et sont plombés par ces incompétents sans expérience alors que derrière tout un tas de gens sans diplôme mais avec beaucoup d'exp pourraient mieux faire tourner la boîte.
 
 
Pour le reste tu trolles à mort mec. Les métiers que tu as fait dans ta vie, je trouve normal que tu aies été payé au smic. Tu t'attendais à une paie de PDG pour livrer des colis ou intervenir sur des postes informatiques ? Je sais pas si tu est au courant mais si tu t'étais donné le mal de bosser + longtemps dans une seule boîte au lieu d'enchainer les jobs, tu aurais pu prétendre à un poste plus avancé et plus élevé dans la hierarchie de l'entreprise. T'a qu'a faire vendeur dans une petite boutique franchisée, au début tu galère mais au bout de 2-3 ans tu pourras déjà demander à passer assistant manager ou adjoint, tu vivras bien mieux et 2 ans plus tard tu passeras manager à 2000-2500€/mois etc etc  
 
Si tu veux gagner du fric autrement tu peux aussi te sortir les doigts et ouvrir ta propre affaire - Tu fais ce que tu veux, personne te recrute, t'a pas de diplômes à passer et rien a justifier, tu paie juste des impots et ton immatriculation chaque année, pas grand chose non plus.
 
évidemment ça demande des efforts mais ça semble beaucoup trop dur pour toi qui semble plutôt avoir vocation a ne rien foutre de ta vie, a se prélasser devant un pc et crier à l'injustice face a ton voisin qui gagne plus que toi inactif et chômeur a contrat indéterminé. On voit que le succès des autres te rend jaloux, ça te sort par le nez a tel point que tu en veux a mort au système de ne pas mettre en place une égalité (les autres bossent, moi je glande rien)
 
Xavier Niel (patron de Free) était aussi à un moment dans la merde quand il était jeune, le mec était en cours d'études et gagnait une misère dans des petits boulots.  
 
Il en a eu ras-le-bol et s'est décidé à se sortir les doigts du cul, a ouvrir sa première société, puis une autre puis une autre jusque à parvenir à une entreprise que l'on connait aujourd'hui  ce qu'est Free aujourd'hui. Un bel exemple à suivre. trop dur pour toi puisque ta vocation est juste de te plaindre
 
t’inquiète, le jour ou le système changera en ta faveur et que ton dieu politique extrémiste sera au pouvoir, la France ne sera plus a ce moment la qu'un bon regroupement d'assistés comme toi et incapables de se bouger le derrière pour aller gratter et mériter sa paie en fin de mois.


 
On se calme, on se calme... Le mec trolle à mort et vous le suivez dans son délire...

n°31485407
Wunderlich
Posté le 28-08-2012 à 11:27:19  profilanswer
 

erimas a écrit :


 
Juste une chose ou tu marques un point : L'élitisme en France est tellement développé qu'il privilégie et permet toujours aux Polytechniciens ou autres élèves d'école de commerce/grandes écoles fraîchement diplômés d'accéder des leur sortie d'école à des gros postes comme directeur, pdg, directeur adjoint etc etc. Il y'a beaucoup de copinage aussi entre anciens élèves et relations qui font que les boîtes se retrouvent au final dans la merde et sont plombés par ces incompétents sans expérience alors que derrière tout un tas de gens sans diplôme mais avec beaucoup d'exp pourraient mieux faire tourner la boîte.


 
Rassure-toi, ce n'est pas parce-qu'on sort d'une "grande école élitiste" qu'on débarque directeur ou cadre dirigeant dans une boite.
faut arrêter les fantasmes.
 
Le copinage existe, mais comme partout.
et encore, c'est pas parce-qu'un pote de promo prend ton CV pour le filer directement au responsable du recrutement que tu vas forcement être embauché ensuite.
 


---------------
The bell will ring tomorrow and everything will be fine.
n°32058369
ewas
electronic wait and see
Posté le 21-10-2012 à 13:27:38  profilanswer
 


Quoi qu'il en soit, j'ai un doute au sujet de l'équité de la répartition des richesses produites par la force de travail... [:klemton]
 
Bref, et puis d'ailleurs j'ai un doute sur bien des choses encore... [:gordon shumway]


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32202350
ewas
electronic wait and see
Posté le 04-11-2012 à 06:48:08  profilanswer
 


ewas a écrit :

Quoi qu'il en soit, j'ai un doute au sujet de l'équité de la répartition des richesses produites par la force de travail... [:klemton]
 
Bref, et puis d'ailleurs j'ai un doute sur bien des choses encore... [:gordon shumway]


Je trouvais bien trop maigre ma prestation en regard de ce que j'ai coutume de pondre. :o
Et puis il y avait longtemps... La plume me démangeait. Je me la suis enfin sortie du popotin. :D
 
Il va sans dire que le sujet du topique exprime un point de vue utopique. Et qu'il s'agit plutôt là de provoquer le débat. « L'égalité salariale ». Mais en voilà une bonne idée ! Et après tout pourquoi pas ? Du moins n'est-il pas philosophiquement permis de poser la question atomique et de rêver d'égalité des droits et devoirs, de liberté, d'égalité et de fraternité ? :ange: Ce qui sous les cieux des droits de l'homme reste une belle idéologie à instaurer, ou du moins à réviser. :sarcastic:
 
Du point de vue de « l'égalité salariale », nous sommes en pratique à des années lumière de ce genre de « socialisme » que certains auront en sursautant fissa qualifié de « communisme » rien qu'à la lecture de l'entête du topic. :D Et quand je m'exprime en « années lumière », je pense à des civilisations lointaines qui auront bien avant les Terriens résolu le dilemme de la rémunération équitable, ou bien même sans devoir en passer par-là auront dès l'origine de leur civilisation cultivé le droit au bonheur pour tous. Les ressources et richesses planétaires étant avant tout universelle (avant d'être privées). Rien n'est sorti de terre sans l'aide des petites mains au profit de la gent élitiste et corporatiste, et des catégories supérieures en général, n'acceptant pas de se les abîmer et salir elles-même, ainsi que de bibliquement « gagner leur pain à la sueur de leur front » ? L'élection de droit divin est bien pratique pour s'autoriser de donner des leçons de morale aux présupposés « subalternes » ; l' « effort » et le « mérite » bizarrement sollicités par ces temps de crise et de dette, de faillites bancaires, etc. Mais qui doit payer encore ?
 
Le système salariale et la pauvreté ne devraient même pas exister. D'autres systèmes « salariaux » sont possibles. À l'heure scientifique, le savoir-faire humain calculant avec précision les besoins matériels et la technologie sachant parfaitement bien pourvoir en alimentation énergétique les machines, quels critères sérieux définissent avec précision scientifique les besoins fondamentaux d'un être vivant et son salaire ? Eh bien aucun. Le progrès est une foutaise sauf pour les machines elles-même qui petit à petit remplacent l'homme à des fins de générer encore plus de profit ! Je ne suis pas contre le progrès technologique, la robotique et l' I.A., mais pour l'autogestion et l'appropriation de l'outil de production par ses concepteurs et les travailleurs qui le produisent eux-même.  
 
En passant je remercie Jovalise de nous tendre cette magnifique perche humaniste. :D Et je la saisis et m'en sers pour pousser le bouchon encore plus loin que ne le fait la provoc jovalisienne tout en bouleversifiant des valeurs établies dans l'inversion dès l'origine : :D
 
C'est à dire que l'égalité des salaires resterait une solution encore trop inéquitable et injuste, parce que un patron pourrait alors gagner autant qu'un employé faisant tout le boulot à sa place. :D
 
Mais certes le pire est encore l'inégalité des salaires, ne serait-ce qu'à partir du moment où un salaire représente le double d'un autre, car c'est du prix de la vie qu'il s'agit [ne dit-on pas « gagner sa vie » en « travaillant » et que « la vie n'a pas de prix » ?] et le début de l'injustice : le cas échéant, lorsque par le miracle de l'écart des revenus un salaire équivaut le double d'un autre salaire, il faut deux vies de travail pour en faire valoir une seule. D'ailleurs la vie d'un pékin aujourd'hui ne vaut plus que par sa capacité à produire des richesses pour autrui et dont il ne voit pas la couleur. Les valeurs sont faussées dès le départ d'une « méritocratie » ne récompensant pas les plus méritants ; la « valeur travail » est spoliée et ne veut plus rien dire. Et puis comme le plein emploi n'existe pas, ben alors ma foi, la valeur de la vie, ça va ça vient selon l'offre et la demande.
La vie n'a pas de prix, mais dans la course pour la vie, avec le handicap qui s'impose au départ (à géométrie variable), plus les inégalités systémiques, la longueur de l'existence est bien trop courte pour que tous les participants puissent en avoir bénéficié au même tarif à terme. On reporte et diffère la revanche, la compensation, les bénéfices « ailleurs » (escamotage) : « il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer au royaume des cieux » ; « les derniers seront les premiers », etc. Ben voyons ! :ange:
 
D'ailleurs, comment se justifie le salaire d'un patron qui (pour certain) à lui tout seul « mérite » de gagner plus que tous les employés réunis de « sa boite », alors que son effort n'est que celui d'un intellectuel [il eut cette chance et ce privilège d'être bien né et d'avoir une tête bien faite pour les études grâce au « darwinisme », ce qui d'ailleurs lui permet une ascendance peu glorieuse sur le cheptel des esclaves qui entretiennent son confortable train de vie qualitativement supérieur ; pourquoi le travail manuel de plusieurs individus aurait-il moins de valeur que le travail intellectuel d'un seul ?] et alors qu'il ne dépense pas autant de calories qu'un seul de ses ouvriers au charbon, devant non seulement subir la pénibilité du travail manuel mais aussi le cas échéant s'exposer à des risques accidentels, puis ayant une espérance de vie réduite rien que du fait de « travailler plus » [ah oui tiens à propos du travail supplémentaire pour « gagner plus », parlons-en : pourquoi les riches ne doivent-ils pas « travailler plus » que les pauvres pour « gagner plus » et accomplir les richesses dont ils ont avidement besoin (selon la sacrosainte « méritocratie » à géométrie variable) ? Ben ma foi parce qu'il n'y a pas de miracle faisant tomber la richesse du ciel et que (in)justement ce sont les pauvres qui doivent en faire les frais et le boulot à leur place], bref, et puis l'organisme vivant du « vrai travailleur » s'épuisant à l'effort plus souvent qu'à son tour en abondante perte de calories affaiblissant le système immunitaire, avec en « prime » (de risque :p) le risque pathogène de la somatisation dû aux mauvaises conditions de travail et de vie, entre autre du fait de l'oppression hiérarchique et de ne pas avoir le choix d'une activité épanouissante.
 
Ah oui mais j'oubliais ce qu'on entend dire parfois de bien manichéen et culpabilisant : « il fallait mieux travailler à l'école ! ». Oui mais, dites-moi, aurait-on tous les capacités intellectuelles et les moyens financiers de faire des études ? Et est-ce que le fait de ne pas avoir les capacités nécessaires aux études cela justifie l'exploitation de l'homme par l'homme - l'esclavage quand bien même soit-il moderne -, la prédation humaine et le darwinisme [la société humaine paradoxalement est sélective et produit des classes n'existant pas à l'état sauvage (intra-espèce), ou si peu et avec inconscience de le pratiquer - instinctivement], qui d'ailleurs même est une pratique encore plus lâche de la part de l'homme conscient envers l'animal qui n'a pas son mot à dire puisqu'il ne le peut pas ; plus l'être vivant est faible et inconscient, plus il est lâchement facile de le réduire en esclavage par l' « H »omme se situant au-dessus de tout tel un Dieu.
 
Soit dit en passant (tiens, un p'tit sdep, ça f'sait longtemps :D), l'argument des longues études (c'est un privilège que tout le monde ne peut pas s'offrir intellectuellement et financièrement) et des métiers à responsabilité, etc., pour justifier de hautes rémunérations bouffant le pouvoir d'achat de la classe « inférieure », n'est qu'à demi valable ; on ne fait pas des études pour appartenir à la classe ouvrière, donc, mais pour la dominer et être mieux nanti que les travailleurs puis en quelque sorte les trahir, et ça, c'est pas social du tout. D'ailleurs, les classes sociales ne devraient pas exister, car alors une société divisée par des « castes » avec un certain manichéisme de la « supériorité » et de l' « infériorité », c'est malsain et cela ne peut pas être une vraie société. Et même les partis politiques (ne servant à rien d'autre qu'à diviser le peuple) sont des entraves à l'harmonie sociétale. Notamment, le multipartisme d'aujourd'hui doit plus que jamais bien faire rigoler dans sa tombe Simone Weil (la philosophe), ainsi que de voir les uns et les autres se chamailler au sujet du « monopole du cœur ». [:cend] Si j'étais croyant, j'aurais espéré que cette femme humaniste soit allée directement au « paradis » après sa mort. Pour référence, ce document que j'ai récemment découvert sur le site d'Étienne Chouard grâce à une radio indépendante à l'antenne de laquelle il a été invité. C'est un peu hors sujet, mais bon.
 
Mais quand bien même existerait l'égalité des chances et pour tous la possibilité de se qualifier à niveau de mériter la sacrosainte « réussite sociale » [encore une belle tartufferie de la « démocratie humaniste » que la « réussite sociale » du « gagnant » sur le « perdant », que la culpabilité de l' « échec social », alors qu'il n'y aurait pas assez de places pour tout le monde et que la « société » n'est même pas en mesure de donner à chacun sa chance de « réussir » ne serait-ce que pour vivre décemment], quelle classe de « gogos entartuffés », précisément (il faudrait l'inventer), devrait à son tour se consacrer aux basses tâches et aux travaux les plus pénibles pour de surcroît être la plus mal rémunérée ?
Est-ce que n'être bon qu'à faire les travaux subalternes (notamment manuels) justifie que l'on mérite d'être exploité (payé des clopinettes pour effectuer les travaux pénibles, paradoxalement) et n'ait pas le droit à une vie décente dans ce qui se targue de « société » tout en cocoricotant médiatiquement (en façade médiatique) et sur le verni à gratter derrière lequel la triste réalité est à découvrir ? :sarcastic:
 
Il ne faut pas s'attendre à voir un jour débarquer l'égalité des salaires en ce bas monde des « basses tâches » et de la crotte carotte et de l'étron du bâton pour les « gueux » et le piston en or pour les « bien nés ». Un monde (une dite civilisation de [:ramucho] pour les gueux [:tinostar]) aux mentalités stagnantes et n'évoluant que par cupidité et dans l'objectif de pouvoir prestigieusement cocoricoter le progrès scientifique et technologique au profit décomplexé de l'élite et des m'a-tu-vu, tandis que le cheptel des esclaves est sacrifié sur l'autel du Dieu Pognon.
D'ailleurs, les classes intermédiaires tirant aussi les marrons du feu sans plus s'échauder que les supérieures et celle dont les petites mains vont réellement au charbon, cantonnée (en rétention) à la base du système pyramidale et faisant le tapis, servant d'essuie-pieds à la hiérarchie qui dessus lui chie.
Dans une vraie société - civilisée et démocratiquement évoluée -, le Dieu Pognon des « temps modernes » [:ramucho] et la pauvreté [:tinostar] n'auraient pas lieu d'exister.  
 
L'égalité des chances est par nature inexistante dès la naissance. Ensuite, le darwinisme social prend le relais de la nature sauvage et sélective et amplifie les inégalités de naissance par les injustices sociales, les rend sytémiques dès lors que la conscience de l'Homme du singe émerge et s'organise en « société » pour instaurer l'exploitation de l'homme par l'homme du singe par le singe [mais ce singe n'est pas le bonobo ; le bonobo est un homme civilisé et pacifique, lui :D]. Bref, avec le darwinisme les inégalités deviennent une autoproduction contre nature de la société du système (un bogue de l'évolution) ; quelle belle invention que la civilisation ! :p D'ailleurs, sur un autre topic, on se pose la question de savoir si la démocratie existe réellement. :??:
 
Le poète et philosophe Saez dit : « non l'homme ne descend pas du singe mais descend plutôt du mouton ». Bon, ça s'discute, mais alors dans la société de consommation s'agit-il de l'exploitation du mouton cool par le mouton enragé. Et le mouton serait donc un loup pour l'homme. :p
Bref, quoi qu'il en soit, aux inégalités de naissance la société (le système) a le bon goût humaniste d'ajouter les injustices et inégalités sociales (systémiques).
 
Et alors dans ces conditions déplorables, la « valeur travail » et la « méritocratie », n'en parlons pas ! Mais alors quelle belle tartufferie et superfoutaise mon ami ! Pour en rajouter une couche, ça rime aussi avec « supercherie », mais la liste n'est pas exhaustive.
 
Le Monde est ainsi fait et encore bien loin d'être suffisamment évolué pour faire comprendre à une civilisation digne de ce nom la nécessité de donner à chacun la même valeur (valeur existentielle), alors que dans notre belle civilisation contemporaine si évoluée :p il faut cumuler plusieurs vies de salaire pour en faire valoir une seule [le monde a beau être schizophrène, avoir un haut et un bas qui ne se mélangent pas, ce qui n'empêche pas le principe des vases communicant l'argent de la poche des uns à celle des autres], comme si l'on disposait de plusieurs vies pour pouvoir prendre une revanche plus que méritée par certains qui ont vu moins souvent qu'à leur tour la chance frapper à leur porte, de surcroît la notion du temps n'étant pas la même pour tous les individus, puis les capacités intellectuelles et physiques on ne peut plus inégales en prime.  
 
Vous avez dit « valeur travail » et « mérite » ? Mais le temps de travail étant pris sur le temps libre, et le temps libre étant celui de la vie, la vie n'aurait-elle donc pas la même valeur pour tout le monde ?
 
