sorti de son album "Big Blue Ball"
sorti de la B.O de Wall-E
Peter Gabriel
j'ai fait une recherche et je n'ai pas trouver de sujet sur cet immense artiste. je le considère comme un pink floyd à lui tout seul .
rappellons que peter gabriel a été le chanteur/flutiste/parolier hors pair/showman de genie d'un groupe anglais nommé Genesis (ce qui n'est pas quand meme pas n'importe quoi )
peter gabriel est connu pour sa voix grave et rocailleuse qui fait passer garou pour un prébubère et pour son approche chronique expérimental de l'art musicale et visuel ainsi que pour son engoument pour la World Music (c'est lui qui a découvert Youssou N'Dour notament et qui a ouvert les portes de son studio à Afro Celt Sound system)
(Peter Gabriel, 1973, époque Genesis. il est agé de 22 ans)
je l'ai connu avec la fameuse trilogie Genesis Nursery Cryme/Foxtraot/Selling England By The Pound et le déjanté The Lamb Lies Down On Broadway.
d'abord pour ses textes singulier. au sein de Genesis il narrait des histoire sur fond de réalité mélée de la science fiction et un brin de fantastique. le texte de Supper's REadu sur Genesis-Foxtrot est un régal à lui tout seul... "ce voyage voyage magique d'un couple d'amants dans un monde où s'affrontent des religions fantoches, où des objets se transforment quand retentit un sifflet, et où des renards assistent à l'apocalypse" nous résume le site progressivewaves.com
peter est aussi à l'affut de LA texture sonore. surement du genre à sampler le glouglou de la cafetière pour en faire un tube.
quand il quitta Genesis, il offrit en 1977 l'album Peter Gabriel (qui s'appellera Peter Gabriel I et ceci jusqu'à Peter Gabriel IV - d'ailleurs Peter n'a jamais été très fort pour titré ses albums ) laissant présager qu'il allait se taper un délire solo... et quelques 27 ans plus tard, je prend ses créations comme un don du ciel. je sais ça fait fan powered by starac, mais c'est ainsi.
malgré son immense succès populaire, sa musique est très underground pour ma part, certain la trouve peut accessible d'ailleurs. mais elle est chargée de sens, c'est indéniable.
(Peter Gabriel, 2002. il est agé de 51 ans)
Discographie Solo Studio
1977 - Peter Gabriel I (Car)
c'ouvrant sur le très interessant "Moribund The Burgermeister" avec son synthé bourru et se finissant sur l'apocalyptique "Here Comes The Flood" et son gospel sauce gabriel., "Car" est surement l'album de la recherche et plutot que gardé ses propres rush pour lui et de trouver un style, peter nous en fait profiter.
"Car" sonne ainsi, je le perçois comme si peter gabriel disait "j'essaie cela, j'essaie cela" et en fait un album. le morceau qui fit date est "solsbury hill", parlant de son départ de Genesis et de son départ d'assumer son propre délire, ballade fleurtant avec la folk de seconde zone se veut le fer de lance des morceaux de ce disque, mais en cherchant un peu, on prend un plasir fou à écoute le rock épique de "Down The Dolce Vita" et son orchestration classique et son petit interlude rappellant pour ceux qui connaissent la musique spéciale des passages les plus irréel de "The Lam Lies Down On broadway". Reste aussi cette parodie de musique de film érotique "Waiting For The Big One" avec son piano jazzy et sa rythmique pataud, et que dire de "Excuse Me", biographie imaginaire d'un idiot du village sur fond de musique de saloon des bas fonds.
"Car" nous entraine sur les chemins d'un peter qui s'essaie à la pop, au rock, à tout et n'importe quoi, avec au minimum l'honneur d'avoir essayé, ce qui est louable et meme très louable compte tenu de la qualité de l'album.
