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Auteur Sujet :

Topic pour l'égalité des salaires.

n°33972786
ewas
electronic wait and see
Posté le 15-04-2013 à 00:09:09  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
J'ai vu le reportage. Ben c'est pas très réjouissant tout ça. Quand de surcroît se rajoute à l'exploitation d'une source d'énergie polluante l'utilisation d'une autre source d'énergie polluante et potentiellement catastrophique comme le nucléaire. C'est un cercle vicieux avec pour moteur l'offre et la demande. Il faudrait que se calme la demande. Mais ça ne se fera pas sans un sérieux retour de manivelle - comme pour prendre la décision d'arrêter les dégâts, pas par humanisme, mais à partir du moment où la balance ne penche plus du côté de la rentabilité.


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c'est quand qu'on va où ?
mood
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Posté le 15-04-2013 à 00:09:09  profilanswer
 

n°33973680
ticaribou
Posté le 15-04-2013 à 08:41:13  profilanswer
 

ah mais non ! là c'est de l'utopie
ste croissance priez pour nous ! la solution, c'est la croissance ! bin non ducon ! le problème c'est la croissance
dans un monde FINI aux ressources FINIES elles aussi, baser une société sur une croissance exponentielle, c'est d'une débilité profonde.
question rentabilité, là les ricains sont plus pragmatiques que nous. Ils se sont retirés d'iter, comme les japs d'ailleurs. Et nous ? on fait mumuse avec ce concept dont on a déjà la solution !  
iter c'est imiter la réaction du soleil, LA CONTENIR , et en tirer une énergie INFINIE.
déjà infinie : pour quoi faire ? continuer plus loin nos conneries destructrices ? non merci !  
la contenir : il faudrait inventer une matière assez costaud pour ne pas crâmer avec des milliers de degrés, MAIS perméable pour récupérer l'énergie. courage les gars, c'est pas gagné
en plus pour ça, ils utilisent une masse d'énergie. Pour même pas en produire éventuellement vers 2050. Bref du grand n'importe quoi !
car iter, on l'a déjà !
la réaction contrôlée du soleil ? lève la tête ingénieur de mes 2, la solution est là !
les récupérateurs d'énergie ? mince alors.......les panneaux solaires existent et s'améliorent......en plus on peut les implanter partout, il suffit d'avoir de la lumière.........

n°33989304
hynex
Posté le 16-04-2013 à 09:54:31  profilanswer
 

Comparer des panneaux solaires a ce que serait la maitrise de la fusion thermonucleaire...
Vraiment beauoup de blagueurs par ici...

n°33989655
ticaribou
Posté le 16-04-2013 à 10:20:15  profilanswer
 

hynex a écrit :

Comparer des panneaux solaires a ce que serait la maitrise de la fusion thermonucleaire...
Vraiment beauoup de blagueurs par ici...


parce que tu y crois vraiment ? si une fusée s'approche du soleil, elle crâmera bien avant d'avoir fait la moitié du chemin ! et on est un peu pressés là . on va aborder la chute de la courbe du pétrole. il devient vraiment urgent de trouver un truc tenable.  
le contrôle est tout trouvé ! la distance nous protège donc pas besoin de chercher la matière capable de tenir des milliers de degrés tout en étant perméable....
et les récupérateurs, non seulement on sait faire, mais en plus l'argent d'iter mis sur leur amélioration pourrait faire des merveilles :D

n°33990273
maurice ch​evallier
Versus Maurice Laspallès
Posté le 16-04-2013 à 11:04:30  profilanswer
 

Je soutiens le camarade jovalise. [:chaman_boc]  
 
"Mais ce n'est pas sérieux enfin, si on fait cela, tout le monde à égalité, mais enfin vous n'y pensez pas, ce serait l'apocalypse" nous disent les "honnêtes gens".  
 
Hum, voyons voir ça en illustrant avec deux exemples.
D'abord dans le monde réel :
Premier exemple : Christian.  
Christian bosse au service compta d'une COGIP de banlieue parisienne. Il travaille effectivement 1 à 2 heures par jour à remplir des tableaux excel, le reste de ses 9 heures de présence au bureau étant consacré à boire du café, draguer la secrétaire en lui faisant des blagues style "il est où ton tampon ? Non pas celui-là, le tampon pour tamponner" s'approvisionner en blagues sur humour.com et faire suivre des powerpoints hilarants à tout le monde.  
Pour ce travail, Christian gagne 2500 € net par mois, + prime annuelle d'un salaire, + voiture de fonction + téléphone de fonction + tickets resto
 
Deuxième exemple, Boubakar.  
Boubakar travaille dans un centre de tri de déchets. Pendant 2x4 heures, il voit défiler sur un tapis roulant devant lui des tas d'ordure, il doit en retirer le maximum d'objets en plastique dur, comme les bouchons de bouteille plastique, et les trucs en métal. Il ne peut pas causer parce qu'il a des bouchons dans les oreilles pour ne pas être assourdi par les machines, il ne peut pas se barrer 5 minutes parce que les déchets défilent super vite. Pour ce boulot, Boubakar gagne 1200 € net + prime annuelle autour de 300 €.
 
Christian bosse 4 fois moins que l'autre sans se faire chier et il gagne le double. Pourquoi parce que plus jeune il est allé à l'école et il détient un BTS. Alors que Boubakar sait lire le français avec difficulté, vu qu'à la base il a une formation de gardien de chèvres à 5000 kilomètres d'ici.
 
Maintenant considérons un monde parallèle, une société dans laquelle Boubakar et Christian sont rémunérés à égalité quel que soit le boulot effectué, en alignant Boubakar sur Christian tant qu'à faire, et non l'inverse.  
Les "honnêtes gens" nous disent qu'on se retrouverait dans la situation suivante : 20 ans auparavant, le jeune Christian se serait dit "je vais pas me faire chier à aller suivre des cours pour avoir un BTS, ça ne me sert à rien puisque je gagnerais le même salaire quoi que je fasse." Christian aurait donc décidé de ne passer aucun diplôme et puis merde, à quoi bon savoir lire et écrire ? Ce choix amènerait donc Christian à occuper le même poste que Boubakar et de travailler cote à cote avec lui. Logique, selon les "honnêtes gens", dans une société égalitaire, quelqu'un qui aurait la possibilité de faire des études choisirait de ne pas en faire dans le but inavoué de faire un taf de merde.
Je ne pense pas que ce soit un raisonnement correct. Je pense que non seulement Christian n'aurait rien changé à sa vie dans le monde parallèle, mais je crois par contre que ça changerait pas mal celle de Boubakar et de sa famille. Et encore plus celle de l'état qui lui se gavera de recettes. Il remboursera ses nombreux créanciers, puis se lancera dans des projets tels que le tunnel Brest-New York, la colonisation de Mars et autres activités créatrices d'emploi...

n°33990338
Backbone-
Much to learn, you still have.
Posté le 16-04-2013 à 11:08:48  profilanswer
 

:D

n°34002834
ticaribou
Posté le 17-04-2013 à 09:40:45  profilanswer
 

http://www.arte.tv/fr/pays-bas-la- [...] 57508.html
limiter les différences de salaire de 1 à 20 dans une même entreprise, on dirait comme un écho :D  
en quoi ça gênerait ceux qui touchent le plus ? 20 fois plus, ça permet de se loger, de bouffer, de se déplacer et d'aller se prendre du bon temps, non ? alors pourquoi plus ? pourquoi ne pas laisser les autres avoir le minimum vital ?

n°34108431
hollandais​ volant
L'unique
Posté le 25-04-2013 à 23:07:05  profilanswer
 

ewas a écrit :


Chiche ! Ça va faire au moins une vingtaine de pages pourries de smileys. « Fallait pas l'inviter ». :D
 