En bref et en gros, ce que je veux dire, c'est que grâce à l'égalité des salaires, du moins avec plus d'équité dans la répartition des richesses appartenant à tous les membres composant la société (ne parlons pas de civilisation humaine et de société évoluée, les animaux font mieux sans produire la misère et avec plus de pacifisme intra-espèce), il y aurait moins d'arrivisme et plus d'économie à faire ; les postes les plus importants et les plus intéressants seraient occupés par des gens passionnés et plus motivés par la vocation que par l'argent et pas moins créatifs [dans ces conditions « on » ne compterait ni son argent ni son temps et en redistribuerait le superflu, réinvestirait dans l'entreprise et le social, bref, chacun voit midi à sa porte..], et avec l'argent des riches qui ne sert à rien qu'à faire de l'argent dormant sur des comptes en banque ou à faire marcher le business du luxe tandis que d'autres meurent de faim, on serait peut-être déjà partis dans l'espace, saurait soigner des maladies incurables, aurait probablement résolus plein de problèmes sociétaux, etc., bref...
 
Enfin bref, j'arrête là ma tartine dégoulinante d'inepties, parce que je sens qu'elle est attendue au tournant et qu'en débordant elle va finir par me valoir la chute dans les mailles du filet des chasseurs de pavés. :whistle:


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32299722
laraclette
hinterem Ofa stack i
Posté le 12-11-2012 à 14:30:27  profilanswer
 

on peut taxer les machines afin de financer le fait de travailler moins.

n°32299841
Backbone-
Much to learn, you still have.
Posté le 12-11-2012 à 14:37:25  profilanswer
 

ce topic  :pt1cable:

n°32451610
ewas
electronic wait and see
Posté le 25-11-2012 à 10:10:56  profilanswer
 


Apparemment, il y a des arrivistes et/ou des parvenus pour lesquels ce topic ne va pas dans sens de l'ordre établi et de la pensée dominante. :whistle: N'ayez pas peur pour vos privilèges, l'égalité salariale n'est pas pour demain. C'est une utopie qui n'est pas prête de se réaliser. :o Sauf si un jour des E. T. débarquaient pour embaucher les peineux et leur offrir une vie de rêve sur une autre planète. Et alors là, vous auriez l'air malin, tous que vous êtes ! :p Tout d'un coup on deviendrait plus solidaire. J'aime faire de la SF. :D
 

laraclette a écrit :

Hello, je suis assez d'accord sur le principe avec l'auteur du topic.
 
La raison est que je pense que mon temps de vie sur terre à la même valeur que celui de quelqu'un d'autre, et que ce temps de vie a d'avantage de valeur qu'une compétence.
Les différences de salaires qui existent actuellement entre le maximum et le minimum sont, d'après moi, totalement injustifiées et injustes.
Les métiers sont devenus génériques, personnes n'est indispensable dans une boite y compris le propriétaire de la boite.


J'avais oublié de faire cette citation tout à fait judicieuse et allant plus ou moins dans le sens que j'affectionne.
 
Personne n'a demandé à venir au Monde. Pour la plupart on y vient passer sa vie à travailler pour la gagner en produisant des choses inutiles pour que d'autres puissent s'enrichir.
 
Alors, un revenu de subsistance pour tous à vie serait le bienvenu (l'idée n'est pas de moi). Et ensuite chancun pour soit, Dieu pour tous ! Que ceux qui veulent gagner plus se démerdent eux-même, après tout. Ce n'est pas aux autres d'en faire les frais. À partir de ce principe, « travailler plus pour gagner plus » prend tout son sens ; que ceux qui veulent devenir riche pour péter plus haut que le cul du voisin le fassent à leurs frais et en retroussant eux-même les manches et ne comptant pas sur autrui pour le faire à leur place.  
 
Les classes "supérieures" gagnent plus en pompant (pompes à fric des étages supérieurs du système pyramidal) le fruit du travail des classes dites "inférieures" ; pourquoi cette dualité du pays d'en haut et du pays d'en bas, ce manichéisme dans une société civilisée ?
 
L'alternative proposée par Bernard Friot - conférence à la librairie Tropiques -> http://bit.ly/10Q1wUT
 
En attendant d'évaluer l'usure et les risques accidentels exposant les travailleurs en prise avec la dure réalité concrète (sur le terrain, au charbon et les mains dans le cambouis) et que soit prise en compte l'espérance de vie (au travail et dans la vie privée - compter l'exposition aux risques pathologiques et accidentels des plus démunis du fait des conditions de vie en général ; cause de la répartition inéquitable des richesses produites par eux-même (les tâches les plus productives, bien qu'elle n'aient la plupart du temps que l'utilité de faire de la plus-value consumériste pour le profit des autres).
 
Bref...


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32452609
ewas
electronic wait and see
Posté le 25-11-2012 à 13:07:49  profilanswer
 

roland- a écrit :

Personne n'a demandé à venir au monde
=>  Tu peux toujours te prendre en main et te buter au lieu de faire l'assisté et d'attendre un revenu.


Ben voyons, il faudra procéder à un génocide, parce que je ne serais pas le seul (visionne les videos de la conf de l'auteur du livre "l'enjeu du salaire" ), et comme ça il n'y aura plus personne pour faire les travaux que vous ne voulez pas faire pour des clopinettes, et enfin une fois pour toutes vous-vous prendrez en main pour allez vous-même gratter vos privilèges. :whistle:
 
Merci bien pour la solution humanisto-totalitaire (ou totalitaro-humaniste) que tu proposes, en passant. :o


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32453742
ewas
electronic wait and see
Posté le 25-11-2012 à 15:36:56  profilanswer
 

roland- a écrit :

Ton raisonnement n'est pas plus logique : "je suis né donc j'ai droit à de l'argent". T'as droit à rien, t'es juste né.

Sauf qu'une politique nataliste nous a fait venir au monde dans des milieux différents et le plus souvent défavorisés. Tandis qu'une minorité de possédants n'est pas contrainte à travailler pour subsister, (in)justement grâce à l'exploitation des inégalités. Ne mégotons pas sur les mots. Eh oui, nous avons tous le droit à un revenu de subsistance, même ceux qui viendraient à perdre leurs privilèges et qui autrement peuvent se passer d'un revenu de base. Et puis un revenu de base n'empêche pas de travailler pour gagner plus. Ce n'est pas considéré comme de l'assistanat par ceux qui le prônent. C'est une solution plus économique que la situation actuelle. Il permettrait de résorber le chômage et l'injustice. Il y a des gens à qui ça suffirait pour vivre et avoir du temps libre pour développer des activités dont la société pourrait profiter. Etc. Bref.


Message édité par ewas le 25-11-2012 à 15:41:20

---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32458937
Profil sup​primé
Posté le 25-11-2012 à 21:55:25  answer
 

roland- a écrit :


Ton raisonnement n'est pas plus logique : "je suis né donc j'ai droit à de l'argent". T'as droit à rien, t'es juste né.


 
Si si, j'ai droit à ma quote part.
 
Si non c'est la guerre, on fait des gosse, puis on les jette en pature. Non mais à quoi ça rime ?

n°32607618
ewas
electronic wait and see
Posté le 09-12-2012 à 06:41:48  profilanswer
 


Non mais te rends-tu compte - humaniste - que revendiquer le droit au partage des richesses sur cette planète mortifère équivaut à commettre un crime supplémentaire ? :D Un crime contre un autre crime.
Décréter le partage des richesses - a fortiori l'égalité salariale - engendrerait à coup sûr une révolution d'ampleur nationale, car cela va à l'encontre des Droits de l'Homme, du droit d'exploitation d'autrui par son prochain. Un droit de l'Homme Humaniste. Ah les salauds d'pauvres ! Ces empêcheurs de tourner en rond ont parfois d'ces idées bizarres dans leur tête qui tourne pas rond. :D
 
L'exploitation de l'homme par l'homme, c'est bel et bien un droit de l'Homme, nan ? Car même les cigales ne font pas travailler les fourmis. Dans la nature (le 8-3 ;)) on n'a jamais vu ça. :D Les cigales subviennent elles-même à leurs besoins fondamentaux, tant et si bien qu'elles passent le plus clair de leur temps à chanter. Et de grâce, ne comparons pas le chômeur à la cigale, je vous pris. D'ailleurs, il est rare que le chômeur se prenne pour une cigale et qu'il pousse la romance par plaisir. Enfin, tout dépend d'un assistanat à géométrie variable ; mieux vaut être cadre qu'employé au chômage. L'assistanat paye pas mal le cadre ou autre supériorité de la hiérarchie salariale au chômage. Alors que la logique voudrait que tout le monde soit payé au même tarif pour chômer. :D
 
Mais c'est comme ça chez les humains. Il y a la plupart des individus qui au lieu du partage des richesses préfèrent travailler comme des fourmis tout en s'adonnant à l'assistanat des riches cigales plutôt qu'à l'assistanat des pauvres fourmis et que de voir disparaître la misère et le chômage dans la société fourmilière humaine (même si l'assistanat aux riches ça leur coûte la peau du cul parfois). Ils idolâtrent les maîtres en espérant un jour pouvoir devenir à leur tour sous-maître ou bien maître des esclaves. Cela s'appelle « La servitude volontaire » (à la tienne Étienne !).
 
Si il y a une utopie méritant bien ce qualificatif au sens irréalisable du terme, c'est pas l'égalité salariale, mais c'est (idéologiquement) l'illusion de la méritocratie faisant miroiter le mérite d'une rémunération de prestige en fonction du prestige de la fonction de prestige [une sur-rémunération sans s'abîmer ni se salir les mains et sans une seule goutte de sueur perlant au front du pékin gagnant largement son pain - de quoi nourrir plusieurs familles à la fois -, parfois simplement pour le prestige de la fonction ou par passion pour celle-ci, bien loin de représenter un travail au sens étymologique du terme et plutôt un hobby]. Mais ça, par contre, ce n'est pas considéré comme de l'assistanat, tout au plus parfois de la « planque » et du « piston » (termes politiquement corrects) ; ce sont donc bien des injustices que censure une soit-disant méritocratie par ces termes (politiquement corrects), pour ne pas dénoncer le véritable assistanat. Et même lorsque les privilèges s'acquièrent par des années d'étude et de travail, cela reste malgré tout des privilèges plus ou moins mérités et pas plus méritoires que « ceux » auxquels on droit les individus qui n'ont pas eu la chance d'être bien nés et de recevoir une bonne éducation.
 
La pauvreté est nécessaire à la richesse. Mais pas l'inverse. Ce qui malgré tout dans la société de compétition (compétitivité, consumérisme et Dieu Pognon faisant aujourd'hui le but et tout le sens de l'existence :p), passablement formatée par un bourrage de crâne médiatique et ces faux amis les clowns des médias inversant les valeurs humaines au profit d'un libéralisme économique outrancier et contre nature puisque mortifère, fait que la sacro-sainte « réussite sociale » et la richesse sont considérées comme le but ultime de l'existence et la « gloire » du « vainqueur » dans la course à celui qui pissera le plus loin. Pour les autres, le sens de l'existence se résume à passer sa vie à travailler pour la gagner [la valeur travail et la méritocratie, n'en parlons pas, ça n'existe pas].
 
Trouvez-vous normal que votre confort, votre santé, votre longévité, votre survie, votre sécurité (à moins de rouler sur le trajet du turbin et des vacances bien protégés en 4 x 4 et bagnole haut de gamme - sécurité routière égalitaire :sarcastic:), bref, est-il normal que tout ça et votre condition de vie dépendent d'un salaire et de production et de consommation forcenées à des fins d'enrichir d'autres à qui vous appartenez comme de vulgaires produits de consommation, des machines, ni plus ni moins des robots retournant chaque soir après le travail dans les barres immobilières de la cité dortoir y recharger l'énergie capacitive nécessaire à la force de travail du lendemain, en fait ? Avec en prime la téloche pour bien assommer le gueux. :pt1cable: Bref, vu la réaction au sujet de l'égalité salariale, je doute fort qu'il y ait légion de gens concernés par le prolétariat sur le forum. :D Mais bon...  
 
Vous trouvez normal de ne pas avoir les mêmes droits vitaux que les autres parce que vous n'avez pas un emploi qualifié, ou qu'il vous manque des diplômes et de l'expérience professionnelle, etc. ? Mais alors que nous sommes les éléments composant la société égaux en droits à valeur humaine (le salaire y contribuant largement) et tout aussi respectables les uns que les autres quelle que soit la position hiérarchique (mais bon, c'est pas l'avis de tous), est-ce bien normal d'être discriminé pour des raisons simplement mercantiles et économiques ? Si c'est « normal », c'est que la Loi est décrétée par Le Marché et que les carottes sont cuites. Alors, il reste l'alternative de l'autogestion. Seulement voilà, la politique économique n'est pas de nous apprendre l'autogestion pour nous aider à nous émanciper du bazar, mais de nous formater pour le consumérisme imposé par la Loi du Marché. Tout se mélange et le serpent sociétal se mord la queue. On ne vit plus en société que pour le marché, la compétitivité, la rentabilité, etc., dans un tourbillon économique, pour travailler pour consommer et fournir du travail aux consommateurs. Un cercle vicieux. On n'entend plus parler que d'économie et de politique tous les jours de la semaine. C'est devenu un sujet obsessionnel. Enfin, une vie de dingue. Bientôt tu viendras au Monde à la chaîne en sortant de ta mère comme un bouchon d'champagne, eh ploc ! :D Bienvenu dans le Monde des Bisounours, tiens voilà la dette à payer, presses-toi de grandir pour bosser mon gamin ! [:tinostar]  
 
Ah puis tiens, au fait, par ces temps de frima, on entend reparler des sans-logis. Le besoin d'un toit pour chacun est la moindre des choses à pourvoir, l'évidence dans une société civilisée et humaine. Mais il ne suffit pas d'être logé (et nourri) n'importe comment sur le long terme. Alors pourquoi les gens qui produisent les richesses de leurs propres « petites mains » n'ont pas le droit au confort et à une qualité de vie décente comme les autres citoyens de la société civilisée ? Pourquoi les gueux doivent-ils s'entasser dans la promiscuité concentrationnaire et « carcérale » du clapier social à la périphérie du gratin social (deux planètes cohabitent en une seule schizophrène, et le gratin est asocial, en fait) ? Renseignez-vous sur les écarts de salaires, et cessez de dire que les chômeurs ou ceux qui dans ces conditions ne veulent plus turbiner pour des clopinettes sont des assistés de parasites [quand un pékin peut sans se fouler en un jour ramasser ce qu'un autre gagne en un mois à ramer en se tassant les vertèbres, il y a bien là l'un des deux qui est le dindon de la farce indispensable à autrui, et c'est ce qu'on appelle la méritocratie].
 
Alors bien sûr on va dire que parmi les pays de la communauté européenne nous ne sommes pas les plus mal nantis. Donc, cela justifie que l'on soit exploité dans une moindre proportion que les voisins et que l'on prenne pour modèle de moins évolué que nous et se console avec ça. Alors qu'en même temps paradoxalement qu'est-ce qu'on nous apprend à faire ? À être ambitieux et gagnant, à viser « toujours plus haut » (Fort Boyau :D) !
Prenons plutôt comme modèle la Suède, par exemple. Mais on dira que bien que les écarts de revenus y soient beaucoup moins importants que chez nous, ils ont malgré tout tendance à se creuser et à rejoindre la moyenne (même les plus sains sont atteints de cupidité pathologique (ah oui mais c'est vrai, c'est la Loi du Marché qui veut ça (dans tout ça l'Humain n'existe plus que par la valeur pognon))), et que l'âge de la retraite y est supérieur, bref. Mais aussi les conditions de travail et la qualité de vie ne sont-elles pas les meilleures que partout ailleurs ? Du moins l'IDH Suédois est l'un des plus élevés. « Oui mais, un moins grand nombre d'habitants est plus facile à gérer », dira-t-on. Bref, on trouvera toujours des excuses. :sarcastic:  
 
Pour en revenir aux inégalités salariales pouvant affecter le confort de l'habitat et la qualité de vie : il est paradoxal que des lieux publiques, bureaux, ateliers, salles de spectacle, etc., soient parfois plus confortables et habitables que des logements sociaux à certains égards bien que n'étant pas aménagés pour tenir lieu d'habitation, lieu où l'on devrait en priorité pouvoir trouver le repos du combattant de la guerre économique, précisément. Et la santé dans tout ça ? Bah elle est consommatrice d'antidépresseurs et de tranquillisants. Un commerce comme un autre. C'est dire la valeur que la société attache à la qualité de vie de tout un chacun (à la vie tout court), notamment de celle des individus discriminés par leur manque de qualification, économiquement dévalorisés, mais dont la participation sociétale n'est pas négligeable, et relégués aux « barres immobilières » où ils sont stockés comme de la marchandise, de l'énergie-travail rentable et bon marché, sans autre considération.
 
Par chez nous, le moins qu'on puisse dire, c'est que le logement n'est pas du résidentiel, certes pas le pire, mais ce n'est non plus une raison pour accepter ce qui n'a pas lieu d'être. C'est à dire que pour l'équipement immobilier on a évidemment droit à la qualité du « pays d'en bas ». Par exemple entre autres : à peine deux années après la rénovation du parc des ascenseurs (actualisation aux normes de sécurité, etc., qui du coup laissait espérer en avoir définitivement terminé avec les nuisances que produisait l'ancienne machinerie à bout de souffle), et voilà que de nouveau l'appareil recommence petit à petit à faire le boucan tant appréhendé et qu'on avait déjà dû subir pendant des années auparavant. Et je ne parle pas du reste, c'est hors sujet et du ressort le topic « les nuisances de voisinage ». Mais bon, ce que je veux dire par-là, c'est pour illustrer les injustices que peut engendrer une répartition inéquitable des richesses ; les mauvaises conditions de vie sont en grande partie dues à la qualité du logement social, elle-même tributaire des écarts de revenus qui par conséquent profitent paradoxalement aux privilégiés du résidentiel qui logiquement n'ont pas plus le droit au repos bien mérité que les travailleurs de base eux-même parce que précisément ils ne sont que des « travailleurs de base », sinon c'est discriminatoire, qu'est-ce que ça veut dire que ça ?! Bref, « va au turbin des inégalités pour gagner des clopinettes et payer le loyer, les charges et les impôts (à qui cela profite dans l'affaire ?), c'est tout ce qu'on te demande » ...
 
