Reprise du message précédent :
Prunelle de troyes
 
tout simplement génial
 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Prunelle_de_Troyes

CharlesT, si jamais tu me lis...  

Tout vient à point à qui sait attendre...  

Le Porto

Introduction

En France, on a malheureusement la fâcheuse tendance à assimiler le porto à une vague (et mauvaise) boisson alcoolisée destinée à servir d'accompagnement à du melon et du jambon roulé (et même pas cru). La France est d'ailleurs l'un des premiers pays importateurs de porto, et précisons-le... de mauvais porto. Non, le porto n'est pas du tout cette boisson cachée au fond du bar, étiquetée Cruz, tout juste bonne à relever des sauces... et encore...

Ici, donc, nous parlerons de vrai porto, boisson noble s'il en est.

1. Origine

Le porto est un vin muté, produit dans la vallée du Douro, pas du tout à Porto comme le nom le laisse entendre (c'est bien plus à l'est, une centaine de kilomètres à l'intérieur des terres), mais dont les chais des maisons productrices sont situés à Vila Nova de Gaia, située en face de Porto, sur l'autre rive du Douro.

C'est le premier vin à avoir historiquement bénéficié d'une appellation contrôlée. Il est très populaire en Angleterre depuis un embargo au XVIIIe siècle qui interdisait l'exportation de vin français vers l'Angleterre qui s'est alors rabattue sur la production portugaise. D'où l'origine de grandes maisons de porto aux noms anglais (Graham's, Churchill's, Taylor's...).

Un vin muté, c'est quoi ? C'est un vin qui en cours de fermentation s'est vu adjoindre de l'eau de vie qui stoppe la fermentation. Les levures stoppent la dégradation des sucres, le porto est donc un vin au goût sucré.

À partir de là, on le met en barrique et en fonction des années, en fonction des parcelles, on peut en produire de différents types, schématiquement classées dans la section qui suit.

2. Types de porto

a. Faux porto pour touriste :

• White : Blanc, comme son nom l'indique, plein de sucre, voire carrément plein de sucre dans sa version Lagrima. C'est sans intérêt et purement marketing. Passons au porto, le vrai, l'unique, celui qui est le rouge.

b. Non millésimés :

• Ruby : il s'agit d'un porto jeune qui a connu 2-3 ans de barrique et embouteillé ensuite. À boire dès l'achat, pas de potentiel de vieillissement.

• Tawny : porto veilli en fût au moins 5 ans. S'il porte la mention d'un âge (10, 20, 30, voire 40 ans), c'est que son assemblage est constitué de différents tawnies dont l'âge moyen est celui indiqué. Ces assemblages sont obligatoires afin de garder un goût constant, les tawnies des différentes maisons ayant été une fois pour toutes déclarés à l'Institut du Porto comme ayant tel goût.

c. Millésimés :

• Colheita : tawny issu d'une récolte d'une année unique, indiquée sur la bouteille en question ainsi que son année d'embouteillage (à chercher car souvent c'est écrit en tout petit). Les grands années (cf. Vintage) font en général d'excellentes colheitas (« récolte » en portugais).

Les portos de type Tawny ou Colheita sont oxydatifs, leur dominante en goût, au nez, est celle des fruits secs (noix), leur couleur va de tuilé à carrément orange pâle pour les plus vieux.

Dans ce qui suit, on aborde l'univers des portos réductifs (dont font partie les Ruby), ce sont des portos embouteillés « jeunes ».

• Late Bottled Vintage (LBV) : 5 à 6 ans de barrique après récolte et embouteillage dans la foulée. Ce sont des vins qui gardent donc tout leur fruit, une sorte de vintage au veillisement accéléré. Évidemment, ils n'auront pas toute la complexité et l'opulence de leur glorieux cousin, mais je considère que c'est le meilleur compromis qualité-prix-plaisir pour pleinement goûter ce que peut valoir un bon porto réductif, sans avoir à « trop » dépenser dans une bouteille de Vintage. Ils n'ont pas vraiment de potentiel de garde, ils sont donc prêts à boire dès leur mise en vente. Il existe  une version crusted (donc avec dépôt, pas de filtration, mais c'est de l'ordre de l'anecdotique. Le vieillissement serait possible dans le temps, mais comme je trouve qu'il y a mieux en standard, je passe mon chemin. Autant alors taper dans les vintages si l'on rentre dans ces subtilités). Robe extrêmement foncée.

• Vintage : Selon les années et les maisons, les producteurs de portos décident de déclarer une partie de leur production comme vintage. Le raisin reste alors deux ans en barrique avant d'être embouteillé. C'est un vin de garde, pour ne pas dire de très longue garde. Ouvert jeune, c'est généralement un concentré de tanins (les Anglais le boivent ainsi parfois, je trouve que c'est gâcher), ensuite il se ferme. Pour les petites années, compter une dizaine d'années de garde au minimum avant qu'il ne commence à s'exprimer. Pour les grandes années, il y en restera largement sous la pédale 20 ans après. Ainsi un Fonsecca 1977 est toujours vaillant 30 ans après (bu tout dernièrement). Robe quasiment noire d'encre au début, qui s'éclaircira avec le temps. En bouche : une explosion de fruits rouges, de cerises, de cassis, un nez énorme, une finale infinie...

Les vintages se décantent : laisser la bouteille 24 heures au préalable debout, la décanter précautionneusement au besoin. Je n'ai pas parlé de carafage. Une tache blanche orne souvent le bas de la bouteille : elle indique le sens de stockage horizontal de celle-ci. Pour les très vieux millésimes, c'est une certaine épaisseur de « boue » qu'on a en fin de bouteille.