1979 - Peter Gabriel II (Scratch)
sur la pochette, l'ex-Genesis se déchire le visage. peut etre trop de prise de tete. peut etre aurait il du se la prendre d'avantage alors, parce qu'il m'a laissé sur ma faim. un gout d'inachevé impardonnable de la part du maitre. s'il continue sur la lancé de "Car" en matière d'expérience, le son est conventionnellement pop, plus cadré. mais avant de ranger au placard des regrets, il faut rendre hommage à certains passages de "Scratch" qui sont somme toute de petite merveille. je pense à "Mother Of Violence", cette ballade amer et désabusée, avec sa guitare sèche qui porte bien son nom tenu sa ligne me fait penser que le guitariste s'est impregné de l'atmopshère de ce titre pour livrer un jeu de dépressif. il y aussi le trop peu considérer "Flotsam & Jetsam", le petit frère de "Humdrum" servit par la voix chaude de gabriel et un piano motivé dans la détresse exprimée par sa partition.
dommage que cette album sonne cadré de nos jours, mais je suis sur que pour un temps il a été hérésie.
1980 - Peter Gabriel III (Melt)
si je devais présenter peter gabriel à quelqu'un qui connait pas, je commencerai par celui ci. l'album noir. l'album cynique qui joue avec nos nerfs, qui nous invite tout au long de son écoute à céder à nos pulsions condamnable et à nos craintes refoulée de peur de passer pour un grand enfant. en ce sens "Intruder", pour ficher la trouille a une personne sujette à parano passagère s'annonce que la meilleur manière de faire ce genre de blague de mauvais gout. sa rythmique lourde et ce bruit convulsant de ressort torturé n'y sont pas étranger, tout comme un texte mesquin servi par une performance vocale perverse.
c'est aussi l'album de l'engament. la critique amer de la TV (ki a déjà déja ? ) à travers le refrain 'Games Without Frontiers, War Without Tears" (games without frontier) sur fond de cette musique aigre douce qui est surement la meilleure réprésentation musciale de ce qui peut se passer à l'intéreiur de la tete d'un neuneu.
c'est aussi l'album de l'entrée des instruments world music, le marimba de "No Self Control", hommage aux pétage de plomb assumé est détourné de son role pour servir la cause de ces sjujet psychotique, tout en ouvrant la voix au cuivre de "Start" certainement placé à cette endroit pour qu'on reprenne nos esprit
mais ce voyage noir se termine par l'hymne colérique/calme à Steven Biko (ce leader sud africain assassiné) et sa cornemuse considéré comme païenne. cependant biko a le mérite de ne pas etre la chanson violente qu'on pourrait attendre à la fin de cet album sinitre. la rythmique frappé n'est pas imposante et ses accord simpliste suffise à imposer le respect du bonhomme.
"Melt" est un grand cru. un poison qu'on boit avec gourmandise à chaque écoute.
1982 - Peter Gabriel IV (Security)
je vous ai dit que peter aimait la world music? on est en plein dedans. je vous ai dit que peter gabriel aimait les texture bizarres? on est en plein dedans.
s'ouvrant sur le tribal "The Rythm Of The Heat" (du jamais vu chez les musicens pop étiquetté en tant que tel par des critiques qui visiblement n'y conaissent rien), avec ses vocaux rustiques et endiablés comme des chamans et son final de percus insensé, "Melt" s'annonce l'album qui amène peter à la révélation.
dans la meme veine, "San Jacinto" impérieux hommage aux indiens d'amérique avec sa boucle de kalimba envoutante et sur fond de texture grasse issu de nulle part,qui d'ailleurs prenne leur maturité sur un final imtoporel, est un titre colorée revigorant.
gageons aussi que "Shock The Monkey" prenant un peu de new wave fraichement annoncé alors que le salut évident, prenant un peu d'un tempo instumentalisé par des percu forte et exotique et ses synthé tonitruant, n'est pas en reste... espoutouflant d'une chaleur peu ordinaire.