Le logement social, tout comme les « restos du  cœur » (d'utilité publique mais à caractère « provisoire »), et tout comme les classes sociales, d'ailleurs, sont une chose qui ne devrait pas exister dans une société civilisée. Pourquoi ? Parce que sinon ça veut dire que la « société » (soit-disant humaniste et démocratique) n'est pas dans son rôle et entretient un certain communautarisme systémique, en quelque sorte ; elle est dualiste et fait du manichéisme discriminatoire de ses propres composantes (le « bas » et le « haut » (du panier de crabes national :D)), en l'occurrence mettant à l'écart d'une qualité de vie décente [comparativement à celle que s'octroie sur le dos du peuple une hiérarchie qui, rien que du fait de l'existence des injustices et inégalités, n'est pas plus méritoire que le cheptel populaire lui servant de vache à lait] ceux qui produisant les richesses en travaillant dur et paradoxalement étant les plus mal rémunérés, sont indispensables à la création de tout ce qui fait le « prestige » du pays [ah ça oui, pour cocoricoter avec chauvinisme et tout en pétant dans la soie, la « divine élite » du « gratin céleste », le terreau « des racines et des ailes », ça on sait faire !]. Et la « société » ne mélange pas les « torchons et les serviettes », ceux avec celles par lesquelles sont produits les premiers, en fait. Ce n'est pas comme ça que fonctionne la métaphore au sens propre, car concrètement la serviette finit par produire le torchon de sa propre « chair » en s'usant elle-même au turbin (mais plus en douceur et sur le long terme :D). Mais bon, au sens propre du terme par nature la réalité en vient toujours à bout de tout et remet à leur place - à égalité - « torchons et serviettes » en les transformant en poussière d'étoiles, ma foi ! :D
 
Faut pas évoquer l'égalité salariale, même au pays des droits de l'homme, savez, celui de la liberté, de l'égalité et de la fraternité à géométrie variable, mais pas celui des bisounours. Pour la bien-pensance et la « méritocratie », c'est choquant. Mais par exemple disons que la répartition équitable des richesses (c'est déjà plus soft que l'égalité salariale, mais c'est encore trop demander) devrait permettre à tous de vivre confortablement et de pouvoir bénéficier d'un logement de qualité si pour des raisons de prestige les spécialistes dans les diverses corporations ne se sucraient pas tant sur le dos de la misère au passage. Par exemple, l'architecture, l'équipement, la déco, le design mobilier et immobilier, etc., qui par ailleurs sont des arts et métiers très forts lorsqu'il s'agit d'en mettre plein la vue grâce à un travail manuel indispensable mais complètement dévalorisé (cocorico !), bref, les concepteurs et les fabricants de matériaux (pas les employés de ceux-ci, mais leur hiérarchie, parce que les honoraires des spécialistes ne vont pas que du simple au double), etc., bref, tout ça coûte proportionnellement plus cher à ceux qui n'ont que de modestes moyens, et pareil pour les autres corporations, entre autres, et au passage nous pouvons citer aussi par exemple la justice, à géométrie variable et inspirant la fameuse citation que tout le monde connaît, celle qui fait référence à une justice que tout le monde n'a pas les moyens de se payer dans une société manichéenne et divisant au lieu de rassembler.
 
Alors qu'en même temps par erreur et/ou par inconscience des dépenses (ben précisément pour le prestige parfois) on gaspille de l'argent tout azimut (il y en a en quantité non négligeable), qui sinon pourrait réinvestir le social et l'entreprise, être redistribué aux plus défavorisés et être bénéfique pour l'économie.
 
D'un côté de plus en plus de richesse accumulée, et de l'autre, le pendant de l'avidité et de la cupidité - la paupérisation. C'est probablement pas ce qu'il y a de plus sain et équilibrant pour l'économie et le social, et ça devient de plus en plus évident.
 
À méditer une citation digne du darwinisme social décomplexé : « Tout va très bien pour les riches dans ce pays, nous n'avons jamais été si prospères. C'est une guerre de classes, et c'est ma classe qui est en train de gagner. » (WB).
 
Encore faudrait-il que ce genre de bellicisme (prenant la bourse pour un casino) aille de ses propres mains et à la loyale chercher son propre butin (ben oui, il parle d'une guerre) « dû » là où ils se trouve physiquement, comme au temps du western, ces cowboys modernes se tirant la bastos dans l'pied économique, pour ne pas dire dans l'buffet philosophique. :D Une autre citation lui répond : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » (à la tienne Étienne !). ;)
 
Mais tout en voulant comme eux devenir riches et prendre leur place, tous les pauvres ne sont pas forcément en guerre contre les riches. Il y en a qui simplement voudraient pouvoir vivre décemment avec seulement la partie des richesses qui leur est spoliée (en grande partie par de l'argent qui ne « travaille » que pour faire de l'argent au casino de la bourse). Les riches se trompent d'ennemis. L'ennemi à combattre est en eux-même. Intrinsèquement. C'est l'avidité et la cupidité faisant d'eux-même les premiers ennemis d'eux-même et ensuite d'autrui qui n'a rien demandé d'autre qu'à vivre décemment et en paix honnêtement (rien que ça est bien plus honorable et plus important que tout le reste). [:icon6]  
 
Ah mais si seulement [« les derniers seront les premiers »] l'enfer était crédible et consistait pour les riches à devoir rembourser l'argent spolié aux ouvriers sur Terre en travaillant à un rythme prolétarien en Enfer. Autrement dit, y passer des siècles et le cas échéant peut-être des millénaires, à devoir travailler dans la divine fournaise, disons au « purgatoire ». Quand on a si bien su « gagner » en une vie, voir en une année, plusieurs siècles de salaires d'un ouvrier et qu'on trouve ça normal, courageux, héroïque et glorieux, alors on doit pouvoir avoir le courage de travailler durant des siècles de smicard pour acquérir sa propre fortune « à la sueur de son front » [« À cœur vaillant rien d'impossible »]. :D
 
Non mais, t'as vu dans quel état se trouve ta planète maintenant ? Tout cela à cause de la guerre économique ! Ça mériterait bien aux riches une petite cure de jouvence spirituelle au purgatoire, nan ? « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font ». Prions pour leur âme, maintenant. :ange:
 
Bref, tiens à propos de purgation, de purge à la fois divine et darwinienne (darwinienne dans le bon sens du terme, cette fois), paraît-il que la classe moyenne est en voie de disparition. Eh bien c'est une très bonne nouvelle, ça. Ça en fera une de moins (les partis politiques aussi seraient bien inspirés de prendre le même chemin), et alors du coup, lorsqu'il n'y aura plus de classes sociales (de castes de bouseux) et de partis politocs, nous serons enfin libres et égaux (liberté, égalité, fraternité, cocorico !) et plus nombreux à nous solidariser pour ne pas tout perdre et risquer de nous retrouver sans culotte. Les torchons (les « sans-culottes ») pourront se confectionner de confortables culottes avec les serviettes (serviettes-éponges à fric de préférence). :D
 
Par contre, ça ne dérange pas à certains égards le mélangisme des serviettes et torchons quand toutefois ça arrange les serviettes.
Vous avez sans doute entendu parler de cette histoire d'une employée ayant fourni pièce détachée à sa patronne (laquelle avait probablement déjà pas mal roulé sa bosse et plus souvent qu'à son tour profité de la vie sur le dos du client), et s'est ensuite retrouvée licenciée pour cause de baisse de performance du « moteur » de la « sienne ». Car il y a pénurie de pièces détachées d'occase ; les voitures de ces salauds d'pauvres ne sont plus ce qu'elles étaient et sont de plus en plus « fiables », maintenant. Ah ma brave dame, le progrès n'a pas d'avantages que pour les riches, et c'est une injustice ma foi ! :p  
 
 
P-S. « L'ai-je bien descendu ? ». L'escalier en bois précieux de mon hôtel particulier bordant le Parc Mon Sot, ma chère... :o :whistle:
 
PP-S. Je m'excuse moi-même en personne tout seul comme un grand, pour le pavé. :p


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°32611886
laraclette
hinterem Ofa stack i
Posté le 09-12-2012 à 20:06:08  profilanswer
 

le RSA n'est qu'une petite miette du futur revenu universel, conditionné de surcroit...   la bonne blague :)

n°32614882
2-Lx
Posté le 10-12-2012 à 02:36:49  profilanswer
 

Depuis pas mal de temps, faire des enfants est devenu immorale et égoïste aujourd'hui. Les riches ont besoin d'eux pour que leur pouvoir perdure et que leur système d'exploitation reste stable. On est au moyen age avec la technologie d'aujourd'hui.
Et les partie politiques, ils veulent tous piloter ce système d'exploitation, avant la droite maintenant la gauche une différence ? quedalle.
 
Merci de ne plus aller voter, parce que voter = oui au système.
Vos enfants c'est leur avenir.


---------------
Vends : DDR - Carte Mere
n°32618771
Profil sup​primé
Posté le 10-12-2012 à 14:40:16  answer
 

laraclette a écrit :

le RSA n'est qu'une petite miette du futur revenu universel, conditionné de surcroit...   la bonne blague :)


je pense que j'ai plané en écrivant le précédent message.


Message édité par Profil supprimé le 10-12-2012 à 20:12:15
n°32634209
Gropoporc
On y croit
Posté le 11-12-2012 à 18:44:58  profilanswer
 

Ewas tu pourrais développer un peu.

n°33186633
ewas
electronic wait and see
Posté le 03-02-2013 à 07:21:46  profilanswer
 

Gropoporc a écrit :

Ewas tu pourrais développer un peu.


Chiche ! Ça va faire au moins une vingtaine de pages pourries de smileys. « Fallait pas l'inviter ». :D
 
Déjà février. Dieu que le temps passe ! Je ne tiens plus en selle. :ouch:
Mais le « salaire » reste le même [L'Arnaque Universelle]. :fou:
Il n'y a que les sapins d'Noël qui ne tiennent pas en place et défilent à toute allure. :pt1cable:
Et dans un peu moins de 11 mois – demain -, ce sera nouveau la fiesta et la biture... :p
Mais au train où vont les choses, il faudra s'habituer à faire la fête avec moins de pépètes. [:tinostar]
Je n'ose à peine vous la souhaiter bonne cette-là... :??:
Mais nous avons traversé le désert 2012. Et survécu à la fin de la Bouse. :sol:
Comme dirait l'autre : « C'est d'jà ça ». [:icon10]
Il ne faut pas trop en d'mander à la « société humaine ». [:morgoth1]
Du moins à ce qu'il en reste, à la petite semaine... [:ramucho]
 
J'ai ouïe-dire, par notre vrai journaliste sir Jovanovic indépendantiste, qu'on allait probablement s'engraissècer à notre tour. Espérons qu'il se trompi. Au moins, ce ne sera point fait exprès par Lui.
Y-a-t-il un pilote dans le gros n'avion ? :??:
Bah tant pis, va ! La « civilisation humaine » aura vécu, même pas eu l'temps d'passer son brevet, tandis que la déclaration des droits de l'homme espérait au moins lui en faire obtenir le baccalauréat. :whistle:
 
Arf, on est [on naît] dans d'beaux draps, ma fois ! Et tout ça à cause d'un coût du travail trop élevé, associé à un manque de solidarité des pauvres envers les riches. Décidément, ces salauds d'pauvres nous auront tout fait, même réussi à  tous nous mettre dans l'caca. C'est bien l'Monde à l'envers, ça. :p  
Il faudrait avoir un peu plus d'empathie et de solidarité envers ces affamés de la finance, les banques et le patronat... et les merdias acoquinés. Ah les merdias ! J'allais les oublier, ceux-là. Alors que de coutume je ne me lasse point d'en faire la publicité. Ils font pitié. Allons, un peu de courage nous autres ! Soyons solidaires et bénévoles. Et tant qu'à faire, acceptons même de payer pour avoir le droit de travailler ! :D
 
À quand les tickets de rationnement ? :o
 
À suivre...
 

2-Lx a écrit :

Depuis pas mal de temps, faire des enfants est devenu immorale et égoïste aujourd'hui. Les riches ont besoin d'eux pour que leur pouvoir perdure et que leur système d'exploitation reste stable. On est au moyen age avec la technologie d'aujourd'hui.
Et les partie politiques, ils veulent tous piloter ce système d'exploitation, avant la droite maintenant la gauche une différence ? quedalle.
 
Merci de ne plus aller voter, parce que voter = oui au système.
Vos enfants c'est leur avenir.


Exactement. La Vie est bien trop précieuse pour la confier à des Terriens. Il n'y a aucune de raison de perpétuer la prédation humaine intra-espèce ; la natalité en eau trouble, dans la soupe primitive de l' « Humanité ». [:ramucho]
 
Dans l'humanité comme dans l'animalité (toutes les deux du même règne, en fait), les inégalités de naissance donnent lieu au règne de la loi du plus fort. C'est valable pour la civilisation humaine, alors que théoriquement dans celle-ci, les individus les plus forts (et plus intelligents :p), mais « civilisés » et plus évolués que les animaux, sont sensés venir en aide à leur semblables les plus faibles. Mais bien au contraire du principe humain, les individus profitent de leur supériorité pour lâchement exploiter les plus vulnérables de leurs semblables. L'humanité se comportant comme ne le feraient même pas certaines espèces animales.
 
Nous ne sommes pourtant plus des animaux et nous agissons comme des animaux et contre nature. Par conséquent, la nature se défend, et voir même se venge. Et la bêtise [bestialité] humaine engendre la stérilité. C'est la réponse que donne la nature à ce qui l'agresse, afin de tenter limiter les dégâts. Mais bon, ce n'est qu'une thèse. :D
 
Oui, la vie sur Terre est inacceptable tant qu'existent les guerres et la misère. Ce Monde engendre plus de malheur que de bien-être. Précisément à la gloire de la sacro-sainte « réussite sociale » et des inégalités salariales. Alors que le malheur social ne devrait même pas avoir lieu dans une civilisation humaine digne de ce nom.
Oui, ce Monde est bien trop instable. La procréation y est hasardeuse. Pour ne pas dire mortifère et un « crime contre l'humanité », comme tu dis. Jusqu'à « nouvel ordre mondial ». :fou:
 
Mais on nous promet une démographie neuneuropéenne galopante. Et par conséquent de plus en plus d'entassement humain dans le clapier social. Puisqu'il manque de logements et qu'on ne sait pas faire autre chose que du clapier. Et c'est surtout que ce serait bien trop beau de faire autre chose que du clapier pour ceux qui ne le méritent pas (méritocratie oblige) et font partie d'une sous-catégorie d'individus – ne sont que des sous-hommes.
 
Quand on pense au modèle scandinave. Environ 25 000 000 d'habitants pour une superficie de 1 156 000 km² (un peu plus de concentration au Danemark, mais bon). La Suède a environ dix fois moins d'habitants que la France pour à peu près la même superficie, et un IDH supérieur… :sol: L'idh Norvégien, n'en parlons pas. Bref, on ne voit pas l'intérêt d'être encore plus peuplé demain que l'on est aujourd'hui en France pour une superficie à peu près « égale » à celle de la Suède (à 100 000 km² près), sachant que c'est au détriment des libertés et de la qualité de vie, à moins d'être hégémonique et de se prendre pour la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf. :D
Trois fois plus d'habitants qu'en scandinavie (les quatre pays réunis) aujourd'hui, et peut-être quatre fois plus demain, pour moitié moins de superficie, c'est pas spécialement un choix du peuple et l'idéal pour la qualité de vie. :o
 
Qu'en pensait le visionnaire Aldous Huxley ? -> Dictature et Surpopulation - Interview d'Aldous Huxley, auteur du "Meilleur des Mondes"  
 
La plupart des individus invités (contraints) par la Société à venir au Monde n'ont pas d'autre choix qu'une existence végétative dans la classe prolétarienne où ils ne peuvent s'épanouir et jamais savoir qui ils sont vraiment [mais ils le vivent dans leur « temps de cerveau disponible » et par procuration médiamerdique.. :p ..virtuellement et en toutes sortes de situations leur faisant relativiser leur condition existentielle.. :sol:]. C'est systématique, puisque la classe laborieuse est plus nombreuse, à la base de la société et sous-tendant l'édifice sociétal ; les fondations même d'un système pyramidal inventé par l'homme et sa méritocratie hiérarchique de nos deux, avec la « classe » la plus représentative de la population, donc, démocratiquement ghettoïsée au « pays d'en bas » ; catégorie discriminée et représentant ni plus ni moins un stock de combustible servant à produire la force de travail [« sous-catégorie » d'individus par excellence désignée de la société - c'est beau la société ! [:icon10]]. C'est mathématique. La société est sélective des individus invités à se présenter au Monde [il sont de naissance présumés consentant à l'exploitation] et se fait donneuse de leçons de vie tout en n'étant pas elle-même à la hauteur et en mesure d'offrir à chacun des individus composant la « société », la sacro-sainte « réussite sociale » de nos roubignoles pour une vie décente - qui est une illusion et du pipeau, puisque la « réussite » en question repose sur l'inégalité des chances et qu'il n'y a de toute façon pas de place pour la réussite de tout le monde dans la société. Et par conséquent, statistiquement il n'y a guère plus de chance pour « s'en sortir » [de la merde] que pour gagner au loto. De surcroît, dans cette compétition darwinienne, où la sélection n'a plus rien de naturel, il est pratiquement impossible de pouvoir « s'en sortir » sans marcher sur les autres pour s'extraire du caniveau systémique et parvenir à se hisser sur le haut du pavé [du panier de crabes].
 
« Ton » plan de carrière te fait une belle jambe une fois arrivé au cimetière, lorsqu'il fallu pour y accéder marcher sur tes petits frères de la Terre Mère. :D
 
La Vie est une chose bien trop grave et sérieuse pour que le Monde qui s'offre à la Vie puisse être pris au sérieux.
 