Déjà février. Dieu que le temps passe ! Je ne tiens plus en selle. :ouch:
Mais le « salaire » reste le même [L'Arnaque Universelle]. :fou:
Il n'y a que les sapins d'Noël qui ne tiennent pas en place et défilent à toute allure. :pt1cable:
Et dans un peu moins de 11 mois – demain -, ce sera nouveau la fiesta et la biture... :p
Mais au train où vont les choses, il faudra s'habituer à faire la fête avec moins de pépètes. [:tinostar]
Je n'ose à peine vous la souhaiter bonne cette-là... :??:
Mais nous avons traversé le désert 2012. Et survécu à la fin de la Bouse. :sol:
Comme dirait l'autre : « C'est d'jà ça ». [:icon10]
Il ne faut pas trop en d'mander à la « société humaine ». [:morgoth1]
Du moins à ce qu'il en reste, à la petite semaine... [:ramucho]
 
J'ai ouïe-dire, par notre vrai journaliste sir Jovanovic indépendantiste, qu'on allait probablement s'engraissècer à notre tour. Espérons qu'il se trompi. Au moins, ce ne sera point fait exprès par Lui.
Y-a-t-il un pilote dans le gros n'avion ? :??:
Bah tant pis, va ! La « civilisation humaine » aura vécu, même pas eu l'temps d'passer son brevet, tandis que la déclaration des droits de l'homme espérait au moins lui en faire obtenir le baccalauréat. :whistle:
 
Arf, on est [on naît] dans d'beaux draps, ma fois ! Et tout ça à cause d'un coût du travail trop élevé, associé à un manque de solidarité des pauvres envers les riches. Décidément, ces salauds d'pauvres nous auront tout fait, même réussi à  tous nous mettre dans l'caca. C'est bien l'Monde à l'envers, ça. :p  
Il faudrait avoir un peu plus d'empathie et de solidarité envers ces affamés de la finance, les banques et le patronat... et les merdias acoquinés. Ah les merdias ! J'allais les oublier, ceux-là. Alors que de coutume je ne me lasse point d'en faire la publicité. Ils font pitié. Allons, un peu de courage nous autres ! Soyons solidaires et bénévoles. Et tant qu'à faire, acceptons même de payer pour avoir le droit de travailler ! :D
 
À quand les tickets de rationnement ? :o
 
À suivre...
 
 
Exactement. La Vie est bien trop précieuse pour la confier à des Terriens. Il n'y a aucune de raison de perpétuer la prédation humaine intra-espèce ; la natalité en eau trouble, dans la soupe primitive de l' « Humanité ». [:ramucho]
 
Dans l'humanité comme dans l'animalité (toutes les deux du même règne, en fait), les inégalités de naissance donnent lieu au règne de la loi du plus fort. C'est valable pour la civilisation humaine, alors que théoriquement dans celle-ci, les individus les plus forts (et plus intelligents :p), mais « civilisés » et plus évolués que les animaux, sont sensés venir en aide à leur semblables les plus faibles. Mais bien au contraire du principe humain, les individus profitent de leur supériorité pour lâchement exploiter les plus vulnérables de leurs semblables. L'humanité se comportant comme ne le feraient même pas certaines espèces animales.
 
Nous ne sommes pourtant plus des animaux et nous agissons comme des animaux et contre nature. Par conséquent, la nature se défend, et voir même se venge. Et la bêtise [bestialité] humaine engendre la stérilité. C'est la réponse que donne la nature à ce qui l'agresse, afin de tenter limiter les dégâts. Mais bon, ce n'est qu'une thèse. :D
 
Oui, la vie sur Terre est inacceptable tant qu'existent les guerres et la misère. Ce Monde engendre plus de malheur que de bien-être. Précisément à la gloire de la sacro-sainte « réussite sociale » et des inégalités salariales. Alors que le malheur social ne devrait même pas avoir lieu dans une civilisation humaine digne de ce nom.
Oui, ce Monde est bien trop instable. La procréation y est hasardeuse. Pour ne pas dire mortifère et un « crime contre l'humanité », comme tu dis. Jusqu'à « nouvel ordre mondial ». :fou:
 
Mais on nous promet une démographie neuneuropéenne galopante. Et par conséquent de plus en plus d'entassement humain dans le clapier social. Puisqu'il manque de logements et qu'on ne sait pas faire autre chose que du clapier. Et c'est surtout que ce serait bien trop beau de faire autre chose que du clapier pour ceux qui ne le méritent pas (méritocratie oblige) et font partie d'une sous-catégorie d'individus – ne sont que des sous-hommes.
 
Quand on pense au modèle scandinave. Environ 25 000 000 d'habitants pour une superficie de 1 156 000 km² (un peu plus de concentration au Danemark, mais bon). La Suède a environ dix fois moins d'habitants que la France pour à peu près la même superficie, et un IDH supérieur… :sol: L'idh Norvégien, n'en parlons pas. Bref, on ne voit pas l'intérêt d'être encore plus peuplé demain que l'on est aujourd'hui en France pour une superficie à peu près « égale » à celle de la Suède (à 100 000 km² près), sachant que c'est au détriment des libertés et de la qualité de vie, à moins d'être hégémonique et de se prendre pour la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf. :D
Trois fois plus d'habitants qu'en scandinavie (les quatre pays réunis) aujourd'hui, et peut-être quatre fois plus demain, pour moitié moins de superficie, c'est pas spécialement un choix du peuple et l'idéal pour la qualité de vie. :o
 
Qu'en pensait le visionnaire Aldous Huxley ? -> Dictature et Surpopulation - Interview d'Aldous Huxley, auteur du "Meilleur des Mondes"  
 
La plupart des individus invités (contraints) par la Société à venir au Monde n'ont pas d'autre choix qu'une existence végétative dans la classe prolétarienne où ils ne peuvent s'épanouir et jamais savoir qui ils sont vraiment [mais ils le vivent dans leur « temps de cerveau disponible » et par procuration médiamerdique.. :p ..virtuellement et en toutes sortes de situations leur faisant relativiser leur condition existentielle.. :sol:]. C'est systématique, puisque la classe laborieuse est plus nombreuse, à la base de la société et sous-tendant l'édifice sociétal ; les fondations même d'un système pyramidal inventé par l'homme et sa méritocratie hiérarchique de nos deux, avec la « classe » la plus représentative de la population, donc, démocratiquement ghettoïsée au « pays d'en bas » ; catégorie discriminée et représentant ni plus ni moins un stock de combustible servant à produire la force de travail [« sous-catégorie » d'individus par excellence désignée de la société - c'est beau la société ! [:icon10]]. C'est mathématique. La société est sélective des individus invités à se présenter au Monde [il sont de naissance présumés consentant à l'exploitation] et se fait donneuse de leçons de vie tout en n'étant pas elle-même à la hauteur et en mesure d'offrir à chacun des individus composant la « société », la sacro-sainte « réussite sociale » de nos roubignoles pour une vie décente - qui est une illusion et du pipeau, puisque la « réussite » en question repose sur l'inégalité des chances et qu'il n'y a de toute façon pas de place pour la réussite de tout le monde dans la société. Et par conséquent, statistiquement il n'y a guère plus de chance pour « s'en sortir » [de la merde] que pour gagner au loto. De surcroît, dans cette compétition darwinienne, où la sélection n'a plus rien de naturel, il est pratiquement impossible de pouvoir « s'en sortir » sans marcher sur les autres pour s'extraire du caniveau systémique et parvenir à se hisser sur le haut du pavé [du panier de crabes].
 
« Ton » plan de carrière te fait une belle jambe une fois arrivé au cimetière, lorsqu'il fallu pour y accéder marcher sur tes petits frères de la Terre Mère. :D
 
La Vie est une chose bien trop grave et sérieuse pour que le Monde qui s'offre à la Vie puisse être pris au sérieux.
 