et puis... l'hymne en puissante, cette ballade extraordinaire "wallflower". ici point de percu tribal. point de sythé arrogant. mais un piano triste. quelques nappes discrète. une flute de pan peureuse. vius me direz , ça doit faire contraste avec le reste. non. il s'incrit dans cette meme veine. car "Wallflower" est le symbole du génioe de gabriel: présenter du noir en disant que c'est vert sans que cela ne soit discutable.
nan ce qui fait constrate, c'est l'affreux "Kiss Of Life"... ou moment ou j'écris je me demande si cettre horreur doit etre commentée ... je préfère m'étendre à vous reocmmander "Sécurity" meme deux foi, meme trois. parce qu'il est beau , parce qu'il ouvre les porte à la world music longtemps considérée comme un truc de sous développé. "Security" est un petit bijou servit dans un écrin "made in gabriel", avec conviction et chaleur.
Peter Gabriel, en chaman-golden boy dans le clip de Shock The Monkey
1986 - So
ça y est! peter gabriel est devnu nul! il passe à la FM! il fait de la pop! il est commercial! il fait pareil que le très critiquable "invisble touch" de genesis qui sort cette année là. du calme. non peter ne cède pas sonnerie des tirroirs caisse. non. il fait juste son travail. son travail c'est de s'exprimer. et il fait un album soigné et très profond.
les idiots qui disent que "So" est l'avénement commercial de peter vers une musique facile ont tord et n'ont jamais écouter l'album ni ce qu'il a fait ensuite, et probablement avant.
non... "So".. c'est un coupure à vif dans ses propre couple. prenons le morceau décrié "Sledgehammer". de la soupe FM pour les ignorants. un beau travail de rythm'n blues pour les initiés. peter y parle de sexe. c'est du sexe, mais à la auce gabriel, du sexe avec le parler de Foxfrot commenté plus haut. imager le plasir de la chair, avec un créod bien connu des politiques "plus c'est gros plus ça passe" est une réussite. d'accord c'est pop. d'accord la batterie c'est probabalement pas ce steward copeland (ex feu The Police a joué de mieux) mais le résultat est là. les amateurs de n'y tromperons pas.
de la meme manière qu'on a tapé sur la gueule de "Big Time", qualifié par certain de sous "Eurythmics". argument facile pour occulter le vrai sens, cette parodie de l'ego et des ambitions de nos sociétés vénales... les blaireaux qui ont descendu "Big Time" et son sound system très 80's de mauvais ordre préfère s'attaquer à la forme parce qu'il n'ont rien à dire sur le fond.
puis, pour tenter de réocncilier tout le monde, il y a le pleurant "Don't Give Up". tout le monde a en tete la basse rugueuse de Tony Levin, les Warm Pad effrondré dans la douleur et les constations tristement juste d'un homme qui a perdu son travail et cherche un peu de soleil à travers le soutien essouflé d'une kate bush sorti de sa retraite pour notre plus grand plaisir.
passé les hit single que les gros malin attendait pour démonter peter, regardond ce que contient So.
d'abord le superbe "Red Rain", avec sa puissance dans la folie et le final voix de peter rarement aussi nerveuse dans l'atmopshère d'une chanson acide dans un duel malsin avec un piano qui fait son travail d'instument dieu dans la détresse.
et ce superbe "Mercy Street", tout en sythé en flute, mais aussi tout en profondeur, de rigeur quand on parle de Ann Sexton et de ses livre issu d'un univers appralèle ou il ne fait surement pas bon vivre.
n'oubliez pas de passer à coté de "In Your Eyes" avec ses choeurs africains porté par Youssou N'Dour... certe, quand on voit les version live, la version apparait pauvre.
So est l'oeuvre ou peter oublie ses repères trouvé après ses expérience de I, II, III et IV. pour mieux rebondir... So est digne de toute discothèque. ce sera ma conclusion.