Venir au Monde pour faire partie d'un « pays d'en bas » ayant le « droit » et le « devoir » de se faire plumer et tondre par un « pays d'en haut » [deux en un dualiste], et puis pour éternellement reproduire le même système et une chaîne alimentaire ; le cheptel des moutons de panurge et des dindons de la farce - les proies manuelles à destination d'une prédation intellectuelle et élitiste. En sacrifice à un système darwinien et carriériste, donc, de parvenus et d'arrivistes, de bobos et de clowns du divertissement médiatique - la « société du 'pestacle ». [:the clown]
 
La « société du spectacle » et ses « cumulards inflationnistes », ce système pickpocket ayant l'art de distraire le troupeau des vaches à lait tout en lui faisant (la traite) les poches par derrière. Principe qui par ailleurs peut contribuer à l'augmentation du coût de la vie, alors que la vie a l'urgence de pourvoir à des besoins fondamentaux.
 
Par ailleurs, la téloche putassière et sensationnaliste, exhibe ses petits potes boboïsants qui se la pètent dans « les nuits parisiennes » pendant que la masse laborieuse en sommeil récupère ses forces épuisées au turbin la veille pour recommencer le lendemain, et vice versa, prenant-ils les uns et les autres et tour à tour le relais dans le cycle infernale ; à la différence que ce sont les uns pour faire la fête, et les autres pour turbiner en gagnant des clopinettes. Les derniers [sur une autre planète] ne connaissant rien à l'underground et à l'art contemporain de nos deux  [à l'art content pourri mais ne comptant pas pour rien ; le mercantilisme culturel.. :p], etc., des bouses se monnayant parfois la peau du cul pendant que d'autres crèvent la dalle dans la rue. Et les autres, savent-ils au moins d'où ils viennent et où ils sont, grâce à qui et à quoi les petits bobos en toc en sont « Là » [à la fois le contexte socio-culturel et le Monde] ? :sarcastic:
 
En faisant les guignols à la société du spectacle, les « geeks », les « branchés », les chaipuquoi, etc., bref, on a tous plus ou moins l'inconscience du sacrifice humain que réclame le progrès technologique ; la technologie jetable, tout comme l'est la marchandise humaine, maintenant.
Sur ce, « mate-moi l'heure à ta montre Tartempion. Et dis-moi, si on se versait un champagne Trucmuche, à c't'heure. Lâche-toi et pète un bon coup foireux dans la soie de ton caleçon de la marque Bidule, nom de Dieu ! C'est la bonne qui fera la lessive. [:ramucho] D'ailleurs, je suis sûr que t'en change tout les jours en les mettant directement à la poubelle, mon cochon ! ». [:morgoth1]
 
Bon, faut qu'j'arrête de délirer, moi. :pt1cable:
 
Alors et puis quand tout ça n'est pas en partie subventionné par l'État [NOUS]. Quand bien même les œuvres font un flop. :p Et en plus, des artistes au prestige coûteux en privilèges, capricieux et pas du tout contents du système, trouvent en plus le moyen d'expatrier leur patrimoine (de la patrie des moines :p).
Dans la société, de tout temps il y a les castes d'intouchables, mais aussi des castes d'insupportables, de l'élite de pacotille, plus ou moins, et un parasitisme que les autres doivent coûteusement entretenir.
 
Bon, là, depuis trois ou quatre paragraphes, c'est un peu pour faire de la « littérature ». Je sais pas si j'exagère un peu, si je romance où quoi. Parce que, en tant que asocial invétéré, depuis belle lurette il ne m'intéresse guère de refoutre les pieds dans la réalité virtuelle et faisandée de la société pyramidale à plusieurs vitesses et trente-six niveaux de réalités antagonistes. Bref, le discours n'était pas celui de l'abolition des privilèges dans la mesure où les privilèges se maintiendraient dans des proportions raisonnables et permettant à chacun des éléments du corps social d'y trouver son compte. À condition de valoriser le travail par la répartition équitable des richesses qu'il produit.
 
La méritocratie - la répartition des richesses -, pourrait aussi être définie par une « démocratie participative » - à action directe -, et les talents pouvant bénéficier de privilèges serait reconnus et approuvés par la collectivité, un peu comme c'est le cas pour les corporations artistiques, bénéficiant de renommée et d'un retour en droits d'auteur. Mais cela devrait s'appliquer à toutes les autres corporations, en se combinant avec un revenu complémentaire de base, selon le cas. Les citoyens évalueraient eux-même ce qui bon leur semble d'être promu et jugeraient du mérite et des privilèges à accorder à leurs favoris parmi les ouvriers, les employés, les spécialistes, les fonctionnaires, etc., en fonction de l'utilité et de la qualité des services rendus. Bref, ce serait une méritocratie réellement démocratique. Ce qui est loin d'être le cas pour l'exercice de toutes sortes de fonctions ou pseudofonctions, plus ou moins parasitaires, et qui actuellement foutent le Monde à l'envers et dans la panade économique, avec tout le cortège des faillites, dettes, gaspillages financiers tous azimuts, etc., tout en prenant les peuples pour des troupeaux de vaches à lait. Un véritable racket universel.  
 
Plus précisément, dans le principe, il faudrait qu'existe une réelle démocratie (participative et directe, donc) vous permettant par exemple individuellement de faire le choix d'attribuer peau de balle à ceux qui vous spolient ou bien de faire l'offrande de votre « fortune » à ceux que vous idolâtrez si ça vous chante [pensez à vos idoles et/ou sociaux-traîtres « Les Nouveaux Chiens de Garde », par exemple, ces stars médiatiques de pacotille qui vous enfument en vous coûtant la peau du cul, et, autre exemple – c'est du vécu -, pensez aussi à l'architecte qui a planché sur la création du clapier social où vous devez éternellement moisir à cause de ce système inéquitable et pourri [mais le ouistiti lui-même n'y habite pas et se fait des couilles en or sur notre dos – et Dieu sait si les couilles en or ça vaut la peau du cul], et puis une fois que vous avez tout ce beau monde dans le collimateur, vous distribuez les notes, vous cochez des cases d 'évaluation de leurs services sur la partie à renvoyer des quittances audiovisuelles et de loyer, par exemple, entre autres services rendus par les corporations de tout poil auxquelles ce principe pourrait être applicable...]. Voilà voilà ! Mais...
 
Mais la réalisation d'une telle entreprise démocratique est utopique. Et que nous le voulions ou non, nous devons cracher au bassinet pour entretenir un parasitisme institutionnel - d'un système en quelque sorte bananier - et improductif à notre égard (coûteux et sans fonctionnalité efficace), mais qui ne l'est pas pour lui-même et pour ceux pour qui il carbure.
 
On n'a pas eu le temps de faire une liste exhaustive de tout le parasitisme dont la société est atteinte,
avant la fermeture de l'expo.. :D ..là -> http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 4986_1.htm
 
Cherchez pas la « dette », les « assistés », et « ceux » qui doivent toujours payer... :fou:
On peut ici faire l'illustration musicale et complémentaire à ce topic, d'au moins deux autres parasitismes :
 
Cabadzi – Le Trader
Léo Ferré – La Complainte de la Télé [merdia putassier par excellence :o].
 
D'ailleurs, l'un ne va pas sans l'autre. Tout les deux ont la complicité et la bénédiction des « Nouveaux Chiens de Garde ».
 
Le pouvoir de l'argent et de ses sbires, les privilèges et un certain standing de vie que s'octroie « l'élite » au nom d'une méritocratie bidon, foutent le Monde dans la Merde et ruinent la Société.
Certains s'en foutent qu'on en soit encore au temps de la seigneurie et du servage, et s'offusquent.. :ange: ..lorsqu'on leur fait remarquer l'état des choses qu'ils feignent hypocritement d'ignorer, dont ils font le déni de la réalité.. -> http://youtu.be/Ezms9tPXtx0
 
Cette situation offusque encore plus les seigneurs que les serfs, apparemment.  :sarcastic:
 
Puis, comme si les victimes de la guerre économique ne suffisaient pas [tout se rapporte à l'Argent Roi et au « Salaire », en fait, tout est lié et interactif sur la planète du Dieu Pognon], chaque jour, dans des conflits, et notamment du fait de la misère sociale, périssent des Êtres innocents que le Monde réclame en sacrifice (son quota systémique et machinal) et qui n'étaient pas venus pour être sacrifiés mais pour célébrer La Vie. :( :pfff:
 
Le massacre des innocents venant au Monde mercantile et consumériste pour être offerts en sacrifice à des privilèges dûs au rang ; pour le prestige de l'élite et des pays. Quand ce ne sera pas pour défendre les privilèges à la guerre.
Par ailleurs, luttez contre la pauvreté, et pendant ce temps d'autres s'affaireront à créer la misère.
Voilà où en est arrivé l'évolution de « l'Humanité ». C'était bien la peine d'ensemencer !
Alors, le plus simple est bien évidemment de ne pas faire venir au Monde la Misère.
Et puis, il y a déjà tant de petits miséreux déjà existants à adopter.
 
« On n'est pas dans le Monde des Bisounours », entendons-nous dire parfois avec ironie. Eh bien, c'est justement pas un Monde méritoire et fait pour accueillir les Enfants dans les meilleures conditions qui soient. La « méritocratie » a bon dos. :sarcastic: Avant que la « civilisation humaine » puisse elle-même « mériter » qui que ce soit et quoi que ce soit - en tout cas pas les sacrifices d'innocents -, il faudrait pouvoir rendre la vie qui leur a été volée à tous les Êtres pour Laquelle Ils ont été sacrifiés. Nos ancêtres ont déjà suffisamment donné comme ça pour rien, ou pour ne récolter que de « l'antisocial », et pour aboutir à des écarts de revenus dignes de démocratie bananière. C'est piétiner Leur tombe et cracher à la figure de Leur descendance. Une Honte ! :fou:
 
Bref, entre autres vicissitudes existentielles qui attendent au tournant les nouveau-nés, pourquoi voulez-faire venir au Monde des petits Êtres pour d'emblée les pénaliser d'inégalités salariales et les réduire à l'esclavage ? Ces pauvres innocents et proies qui n'ont rien demandé et que nous sommes tous plus ou moins dans la grande chaîne d'amitié humaine alimentaire de la prédation universelle. :sarcastic:
 
La Société nous fait venir au Monde Merveilleux des Bisounours [ce qu'on fait croire à la petite enfance] sans que nous puissions en faire le choix (lapalissade :p). C'est pas pour en plus servir d'esclaves aux riches. La Vie est un droit de naissance. Et pouvoir subvenir aux besoins de La Vie est un dû de la part de la Société qui en redemande. La Vie n'est pas une chose à prendre à la légère. La venue au Monde est une chose bien trop grave dans l'état des choses actuel et dans un système qui n'est pas à prendre au sérieux. La Vie n'est pas une chose qui doit se gagner (au loto). On ne gagne pas sa vie à un concours ou comme dans une compétition (en l'occurrence économique). Déjà, l'acoquinement de termes comme « chance », « réussite », « ascension sociale » par « l'échelle » du même nom, ou par « l'ascenseur », pour « s'en sortir » (se sortir de quoi ? de la merde ? ça met la puce à l'oreille). Mais c'est quoi ce cirque ? Pourquoi pas la « corde à nœuds sociale », aussi ? Hein ! :D Bref, l'association de ces termes de « jeu de piste », si l'on peut dire, avec « l'existentiel » est pour le moins... Arf ! « Tiens, moi aussi j'vais faire un môme, et le lancer dans la bataille, dans la compétition économique - comme un coup de dé sur le tapis de la Vie -, j'espère bien tirer le bon numéro, et je le pousserai à réussir la vie que j'ai ratée, ma foi ! ». :p Nan mais, même si sur Terre on a tendance à prendre la bourse pour un casino, c'est pas pour autant que la vie est un jeu vidéo. Il n'est pas nécessaire de faire venir au Monde La Vie si c'est pour en faire l'offrande à une prédation humaine prenant l'existence pour un jeu où tu perds ou tu gagnes. Sa place n'est pas d'être guignol à la « société du spectacle » ou bien d'être ghettoïsé au « pays d'en bas ». La responsabilité de vivre (la survie) ne revient pas à Celui qui nait dans ce Cirque, mais à la Société qui Le fait venir au Monde pour aller au charbon. Alors que personne n'a demandé à venir au Monde pour y être exploité comme un esclave par son « prochain ».
 
C'est quoi, la réussite sociale ? C'est celle de la société ? Ou bien celle de l'individu ? Est-ce que ça peut pas être les deux à la fois ? Et puis, la « valeur travail », la « méritocratie », alors, c'est quoi ?
 
La « réussite » parfois fait appel au très grand courage héroïque de faire travailler autrui pour des clopinettes tout en tirant les marrons du feu. [:icon6]
 
Bref, je ne dis pas qu'il ne faut pas travailler. Encore faut-il qu'il y ait du travail pour tout le monde. Et si le travail est pénible et sans intérêt et qu'on n'a pas le choix d'en faire un autre que celui-là, de surcroît pourquoi devrait-il être dévalorisé et dévalorisant ? Au contraire, qu'au moins le travail soit rémunéré en conséquence de sa pénibilité et donne lieu à un salaire permettant une qualité de vie décente. Il n'y a pas de raison pour que la qualité de vie du travailleur de base soit amoindrie par une hiérarchie « d'ayants droit » s'octroyant des privilèges au nom de Dieu. Ou alors il faut arrêter le discours au double langage genre la « grandeur nationale » et de nous sortir le blablabla de « l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », de la « valeur travail » et de la « méritocratie », de la « réussite sociale », des « droits de l'homme » et de la « devise » de nos deux et tout le tralala. Taratata ! Laissons-nous rire un instant durable. :sarcastic:
 
Le « salaire » est à la base de l'existence. Et du pouvoir d'achat dépendent la qualité de vie et la santé – La Vie. Nous avons tous le droit à une qualité de vie décente. La santé n'attend pas de se retrouver dans la rue et sans toit pour commencer à morfler.
 
Si il n'y a pas d'autre alternative qu'une société inégalitaire imposant de tels écarts de qualité de vie entre les individus [citoyens] - qu'éprouvent actuellement les individus d'une même société [la vie de château pour l'élite, et la cité dortoir pour le prolétariat] -, alors, dictature pour dictature, serait préférable un égalitarisme qui imposerait carrément l'égalité salariale.
 
Quelqu'un ici a évoqué le RSA comme étant un « revenu de base ». Mais c'est une misère. Et vous ne pouvez y avoir droit qu'à certaines conditions.
 
Il y a des projets de « revenu de base » et de « salaire à vie » dans l'air. La proposition de Bernard Friot (le salaire inconditionnel à vie) semble être le projet le plus élaboré et le plus humaniste. Bref, mais cela ne serait jamais qu'une solution alternative à un partage inéquitable des richesses produites par la masse laborieuse.. :p [le prolétariat [:tinostar]], et permettant malgré tout le maintient de privilèges mal acquis via une exploitation de l'homme par l'homme [un droit de l'homme riche, héroïque et fier de l'être [:icon6](*)]. Mais bon, ce serait mieux que rien... :o
 
(*) Les richesses mal réparties n'ont aucun respect de La Vie ; un pauvre, soi-disant « assisté » [selon l'inversion coutumière des valeurs], n'a dans sa condition humaine pas à avoir plus de honte qu'un riche décomplexé. Tandis que tout se mesure par l'argent. Même la valeur humaine. L'avidité et la cupidité névrotique dominant le Monde. C'est une pathologie et la cause de tous les maux de l'Humanité.
 
À suivre...
 

Gropoporc a écrit :

Ewas tu pourrais développer un peu.


C'est bizarre, je pense tout de suite à de l'ironie, là, si je ne me trompe... :p Bon, ok, ok, mes pavés sont prolixes, simplistes, lapalissades, etc., tout ce que vous voudrez. Ah mais si seulement comme les intellos à disque dur (il n'y a pas que ça sur le marché culturel :o) je possédais l'art de la rhétorique et du développé cérébral, chers amis croyez bien que je ne manquerais pas de le manier avec concision, au lieu d'excréter de mémorables tartines d'élucubrations. :p Des variations en quête du Graal (« littéraire » :p) et de la formule adéquate, des « essais », quoi. D'ailleurs, mes exercices sont open source, si vous voulez savoir. :o Aidez-moi plutôt à réécrire, synthétiser et mettre dans l'ordre les paragraphes et les mots, etc. Si par hasard vous chantait la collaboration à cette œuvre « majeure » (une vingtaine de pages environ :ouch:). Ok ? :D
 
Mon problème est que j'aime écrire et que j'ai du mal à m'en passer tout en n'arrivant pas à bien écrire. C'est frustrant. En plus, c'est mal perçu. Mais rassurez-vous, je vais diluer le topo (mais faudrait que le topic tourne un tantinet aussi). Et ce seront les dernières couches. [:ramucho]
Ensuite (ça fait partie des « bonnes résolutions »), ewas bousera en mode « twitter » (des petites crottes). [:troed]
 
Tt' façon, les écarts de posts n'auront jamais autant d'absurdité et d'illégitimité que les écarts de revenus existants en ce bas monde mortifère, glauque et pathétique, de la dérision humaine.
 
Vivre dans la soumission au pouvoir de l'argent, n'est pas un destin humain.
 
C'est pas parce que de tout temps la majorité des individus terrestres subissent la vie comme une épreuve, que c'est la normalité. Ou alors il faut se demander pourquoi le Tarif de la Vie n'est pas le même pour tout le Monde ; il y a principalement une relation de cause [salariale] à effet [existentiel]...
 