Venir au Monde pour faire partie d'un « pays d'en bas » ayant le « droit » et le « devoir » de se faire plumer et tondre par un « pays d'en haut » [deux en un dualiste], et puis pour éternellement reproduire le même système et une chaîne alimentaire ; le cheptel des moutons de panurge et des dindons de la farce - les proies manuelles à destination d'une prédation intellectuelle et élitiste. En sacrifice à un système darwinien et carriériste, donc, de parvenus et d'arrivistes, de bobos et de clowns du divertissement médiatique - la « société du 'pestacle ». [:the clown]
 
La « société du spectacle » et ses « cumulards inflationnistes », ce système pickpocket ayant l'art de distraire le troupeau des vaches à lait tout en lui faisant (la traite) les poches par derrière. Principe qui par ailleurs peut contribuer à l'augmentation du coût de la vie, alors que la vie a l'urgence de pourvoir à des besoins fondamentaux.
 
Par ailleurs, la téloche putassière et sensationnaliste, exhibe ses petits potes boboïsants qui se la pètent dans « les nuits parisiennes » pendant que la masse laborieuse en sommeil récupère ses forces épuisées au turbin la veille pour recommencer le lendemain, et vice versa, prenant-ils les uns et les autres et tour à tour le relais dans le cycle infernale ; à la différence que ce sont les uns pour faire la fête, et les autres pour turbiner en gagnant des clopinettes. Les derniers [sur une autre planète] ne connaissant rien à l'underground et à l'art contemporain de nos deux  [à l'art content pourri mais ne comptant pas pour rien ; le mercantilisme culturel.. :p], etc., des bouses se monnayant parfois la peau du cul pendant que d'autres crèvent la dalle dans la rue. Et les autres, savent-ils au moins d'où ils viennent et où ils sont, grâce à qui et à quoi les petits bobos en toc en sont « Là » [à la fois le contexte socio-culturel et le Monde] ? :sarcastic:
 
En faisant les guignols à la société du spectacle, les « geeks », les « branchés », les chaipuquoi, etc., bref, on a tous plus ou moins l'inconscience du sacrifice humain que réclame le progrès technologique ; la technologie jetable, tout comme l'est la marchandise humaine, maintenant.
Sur ce, « mate-moi l'heure à ta montre Tartempion. Et dis-moi, si on se versait un champagne Trucmuche, à c't'heure. Lâche-toi et pète un bon coup foireux dans la soie de ton caleçon de la marque Bidule, nom de Dieu ! C'est la bonne qui fera la lessive. [:ramucho] D'ailleurs, je suis sûr que t'en change tout les jours en les mettant directement à la poubelle, mon cochon ! ». [:morgoth1]
 
Bon, faut qu'j'arrête de délirer, moi. :pt1cable:
 
Alors et puis quand tout ça n'est pas en partie subventionné par l'État [NOUS]. Quand bien même les œuvres font un flop. :p Et en plus, des artistes au prestige coûteux en privilèges, capricieux et pas du tout contents du système, trouvent en plus le moyen d'expatrier leur patrimoine (de la patrie des moines :p).
Dans la société, de tout temps il y a les castes d'intouchables, mais aussi des castes d'insupportables, de l'élite de pacotille, plus ou moins, et un parasitisme que les autres doivent coûteusement entretenir.
 
Bon, là, depuis trois ou quatre paragraphes, c'est un peu pour faire de la « littérature ». Je sais pas si j'exagère un peu, si je romance où quoi. Parce que, en tant que asocial invétéré, depuis belle lurette il ne m'intéresse guère de refoutre les pieds dans la réalité virtuelle et faisandée de la société pyramidale à plusieurs vitesses et trente-six niveaux de réalités antagonistes. Bref, le discours n'était pas celui de l'abolition des privilèges dans la mesure où les privilèges se maintiendraient dans des proportions raisonnables et permettant à chacun des éléments du corps social d'y trouver son compte. À condition de valoriser le travail par la répartition équitable des richesses qu'il produit.
 
La méritocratie - la répartition des richesses -, pourrait aussi être définie par une « démocratie participative » - à action directe -, et les talents pouvant bénéficier de privilèges serait reconnus et approuvés par la collectivité, un peu comme c'est le cas pour les corporations artistiques, bénéficiant de renommée et d'un retour en droits d'auteur. Mais cela devrait s'appliquer à toutes les autres corporations, en se combinant avec un revenu complémentaire de base, selon le cas. Les citoyens évalueraient eux-même ce qui bon leur semble d'être promu et jugeraient du mérite et des privilèges à accorder à leurs favoris parmi les ouvriers, les employés, les spécialistes, les fonctionnaires, etc., en fonction de l'utilité et de la qualité des services rendus. Bref, ce serait une méritocratie réellement démocratique. Ce qui est loin d'être le cas pour l'exercice de toutes sortes de fonctions ou pseudofonctions, plus ou moins parasitaires, et qui actuellement foutent le Monde à l'envers et dans la panade économique, avec tout le cortège des faillites, dettes, gaspillages financiers tous azimuts, etc., tout en prenant les peuples pour des troupeaux de vaches à lait. Un véritable racket universel.  
 
Plus précisément, dans le principe, il faudrait qu'existe une réelle démocratie (participative et directe, donc) vous permettant par exemple individuellement de faire le choix d'attribuer peau de balle à ceux qui vous spolient ou bien de faire l'offrande de votre « fortune » à ceux que vous idolâtrez si ça vous chante [pensez à vos idoles et/ou sociaux-traîtres « Les Nouveaux Chiens de Garde », par exemple, ces stars médiatiques de pacotille qui vous enfument en vous coûtant la peau du cul, et, autre exemple – c'est du vécu -, pensez aussi à l'architecte qui a planché sur la création du clapier social où vous devez éternellement moisir à cause de ce système inéquitable et pourri [mais le ouistiti lui-même n'y habite pas et se fait des couilles en or sur notre dos – et Dieu sait si les couilles en or ça vaut la peau du cul], et puis une fois que vous avez tout ce beau monde dans le collimateur, vous distribuez les notes, vous cochez des cases d 'évaluation de leurs services sur la partie à renvoyer des quittances audiovisuelles et de loyer, par exemple, entre autres services rendus par les corporations de tout poil auxquelles ce principe pourrait être applicable...]. Voilà voilà ! Mais...
 
Mais la réalisation d'une telle entreprise démocratique est utopique. Et que nous le voulions ou non, nous devons cracher au bassinet pour entretenir un parasitisme institutionnel - d'un système en quelque sorte bananier - et improductif à notre égard (coûteux et sans fonctionnalité efficace), mais qui ne l'est pas pour lui-même et pour ceux pour qui il carbure.
 
On n'a pas eu le temps de faire une liste exhaustive de tout le parasitisme dont la société est atteinte,
avant la fermeture de l'expo.. :D ..là -> http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 4986_1.htm
 
Cherchez pas la « dette », les « assistés », et « ceux » qui doivent toujours payer... :fou:
On peut ici faire l'illustration musicale et complémentaire à ce topic, d'au moins deux autres parasitismes :
 
Cabadzi – Le Trader
Léo Ferré – La Complainte de la Télé [merdia putassier par excellence :o].
 
D'ailleurs, l'un ne va pas sans l'autre. Tout les deux ont la complicité et la bénédiction des « Nouveaux Chiens de Garde ».
 
Le pouvoir de l'argent et de ses sbires, les privilèges et un certain standing de vie que s'octroie « l'élite » au nom d'une méritocratie bidon, foutent le Monde dans la Merde et ruinent la Société.
Certains s'en foutent qu'on en soit encore au temps de la seigneurie et du servage, et s'offusquent.. :ange: ..lorsqu'on leur fait remarquer l'état des choses qu'ils feignent hypocritement d'ignorer, dont ils font le déni de la réalité.. -> http://youtu.be/Ezms9tPXtx0
 
Cette situation offusque encore plus les seigneurs que les serfs, apparemment.  :sarcastic:
 
Puis, comme si les victimes de la guerre économique ne suffisaient pas [tout se rapporte à l'Argent Roi et au « Salaire », en fait, tout est lié et interactif sur la planète du Dieu Pognon], chaque jour, dans des conflits, et notamment du fait de la misère sociale, périssent des Êtres innocents que le Monde réclame en sacrifice (son quota systémique et machinal) et qui n'étaient pas venus pour être sacrifiés mais pour célébrer La Vie. :( :pfff:
 
Le massacre des innocents venant au Monde mercantile et consumériste pour être offerts en sacrifice à des privilèges dûs au rang ; pour le prestige de l'élite et des pays. Quand ce ne sera pas pour défendre les privilèges à la guerre.
Par ailleurs, luttez contre la pauvreté, et pendant ce temps d'autres s'affaireront à créer la misère.
Voilà où en est arrivé l'évolution de « l'Humanité ». C'était bien la peine d'ensemencer !
Alors, le plus simple est bien évidemment de ne pas faire venir au Monde la Misère.
Et puis, il y a déjà tant de petits miséreux déjà existants à adopter.
 