1992 - Us
d'après ce que je sais, quand Us est sorti, il n'a pas fait l'unanilité. peut etre parce que cette album sonne confus dans sa texture sonore. peter, avant gardite de la trempe d'un floyd a peut etre fait un excès de zèle. mais en tous cas, cette album a freiné pas de personne qu'il passé à la trappe, alors que pourtant il a le mérite d'etre considéré.
Us parle d'amour. nous on ne va tomber dans du lara fabian. Us parle de sentiments. nan peter ne devient pas robbie williams. peter parle des dessous de cette sensations d'amour. souvent on se limite à plaisir/deception mais peter parle de tous les petits à coté, notament dans le déjanté et rugueux "Digging In The dirt" ou on dirait que exédé d'avoir été trompé il a envie de coller une beigné à sa bien aimé.
la texture de So est très basse au nivo de la sonorité. parfaite illustration du désabu.
le réhabiliter tiendrait du miracle mais il vaut le coup de par ces textes huileux et par ses composition malheureusement assez mal arrangé. ceci étant il a servi de support au live magique The Secret World Live
2002 - Up
je vais etre honnète tellement cet album me dépasse. je n'arrive pas associer mots et émotion.
c'est la raison pour laquelle je suis entre guillemt la critique examplaire du site progressivewaves.Com
"Après de longues années d'absence, Peter Gabriel porte de nouveau sa carrière au sommet. On l'attendait au tournant. C'est gagné. Ça commence direct avec "Darkness". Ah, dès les premières secondes on reconnaît Peter à ses percussions évanescentes. Et puis, grosse guitare. Peter a su prendre le pli des années 2000. Ça continue, piano, voix rocailleuse, suave.
Plus loin, c'est l'émotion qui triomphe. Sur "Sky Blue", où une chorale de jeunes aveugles ponctue ses propres vocalises d'un oratorio lancinant et grandiose. Les sons s'entremêlent. Orgue Hammond, synthés, riffs de guitare électrique, tambours, et voix. A couper le souffle. Et plus loin, le gros morceau : "Signal to Noise". Emotion pure. Début modeste et narquois, vocalises orientales du chanteur pakistanais Nusrat Fateh Ali Khan (il reste des chemins à découvrir pour le prog'. Que les autres prennent exemple !). et le morceau finit dans un éclat de cordes et de frénésie vocale. Comment un orchestre peut-il monter l'émotion si haut ? A mourir.
Peter Gabriel, c'est aussi parfois un artiste plus mainstream. En témoignent "Growing up", où le Gab se laisse aller à explorer des rythmes plus basiques, sans sous-estimer sa richesse instrumentale. Et surtout, "The Barry Williams show", hilarante parodie de la télé-réalité, où Peter y joue son rôle le mieux campé depuis Rael. Du rythme, de la basse, des sons géniaux, des voix massacrantes, et de l'imagination à revendre.
"Up" est tout simplement le meilleur album de Peter Gabriel depuis "So". C'est dire. Un disque royal, comme on aimerait en voir plus souvent. Parce qu'il transcende toutes les références pour devenir un disque unique en son genre, "Up" est l'album à retenir de l'année 2002."
2008 - BIG BLUE BALL
On comprendra que la Big Blue Ball est la Terre, aussi Peter invite ses amis musiciens de musique dites "ethniques" pour faire un melting pot Gabrielien partant en liesse dans les confins de l'esprit, en errant avec des sons ciselés et prenant aux tripes dans les méandres de ce qu'on a pas entendu depuis des lustres chez un artitste populaire: LA DEMARCHE ARTISTIQUE.
Du pain béni cette album... comme je le dis en dernier post, cette album dit: "Je m'appelle Peter Gabriel, et voilà qui je suis", et toi..., tu écoutes et tu t'écrases... à moins d'avoir la sensibilité d'un producteur de R'nB dont le Q.I atteint rarement le chiffre de la température anale.