La question des salaires est ultrasensible. Ça touche à la dignité humaine. Et c'est même bizarrement une atteinte à la dignité à sens unique dès lors que cela remet en question les privilèges [des écarts salariaux dignes de démocratie bananière]. C'est un sujet aussi dérangeant que si on touchait au trou d'balle des gens. Et ça provoque la levée de boucliers instantanément... :D Le débat est délicat [sur ce forum, y'a pas foule partisane de l'égalité salariale - plutôt des « bobos », nan..? :whistle:] tant la « civilisation » est dogmatiquement enlisée, les individus coincés dans le carcan des idées reçues, et la société figée par l'ordre établi [et surtout le crâne bourré par les merdias]. La bonne société ne comprend pas d'une part la notion de partage des richesses [selon les valeurs du sacro-saint Héritage fondateur de la communauté neuneuropéenne :ame:], et d'autre part qu'on puisse multiplier les pains pavés sur un forum. Elle - ce qui reste de la société - te dira « écris plutôt un livre ou bien fais un blog ». Mais je ne sais faire ni l'un ni l'autre, moi. :p
 
Mais bon, bref, qu'importe les moyens de communication permettant de se retrouver dans la masse « salariale » qui nous éparpille ; prolétariat « indigné » par un salariat ingrat et profitant à un capitalisme bien gras. :o Et ensuite, d'un élan de panurgisme positif, nous pourrions rassembler le troupeau afin de créer notre propre Nation (*) - égalitaire et émancipatrice -, en parallèle à la Mère Patrie où pourtant nous, citoyens du « Pays d'en bas », avions cru lire dans la devise scotchée au fronton de l'administration, en bonne garde entre les mots « liberté » et « fraternité », le mot « égalité ». Mais ce n'était qu'une illusion. Est-il possible que nous ayons été trahis par notre propre Mère Patrie ? :o
 
(*) Le cas échéant, Jovalise - Chef du Parti Rational Politic -, pourrait être notre nouveau président. :D
 
ÉGALITÉ, « J'écris Ton Nom », dorénavant en compagnie des commentaires suivants : l' « égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », c'est dans un dualisme du pays deux en un et pour le prolétaire le « devoir » de bosser comme une bête pour avoir le « droit » d'être payés des clopinettes. Il faudra retravailler la définition, et bien sûr d'autres slogans sont à inventer, car je ne suis pas l'artisan des mots subversifs qu'était Mouna, moi. :p
 
Les droits de l'homme, la liberté, l'égalité, la fraternité, l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens, et tout le tralala, taratata ! c'est du pipeau de chez trompette ouais ! Si t'es du pays d'en bas, tu l'as dans l'baba ! Ah ben voilà !
 
Nous avons tous le « droit » de pouvoir vivre dignement sans « devoir » nécessairement « réussir socialement » pour « s'en sortir » (de la merde), puisque l'échelle sociale (du pipeau) est un goulot d'étranglement et que tout le monde n'a pas la possibilité d'en gravir les échelons (en bois vermoulu). Faut-il rappeler que du bas vers le haut de la pyramide sociétale ça va en rétrécissant... :p De surcroît, une société se permettant de payer une fortune des improductifs, puis une poignée de cacahuètes des gens se tuant au boulot... Nan mais, qu'est-ce que c'est que cette Société dualiste et pratiquant la discrimination manichéenne [le racisme] à l'égard Sa classe laborieuse ! :o
 
On ne se répète jamais assez. Donc. Et puis, à défaut d'un salaire décent, ou en l'absence de salaire tout court [Dieu sait si le salaire est ordinairement court [:tinostar]], tout ce qui reste est la parole pour dire ce qui est pensable du merdier économique et social [de la bouse sociétale]. Ce qui est pensable, en gros, c'est que l'existence n'est pas éternelle - le temps n'attend pas - et qu'il ne faut pas attendre d'être arrivé au paradis pour partager les radis. En attendant la réalisation des chimères célestes, le salariat (*) doit-être pragmatique et respectueux de la dignité humaine, avoir le respect des individus qui doivent pouvoir en vivre décemment et non survivre. Le salaire [L'Argent] doit le respect à LA VIE, et non le contraire. La Vie Humaine [non plus qu'Animale, d'ailleurs ; chez l'humain, il est agit envers les plus faibles de même façon qu'envers les animaux, avec spécisme et supériorité de l'espèce « humaine », à la différence que c'est intra-espèce et du racisme antisocial chez l'humain] n'a pas à se prosterner devant le Dieu Pognon. Je vais l'expliquer encore une fois de long en large (j'en oublierai encore malgré tout.. :whistle: ..mais n'hésitez pas à le signaler, au cas où.. :o), cette fois avec un nouveau paramètre, cher à l'apologie nataliste, à l'éloge de la procréation en sacrifice à un système bordélique et instable, où la « réussite existentielle » des individus présumés consentants à venir au monde, est pour le moins hasardeuse... [:tinostar]
 
(*) À la gloire de la dignité humaine, le salariat devrait s'attacher à l'évaluation du revenu autrement que de façon discriminatoire et distinguer le « besoin fondamental » du « mérite ». Le besoin passe avant le mérite. La Société n'a pas sanctionner « l'échec social » par le paupérisme et la précarité (c'est une vieille idéologique et de la morale, ça). La notion d' « échec social » est dualiste, donc, un non-sens institutionnel, un contre-sens sociétal et civilisationnel ; l'échec n'est pas individuel mais avant tout sociétal et celui d'une société exclusive, à défaut pour la société de pouvoir intégrer tous les individus qu'elle prend la responsabilité de faire venir au Monde.
 
Dans ce système, la réussite c'est quoi ? C'est l'obligation de « s'en sortir » pour ne pas rester « dans la merde » en venant au Monde. Le challenge sociétal n'est pas la réussite de la collectivité [de la Société], mais la sacro-sainte réussite sociale [individuelle], ayant pour fondement l'inégalité des chances et les injustices sociales, paradoxalement, et par conséquent la réussite sociale n'ayant guère plus de mérite que l'échec social [une invention de l'Homme et fatalité pour la plupart des individus], même si dans la compétition pour la réussite la majorité des candidats doivent ramer [selon des capacités inégales et avec + ou – de facilité] pour parvenir au statut de privilégier [les ouvriers n'ont pas cette chance qu'offre des capacités intellectuelles, eux, et doivent bien se résigner à ramer toute leur existence pour des clopinettes, alors... :o]. Et par conséquent la « réussite » des uns nécessitant « l'échec » des autres et l'exclusion en marge d'une qualité de vie décente de toute une frange de la population, dont la classe laborieuse : « sous-catégorie » présupposée d'individus économiquement et socialement dévalorisée, infériorisée par les catégories soi-disant « supérieures » de la démocratie « humaniste » et des « droits de l'homme ». :ange:
Il faudrait que les décideurs, l'élite et leurs sbires, etc., s'octroyant le droit au chapitre et pétant dans la soie, eux, démontrent que cette situation est méritée par le prolétariat.
 
Pourquoi le « prestige » de la fonction et le statut social donne lieu à des privilèges (au nom de quoi ? :??:). Et, en dehors de toute considération hiérarchique et de responsabilité, etc. pourquoi généralement le travail physique est-il (doit-il être) moins bien considéré que le travail intellectuel et mal rémunéré ? Alors qu'on sait que le travail physique engendre plus d'inconvénients que le travail intellectuel pour la santé. « Le travail c'est la santé, rien faire c'est la conserver », chantait l'ami Henri. :D
 
Il ne s'agit pas de mettre en opposition le muscle et le cerveau. Tout les deux peuvent être complémentaires pour faire un même métier. Et même lorsque les fonctions sont séparées ; il faut des cerveaux pour la conception, et des muscles pour la fabrication. Il n'y a pas à faire des comparaisons et de la discrimination en opposant la tension et la transpiration musculaire et cérébrale. Puis à valoriser l'une plus que l'autre.
Il est nullement question de nier la pénibilité du travail intellectuel à certains égard. Mais non plus d'ignorer que le travail physique puisse engendrer des dépenses caloriques supplémentaires et le vieillissement prématuré, la pénibilité ergonomique à la tâche, les risques accidentels, et le cas échéant une diminution de l'espérance de vie. Alors qu'est-ce que justifie le dualisme manichéen du travail physique et du travail intellectuel ?
De surcroît, tout le monde n'a pas la capacité de « transpirer » de la cervelle. Alors pourquoi la transpiration musculaire a-t-elle moins d'importance et doit-elle être dévalorisée et dévalorisante ? « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Taratata ! Mais c'est quoi ce manichéisme discriminatoire sociétal ? :sarcastic:
 
Notamment, le travail intellectuel donne l'avantage dans la lutte contre le vieillissement cérébral. Tandis que le travail physique a l'inconvénient de réellement provoquer le vieillissement prématuré de l'organisme. Le robot humain, pour produire la force de travail, s'use en brûlant des calories supplémentaires avec ses muscles biologiques (un peu comme le moteur à combustion avec ses pistons). Et God sait si le travailleur carbure comme une machine et si la classe laborieuse est consommatrice de calories. C'est bien, ça, pour le mercantilisme et le consumérisme, ça fait marcher le commerce de l'alimentation [un besoin fondamentale de la vie chère ; « d'une pierre on fait deux coups », comme dirait l'autre, et la boucle est bouclée, dindons de la farce.. :p].
D'ailleurs, il y a une règle diététique fondamentale à observer [entre autres vertus diététiques permises par un salaire décent et un travail plutôt sédentaire :o] et consistant à ne consommer que les calories nécessaires à une activité normale [activité qui n'est pas le travail physique, toujours est-il], si on veut éviter le vieillissement prématuré de l'organisme.
 
Une question entre autres se pose. :p Où va l'argent qu'on ne gagne pas tout en devant proportionnellement tout payer plus cher que les autres ? :??: Eh ben dans la poche des autres, précisément. Selon le principe des vases communicants. :p  
 
Quoi qu'il en soit, l'entubage salarial, ça passe ou ça casse. Et en l'occurrence, ça passe en cassant le social. La Société. Et il en résulte que la « société » n'est plus que comme un « system ». Une sorte de Matrix robotique sans Humains. En terme d'humanisme, c'est contre-productif, ça n'a pas de sens existentiel, et pour la plupart des individus robotisés ne mène à rien d'autre qu'à passer sa vie à travailler pour la gagner.
 
Lors d'une interview en 1958, Aldous Huxley disait que dans ce système futur [actuel] les individus auront l'illusion d'être heureux.
Alors tout va pour le mieux, dans « Le meilleur des mondes »... :sol:
 
À suivre... :D
 
http://hfr-rehost.net/gif/bf67a796e63efd4e0a6d540c06e33b42597edba9.gif


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33187950
Backbone-
Much to learn, you still have.
Posté le 03-02-2013 à 13:24:09  profilanswer
 
n°33194193
henri-alex​andre
Posté le 03-02-2013 à 23:22:04  profilanswer
 

ewas a écrit :


Chiche ! Ça va faire au moins une vingtaine de pages pourries de smileys. « Fallait pas l'inviter ». :D
 
Déjà février. Dieu que le temps passe ! Je ne tiens plus en selle. :ouch:
Mais le « salaire » reste le même [L'Arnaque Universelle]. :fou:
Il n'y a que les sapins d'Noël qui ne tiennent pas en place et défilent à toute allure. :pt1cable:
Et dans un peu moins de 11 mois – demain -, ce sera nouveau la fiesta et la biture... :p
Mais au train où vont les choses, il faudra s'habituer à faire la fête avec moins de pépètes. [:tinostar]
Je n'ose à peine vous la souhaiter bonne cette-là... :??:
Mais nous avons traversé le désert 2012. Et survécu à la fin de la Bouse. :sol:
Comme dirait l'autre : « C'est d'jà ça ». [:icon10]
Il ne faut pas trop en d'mander à la « société humaine ». [:morgoth1]
Du moins à ce qu'il en reste, à la petite semaine... [:ramucho]
 
J'ai ouïe-dire, par notre vrai journaliste sir Jovanovic indépendantiste, qu'on allait probablement s'engraissècer à notre tour. Espérons qu'il se trompi. Au moins, ce ne sera point fait exprès par Lui.
Y-a-t-il un pilote dans le gros n'avion ? :??:
Bah tant pis, va ! La « civilisation humaine » aura vécu, même pas eu l'temps d'passer son brevet, tandis que la déclaration des droits de l'homme espérait au moins lui en faire obtenir le baccalauréat. :whistle:
 
Arf, on est [on naît] dans d'beaux draps, ma fois ! Et tout ça à cause d'un coût du travail trop élevé, associé à un manque de solidarité des pauvres envers les riches. Décidément, ces salauds d'pauvres nous auront tout fait, même réussi à  tous nous mettre dans l'caca. C'est bien l'Monde à l'envers, ça. :p  
Il faudrait avoir un peu plus d'empathie et de solidarité envers ces affamés de la finance, les banques et le patronat... et les merdias acoquinés. Ah les merdias ! J'allais les oublier, ceux-là. Alors que de coutume je ne me lasse point d'en faire la publicité. Ils font pitié. Allons, un peu de courage nous autres ! Soyons solidaires et bénévoles. Et tant qu'à faire, acceptons même de payer pour avoir le droit de travailler ! :D
 
À quand les tickets de rationnement ? :o
 
À suivre...
 


 
 
 

ewas a écrit :


Exactement. La Vie est bien trop précieuse pour la confier à des Terriens. Il n'y a aucune de raison de perpétuer la prédation humaine intra-espèce ; la natalité en eau trouble, dans la soupe primitive de l' « Humanité ». [:ramucho]
 
Dans l'humanité comme dans l'animalité (toutes les deux du même règne, en fait), les inégalités de naissance donnent lieu au règne de la loi du plus fort. C'est valable pour la civilisation humaine, alors que théoriquement dans celle-ci, les individus les plus forts (et plus intelligents :p), mais « civilisés » et plus évolués que les animaux, sont sensés venir en aide à leur semblables les plus faibles. Mais bien au contraire du principe humain, les individus profitent de leur supériorité pour lâchement exploiter les plus vulnérables de leurs semblables. L'humanité se comportant comme ne le feraient même pas certaines espèces animales.
 
Nous ne sommes pourtant plus des animaux et nous agissons comme des animaux et contre nature. Par conséquent, la nature se défend, et voir même se venge. Et la bêtise [bestialité] humaine engendre la stérilité. C'est la réponse que donne la nature à ce qui l'agresse, afin de tenter limiter les dégâts. Mais bon, ce n'est qu'une thèse. :D
 
Oui, la vie sur Terre est inacceptable tant qu'existent les guerres et la misère. Ce Monde engendre plus de malheur que de bien-être. Précisément à la gloire de la sacro-sainte « réussite sociale » et des inégalités salariales. Alors que le malheur social ne devrait même pas avoir lieu dans une civilisation humaine digne de ce nom.
Oui, ce Monde est bien trop instable. La procréation y est hasardeuse. Pour ne pas dire mortifère et un « crime contre l'humanité », comme tu dis. Jusqu'à « nouvel ordre mondial ». :fou:
 
Mais on nous promet une démographie neuneuropéenne galopante. Et par conséquent de plus en plus d'entassement humain dans le clapier social. Puisqu'il manque de logements et qu'on ne sait pas faire autre chose que du clapier. Et c'est surtout que ce serait bien trop beau de faire autre chose que du clapier pour ceux qui ne le méritent pas (méritocratie oblige) et font partie d'une sous-catégorie d'individus – ne sont que des sous-hommes.
 
Quand on pense au modèle scandinave. Environ 25 000 000 d'habitants pour une superficie de 1 156 000 km² (un peu plus de concentration au Danemark, mais bon). La Suède a environ dix fois moins d'habitants que la France pour à peu près la même superficie, et un IDH supérieur… :sol: L'idh Norvégien, n'en parlons pas. Bref, on ne voit pas l'intérêt d'être encore plus peuplé demain que l'on est aujourd'hui en France pour une superficie à peu près « égale » à celle de la Suède (à 100 000 km² près), sachant que c'est au détriment des libertés et de la qualité de vie, à moins d'être hégémonique et de se prendre pour la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf. :D
Trois fois plus d'habitants qu'en scandinavie (les quatre pays réunis) aujourd'hui, et peut-être quatre fois plus demain, pour moitié moins de superficie, c'est pas spécialement un choix du peuple et l'idéal pour la qualité de vie. :o
 
Qu'en pensait le visionnaire Aldous Huxley ? -> Dictature et Surpopulation - Interview d'Aldous Huxley, auteur du "Meilleur des Mondes"  
 
La plupart des individus invités (contraints) par la Société à venir au Monde n'ont pas d'autre choix qu'une existence végétative dans la classe prolétarienne où ils ne peuvent s'épanouir et jamais savoir qui ils sont vraiment [mais ils le vivent dans leur « temps de cerveau disponible » et par procuration médiamerdique.. :p ..virtuellement et en toutes sortes de situations leur faisant relativiser leur condition existentielle.. :sol:]. C'est systématique, puisque la classe laborieuse est plus nombreuse, à la base de la société et sous-tendant l'édifice sociétal ; les fondations même d'un système pyramidal inventé par l'homme et sa méritocratie hiérarchique de nos deux, avec la « classe » la plus représentative de la population, donc, démocratiquement ghettoïsée au « pays d'en bas » ; catégorie discriminée et représentant ni plus ni moins un stock de combustible servant à produire la force de travail [« sous-catégorie » d'individus par excellence désignée de la société - c'est beau la société ! [:icon10]]. C'est mathématique. La société est sélective des individus invités à se présenter au Monde [il sont de naissance présumés consentant à l'exploitation] et se fait donneuse de leçons de vie tout en n'étant pas elle-même à la hauteur et en mesure d'offrir à chacun des individus composant la « société », la sacro-sainte « réussite sociale » de nos roubignoles pour une vie décente - qui est une illusion et du pipeau, puisque la « réussite » en question repose sur l'inégalité des chances et qu'il n'y a de toute façon pas de place pour la réussite de tout le monde dans la société. Et par conséquent, statistiquement il n'y a guère plus de chance pour « s'en sortir » [de la merde] que pour gagner au loto. De surcroît, dans cette compétition darwinienne, où la sélection n'a plus rien de naturel, il est pratiquement impossible de pouvoir « s'en sortir » sans marcher sur les autres pour s'extraire du caniveau systémique et parvenir à se hisser sur le haut du pavé [du panier de crabes].
 