« On n'est pas dans le Monde des Bisounours », entendons-nous dire parfois avec ironie. Eh bien, c'est justement pas un Monde méritoire et fait pour accueillir les Enfants dans les meilleures conditions qui soient. La « méritocratie » a bon dos. :sarcastic: Avant que la « civilisation humaine » puisse elle-même « mériter » qui que ce soit et quoi que ce soit - en tout cas pas les sacrifices d'innocents -, il faudrait pouvoir rendre la vie qui leur a été volée à tous les Êtres pour Laquelle Ils ont été sacrifiés. Nos ancêtres ont déjà suffisamment donné comme ça pour rien, ou pour ne récolter que de « l'antisocial », et pour aboutir à des écarts de revenus dignes de démocratie bananière. C'est piétiner Leur tombe et cracher à la figure de Leur descendance. Une Honte ! :fou:
 
Bref, entre autres vicissitudes existentielles qui attendent au tournant les nouveau-nés, pourquoi voulez-faire venir au Monde des petits Êtres pour d'emblée les pénaliser d'inégalités salariales et les réduire à l'esclavage ? Ces pauvres innocents et proies qui n'ont rien demandé et que nous sommes tous plus ou moins dans la grande chaîne d'amitié humaine alimentaire de la prédation universelle. :sarcastic:
 
La Société nous fait venir au Monde Merveilleux des Bisounours [ce qu'on fait croire à la petite enfance] sans que nous puissions en faire le choix (lapalissade :p). C'est pas pour en plus servir d'esclaves aux riches. La Vie est un droit de naissance. Et pouvoir subvenir aux besoins de La Vie est un dû de la part de la Société qui en redemande. La Vie n'est pas une chose à prendre à la légère. La venue au Monde est une chose bien trop grave dans l'état des choses actuel et dans un système qui n'est pas à prendre au sérieux. La Vie n'est pas une chose qui doit se gagner (au loto). On ne gagne pas sa vie à un concours ou comme dans une compétition (en l'occurrence économique). Déjà, l'acoquinement de termes comme « chance », « réussite », « ascension sociale » par « l'échelle » du même nom, ou par « l'ascenseur », pour « s'en sortir » (se sortir de quoi ? de la merde ? ça met la puce à l'oreille). Mais c'est quoi ce cirque ? Pourquoi pas la « corde à nœuds sociale », aussi ? Hein ! :D Bref, l'association de ces termes de « jeu de piste », si l'on peut dire, avec « l'existentiel » est pour le moins... Arf ! « Tiens, moi aussi j'vais faire un môme, et le lancer dans la bataille, dans la compétition économique - comme un coup de dé sur le tapis de la Vie -, j'espère bien tirer le bon numéro, et je le pousserai à réussir la vie que j'ai ratée, ma foi ! ». :p Nan mais, même si sur Terre on a tendance à prendre la bourse pour un casino, c'est pas pour autant que la vie est un jeu vidéo. Il n'est pas nécessaire de faire venir au Monde La Vie si c'est pour en faire l'offrande à une prédation humaine prenant l'existence pour un jeu où tu perds ou tu gagnes. Sa place n'est pas d'être guignol à la « société du spectacle » ou bien d'être ghettoïsé au « pays d'en bas ». La responsabilité de vivre (la survie) ne revient pas à Celui qui nait dans ce Cirque, mais à la Société qui Le fait venir au Monde pour aller au charbon. Alors que personne n'a demandé à venir au Monde pour y être exploité comme un esclave par son « prochain ».
 
C'est quoi, la réussite sociale ? C'est celle de la société ? Ou bien celle de l'individu ? Est-ce que ça peut pas être les deux à la fois ? Et puis, la « valeur travail », la « méritocratie », alors, c'est quoi ?
 
La « réussite » parfois fait appel au très grand courage héroïque de faire travailler autrui pour des clopinettes tout en tirant les marrons du feu. [:icon6]
 
Bref, je ne dis pas qu'il ne faut pas travailler. Encore faut-il qu'il y ait du travail pour tout le monde. Et si le travail est pénible et sans intérêt et qu'on n'a pas le choix d'en faire un autre que celui-là, de surcroît pourquoi devrait-il être dévalorisé et dévalorisant ? Au contraire, qu'au moins le travail soit rémunéré en conséquence de sa pénibilité et donne lieu à un salaire permettant une qualité de vie décente. Il n'y a pas de raison pour que la qualité de vie du travailleur de base soit amoindrie par une hiérarchie « d'ayants droit » s'octroyant des privilèges au nom de Dieu. Ou alors il faut arrêter le discours au double langage genre la « grandeur nationale » et de nous sortir le blablabla de « l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », de la « valeur travail » et de la « méritocratie », de la « réussite sociale », des « droits de l'homme » et de la « devise » de nos deux et tout le tralala. Taratata ! Laissons-nous rire un instant durable. :sarcastic:
 
Le « salaire » est à la base de l'existence. Et du pouvoir d'achat dépendent la qualité de vie et la santé – La Vie. Nous avons tous le droit à une qualité de vie décente. La santé n'attend pas de se retrouver dans la rue et sans toit pour commencer à morfler.
 
Si il n'y a pas d'autre alternative qu'une société inégalitaire imposant de tels écarts de qualité de vie entre les individus [citoyens] - qu'éprouvent actuellement les individus d'une même société [la vie de château pour l'élite, et la cité dortoir pour le prolétariat] -, alors, dictature pour dictature, serait préférable un égalitarisme qui imposerait carrément l'égalité salariale.
 
Quelqu'un ici a évoqué le RSA comme étant un « revenu de base ». Mais c'est une misère. Et vous ne pouvez y avoir droit qu'à certaines conditions.
 
Il y a des projets de « revenu de base » et de « salaire à vie » dans l'air. La proposition de Bernard Friot (le salaire inconditionnel à vie) semble être le projet le plus élaboré et le plus humaniste. Bref, mais cela ne serait jamais qu'une solution alternative à un partage inéquitable des richesses produites par la masse laborieuse.. :p [le prolétariat [:tinostar]], et permettant malgré tout le maintient de privilèges mal acquis via une exploitation de l'homme par l'homme [un droit de l'homme riche, héroïque et fier de l'être [:icon6](*)]. Mais bon, ce serait mieux que rien... :o
 
(*) Les richesses mal réparties n'ont aucun respect de La Vie ; un pauvre, soi-disant « assisté » [selon l'inversion coutumière des valeurs], n'a dans sa condition humaine pas à avoir plus de honte qu'un riche décomplexé. Tandis que tout se mesure par l'argent. Même la valeur humaine. L'avidité et la cupidité névrotique dominant le Monde. C'est une pathologie et la cause de tous les maux de l'Humanité.
 
À suivre...
 