Les Live
1984 - Peter Gabriel Plays Live
sur la pochette un peter gabriel maquillé témoigne de son obssesion d'un scénique qui doit pouvoir jouer avec les idées des chansons.
techiniquement le son est mauvais. cependant les musiciens sont de haut nivo et peter est vocalemnt très correct. mem s'il ne restera pas longtemsp repésentatif du son et l'atmos^hère gabriel en live, (détroné par secret world live en CD Audio et DVD), il a le mérité de réconcilier avec Peter Gabriel II et de les réanimer en live. peut etre etait là l'idée de "Scratch"? faire un album destiné au live toute en laissant le code source sur un support audio?
on ne le saura jamais mais on s'en fout. le résultat est là.
1994 - Secret World Live
el bonheur. d'abord il efface la rengaine envers Us et de livré le meilleur de So. appuyé par la rythmique endiablé de Manu Katché, grand batteur français honnorable (un peu moins honorable en jury de trash TV) et accompagné par ses frère d'ame que son Tony Levin, le moustachu copain de toujours et d'un david rhodes à la chemise hawaïenne, oui, SWL est un pur moment de bonheur. le son est parfait. la voie de peter est géante, envoutante, comme si il avait une cabine leslie dans la gorge.
mais pourquoi s'éterniser sur ce CD audio alors que ce concert prend toute son ampluer avec le DVD?
Le Sens De LA Sensation Visuelle
le visuel a une part importante chez peter gabriel. les plus vieux ou les plus fan se souviendront des costume et de la scénqiue des concert ou il était l'ange de Genesis.
les live sont comme il le DVD en bonus du DVD "Growing Up 2003", une manière de jouer avec les idée des chansons.
les clips de peter gabriel sont aussi les plus époustouflant que j'ai jamais. "Sledhammer" à l'appui.
(la zorb ball de la tournée growing up en 2003-2004)
Video Clips
(je ne les ai pas tous vu)
Shock The Monkey
angoisse. perte de repère. hallucination. combat contre des nains. chaman golden boy et plafond qui s'éffrondre. voila l'uinivers choatique de ce clip digne d'un The Wall par Alan Parker. "Choquez le singe" dit il, mais il secour quand meme tellement il est éprouvant.
Games Without Frontiers
peter y est d'apprence trankil, limite baba cool. mais sa voix au propos cec et son regard puissant laisse présager que peter n'est pas content. non peter n'est pas content de pas etre écouter par ces enfants habillés en adulte qui pensent tou savoir mais ne comprenne rien et agissent en vrai moutons marketé. perter n'est pas content de ce show pourri qu'est Jeux Sans Frontiere. c'est une référence de gout acide à voir
The Barry William Show
note importante c'est sean penn derrière la caméra. ce clip au final sanguignolant montre la face caché du jerry springer show, dont chez la versioné dulocrée mais toute aussi nauséabonde s'appelle "c'est mon choix au ça se discute". le BDSM y a une place d'honneur. les babes malsaine qui entourent peter sont mauvaise et le clip se termine en apothéose d'anticipation le jour ou tous les décérébré fan de ce genre de truc craqueront dans leur syndrome pénible.
Sledgehammer[/G]
exercice de style qui devrait inscrit à toute les école de cinoche. si vous deviez voir un seul clip de peter se srait celui là.
avec ses poulets qui dansent devenu culte. avec le visage et le décor de peter qui change selon le contexte textuel et avec à la fin son trip électonique ou il porte sa chemise ampoule enprunté au floyd. sledgehammer est le summum de l'art visuel gabriel. hors monde. hors sujet. au dessus de tout.
[g]DVD[g]
[g]1992 - Secret World Live Réédition de la VHS paru quelques années plutot
si vous l'avez dans une médiathèque, prenez le. fourrez la galette dans le lecteur et asseyez.