« Ton » plan de carrière te fait une belle jambe une fois arrivé au cimetière, lorsqu'il fallu pour y accéder marcher sur tes petits frères de la Terre Mère. :D
 
La Vie est une chose bien trop grave et sérieuse pour que le Monde qui s'offre à la Vie puisse être pris au sérieux.
 
Venir au Monde pour faire partie d'un « pays d'en bas » ayant le « droit » et le « devoir » de se faire plumer et tondre par un « pays d'en haut » [deux en un dualiste], et puis pour éternellement reproduire le même système et une chaîne alimentaire ; le cheptel des moutons de panurge et des dindons de la farce - les proies manuelles à destination d'une prédation intellectuelle et élitiste. En sacrifice à un système darwinien et carriériste, donc, de parvenus et d'arrivistes, de bobos et de clowns du divertissement médiatique - la « société du 'pestacle ». [:the clown]
 
La « société du spectacle » et ses « cumulards inflationnistes », ce système pickpocket ayant l'art de distraire le troupeau des vaches à lait tout en lui faisant (la traite) les poches par derrière. Principe qui par ailleurs peut contribuer à l'augmentation du coût de la vie, alors que la vie a l'urgence de pourvoir à des besoins fondamentaux.
 
Par ailleurs, la téloche putassière et sensationnaliste, exhibe ses petits potes boboïsants qui se la pètent dans « les nuits parisiennes » pendant que la masse laborieuse en sommeil récupère ses forces épuisées au turbin la veille pour recommencer le lendemain, et vice versa, prenant-ils les uns et les autres et tour à tour le relais dans le cycle infernale ; à la différence que ce sont les uns pour faire la fête, et les autres pour turbiner en gagnant des clopinettes. Les derniers [sur une autre planète] ne connaissant rien à l'underground et à l'art contemporain de nos deux  [à l'art content pourri mais ne comptant pas pour rien ; le mercantilisme culturel.. :p], etc., des bouses se monnayant parfois la peau du cul pendant que d'autres crèvent la dalle dans la rue. Et les autres, savent-ils au moins d'où ils viennent et où ils sont, grâce à qui et à quoi les petits bobos en toc en sont « Là » [à la fois le contexte socio-culturel et le Monde] ? :sarcastic:
 
En faisant les guignols à la société du spectacle, les « geeks », les « branchés », les chaipuquoi, etc., bref, on a tous plus ou moins l'inconscience du sacrifice humain que réclame le progrès technologique ; la technologie jetable, tout comme l'est la marchandise humaine, maintenant.
Sur ce, « mate-moi l'heure à ta montre Tartempion. Et dis-moi, si on se versait un champagne Trucmuche, à c't'heure. Lâche-toi et pète un bon coup foireux dans la soie de ton caleçon de la marque Bidule, nom de Dieu ! C'est la bonne qui fera la lessive. [:ramucho] D'ailleurs, je suis sûr que t'en change tout les jours en les mettant directement à la poubelle, mon cochon ! ». [:morgoth1]
 
Bon, faut qu'j'arrête de délirer, moi. :pt1cable:
 
Alors et puis quand tout ça n'est pas en partie subventionné par l'État [NOUS]. Quand bien même les œuvres font un flop. :p Et en plus, des artistes au prestige coûteux en privilèges, capricieux et pas du tout contents du système, trouvent en plus le moyen d'expatrier leur patrimoine (de la patrie des moines :p).
Dans la société, de tout temps il y a les castes d'intouchables, mais aussi des castes d'insupportables, de l'élite de pacotille, plus ou moins, et un parasitisme que les autres doivent coûteusement entretenir.
 
Bon, là, depuis trois ou quatre paragraphes, c'est un peu pour faire de la « littérature ». Je sais pas si j'exagère un peu, si je romance où quoi. Parce que, en tant que asocial invétéré, depuis belle lurette il ne m'intéresse guère de refoutre les pieds dans la réalité virtuelle et faisandée de la société pyramidale à plusieurs vitesses et trente-six niveaux de réalités antagonistes. Bref, le discours n'était pas celui de l'abolition des privilèges dans la mesure où les privilèges se maintiendraient dans des proportions raisonnables et permettant à chacun des éléments du corps social d'y trouver son compte. À condition de valoriser le travail par la répartition équitable des richesses qu'il produit.
 
La méritocratie - la répartition des richesses -, pourrait aussi être définie par une « démocratie participative » - à action directe -, et les talents pouvant bénéficier de privilèges serait reconnus et approuvés par la collectivité, un peu comme c'est le cas pour les corporations artistiques, bénéficiant de renommée et d'un retour en droits d'auteur. Mais cela devrait s'appliquer à toutes les autres corporations, en se combinant avec un revenu complémentaire de base, selon le cas. Les citoyens évalueraient eux-même ce qui bon leur semble d'être promu et jugeraient du mérite et des privilèges à accorder à leurs favoris parmi les ouvriers, les employés, les spécialistes, les fonctionnaires, etc., en fonction de l'utilité et de la qualité des services rendus. Bref, ce serait une méritocratie réellement démocratique. Ce qui est loin d'être le cas pour l'exercice de toutes sortes de fonctions ou pseudofonctions, plus ou moins parasitaires, et qui actuellement foutent le Monde à l'envers et dans la panade économique, avec tout le cortège des faillites, dettes, gaspillages financiers tous azimuts, etc., tout en prenant les peuples pour des troupeaux de vaches à lait. Un véritable racket universel.  
 
Plus précisément, dans le principe, il faudrait qu'existe une réelle démocratie (participative et directe, donc) vous permettant par exemple individuellement de faire le choix d'attribuer peau de balle à ceux qui vous spolient ou bien de faire l'offrande de votre « fortune » à ceux que vous idolâtrez si ça vous chante [pensez à vos idoles et/ou sociaux-traîtres « Les Nouveaux Chiens de Garde », par exemple, ces stars médiatiques de pacotille qui vous enfument en vous coûtant la peau du cul, et, autre exemple – c'est du vécu -, pensez aussi à l'architecte qui a planché sur la création du clapier social où vous devez éternellement moisir à cause de ce système inéquitable et pourri [mais le ouistiti lui-même n'y habite pas et se fait des couilles en or sur notre dos – et Dieu sait si les couilles en or ça vaut la peau du cul], et puis une fois que vous avez tout ce beau monde dans le collimateur, vous distribuez les notes, vous cochez des cases d 'évaluation de leurs services sur la partie à renvoyer des quittances audiovisuelles et de loyer, par exemple, entre autres services rendus par les corporations de tout poil auxquelles ce principe pourrait être applicable...]. Voilà voilà ! Mais...
 
Mais la réalisation d'une telle entreprise démocratique est utopique. Et que nous le voulions ou non, nous devons cracher au bassinet pour entretenir un parasitisme institutionnel - d'un système en quelque sorte bananier - et improductif à notre égard (coûteux et sans fonctionnalité efficace), mais qui ne l'est pas pour lui-même et pour ceux pour qui il carbure.
 
On n'a pas eu le temps de faire une liste exhaustive de tout le parasitisme dont la société est atteinte,
avant la fermeture de l'expo.. :D ..là -> http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 4986_1.htm
 
Cherchez pas la « dette », les « assistés », et « ceux » qui doivent toujours payer... :fou:
On peut ici faire l'illustration musicale et complémentaire à ce topic, d'au moins deux autres parasitismes :
 
Cabadzi – Le Trader
Léo Ferré – La Complainte de la Télé [merdia putassier par excellence :o].
 
D'ailleurs, l'un ne va pas sans l'autre. Tout les deux ont la complicité et la bénédiction des « Nouveaux Chiens de Garde ».
 
Le pouvoir de l'argent et de ses sbires, les privilèges et un certain standing de vie que s'octroie « l'élite » au nom d'une méritocratie bidon, foutent le Monde dans la Merde et ruinent la Société.
Certains s'en foutent qu'on en soit encore au temps de la seigneurie et du servage, et s'offusquent.. :ange: ..lorsqu'on leur fait remarquer l'état des choses qu'ils feignent hypocritement d'ignorer, dont ils font le déni de la réalité.. -> http://youtu.be/Ezms9tPXtx0
 
Cette situation offusque encore plus les seigneurs que les serfs, apparemment.  :sarcastic:
 
Puis, comme si les victimes de la guerre économique ne suffisaient pas [tout se rapporte à l'Argent Roi et au « Salaire », en fait, tout est lié et interactif sur la planète du Dieu Pognon], chaque jour, dans des conflits, et notamment du fait de la misère sociale, périssent des Êtres innocents que le Monde réclame en sacrifice (son quota systémique et machinal) et qui n'étaient pas venus pour être sacrifiés mais pour célébrer La Vie. :( :pfff:
 
Le massacre des innocents venant au Monde mercantile et consumériste pour être offerts en sacrifice à des privilèges dûs au rang ; pour le prestige de l'élite et des pays. Quand ce ne sera pas pour défendre les privilèges à la guerre.
Par ailleurs, luttez contre la pauvreté, et pendant ce temps d'autres s'affaireront à créer la misère.
Voilà où en est arrivé l'évolution de « l'Humanité ». C'était bien la peine d'ensemencer !
Alors, le plus simple est bien évidemment de ne pas faire venir au Monde la Misère.
Et puis, il y a déjà tant de petits miséreux déjà existants à adopter.
 
« On n'est pas dans le Monde des Bisounours », entendons-nous dire parfois avec ironie. Eh bien, c'est justement pas un Monde méritoire et fait pour accueillir les Enfants dans les meilleures conditions qui soient. La « méritocratie » a bon dos. :sarcastic: Avant que la « civilisation humaine » puisse elle-même « mériter » qui que ce soit et quoi que ce soit - en tout cas pas les sacrifices d'innocents -, il faudrait pouvoir rendre la vie qui leur a été volée à tous les Êtres pour Laquelle Ils ont été sacrifiés. Nos ancêtres ont déjà suffisamment donné comme ça pour rien, ou pour ne récolter que de « l'antisocial », et pour aboutir à des écarts de revenus dignes de démocratie bananière. C'est piétiner Leur tombe et cracher à la figure de Leur descendance. Une Honte ! :fou:
 
Bref, entre autres vicissitudes existentielles qui attendent au tournant les nouveau-nés, pourquoi voulez-faire venir au Monde des petits Êtres pour d'emblée les pénaliser d'inégalités salariales et les réduire à l'esclavage ? Ces pauvres innocents et proies qui n'ont rien demandé et que nous sommes tous plus ou moins dans la grande chaîne d'amitié humaine alimentaire de la prédation universelle. :sarcastic:
 
La Société nous fait venir au Monde Merveilleux des Bisounours [ce qu'on fait croire à la petite enfance] sans que nous puissions en faire le choix (lapalissade :p). C'est pas pour en plus servir d'esclaves aux riches. La Vie est un droit de naissance. Et pouvoir subvenir aux besoins de La Vie est un dû de la part de la Société qui en redemande. La Vie n'est pas une chose à prendre à la légère. La venue au Monde est une chose bien trop grave dans l'état des choses actuel et dans un système qui n'est pas à prendre au sérieux. La Vie n'est pas une chose qui doit se gagner (au loto). On ne gagne pas sa vie à un concours ou comme dans une compétition (en l'occurrence économique). Déjà, l'acoquinement de termes comme « chance », « réussite », « ascension sociale » par « l'échelle » du même nom, ou par « l'ascenseur », pour « s'en sortir » (se sortir de quoi ? de la merde ? ça met la puce à l'oreille). Mais c'est quoi ce cirque ? Pourquoi pas la « corde à nœuds sociale », aussi ? Hein ! :D Bref, l'association de ces termes de « jeu de piste », si l'on peut dire, avec « l'existentiel » est pour le moins... Arf ! « Tiens, moi aussi j'vais faire un môme, et le lancer dans la bataille, dans la compétition économique - comme un coup de dé sur le tapis de la Vie -, j'espère bien tirer le bon numéro, et je le pousserai à réussir la vie que j'ai ratée, ma foi ! ». :p Nan mais, même si sur Terre on a tendance à prendre la bourse pour un casino, c'est pas pour autant que la vie est un jeu vidéo. Il n'est pas nécessaire de faire venir au Monde La Vie si c'est pour en faire l'offrande à une prédation humaine prenant l'existence pour un jeu où tu perds ou tu gagnes. Sa place n'est pas d'être guignol à la « société du spectacle » ou bien d'être ghettoïsé au « pays d'en bas ». La responsabilité de vivre (la survie) ne revient pas à Celui qui nait dans ce Cirque, mais à la Société qui Le fait venir au Monde pour aller au charbon. Alors que personne n'a demandé à venir au Monde pour y être exploité comme un esclave par son « prochain ».
 
C'est quoi, la réussite sociale ? C'est celle de la société ? Ou bien celle de l'individu ? Est-ce que ça peut pas être les deux à la fois ? Et puis, la « valeur travail », la « méritocratie », alors, c'est quoi ?
 
La « réussite » parfois fait appel au très grand courage héroïque de faire travailler autrui pour des clopinettes tout en tirant les marrons du feu. [:icon6]
 
Bref, je ne dis pas qu'il ne faut pas travailler. Encore faut-il qu'il y ait du travail pour tout le monde. Et si le travail est pénible et sans intérêt et qu'on n'a pas le choix d'en faire un autre que celui-là, de surcroît pourquoi devrait-il être dévalorisé et dévalorisant ? Au contraire, qu'au moins le travail soit rémunéré en conséquence de sa pénibilité et donne lieu à un salaire permettant une qualité de vie décente. Il n'y a pas de raison pour que la qualité de vie du travailleur de base soit amoindrie par une hiérarchie « d'ayants droit » s'octroyant des privilèges au nom de Dieu. Ou alors il faut arrêter le discours au double langage genre la « grandeur nationale » et de nous sortir le blablabla de « l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », de la « valeur travail » et de la « méritocratie », de la « réussite sociale », des « droits de l'homme » et de la « devise » de nos deux et tout le tralala. Taratata ! Laissons-nous rire un instant durable. :sarcastic:
 
Le « salaire » est à la base de l'existence. Et du pouvoir d'achat dépendent la qualité de vie et la santé – La Vie. Nous avons tous le droit à une qualité de vie décente. La santé n'attend pas de se retrouver dans la rue et sans toit pour commencer à morfler.
 
Si il n'y a pas d'autre alternative qu'une société inégalitaire imposant de tels écarts de qualité de vie entre les individus [citoyens] - qu'éprouvent actuellement les individus d'une même société [la vie de château pour l'élite, et la cité dortoir pour le prolétariat] -, alors, dictature pour dictature, serait préférable un égalitarisme qui imposerait carrément l'égalité salariale.
 
Quelqu'un ici a évoqué le RSA comme étant un « revenu de base ». Mais c'est une misère. Et vous ne pouvez y avoir droit qu'à certaines conditions.
 
Il y a des projets de « revenu de base » et de « salaire à vie » dans l'air. La proposition de Bernard Friot (le salaire inconditionnel à vie) semble être le projet le plus élaboré et le plus humaniste. Bref, mais cela ne serait jamais qu'une solution alternative à un partage inéquitable des richesses produites par la masse laborieuse.. :p [le prolétariat [:tinostar]], et permettant malgré tout le maintient de privilèges mal acquis via une exploitation de l'homme par l'homme [un droit de l'homme riche, héroïque et fier de l'être [:icon6](*)]. Mais bon, ce serait mieux que rien... :o
 
(*) Les richesses mal réparties n'ont aucun respect de La Vie ; un pauvre, soi-disant « assisté » [selon l'inversion coutumière des valeurs], n'a dans sa condition humaine pas à avoir plus de honte qu'un riche décomplexé. Tandis que tout se mesure par l'argent. Même la valeur humaine. L'avidité et la cupidité névrotique dominant le Monde. C'est une pathologie et la cause de tous les maux de l'Humanité.
 
À suivre...
 


 

ewas a écrit :


C'est bizarre, je pense tout de suite à de l'ironie, là, si je ne me trompe... :p Bon, ok, ok, mes pavés sont prolixes, simplistes, lapalissades, etc., tout ce que vous voudrez. Ah mais si seulement comme les intellos à disque dur (il n'y a pas que ça sur le marché culturel :o) je possédais l'art de la rhétorique et du développé cérébral, chers amis croyez bien que je ne manquerais pas de le manier avec concision, au lieu d'excréter de mémorables tartines d'élucubrations. :p Des variations en quête du Graal (« littéraire » :p) et de la formule adéquate, des « essais », quoi. D'ailleurs, mes exercices sont open source, si vous voulez savoir. :o Aidez-moi plutôt à réécrire, synthétiser et mettre dans l'ordre les paragraphes et les mots, etc. Si par hasard vous chantait la collaboration à cette œuvre « majeure » (une vingtaine de pages environ :ouch:). Ok ? :D
 
Mon problème est que j'aime écrire et que j'ai du mal à m'en passer tout en n'arrivant pas à bien écrire. C'est frustrant. En plus, c'est mal perçu. Mais rassurez-vous, je vais diluer le topo (mais faudrait que le topic tourne un tantinet aussi). Et ce seront les dernières couches. [:ramucho]
Ensuite (ça fait partie des « bonnes résolutions »), ewas bousera en mode « twitter » (des petites crottes). [:troed]
 
Tt' façon, les écarts de posts n'auront jamais autant d'absurdité et d'illégitimité que les écarts de revenus existants en ce bas monde mortifère, glauque et pathétique, de la dérision humaine.
 
Vivre dans la soumission au pouvoir de l'argent, n'est pas un destin humain.
 
C'est pas parce que de tout temps la majorité des individus terrestres subissent la vie comme une épreuve, que c'est la normalité. Ou alors il faut se demander pourquoi le Tarif de la Vie n'est pas le même pour tout le Monde ; il y a principalement une relation de cause [salariale] à effet [existentiel]...
 