 
C'est bizarre, je pense tout de suite à de l'ironie, là, si je ne me trompe... :p Bon, ok, ok, mes pavés sont prolixes, simplistes, lapalissades, etc., tout ce que vous voudrez. Ah mais si seulement comme les intellos à disque dur (il n'y a pas que ça sur le marché culturel :o) je possédais l'art de la rhétorique et du développé cérébral, chers amis croyez bien que je ne manquerais pas de le manier avec concision, au lieu d'excréter de mémorables tartines d'élucubrations. :p Des variations en quête du Graal (« littéraire » :p) et de la formule adéquate, des « essais », quoi. D'ailleurs, mes exercices sont open source, si vous voulez savoir. :o Aidez-moi plutôt à réécrire, synthétiser et mettre dans l'ordre les paragraphes et les mots, etc. Si par hasard vous chantait la collaboration à cette œuvre « majeure » (une vingtaine de pages environ :ouch:). Ok ? :D
 
Mon problème est que j'aime écrire et que j'ai du mal à m'en passer tout en n'arrivant pas à bien écrire. C'est frustrant. En plus, c'est mal perçu. Mais rassurez-vous, je vais diluer le topo (mais faudrait que le topic tourne un tantinet aussi). Et ce seront les dernières couches. [:ramucho]
Ensuite (ça fait partie des « bonnes résolutions »), ewas bousera en mode « twitter » (des petites crottes). [:troed]
 
Tt' façon, les écarts de posts n'auront jamais autant d'absurdité et d'illégitimité que les écarts de revenus existants en ce bas monde mortifère, glauque et pathétique, de la dérision humaine.
 
Vivre dans la soumission au pouvoir de l'argent, n'est pas un destin humain.
 
C'est pas parce que de tout temps la majorité des individus terrestres subissent la vie comme une épreuve, que c'est la normalité. Ou alors il faut se demander pourquoi le Tarif de la Vie n'est pas le même pour tout le Monde ; il y a principalement une relation de cause [salariale] à effet [existentiel]...
 
La question des salaires est ultrasensible. Ça touche à la dignité humaine. Et c'est même bizarrement une atteinte à la dignité à sens unique dès lors que cela remet en question les privilèges [des écarts salariaux dignes de démocratie bananière]. C'est un sujet aussi dérangeant que si on touchait au trou d'balle des gens. Et ça provoque la levée de boucliers instantanément... :D Le débat est délicat [sur ce forum, y'a pas foule partisane de l'égalité salariale - plutôt des « bobos », nan..? :whistle:] tant la « civilisation » est dogmatiquement enlisée, les individus coincés dans le carcan des idées reçues, et la société figée par l'ordre établi [et surtout le crâne bourré par les merdias]. La bonne société ne comprend pas d'une part la notion de partage des richesses [selon les valeurs du sacro-saint Héritage fondateur de la communauté neuneuropéenne :ame:], et d'autre part qu'on puisse multiplier les pains pavés sur un forum. Elle - ce qui reste de la société - te dira « écris plutôt un livre ou bien fais un blog ». Mais je ne sais faire ni l'un ni l'autre, moi. :p
 
Mais bon, bref, qu'importe les moyens de communication permettant de se retrouver dans la masse « salariale » qui nous éparpille ; prolétariat « indigné » par un salariat ingrat et profitant à un capitalisme bien gras. :o Et ensuite, d'un élan de panurgisme positif, nous pourrions rassembler le troupeau afin de créer notre propre Nation (*) - égalitaire et émancipatrice -, en parallèle à la Mère Patrie où pourtant nous, citoyens du « Pays d'en bas », avions cru lire dans la devise scotchée au fronton de l'administration, en bonne garde entre les mots « liberté » et « fraternité », le mot « égalité ». Mais ce n'était qu'une illusion. Est-il possible que nous ayons été trahis par notre propre Mère Patrie ? :o
 
(*) Le cas échéant, Jovalise - Chef du Parti Rational Politic -, pourrait être notre nouveau président. :D
 
ÉGALITÉ, « J'écris Ton Nom », dorénavant en compagnie des commentaires suivants : l' « égalité en droits et devoirs de tous les citoyens », c'est dans un dualisme du pays deux en un et pour le prolétaire le « devoir » de bosser comme une bête pour avoir le « droit » d'être payés des clopinettes. Il faudra retravailler la définition, et bien sûr d'autres slogans sont à inventer, car je ne suis pas l'artisan des mots subversifs qu'était Mouna, moi. :p
 
Les droits de l'homme, la liberté, l'égalité, la fraternité, l'égalité en droits et devoirs de tous les citoyens, et tout le tralala, taratata ! c'est du pipeau de chez trompette ouais ! Si t'es du pays d'en bas, tu l'as dans l'baba ! Ah ben voilà !
 
Nous avons tous le « droit » de pouvoir vivre dignement sans « devoir » nécessairement « réussir socialement » pour « s'en sortir » (de la merde), puisque l'échelle sociale (du pipeau) est un goulot d'étranglement et que tout le monde n'a pas la possibilité d'en gravir les échelons (en bois vermoulu). Faut-il rappeler que du bas vers le haut de la pyramide sociétale ça va en rétrécissant... :p De surcroît, une société se permettant de payer une fortune des improductifs, puis une poignée de cacahuètes des gens se tuant au boulot... Nan mais, qu'est-ce que c'est que cette Société dualiste et pratiquant la discrimination manichéenne [le racisme] à l'égard Sa classe laborieuse ! :o
 
On ne se répète jamais assez. Donc. Et puis, à défaut d'un salaire décent, ou en l'absence de salaire tout court [Dieu sait si le salaire est ordinairement court [:tinostar]], tout ce qui reste est la parole pour dire ce qui est pensable du merdier économique et social [de la bouse sociétale]. Ce qui est pensable, en gros, c'est que l'existence n'est pas éternelle - le temps n'attend pas - et qu'il ne faut pas attendre d'être arrivé au paradis pour partager les radis. En attendant la réalisation des chimères célestes, le salariat (*) doit-être pragmatique et respectueux de la dignité humaine, avoir le respect des individus qui doivent pouvoir en vivre décemment et non survivre. Le salaire [L'Argent] doit le respect à LA VIE, et non le contraire. La Vie Humaine [non plus qu'Animale, d'ailleurs ; chez l'humain, il est agit envers les plus faibles de même façon qu'envers les animaux, avec spécisme et supériorité de l'espèce « humaine », à la différence que c'est intra-espèce et du racisme antisocial chez l'humain] n'a pas à se prosterner devant le Dieu Pognon. Je vais l'expliquer encore une fois de long en large (j'en oublierai encore malgré tout.. :whistle: ..mais n'hésitez pas à le signaler, au cas où.. :o), cette fois avec un nouveau paramètre, cher à l'apologie nataliste, à l'éloge de la procréation en sacrifice à un système bordélique et instable, où la « réussite existentielle » des individus présumés consentants à venir au monde, est pour le moins hasardeuse... [:tinostar]
 
(*) À la gloire de la dignité humaine, le salariat devrait s'attacher à l'évaluation du revenu autrement que de façon discriminatoire et distinguer le « besoin fondamental » du « mérite ». Le besoin passe avant le mérite. La Société n'a pas sanctionner « l'échec social » par le paupérisme et la précarité (c'est une vieille idéologique et de la morale, ça). La notion d' « échec social » est dualiste, donc, un non-sens institutionnel, un contre-sens sociétal et civilisationnel ; l'échec n'est pas individuel mais avant tout sociétal et celui d'une société exclusive, à défaut pour la société de pouvoir intégrer tous les individus qu'elle prend la responsabilité de faire venir au Monde.
 
Dans ce système, la réussite c'est quoi ? C'est l'obligation de « s'en sortir » pour ne pas rester « dans la merde » en venant au Monde. Le challenge sociétal n'est pas la réussite de la collectivité [de la Société], mais la sacro-sainte réussite sociale [individuelle], ayant pour fondement l'inégalité des chances et les injustices sociales, paradoxalement, et par conséquent la réussite sociale n'ayant guère plus de mérite que l'échec social [une invention de l'Homme et fatalité pour la plupart des individus], même si dans la compétition pour la réussite la majorité des candidats doivent ramer [selon des capacités inégales et avec + ou – de facilité] pour parvenir au statut de privilégier [les ouvriers n'ont pas cette chance qu'offre des capacités intellectuelles, eux, et doivent bien se résigner à ramer toute leur existence pour des clopinettes, alors... :o]. Et par conséquent la « réussite » des uns nécessitant « l'échec » des autres et l'exclusion en marge d'une qualité de vie décente de toute une frange de la population, dont la classe laborieuse : « sous-catégorie » présupposée d'individus économiquement et socialement dévalorisée, infériorisée par les catégories soi-disant « supérieures » de la démocratie « humaniste » et des « droits de l'homme ». :ange:
Il faudrait que les décideurs, l'élite et leurs sbires, etc., s'octroyant le droit au chapitre et pétant dans la soie, eux, démontrent que cette situation est méritée par le prolétariat.
 