écoutez le bip du téléphone et regardez peter qui apparait sur scène, enfermé dans sa cabine téléphonique essayant de parler à son ex.
vous voila dans le secret world. dans le monde secret de peter gabriel. ce monde fait de sons bizarres, ou les parias ont leur place. ou le sens de la vie est décortiqué pour en tiré un breuvage inconnu de nous.
le son est parfait, les planc séquence entre chaque chansons chapitre ce voyage offert par un peter heureux.
du grand grand live
2003 - Growing Up 2003
il a quand meme 54 ans le bonhomme. ila perdu ses cheuveux, a pris du ventre. mais il s'accroche. il s'accroche corps et ame à ce bijou de la mise en scène. peter sert la musique et les idées. les musiciens de haut niveau, meme la batteur visibelemnt strssé et la fille de peter, mélanie, qui sont depassé par le truc savent nager dans cette océan de sensation.
on apercevra peter la tete à l'envers dans un chassé croisé avec sa fille sur 'downside up" et la zorb ball ou peter s'enferme comme un retour vers l'ovaire mere.
on se souviendra de Sky blue. thème beau à pleurer sur Up mais thème magnifique a en devenir larmoyant chronique.
certain tourve que ce n'est pas le meilleur live mais moi je crois que peter a fait un travail remarquable.
Les Trucs A Part
1984 - Birdy (Bande Originale du film réalisé par Alan Parker)
certes on compte pas d'instrumentaux des albums précédent, mais le fait qu'ils soit sans vocaux et aposé sur l'univers de birdy (qui conte l'histoire d'un jeune homme qui veut voler comme un oiseur) sonnent de façons inatendu.
pour remettre dans le contexte, Birdy est l'histoire d'une homme qui se prend pour un oiseau.
dans les morceaux écrit pour le film les textures qui y sont employée sont parfois grasse, parfois fine mais projete toujours une émotion et une sensation presque palpable.
pour moi les gros morceaux de cette B.O sont Floating Dogs, Slow Marimbas et The Heat (From The Rythm The Heat).
je crois que la seule chose qui se rapproche de cette B.O, mais de loin quand meme c'est est la B.O d'Akira
1999 - Passion - The Last Temptation OF Christ (Bande Originale du film réalisé par Martin Scorcese)
rencontre de l'électronqiue, de la musique orientale ancienne et de peter gabriel. à film à controverse B.O à contreverse.
d'où sorte les souffle dissonant de "Gethsemane"? kel est le sens de la tristesse du thème de "With This hope?"... cette B.O, meme si on pas le film interpelle choque.
on y reocnnait l'orient, quelque sursaut de rock prog.. mais aosscoié ensemble, plus d'orient et plus de sursaut de rock prog' prig ...
pour tenter de vos donner envie de l'écouter, je vais vous dire que peter gabriel est un artiste en marge et que cette B.O est encore plus en marge de peter gabriel.
1999 - OVO
je ne considère pas OVO comme un album à part entière de peter gabriel. d'abord parce que c'est une commande (pour le spectacle du millénaire à londre) d'autre part parce qu'il en chante d'infime partie.
OVO raconte l'histoire de l'humanité vue par 3 génération: le grand père, le fils, le petit fils.
peter y donne sa chance à des vocaliste talentueux. lui n'intervient que sur le "father,son", "the tower that ate people' et sur le final de "make tomorrrow".
compositeur de talent c'est un disque ou peter a laissé son ame s'ouvrir pour qu'il soit une sorte de disque de l'humanité. et je crois que c'est réussi. le propos de l'abum que j'ai illustré à l'instant est mise en valeur par un medley homogène de son ancéstraux comme nouveaux et syntéhtique. c'est vraiment un abum interessant pour un esprit philosphe.
voila qui achève ma présentation de peter gabriel. et vous que pensez vous de ce drole de bonhomme?
Message édité par TonyBanks le 05-08-2008 à 22:22:50