La question des salaires est ultrasensible. Ça touche à la dignité humaine. Et c'est même bizarrement une atteinte à la dignité à sens unique dès lors que cela remet en question les privilèges [des écarts salariaux dignes de démocratie bananière]. C'est un sujet aussi dérangeant que si on touchait au trou d'balle des gens. Et ça provoque la levée de boucliers instantanément... :D Le débat est délicat [sur ce forum, y'a pas foule partisane de l'égalité salariale - plutôt des « bobos », nan..? :whistle:] tant la « civilisation » est dogmatiquement enlisée, les individus coincés dans le carcan des idées reçues, et la société figée par l'ordre établi [et surtout le crâne bourré par les merdias]. La bonne société ne comprend pas d'une part la notion de partage des richesses [selon les valeurs du sacro-saint Héritage fondateur de la communauté neuneuropéenne :ame:], et d'autre part qu'on puisse multiplier les pains pavés sur un forum. Elle - ce qui reste de la société - te dira « écris plutôt un livre ou bien fais un blog ». Mais je ne sais faire ni l'un ni l'autre, moi. :p
 
Mais bon, bref, qu'importe les moyens de communication permettant de se retrouver dans la masse « salariale » qui nous éparpille ; prolétariat « indigné » par un salariat ingrat et profitant à un capitalisme bien gras. :o Et ensuite, d'un élan de panurgisme positif, nous pourrions rassembler le troupeau afin de créer notre propre Nation (*) - égalitaire et émancipatrice -, en parallèle à la Mère Patrie où pourtant nous, citoyens du « Pays d'en bas », avions cru lire dans la devise scotchée au fronton de l'administration, en bonne garde entre les mots « liberté » et « fraternité », le mot « égalité ». Mais ce n'était qu'une illusion. Est-il possible que nous ayons été trahis par notre propre Mère Patrie ? :o
 
(*) Le cas échéant, Jovalise - Chef du Parti Rational Politic -, pourrait être notre nouveau président. :D
 
ÉGALITÉ, « J'écris Ton Nom », dorénavant en compagnie des commentaires suivants : l' « égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », c'est dans un dualisme du pays deux en un et pour le prolétaire le « devoir » de bosser comme une bête pour avoir le « droit » d'être payés des clopinettes. Il faudra retravailler la définition, et bien sûr d'autres slogans sont à inventer, car je ne suis pas l'artisan des mots subversifs qu'était Mouna, moi. :p
 
Les droits de l'homme, la liberté, l'égalité, la fraternité, l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens, et tout le tralala, taratata ! c'est du pipeau de chez trompette ouais ! Si t'es du pays d'en bas, tu l'as dans l'baba ! Ah ben voilà !
 
Nous avons tous le « droit » de pouvoir vivre dignement sans « devoir » nécessairement « réussir socialement » pour « s'en sortir » (de la merde), puisque l'échelle sociale (du pipeau) est un goulot d'étranglement et que tout le monde n'a pas la possibilité d'en gravir les échelons (en bois vermoulu). Faut-il rappeler que du bas vers le haut de la pyramide sociétale ça va en rétrécissant... :p De surcroît, une société se permettant de payer une fortune des improductifs, puis une poignée de cacahuètes des gens se tuant au boulot... Nan mais, qu'est-ce que c'est que cette Société dualiste et pratiquant la discrimination manichéenne [le racisme] à l'égard Sa classe laborieuse ! :o
 
On ne se répète jamais assez. Donc. Et puis, à défaut d'un salaire décent, ou en l'absence de salaire tout court [Dieu sait si le salaire est ordinairement court [:tinostar]], tout ce qui reste est la parole pour dire ce qui est pensable du merdier économique et social [de la bouse sociétale]. Ce qui est pensable, en gros, c'est que l'existence n'est pas éternelle - le temps n'attend pas - et qu'il ne faut pas attendre d'être arrivé au paradis pour partager les radis. En attendant la réalisation des chimères célestes, le salariat (*) doit-être pragmatique et respectueux de la dignité humaine, avoir le respect des individus qui doivent pouvoir en vivre décemment et non survivre. Le salaire [L'Argent] doit le respect à LA VIE, et non le contraire. La Vie Humaine [non plus qu'Animale, d'ailleurs ; chez l'humain, il est agit envers les plus faibles de même façon qu'envers les animaux, avec spécisme et supériorité de l'espèce « humaine », à la différence que c'est intra-espèce et du racisme antisocial chez l'humain] n'a pas à se prosterner devant le Dieu Pognon. Je vais l'expliquer encore une fois de long en large (j'en oublierai encore malgré tout.. :whistle: ..mais n'hésitez pas à le signaler, au cas où.. :o), cette fois avec un nouveau paramètre, cher à l'apologie nataliste, à l'éloge de la procréation en sacrifice à un système bordélique et instable, où la « réussite existentielle » des individus présumés consentants à venir au monde, est pour le moins hasardeuse... [:tinostar]
 
(*) À la gloire de la dignité humaine, le salariat devrait s'attacher à l'évaluation du revenu autrement que de façon discriminatoire et distinguer le « besoin fondamental » du « mérite ». Le besoin passe avant le mérite. La Société n'a pas sanctionner « l'échec social » par le paupérisme et la précarité (c'est une vieille idéologique et de la morale, ça). La notion d' « échec social » est dualiste, donc, un non-sens institutionnel, un contre-sens sociétal et civilisationnel ; l'échec n'est pas individuel mais avant tout sociétal et celui d'une société exclusive, à défaut pour la société de pouvoir intégrer tous les individus qu'elle prend la responsabilité de faire venir au Monde.
 
Dans ce système, la réussite c'est quoi ? C'est l'obligation de « s'en sortir » pour ne pas rester « dans la merde » en venant au Monde. Le challenge sociétal n'est pas la réussite de la collectivité [de la Société], mais la sacro-sainte réussite sociale [individuelle], ayant pour fondement l'inégalité des chances et les injustices sociales, paradoxalement, et par conséquent la réussite sociale n'ayant guère plus de mérite que l'échec social [une invention de l'Homme et fatalité pour la plupart des individus], même si dans la compétition pour la réussite la majorité des candidats doivent ramer [selon des capacités inégales et avec + ou – de facilité] pour parvenir au statut de privilégier [les ouvriers n'ont pas cette chance qu'offre des capacités intellectuelles, eux, et doivent bien se résigner à ramer toute leur existence pour des clopinettes, alors... :o]. Et par conséquent la « réussite » des uns nécessitant « l'échec » des autres et l'exclusion en marge d'une qualité de vie décente de toute une frange de la population, dont la classe laborieuse : « sous-catégorie » présupposée d'individus économiquement et socialement dévalorisée, infériorisée par les catégories soi-disant « supérieures » de la démocratie « humaniste » et des « droits de l'homme ». :ange:
Il faudrait que les décideurs, l'élite et leurs sbires, etc., s'octroyant le droit au chapitre et pétant dans la soie, eux, démontrent que cette situation est méritée par le prolétariat.
 
Pourquoi le « prestige » de la fonction et le statut social donne lieu à des privilèges (au nom de quoi ? :??:). Et, en dehors de toute considération hiérarchique et de responsabilité, etc. pourquoi généralement le travail physique est-il (doit-il être) moins bien considéré que le travail intellectuel et mal rémunéré ? Alors qu'on sait que le travail physique engendre plus d'inconvénients que le travail intellectuel pour la santé. « Le travail c'est la santé, rien faire c'est la conserver », chantait l'ami Henri. :D
 
Il ne s'agit pas de mettre en opposition le muscle et le cerveau. Tout les deux peuvent être complémentaires pour faire un même métier. Et même lorsque les fonctions sont séparées ; il faut des cerveaux pour la conception, et des muscles pour la fabrication. Il n'y a pas à faire des comparaisons et de la discrimination en opposant la tension et la transpiration musculaire et cérébrale. Puis à valoriser l'une plus que l'autre.
Il est nullement question de nier la pénibilité du travail intellectuel à certains égard. Mais non plus d'ignorer que le travail physique puisse engendrer des dépenses caloriques supplémentaires et le vieillissement prématuré, la pénibilité ergonomique à la tâche, les risques accidentels, et le cas échéant une diminution de l'espérance de vie. Alors qu'est-ce que justifie le dualisme manichéen du travail physique et du travail intellectuel ?
De surcroît, tout le monde n'a pas la capacité de « transpirer » de la cervelle. Alors pourquoi la transpiration musculaire a-t-elle moins d'importance et doit-elle être dévalorisée et dévalorisante ? « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Taratata ! Mais c'est quoi ce manichéisme discriminatoire sociétal ? :sarcastic:
 
Notamment, le travail intellectuel donne l'avantage dans la lutte contre le vieillissement cérébral. Tandis que le travail physique a l'inconvénient de réellement provoquer le vieillissement prématuré de l'organisme. Le robot humain, pour produire la force de travail, s'use en brûlant des calories supplémentaires avec ses muscles biologiques (un peu comme le moteur à combustion avec ses pistons). Et God sait si le travailleur carbure comme une machine et si la classe laborieuse est consommatrice de calories. C'est bien, ça, pour le mercantilisme et le consumérisme, ça fait marcher le commerce de l'alimentation [un besoin fondamentale de la vie chère ; « d'une pierre on fait deux coups », comme dirait l'autre, et la boucle est bouclée, dindons de la farce.. :p].
D'ailleurs, il y a une règle diététique fondamentale à observer [entre autres vertus diététiques permises par un salaire décent et un travail plutôt sédentaire :o] et consistant à ne consommer que les calories nécessaires à une activité normale [activité qui n'est pas le travail physique, toujours est-il], si on veut éviter le vieillissement prématuré de l'organisme.
 
Une question entre autres se pose. :p Où va l'argent qu'on ne gagne pas tout en devant proportionnellement tout payer plus cher que les autres ? :??: Eh ben dans la poche des autres, précisément. Selon le principe des vases communicants. :p  
 
Quoi qu'il en soit, l'entubage salarial, ça passe ou ça casse. Et en l'occurrence, ça passe en cassant le social. La Société. Et il en résulte que la « société » n'est plus que comme un « system ». Une sorte de Matrix robotique sans Humains. En terme d'humanisme, c'est contre-productif, ça n'a pas de sens existentiel, et pour la plupart des individus robotisés ne mène à rien d'autre qu'à passer sa vie à travailler pour la gagner.
 
Lors d'une interview en 1958, Aldous Huxley disait que dans ce système futur [actuel] les individus auront l'illusion d'être heureux.
Alors tout va pour le mieux, dans « Le meilleur des mondes »... :sol:
 
À suivre... :D
 
http://hfr-rehost.net/gif/bf67a796 [...] 7edba9.gif


 
Bravo

n°33205476
Profil sup​primé
Posté le 04-02-2013 à 21:26:18  answer
 

En plus d'être inégale, on profite d'avantage des plus défavorisés.
Non seulement le salaire ne change pas mais le métier non plus.
On travaille toujours autant pour survivre qu'au début de temps.
Alors que nous avons optimisé notre travail.
(C'est à croire que depuis le monde appartiens à quelqu'un au moins 100(000) fois
Genre la masse financière serait de 100(000) et la valeur travail de 1.
Alors que sans 1 les 100(000) ne valent plus rien.

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 04-02-2013 à 21:28:29
n°33262213
ewas
electronic wait and see
Posté le 10-02-2013 à 04:45:45  profilanswer
 

Je sais pas comment je dois prendre le quote d'Henri-Alexandre... :??: C'était p't-êt' pas la peine d'en rajouter une couche... [:icon10]
 
Alors que j'avais déjà tronçonné le post. C'est dire la hantise du pavé et tout le stress qu'inspire le forum aux éventuels fauteurs de troubles, tant est si bien qu'on en vient à s'autocensurer. :D Il faudrait que le topic tourne un peu. Sinon, je ne pourrai pas continuer à développer, moi. :D
 


Tu es un Angevin, à ce que je vois au profil, mais pas un "ange vint", toujours est-il... :o
 
 
Exactement, c'est en quelque sorte "La servitude volontaire" (de La Boetie), qui se déroule sous notre regard ébahi. [:icon10] Et bientôt il n'y aura plus de porte de sortie. Moi j'me marre (après nous l'déluge), attend voir ce que ça va donner... Malheureusement pour les autres, il sera trop tard pour compter sur des gens comme nous, au cas où... même si nous somme encore là, puisque c'est la volonté du troupeau, amen...
 
Ben, apparemment (sur le topic, sur le forum, et dans la vie), nous faisons partie de la minorité exploitable par les autres. Je pense qu'il ne nous reste plus qu'à nous exiler sur une autre planète, afin de pouvoir trouver peine méritant salaire digne de ce nom chez de vrais "humanistes" (à mon avis, il doit certainement en exister ailleurs que dans ce Monde Pourri). Parce que de toutes façons, quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse (en travaillant ou non, de préférence comme des esclaves pour des clopinettes [:icon10]), nous aurons toujours tort et le Monde entier contre Nous ; ça fait déjà des millénaires que ça dure. Nous ne sommes décidément pas de la même race que les autres, Toi et Moi. :o
 
 
[:troed]


Message édité par ewas le 10-02-2013 à 04:48:59

---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33805643
Profil sup​primé
Posté le 30-03-2013 à 19:19:09  answer
 

Bonjour,
 
Je suis pour l'abolition des droits des femmes et pour la femme au foyer.  :o  
 
Accessoirement je suis raciste aussi.  :o  
 
Merci au revoir  :jap:

n°33966406
ewas
electronic wait and see
Posté le 14-04-2013 à 06:11:28  profilanswer
 


Bonjour l'ami, et bienvenu au « club »... Nan je rigole. :D
 
J’espère au moins qu’en disant cela tu plaisantes. Car sinon tu te trompes d’ennemi, l’ami. L’ennemi n’est pas la « race » - ni même la femme, d’ailleurs :D - sauf lorsqu’elle concurrence l’homme sur le terrain de la connerie humaine -, mais l’ennemi est bel et bien le système. Et c’est au système qu’il faut s’en prendre. Mais intelligemment et tout en cherchant à être plus rusé que celui-ci – la méritocratie corruptible et fausse démocratie ultra-libérale des spoliateurs. « Indignez-Vous ! », a dit Stéphane Hessel, avant de s’en aller au « Paradis ». :ange: Et il avait raison, le bougre, car il y a de quoi s’indigner, lorsque par exemple dans cette société du spectacle sensationnaliste et du consumérisme outrancier ne comptent plus que les apparences et la valeur marchande des individus - 25 à 35 % de rabais salarial pour prostituer la force de travail féminine et mettre au tapin turbin la machine à faire des gosses, dans ce pitoyable et dérisoire bas monde patriarcal machiste - la prédation humaine où règne la loi du marché et du plus fort potentiel économique antisocial aux fins des intérêts privés.
 
La valeur par excellence reconnue par la société et qui fait gloire aujourd’hui, c’est la valeur marchande des individus, donc, ou la valeur monétaire produite par la capacité à spolier le maximum d’individus dans un minimum de temps, sinon, plus prosaïquement, celle de l’esclave vendant sa force de travail pour un coût minimum à l’exploiteur l’achetant bon marché ou rien du tout. Jamais on ne se demande d’où vient l’argent pleuvant sur les riches. Pour certains, il semble réellement tomber du ciel, être un privilège accordé par la grâce divine, selon les justifications de faux croyants qui, tout en évoquant la « méritocratie », méritent tout au plus un séjour dans l’enfer du travail pour apprendre, en allant eux-même au charbon, à tirer de la mine avec leurs délicates petites mimines l’or et les diamants dont ils se parent au frais de la princesse. :ange: On admet bien que les ruisseaux font de grandes rivières. Que l’eau tombant du ciel vient d’ailleurs (de l’évaporation de la sueur travail de la collectivité, en ce qui concerne la source des privilèges bénissant la sacro-sainte « réussite sociale » individuelle). Il en est de même pour l’argent et les richesses, que pour l’eau des ruisseaux faisant les rivières, fleuves, mers, océans, etc, et dont la répartition est économiquement inéquitable (à la différence de l’eau et de l’équilibre naturel où tout semble baigner dans l’huile du moment où l’homme ne met pas son grain de sel dans l’écosystème) et qui au-delà de ce que produit réellement l’individu provient d’ailleurs que de lui-même – « tombe du ciel », précisément. On ne peut donc guère gagner beaucoup plus d’argent qu’autrui sans exploiter et spolier son « prochain ». La référence de base – le plancher - étant le smic. Ah ben oui, mais fallait pas l’inventer si petit. Car plus on gagne d’argent plus on spolie autrui rien qu’en dépassant ne serait-ce que le niveau du smic. Il n’est pas possible de gagner autant d’argent (disons qu’un millionnaire) sans spolier son prochain (j’aime bien évoquer le « prochain », ça contredit l’Héritage Chrétien dont on nous rebat les oreilles parfois :D). Exemple : si je m’enrichis en produisant de la bouse (a fortiori de l’inutile, sauf au concret et si elle sert d’engrais :D) qui se vend par milliers d’exemplaires, ça ne veut pas dire que les sacro-saintes « méritocratie » et « valeur travail » sont au rendez-vous (bien qu’étant moi-même l’initiateur et/ou concepteur du projet, et même l'investisseur financier), alors que mes employés sont smicards et que je les rémunère grassement d’une poignée de cacahuètes. :D
 
Soit-dit en paissant (désolé pour les « sdp »), on sait faire des calculs scientifiques sophistiqués pour des conneries parfois, mais on ne sait pas (ou ne désire pas) le faire pour définir un salaire mérité – du moins décent pour vivre - selon des critères précis (*) et répartir le plus équitablement possible les richesses produites par la force de travail.  
(*) À savoir, la pénibilité ergonomique et les risques accidentels ou de maladie professionnelle, et lorsque la fonction implique des responsabilités (quoique, on se demande si par exemple le fait d’avoir des responsabilités, de plus ou moins grande importance, doit être motivé par un supplément de rémunération... ?) - le statut social et le prestige de la fonction ne devant absolument pas justifier la valorisation ou dévalorisation de l’individu (sinon au nom de quoi ? de quels privilèges de droit divin ?) - mais ça, nous ne sommes pas encore assez évolués et civilisés pour nous en rendre compte aujourd’hui ; nous n’en sommes encore qu’au stade de l’homme de Cro-Magnon et n’irons peut-être pas davantage plus en avant – l’avant de la décadence et de sa disparition (pourtant, « l’homme de Cro-Magnon n’était pas du bidon » (Les Frères Jacques)). :D
 
La civilisation humaine aura réussi à faire de cette planète en or et de ses ressources planétaires appartenant à tout le monde, que se sont appropriées un petit nombre de malotrus se prenant pour le centre de l’Univers -, un vrai tas d’Merde. Ce n’étaient malheureusement pas (pour nous) des alchimistes. Et en disant « nous », j’ai l’impression de parler tout seul. Mais j’ai l’habitude. :D
 
Bref, pour en revenir à « nos » moutons, à l’homme qui n’est qu’un animal en costard-cravate. La cravate symbolisant le pouvoir queutal. Et le décolleté féminin, symbolisant la maternité. La femelle étant réduite, astreinte et soumise, au rôle de reproductrice. La reproduction est une fonction naturelle. Ce qui ne l’est pas (naturel), c’est la soumission – un phénomène conceptuel et issu du fait culturel (de la civilisation humaine :p).  
La femme a justement entre les mains (ou plutôt entre les jambes, et peut-être même encore plus de couille que l’homme :D) le pouvoir de changer le Monde pacifiquement et sans faire de révolution. C’est à la femme de choisir (égoïstement) ou non de reproduire le modèle en sacrifiant sa progéniture au système totalitaire instauré par l’homme – sur l’autel de la religion Finance, l’offrande de son lardon au dieu Pognon régnant sur la planète Terre.
 