Pourquoi le « prestige » de la fonction et le statut social donne lieu à des privilèges (au nom de quoi ? :??:). Et, en dehors de toute considération hiérarchique et de responsabilité, etc. pourquoi généralement le travail physique est-il (doit-il être) moins bien considéré que le travail intellectuel et mal rémunéré ? Alors qu'on sait que le travail physique engendre plus d'inconvénients que le travail intellectuel pour la santé. « Le travail c'est la santé, rien faire c'est la conserver », chantait l'ami Henri. :D
 
Il ne s'agit pas de mettre en opposition le muscle et le cerveau. Tout les deux peuvent être complémentaires pour faire un même métier. Et même lorsque les fonctions sont séparées ; il faut des cerveaux pour la conception, et des muscles pour la fabrication. Il n'y a pas à faire des comparaisons et de la discrimination en opposant la tension et la transpiration musculaire et cérébrale. Puis à valoriser l'une plus que l'autre.
Il est nullement question de nier la pénibilité du travail intellectuel à certains égard. Mais non plus d'ignorer que le travail physique puisse engendrer des dépenses caloriques supplémentaires et le vieillissement prématuré, la pénibilité ergonomique à la tâche, les risques accidentels, et le cas échéant une diminution de l'espérance de vie. Alors qu'est-ce que justifie le dualisme manichéen du travail physique et du travail intellectuel ?
De surcroît, tout le monde n'a pas la capacité de « transpirer » de la cervelle. Alors pourquoi la transpiration musculaire a-t-elle moins d'importance et doit-elle être dévalorisée et dévalorisante ? « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Taratata ! Mais c'est quoi ce manichéisme discriminatoire sociétal ? :sarcastic:
 
Notamment, le travail intellectuel donne l'avantage dans la lutte contre le vieillissement cérébral. Tandis que le travail physique a l'inconvénient de réellement provoquer le vieillissement prématuré de l'organisme. Le robot humain, pour produire la force de travail, s'use en brûlant des calories supplémentaires avec ses muscles biologiques (un peu comme le moteur à combustion avec ses pistons). Et God sait si le travailleur carbure comme une machine et si la classe laborieuse est consommatrice de calories. C'est bien, ça, pour le mercantilisme et le consumérisme, ça fait marcher le commerce de l'alimentation [un besoin fondamentale de la vie chère ; « d'une pierre on fait deux coups », comme dirait l'autre, et la boucle est bouclée, dindons de la farce.. :p].
D'ailleurs, il y a une règle diététique fondamentale à observer [entre autres vertus diététiques permises par un salaire décent et un travail plutôt sédentaire :o] et consistant à ne consommer que les calories nécessaires à une activité normale [activité qui n'est pas le travail physique, toujours est-il], si on veut éviter le vieillissement prématuré de l'organisme.
 
Une question entre autres se pose. :p Où va l'argent qu'on ne gagne pas tout en devant proportionnellement tout payer plus cher que les autres ? :??: Eh ben dans la poche des autres, précisément. Selon le principe des vases communicants. :p  
 
Quoi qu'il en soit, l'entubage salarial, ça passe ou ça casse. Et en l'occurrence, ça passe en cassant le social. La Société. Et il en résulte que la « société » n'est plus que comme un « system ». Une sorte de Matrix robotique sans Humains. En terme d'humanisme, c'est contre-productif, ça n'a pas de sens existentiel, et pour la plupart des individus robotisés ne mène à rien d'autre qu'à passer sa vie à travailler pour la gagner.
 
Lors d'une interview en 1958, Aldous Huxley disait que dans ce système futur [actuel] les individus auront l'illusion d'être heureux.
Alors tout va pour le mieux, dans « Le meilleur des mondes »... :sol:
 
À suivre... :D
 
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Mais quelle définition donne tu au social ?
 

ewas a écrit :


Bonjour l'ami, et bienvenu au « club »... Nan je rigole. :D
 
J’espère au moins qu’en disant cela tu plaisantes. Car sinon tu te trompes d’ennemi, l’ami. L’ennemi n’est pas la « race » - ni même la femme, d’ailleurs :D - sauf lorsqu’elle concurrence l’homme sur le terrain de la connerie humaine -, mais l’ennemi est bel et bien le système. Et c’est au système qu’il faut s’en prendre. Mais intelligemment et tout en cherchant à être plus rusé que celui-ci – la méritocratie corruptible et fausse démocratie ultra-libérale des spoliateurs. « Indignez-Vous ! », a dit Stéphane Hessel, avant de s’en aller au « Paradis ». :ange: Et il avait raison, le bougre, car il y a de quoi s’indigner, lorsque par exemple dans cette société du spectacle sensationnaliste et du consumérisme outrancier ne comptent plus que les apparences et la valeur marchande des individus - 25 à 35 % de rabais salarial pour prostituer la force de travail féminine et mettre au tapin turbin la machine à faire des gosses, dans ce pitoyable et dérisoire bas monde patriarcal machiste - la prédation humaine où règne la loi du marché et du plus fort potentiel économique antisocial aux fins des intérêts privés.
 
La valeur par excellence reconnue par la société et qui fait gloire aujourd’hui, c’est la valeur marchande des individus, donc, ou la valeur monétaire produite par la capacité à spolier le maximum d’individus dans un minimum de temps, sinon, plus prosaïquement, celle de l’esclave vendant sa force de travail pour un coût minimum à l’exploiteur l’achetant bon marché ou rien du tout. Jamais on ne se demande d’où vient l’argent pleuvant sur les riches. Pour certains, il semble réellement tomber du ciel, être un privilège accordé par la grâce divine, selon les justifications de faux croyants qui, tout en évoquant la « méritocratie », méritent tout au plus un séjour dans l’enfer du travail pour apprendre, en allant eux-même au charbon, à tirer de la mine avec leurs délicates petites mimines l’or et les diamants dont ils se parent au frais de la princesse. :ange: On admet bien que les ruisseaux font de grandes rivières. Que l’eau tombant du ciel vient d’ailleurs (de l’évaporation de la sueur travail de la collectivité, en ce qui concerne la source des privilèges bénissant la sacro-sainte « réussite sociale » individuelle). Il en est de même pour l’argent et les richesses, que pour l’eau des ruisseaux faisant les rivières, fleuves, mers, océans, etc, et dont la répartition est économiquement inéquitable (à la différence de l’eau et de l’équilibre naturel où tout semble baigner dans l’huile du moment où l’homme ne met pas son grain de sel dans l’écosystème) et qui au-delà de ce que produit réellement l’individu provient d’ailleurs que de lui-même – « tombe du ciel », précisément. On ne peut donc guère gagner beaucoup plus d’argent qu’autrui sans exploiter et spolier son « prochain ». La référence de base – le plancher - étant le smic. Ah ben oui, mais fallait pas l’inventer si petit. Car plus on gagne d’argent plus on spolie autrui rien qu’en dépassant ne serait-ce que le niveau du smic. Il n’est pas possible de gagner autant d’argent (disons qu’un millionnaire) sans spolier son prochain (j’aime bien évoquer le « prochain », ça contredit l’Héritage Chrétien dont on nous rebat les oreilles parfois :D). Exemple : si je m’enrichis en produisant de la bouse (a fortiori de l’inutile, sauf au concret et si elle sert d’engrais :D) qui se vend par milliers d’exemplaires, ça ne veut pas dire que les sacro-saintes « méritocratie » et « valeur travail » sont au rendez-vous (bien qu’étant moi-même l’initiateur et/ou concepteur du projet, et même l'investisseur financier), alors que mes employés sont smicards et que je les rémunère grassement d’une poignée de cacahuètes. :D
 
Soit-dit en paissant (désolé pour les « sdp »), on sait faire des calculs scientifiques sophistiqués pour des conneries parfois, mais on ne sait pas (ou ne désire pas) le faire pour définir un salaire mérité – du moins décent pour vivre - selon des critères précis (*) et répartir le plus équitablement possible les richesses produites par la force de travail.  
(*) À savoir, la pénibilité ergonomique et les risques accidentels ou de maladie professionnelle, et lorsque la fonction implique des responsabilités (quoique, on se demande si par exemple le fait d’avoir des responsabilités, de plus ou moins grande importance, doit être motivé par un supplément de rémunération... ?) - le statut social et le prestige de la fonction ne devant absolument pas justifier la valorisation ou dévalorisation de l’individu (sinon au nom de quoi ? de quels privilèges de droit divin ?) - mais ça, nous ne sommes pas encore assez évolués et civilisés pour nous en rendre compte aujourd’hui ; nous n’en sommes encore qu’au stade de l’homme de Cro-Magnon et n’irons peut-être pas davantage plus en avant – l’avant de la décadence et de sa disparition (pourtant, « l’homme de Cro-Magnon n’était pas du bidon » (Les Frères Jacques)). :D
 
La civilisation humaine aura réussi à faire de cette planète en or et de ses ressources planétaires appartenant à tout le monde, que se sont appropriées un petit nombre de malotrus se prenant pour le centre de l’Univers -, un vrai tas d’Merde. Ce n’étaient malheureusement pas (pour nous) des alchimistes. Et en disant « nous », j’ai l’impression de parler tout seul. Mais j’ai l’habitude. :D
 
Bref, pour en revenir à « nos » moutons, à l’homme qui n’est qu’un animal en costard-cravate. La cravate symbolisant le pouvoir queutal. Et le décolleté féminin, symbolisant la maternité. La femelle étant réduite, astreinte et soumise, au rôle de reproductrice. La reproduction est une fonction naturelle. Ce qui ne l’est pas (naturel), c’est la soumission – un phénomène conceptuel et issu du fait culturel (de la civilisation humaine :p).  
La femme a justement entre les mains (ou plutôt entre les jambes, et peut-être même encore plus de couille que l’homme :D) le pouvoir de changer le Monde pacifiquement et sans faire de révolution. C’est à la femme de choisir (égoïstement) ou non de reproduire le modèle en sacrifiant sa progéniture au système totalitaire instauré par l’homme – sur l’autel de la religion Finance, l’offrande de son lardon au dieu Pognon régnant sur la planète Terre.
 
Cela dit (avis aux brebis :D), il fut un temps où seul un salaire suffisait pour subvenir aux besoins de la petite famille. Ainsi, la femme pouvait rester au foyer à s’occuper des enfants. C’était pas une mauvaise chose du moment où la société aurait évolué dans le bon sens et permis au couple de faire ce choix dans les conditions adéquates. C’est à dire, considérant l’élevage des enfants comme un travail à part entière donnant droit à un salaire parental à celui des époux faisant le choix du métier d’éleveur d’enfants à la maison. :D Soit dit en passant, l’élevage « à la maison », ça ne veut pas dire dans la promiscuité carcérale des cités dortoir - les « cabanes à lapin » (la méritocratie de la double peine pour les mal-nés du servage moderne ; tout le monde n’a pas la capacité d’être seigneur), de façon à ce que « l’élite », elle, puisse bénéficier de la vie de château. [:icon10] Alors que l’Élite, c’est la péjorative « populace », vulgairement parlant, c’est celle qui va concrètement au charbon et produit les richesses de la Nation. Cocorico ! [:icon6]
 
Mais au lieu d’évoluer dans le bon sens, la société a choisi la décadence - la carence éducative et l’abandon (familial) des vraies valeurs pour la sacro-sainte valeur travail (bidon) ne profitant qu’à l’esclavagisme (« méritocratie » quand tu nous les tiens.. :sarcastic:). On a préféré prostituer la force de travail pour les « p’tits sous » (à la Saez).
« Vous aimez les sous ? ». Proposa le patronat. « Oh oui oh oui ! », répondit le prolétariat. « Eh ben ça tombe bien, nous aussi ». Ont dit les patrons. « Vous aller voir ce que vous allez voir alors ! À savoir, dorénavant devoir « travailler plus pour gagner plus » (tiens, comme c’est bizarre, j’ai déjà entendu ça quelque part), autrement dit, désormais vous allez devoir travailler à deux personnes pour gagner le salaire d’une seule [cela dit, c’était juste après la fin des « glorieuses », car maintenant dans certains cas c’est au moins à trois ou quatre pékins qu’il faut s’y mettre pour gagner un salaire ne permettant même pas à un seul de vivre décemment]. « Et après ça ne vous plaignez pas de ne plus avoir le temps de vous occuper de vos enfants ! ».
 
Par conséquent, il en résulte donc aujourd’hui le travail forcené (forcé) du papa et de la maman et l’abandon des moutards en garderie (du coup, l’épouse n’a plus l’temps d’épousseter la maison :p). Tout ça pour entretenir le train de vie luxueux d’un capitalisme de plus en plus gourmand, mettant à l’économie le turbo et du même coup tout l’monde au boulot, sauf les chômeurs que remplacent maintenant les machines.. :p – il faut envisager l’autogestion et l’indépendance des travailleurs à l’égard des moyens de production, et le cas échéant un revenu d’existence pour palier à un développement durable du chômage systémique et incompressible.
 
Aujourd’hui, les citoyens d’un pays à plusieurs étages, entre autres (cocorico !), doivent turbiner à deux ou trois, voir si c’est pas parfois à quatre ou plus, pour ne gagner qu’un seul salaire et pouvoir loger en colocation dans des clapiers (ou au camping) à la périphérie des centres d’activité (sdp, on attend toujours l’avènement de la « télématique » promis il y a près d’un demi siècle, pour réaliser de potentielles économies de temps et d’argent, et une diminution de la pollution, etc., mais il y a le changement d’horaire hiver-été, encore une invention à la con qui fait tout l’monde chier, pour racler deux-trois clopinettes au fond des tiroirs et compenser une toute petite partie d’un énorme gaspillage, et encore, on se demande si ça sert à quelque chose... :p).
Et c’est la vie trépidante de la fourmilière sociale. Ah mais qu’elle est plus belle la vie, quand on nous prend pour des toupies ! Il faut les voir courir dans tous les sens pour gagner son croûton - « des p’tits sous, des p’tits sous ! » (Saez) -, et courir de plus en plus vie, et bientôt à quatre pattes et à poil si ça continue, tout en se débarrassant des lardons à la garderie au passage, un sport (bientôt on les jettera par le toit ouvrant de la voiture au panier placé à cet effet sur le trottoir devant l’entrée de la crèche). Compétitivité et croissance économique obligent. Loi du Marché (profit) et Dieu Pognon exigent (avidité et cupidité capitalistique névrotique). Courir pour gagner « des p’tits sous », pour pouvoir survivre, et pouvoir survivre pour devoir gagner « des p’tits sous » pour pouvoir survivre - ∞. Arf, mais que ne ferait-on pas pour le pouvoir d’achat ! Mais voilà où nous en sommes. Tout un programme civilisationnel, ma foi ! [:icon10]
 
Mais c’est quoi c’bordel ? Une société ou quoi ? Mais c’est une mère patrie ou bien une mère maquerelle ? Mouarf ! C’est ça la « méritocratie » ? Mais sérieusement, c’est une blague ou quoi ? Maintenant ses enfants font le tapin pour étudier. L’égalité salariale, du moins un revenu de base – d’existence -, aurait au moins pour vertu l’éradication d’une prostitution, comment la dire...? « conjoncturelle » ou « économique »...? (vive la crise ! :o), ainsi qu’une prostitution de la force de travail ne suffisant même plus à mériter un salaire décent.
 