Cela dit (avis aux brebis :D), il fut un temps où seul un salaire suffisait pour subvenir aux besoins de la petite famille. Ainsi, la femme pouvait rester au foyer à s’occuper des enfants. C’était pas une mauvaise chose du moment où la société aurait évolué dans le bon sens et permis au couple de faire ce choix dans les conditions adéquates. C’est à dire, considérant l’élevage des enfants comme un travail à part entière donnant droit à un salaire parental à celui des époux faisant le choix du métier d’éleveur d’enfants à la maison. :D Soit dit en passant, l’élevage « à la maison », ça ne veut pas dire dans la promiscuité carcérale des cités dortoir - les « cabanes à lapin » (la méritocratie de la double peine pour les mal-nés du servage moderne ; tout le monde n’a pas la capacité d’être seigneur), de façon à ce que « l’élite », elle, puisse bénéficier de la vie de château. [:icon10] Alors que l’Élite, c’est la péjorative « populace », vulgairement parlant, c’est celle qui va concrètement au charbon et produit les richesses de la Nation. Cocorico ! [:icon6]
 
Mais au lieu d’évoluer dans le bon sens, la société a choisi la décadence - la carence éducative et l’abandon (familial) des vraies valeurs pour la sacro-sainte valeur travail (bidon) ne profitant qu’à l’esclavagisme (« méritocratie » quand tu nous les tiens.. :sarcastic:). On a préféré prostituer la force de travail pour les « p’tits sous » (à la Saez).
« Vous aimez les sous ? ». Proposa le patronat. « Oh oui oh oui ! », répondit le prolétariat. « Eh ben ça tombe bien, nous aussi ». Ont dit les patrons. « Vous aller voir ce que vous allez voir alors ! À savoir, dorénavant devoir « travailler plus pour gagner plus » (tiens, comme c’est bizarre, j’ai déjà entendu ça quelque part), autrement dit, désormais vous allez devoir travailler à deux personnes pour gagner le salaire d’une seule [cela dit, c’était juste après la fin des « glorieuses », car maintenant dans certains cas c’est au moins à trois ou quatre pékins qu’il faut s’y mettre pour gagner un salaire ne permettant même pas à un seul de vivre décemment]. « Et après ça ne vous plaignez pas de ne plus avoir le temps de vous occuper de vos enfants ! ».
 
Par conséquent, il en résulte donc aujourd’hui le travail forcené (forcé) du papa et de la maman et l’abandon des moutards en garderie (du coup, l’épouse n’a plus l’temps d’épousseter la maison :p). Tout ça pour entretenir le train de vie luxueux d’un capitalisme de plus en plus gourmand, mettant à l’économie le turbo et du même coup tout l’monde au boulot, sauf les chômeurs que remplacent maintenant les machines.. :p – il faut envisager l’autogestion et l’indépendance des travailleurs à l’égard des moyens de production, et le cas échéant un revenu d’existence pour palier à un développement durable du chômage systémique et incompressible.
 
Aujourd’hui, les citoyens d’un pays à plusieurs étages, entre autres (cocorico !), doivent turbiner à deux ou trois, voir si c’est pas parfois à quatre ou plus, pour ne gagner qu’un seul salaire et pouvoir loger en colocation dans des clapiers (ou au camping) à la périphérie des centres d’activité (sdp, on attend toujours l’avènement de la « télématique » promis il y a près d’un demi siècle, pour réaliser de potentielles économies de temps et d’argent, et une diminution de la pollution, etc., mais il y a le changement d’horaire hiver-été, encore une invention à la con qui fait tout l’monde chier, pour racler deux-trois clopinettes au fond des tiroirs et compenser une toute petite partie d’un énorme gaspillage, et encore, on se demande si ça sert à quelque chose... :p).
Et c’est la vie trépidante de la fourmilière sociale. Ah mais qu’elle est plus belle la vie, quand on nous prend pour des toupies ! Il faut les voir courir dans tous les sens pour gagner son croûton - « des p’tits sous, des p’tits sous ! » (Saez) -, et courir de plus en plus vie, et bientôt à quatre pattes et à poil si ça continue, tout en se débarrassant des lardons à la garderie au passage, un sport (bientôt on les jettera par le toit ouvrant de la voiture au panier placé à cet effet sur le trottoir devant l’entrée de la crèche). Compétitivité et croissance économique obligent. Loi du Marché (profit) et Dieu Pognon exigent (avidité et cupidité capitalistique névrotique). Courir pour gagner « des p’tits sous », pour pouvoir survivre, et pouvoir survivre pour devoir gagner « des p’tits sous » pour pouvoir survivre - ∞. Arf, mais que ne ferait-on pas pour le pouvoir d’achat ! Mais voilà où nous en sommes. Tout un programme civilisationnel, ma foi ! [:icon10]
 
Mais c’est quoi c’bordel ? Une société ou quoi ? Mais c’est une mère patrie ou bien une mère maquerelle ? Mouarf ! C’est ça la « méritocratie » ? Mais sérieusement, c’est une blague ou quoi ? Maintenant ses enfants font le tapin pour étudier. L’égalité salariale, du moins un revenu de base – d’existence -, aurait au moins pour vertu l’éradication d’une prostitution, comment la dire...? « conjoncturelle » ou « économique »...? (vive la crise ! :o), ainsi qu’une prostitution de la force de travail ne suffisant même plus à mériter un salaire décent.
 
 
P-S. Grâce à des écarts de revenus injustifiables, une petite minorité d’individus concentre un plus grand pouvoir d’achat qu'une grande majorité d'individus. On a tendance à oublier, ou on nous fait oublier, que du pouvoir d’achat dépendent la qualité de vie et la Santé (publique :p) auxquelles tout le monde a droit. Et bien qu'étant consciente du fait que la qualité de vie est ce qui en grande partie donne valeur et sens à l’existence, la société (démocratie ultra-libérale) rend possible la libre exploitation de l’homme et la spoliation du peuple - nous sommes bel et bien dans un système de la spoliation légale et organisée, institutionnelle et systémique -, car sinon pourquoi l’état aurait toujours plus protégé que les travailleurs, la finance, les banques et le patronat, bref, le capitalisme pour lequel doit ramer le prolétariat ?
 
La masse salariale est clairement spoliée et une grande partie est déjà plus ou moins ghettoïsée. Si on ne se rend pas compte de ça aujourd’hui (peut-être sous l’effet de l’enfumage merdiatique), on l’ignorera à tout jamais. Et d’autant plus que demain on sera nanopucé ou génétiquement modifié pour trouver ça tout à fait normal. Mais on ne pourra pas dire que ne nous ont pas prévenus des lanceurs d’alerte et visionnaires comme par exemple Aldous Huxley précédemment cité. D’ailleurs, un peu comme lobotomisés par une secte (en l’occurrence la secte sociétale), on ne s’en rendra plus du tout compte et serons heureux dans la Matrice comme dans un cocon. Donc, à quoi bon se raconter des histoires, en fait... [:cend]

Message cité 1 fois
Message édité par ewas le 14-04-2013 à 08:33:22

---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33966419
hynex
Posté le 14-04-2013 à 07:01:52  profilanswer
 

Mais ALLO le topic  
[:kzimir]  [:tibo2002]  [:what has been seen]  [:nicarao]  [:homdex:1]  

n°33966465
ewas
electronic wait and see
Posté le 14-04-2013 à 08:10:13  profilanswer
 

[:abstro:1]


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33967012
ticaribou
Posté le 14-04-2013 à 09:55:59  profilanswer
 

+1 ewas
mais si, certains te lisent, la preuve
je rajouterai le gâchis pour les générations futures. Actuellement, dans le st laurent, des gens se battent contre une compagnie minière qui veut tirer quelques barils de pétrole à tout prix. Ce prix c'est la pollution durable du site, de l'eau et tout l'environnement saccagé pour les hommes, les plantes et les animaux. Tout ça pour 8 millions de barils de pétrole. On en consomme 85 par jour dans le monde. Autrement dit pour quelques heures de consommation mondiale de pétrole, ils vont saccager la gaspésie, l'île d'anticosti et autres merveilles. Et tandis que le "bénéficiaire" s'en ira avec la caisse et ses billets verts, il ne laissera sur place qu'un désert stérile, empoisonné, de l'eau impropre à la consommation ou à la vie tout simplement. On emprunte la terre à nos enfants......ce serait sympa de la leur laisser dans l'état où on l'a trouvée.

n°33967619
ewas
electronic wait and see
Posté le 14-04-2013 à 11:38:39  profilanswer
 

@ticaribou / Je suis allé voir ça. :( Et j'ai trouvé un site qui en parle. Apparement des travaux de déforestation ont déjà commencé, si j'ai bien compris ? En plus, il est question d'employer la très mortifère "méthode d’extraction par fracturation". :pfff:
 
Il y a une pétition à signer là -> http://www.avaaz.org/fr/petition/L [...] s/?cHRSpdb
 
Je sais pas si il est possible de s'inscire avec un pseudo (car je suis pas sûr que ma connexion soit bien sécurisée). En tout cas je vais voir si ça serait pas possible de signer autrement que par email interposé.
 
Comme je l'ai déjà évoqué, plus ou moins, il y a probablement des économies d'énergie à réaliser en évitant beaucoup de déplacements routiers inutiles. On nous l'a fait croire en terme de "télématique", déjà au temps du Minitel. Mais rien ne s'est passé. Maintenant, grâce au développement de l'économie numérique (c'est tout de même plus évolué que le Minitel autrefois, et maintenant avec beaucoup plus de possibilités on a moins d'excuses pour ne pas passer à l'action), il devrait être possible de générer quantité d'emploi à domicile et d'économies énergétique, de temps et argent, et moins de pollution. Que des bénéfices pour la planète et ses habitants. Mais bon. On attend peut-être que la fin du Monde arrive pour réagir. :??:


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33967773
ticaribou
Posté le 14-04-2013 à 12:04:47  profilanswer
 

ewas a écrit :

@ticaribou / Je suis allé voir ça. :( Et j'ai trouvé un site qui en parle. Apparement des travaux de déforestation ont déjà commencé, si j'ai bien compris ? En plus, il est question d'employer la très mortifère "méthode d’extraction par fracturation". :pfff:
 
Il y a une pétition à signer là -> http://www.avaaz.org/fr/petition/L [...] s/?cHRSpdb
 
Je sais pas si il est possible de s'inscire avec un pseudo (car je suis pas sûr que ma connexion soit bien sécurisée). En tout cas je vais voir si ça serait pas possible de signer autrement que par email interposé.
 
Comme je l'ai déjà évoqué, plus ou moins, il y a probablement des économies d'énergie à réaliser en évitant beaucoup de déplacements routiers inutiles. On nous l'a fait croire en terme de "télématique", déjà au temps du Minitel. Mais rien ne s'est passé. Maintenant, grâce au développement de l'économie numérique (c'est tout de même plus évolué que le Minitel autrefois, et maintenant avec beaucoup plus de possibilités on a moins d'excuses pour ne pas passer à l'action), il devrait être possible de générer quantité d'emploi à domicile et d'économies énergétique, de temps et argent, et moins de pollution. Que des bénéfices pour la planète et ses habitants. Mais bon. On attend peut-être que la fin du Monde arrive pour réagir. :??:


ils ont le droit de forer où ils veulent et quand ils veulent, la seule protection qu'il reste, c'est que si leur système pollue l'eau, là les maires des villes ont le droit d'essayer de s'y opposer.
la fin du monde ? franchement le salut de la plupart des espèces animales et végétales passe par notre disparition.  
 
Avant l'avènement du pétrole (base de notre mode de vie), on faisait quand même un peu moins de conneries ! là l'énergie facile et abondante nous a permis d'en faire encore de plus grosses. au point de scier la branche sur laquelle on est assis.....
l'avenir, si avenir il y a, avec la fin du pétrole, c'est la relocalisation : de l'énergie durable, de la nourriture, des choses nécessaires au quotidien. attention au mot tabou : la décroissance. Vivre comme si on avait 4 planètes pour nous, 7 pour les usa, c'est pas vraiment tenable. Il va nous falloir décroitre, de gré ou de force vu que les ressources s'épuisent rapidement. Mais je ne crois pas dans la sagesse des hommes pour amorcer le virage en douceur et de bon gré. ça se passera rudement, davantage façon mad max et soleil vert, que certains films de science fiction où tout d'un coup les puissants se rendent compte de la connerie et décident de faire marche arrière !

n°33968403
ewas
electronic wait and see
Posté le 14-04-2013 à 13:45:21  profilanswer
 

C'est probablement la logique reptilienne du profit à court terme qui décide dans tout ça. Et "après eux l'déluge", selon l'expression. Puis peu importe les conséquences futures, même pour leur propre descendance. Mais bon, je me prends à penser à la place des décisionnaires du bazar, là.
 
Parle pas d'malheur, quant à la potentialité fiction/réalité, perso je ne me sens pas vraiment d'appétance pour les petits carrés verts, là... :ouch: :lol:
 
Qu'en pense-t-il, le père Jovalise ? :D


---------------
c'est quand qu'on va où ?
n°33969368
ticaribou
Posté le 14-04-2013 à 16:32:17  profilanswer
 

après moi le déluge, c'est très exactement ça
entre les insectes et les soleil vert, j'opterais quand même pour les insectes s'il en reste des résistants à notre maltraitance !
parce que là on cumule 2 soucis : le manque de ressources qui s'épuisent à toute vitesse, et la pollution .
Au canada, ils en sont à construire des centrales nucléaires pour produire l'énergie permettant d'aller séparer pétrole et saloperies de leurs schistes bitumineux. En gros il faut brûler un baril pour en récupérer 2. L'efficience du tout est épouvantable ! En plus ça leur laissera des déchets nuk à surveiller des dizaines d'années, avec de l'énergie rare et chère, pour les descendants. L'uranium usé chauffe encore 6 ans, donc 6 ans de piscine, le MOX lui c'est 100 ans.  sympa non ?  
et lorsque l'essence sera trop chère pour les itinérants du nucléaire, ils feront comment pour la maintenance ? récemment, en normandie, avec la neige, ils ont dû appeler l'armée et les pompiers pour faire arriver les travailleurs d'areva à la hague.........
pour la pollution, la hausse du CO2 acidifie les mers. Les phytoplanctons disparaissent, mais comme ils sont à la base de toute la chaine et qu'il y a surpêche pour plus de la moitié des espèces, on va y arriver à soleil vert....
on a déjà un effet : certains pêcheurs africains privés de leur nourriture habituelle à cause de la surpêche sur de gros bateaux japonais se sont reconvertis à la chasse. Ce sont donc les singes qui sont en voie de disparition à leur tour.
pour les sables bitumineux : vidéo censurée au canada
http://www.youtube.com/watch?v=3LaOw7_kUuQ
les schistes, c'est pas mieux !


Message édité par ticaribou le 14-04-2013 à 17:11:53
n°33972786
ewas
electronic wait and see
Posté le 15-04-2013 à 00:09:09  profilanswer
 

J'ai vu le reportage. Ben c'est pas très réjouissant tout ça. Quand de surcroît se rajoute à l'exploitation d'une source d'énergie polluante l'utilisation d'une autre source d'énergie polluante et potentiellement catastrophique comme le nucléaire. C'est un cercle vicieux avec pour moteur l'offre et la demande. Il faudrait que se calme la demande. Mais ça ne se fera pas sans un sérieux retour de manivelle - comme pour prendre la décision d'arrêter les dégâts, pas par humanisme, mais à partir du moment où la balance ne penche plus du côté de la rentabilité.


---------------
c'est quand qu'on va où ?
mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
[Banque Populaire] Avance premiers salairespour un retour a l'égalité des remboursements fonction publique
Les salaires de l'arméeVSd enquete sur les salaires des "stars" de la télé
L'évolution récente du statut social des médecins...[SALAIRE] Droits sur les salaires
Femme = Homme est ce q cette égalité est vrai ? Pourquoi ?Salaires, pouvoir d'achat... la France décadente
annualisation des salairesEgalité des salaires : vrai ou faux
Plus de sujets relatifs à : Topic pour l'égalité des salaires.


Copyright © 1997-2022 Hardware.fr SARL (Signaler un contenu illicite / Données personnelles) / Groupe LDLC / Shop HFR