 
P-S. Grâce à des écarts de revenus injustifiables, une petite minorité d’individus concentre un plus grand pouvoir d’achat qu'une grande majorité d'individus. On a tendance à oublier, ou on nous fait oublier, que du pouvoir d’achat dépendent la qualité de vie et la Santé (publique :p) auxquelles tout le monde a droit. Et bien qu'étant consciente du fait que la qualité de vie est ce qui en grande partie donne valeur et sens à l’existence, la société (démocratie ultra-libérale) rend possible la libre exploitation de l’homme et la spoliation du peuple - nous sommes bel et bien dans un système de la spoliation légale et organisée, institutionnelle et systémique -, car sinon pourquoi l’état aurait toujours plus protégé que les travailleurs, la finance, les banques et le patronat, bref, le capitalisme pour lequel doit ramer le prolétariat ?
 
La masse salariale est clairement spoliée et une grande partie est déjà plus ou moins ghettoïsée. Si on ne se rend pas compte de ça aujourd’hui (peut-être sous l’effet de l’enfumage merdiatique), on l’ignorera à tout jamais. Et d’autant plus que demain on sera nanopucé ou génétiquement modifié pour trouver ça tout à fait normal. Mais on ne pourra pas dire que ne nous ont pas prévenus des lanceurs d’alerte et visionnaires comme par exemple Aldous Huxley précédemment cité. D’ailleurs, un peu comme lobotomisés par une secte (en l’occurrence la secte sociétale), on ne s’en rendra plus du tout compte et serons heureux dans la Matrice comme dans un cocon. Donc, à quoi bon se raconter des histoires, en fait... [:cend]


 
Mais encore ...
 

n°34130197
ewas
electronic wait and see
Posté le 28-04-2013 à 06:12:48  profilanswer
 

ticaribou a écrit :

http://www.arte.tv/fr/pays-bas-la- [...] 57508.html
limiter les différences de salaire de 1 à 20 dans une même entreprise, on dirait comme un écho :D  
en quoi ça gênerait ceux qui touchent le plus ? 20 fois plus, ça permet de se loger, de bouffer, de se déplacer et d'aller se prendre du bon temps, non ? alors pourquoi plus ? pourquoi ne pas laisser les autres avoir le minimum vital ?


1/ Il me semble que les écarts de revenus sont encore moins importants dans les pays scandinaves comme par exemple la Suède ou la Norvège (à vérifier) et pour un IDH le meilleur du Monde, je crois (à vérifier). Bref, pour une qualité de vie n'ayant rien à envier à la notre et certainement plus équitablement répartie.
 
2/ Oui pourquoi pas ? :jap: Mais il semble que l'humanisme ne soit pas la priorité de la « civilisation » terrienne qui préfère un paupérisme systémique et mortifère à un partage équitable, afin de préserver des privilèges injustifiables. Tout est dans le prestige, la façade technologique et le bling-bling qui en mettent plein la vue, et puis derrière, le bordel économique et la misère. :o
 
À propos précédemment évoqué :
 
http://www.presence-pc.com/tests/P [...] ire-22698/
 
http://www.presence-pc.com/tests/pc-solaire-22706/
 
J’avais dans l’idée (ma ch'tite cervelle de moineau) d’apporter ma contribution écologique (selon la légende du colibri) et de m’équiper en énergie solaire pour alimenter toute mon activité numérique (et même plus si c’était possible) et à la fois réaliser une expérience qui me passionne et me tient à cœur. Mais malheureusement l’ensoleillement n’est pas au rendez-vous chez bibi... :-/
 

hollandais volant a écrit :

Mais quelle définition donne tu au social ?

La même que tous ceux qui en éprouvent le besoin. Le besoin d'égalité et de justice - c'est pas moi qui l'ai inventé, c'est écrit dans la devise du pays à deux étages - la démocratie des droits de l'homme à géométrie variable. Ne me dites pas que je n'ai pas assez développé de chez tartine. :o
 
D'ailleurs, mais ma parole, vous faites exprès de les quoter...? :o
 

Ça vous amuse de me voir râler comme un « Mouna » sur la place publique, hein ! :o
 
:D « Mais encore », donc, et pour en revenir au sujet :
 

Citation :

Topic pour l'égalité des salaires


Les petits salaires donnent un sale air. Par conséquent, bienvenu à l’égalité des salaires. :D
 
Et n’oubliez pas, le 1er Mai, c’est la Fête du Trepalium. Pour le DEVOIR de s’y plier, c’est par excellence le temps de la revendication du DROIT au chapitre. En avant marche ! Tous Ensemble ! Tous Ensemble ! À la fête de l’exploitation de l’homme par l’homme au pays des Droits de l’Homme et dans la démocrature idolâtrique du dieu Pognon. Le Trepalium rend libre ! :sol: Vive le Trepalium ! [:tinostar]  
 
http://hfr-rehost.net/www.jackuse.com/img/p/149-1681-thickbox.jpg
 
À la démocratie des arrivistes, des carriéristes, des corporatistes, des bobos et parvenus sur le dessus du panier (de crabes), bref, des spoliateurs de tout poil, et surtout les bobos ultra-libéraux (à la con, ben dites alors !) sortis du trou d’bal de soixante-huit - le fameux Héritage des révolutionnaires de nos roubignoles, là... D’ailleurs, faudrait voir à pas se tromper d’ennemi -> …Il s’agit avant tout de lutte des classes, avec des jeunes et des vieux à tous les étages du système (antisocial de merde - pas une Société digne de ce nom), des chômeurs et patrons de père en fils. Bref, les révoltés d’hier comprenant les acteurs et stars autoproclamés du bordel économique d’aujourd’hui, là, qui dans leur propre intérêt élitiste et corporatiste réglementent la méritocratie des privilèges dus au rang et au prestige - la sacro-sainte « réussite sociale » -, et la méritocratie de l’échec social du cheptel des vaches à lait en sacrifice au dieu Pognon sur l’autel de la Finance pas fine du tout - la double ou triple peine darwinienne pour les inégalités de naissance, et les privilèges dus au rang des zéros du « dessus », de la part de la « valeur travail » produite par le prolétariat et détournée par une soi-disant « démocratie » au profit d’une minorité d’incapables à produire eux-même et de leurs « propres » petites mains les richesses dont ils ont besoin...
 
Bref, comme toujours, les intellos « open sources », là, aidez-moi plutôt à formuler les slogans, savez, comme savait si bien le faire autrefois Aguigui Mouna... [:icon6] Mais pas moi... [:tinostar] Personne pour prendre la relève ? :o
 
Hey Jo... valise ! Tu fais la gueule ou quoi ?! :o
 
 

Spoiler :

P-S. Dis-donc, p’tit trou d’bal d’ewas, t’as pas un peu fini d’la ram’ner avec ta propagande de gueux, là ?! [:tinostar] :o


 
À méditer tout de même :
 
Le travail rend libre -> http://diktacratie.com/le-travail-rend-libre
 
Le travail rend libre -> http://blogs.mediapart.fr/blog/ath [...] rend-libre
 
Le travail rend libre -> http://www.rue89.com/2013/04/26/30 [...] ion-241817
 
***
 
Qu’est-ce que le mérite part Yves Michaud -> http://www.canal-u.tv/video/univer [...] chaud.5209
 
L'avenir du travail par Albert Jacquart -> http://youtu.be/_tru7cOEle4
 
***
 
Future of work -> http://goo.gl/3MRwS
 
***
 
Et puis, pour rigoler un peu, quelques divertissements :
 
http://www.jackuse.com/img/p/149-1681-thickbox.jpg
 
http://www.imagika.org/Protokol/re [...] libre.jpeg
 
http://www.aaronmorganart.com/Arbeit_Macht_Frei_LG.jpg
 
***
 
Le Scap - La fin du travail - http://youtu.be/XvEATWbuKso
 
 
 
http://hfr-rehost.net/gif/bf67a796e63efd4e0a6d540c06e33b42597edba9.gif


Message édité par ewas le 28-04-2013 à 06:53:36

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c'est quand qu'on va où ?
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