Années notables pour les vintages : 1945, 1963, 1977, 1985, 1991, 1994, 1997, 2000, 2003, 2005, 2007.

• Vintage Single Quinta : dans les petites années, les producteurs ne sortent pas de Vintage mais se concentrent sur une parcelle donnée pour produire ce qu'on appelle des Vintages Single Quinta (traduisons cela par vintage mono-parcelle). Rien ne les empêche a priori d'en sortir même lors des grandes années. Les Vintages, issus de mélanges de différentes parcelles deviennent en version single quinta des produits plus marqués par le terroir.

Les portos oxydatifs se conservent une fois la bouteille entamée (ils finiront par s'éventer si la bouteille est proche de la fin, évidemment). En revanche les portos réductifs ne se gardent pas une fois ouverts (48 heures pour un Vintage ; un LBV, allez, une courte semaine au frigo...) et se consomment donc comme n'importe quel vin (hormis le fait que ça titre autour de 20 %).

Notez que Vintage et LBV accompagnent parfaitement les desserts au chocolat ainsi que les fromages à pâtes persillées (avec lesquels les vieux portos oxydatifs marchent aussi). Stilton + porto = tuerie.

3. Quelques conseils personnels :

• Ruby : je n'en suis pas fan. Dans mes souvenirs, le Ruby de chez Noval est intéressant.

• Tawny 10 ans Quinta da Ervamoira de Ramos Pinto : assez évolué, on dirait un tawny qui aurait bien plus d'années que son âge affiché tout en gardant encore une certaine vivacité et des touches de fruits rouges. (une trentaine d'euros)

• Tawny 20 ans de Noval : très beau nez de fruits secs, de noix en particulier, une belle couleur or-orange, bonne longueur en bouche. (une quarataine d'euros)

• Tawny de 30 ans et plus, il y a des très belles choses, mais le surcoût n'en vaut pas forcément la chandelle à mon avis...

• Colheita : celles de Burmester sont généralement superbes (par exemple certains embouteillages des récoltes de 1985, une idée de prix : acheté en 2012, Colheita 1985/2010, autour de 80 €). Niepoort en fait de bonnes aussi.

• Parmi les LBV, on peut en distinguer de deux sortes, selon les goûts de chacun : ceux sur le fruit (ex : les LBV de Taylor), ceux plus vineux, que je préfère pour ma part, comme ceux de Ferreira ou Sandeman. Compter autour de 15-20 euros.

• Si jamais vous faites un séjour à Lisbonne, le meilleur moyen de se faire une opinion des différents types de porto est d'aller au Solar do Vinho do Porto (45 Rua de São Pedro de Alcantâra). Les verres de LBV n'excèdent pas 5 € ; les tawnies 10 ans doivent tourner autour de 5 € aussi, les 20 ans autour de 10 €, tout cela à moduler en fonction des maisons. Possibilité de manger du fromage (en particulier je recommande queijo da Serra da Estrella ou encore queijo de Azeitão) ou encore du pata negra et autres charcuteries à base de bolotta.

Oh punaise, tous aux abris. Il va pleuvoir des grêlons de 50 kg.  
 

 
Excellent post par ailleurs.    

super post sur le Porto, apéritif que j'ai découvert et beaucoup apprécié, par contre, quel porto "de base" est correct pour boire "tous les jours" ou à plusieurs, car je peux pas me permettre d'offrir du porto à 30€ la bouteille à mes invités...

Que conseilleriez vous en bouteille trouvable partout dans les 10€/bte? Cruz, Sandeman, autres? tout n'est quand même pas à jeter ou juste bon à relever les sauces

Cruz : beurk.
 
À 10 €, je ne saurais te conseiller quoi que ce soit, non que tout soit à jeter, mais parce que je ne connais pas la gamme.
 
Pour à peine plus cher (genre 13-14 €), en habitant au Portugal, on peut se faire déjà plaisir avec du Taylor en LBV, sauf que 1/  ce n'est pas un truc de tous les jours vu qu'il ne se conserve pas  et 2/ je suppose que tu ne vis pas là-bas.  
 

Rien sur l'Avèze ? Une mixture divine aux multiples vertues... je ferai un topo à l'occasion

Merci Randall pour le porto

Bonjour,
 
avez vous une recette à base de curacao ?
 
merci

L'eau de mer / Blue lagoon

Le post de RandallBoggs sur les Portos est ex-cel-lent. Ca donnne envie d'aller y faire un tour

Et le COINTREAU!?  
 
Qui n'a jamais mis ce fameux breuvage dans sa pâte à crêpe.
 
Ou pris en digestif.
 
C'est un régal......à boire avec modération bien sur  
 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cointreau
C'est pas loin de chez moi

Allez, ranimons un peu ce topic avec 2 excellentes vodkas goûtées récemment :
 
- Woska Serac : http://hautesglaces.com/woska-distillerie-serac.html
 

 
Produite dans les Alpes avec du grain bio, une vodka qui annonce rapidement la couleur : du pur seigle, la saveur envahit la bouche et se prolonge allez longuement. Un peu étrange au début, dans le sens où on n'a pas trop l'habitude d'un tel parfum un peu âpre, mais on y revient volontiers après la première surprise.
 
Le domaine prépare des versions épeautre et orge (pas encore dispo), ainsi qu'un whisky que j'ai goûté à l'occasion d'un passage chez Julhès, mais il est encore bien trop jeune et vif.
 
- Vodka Vestal : http://www.vestalvodka.com/vodka.html
 

 
Vodka polonaise, ses producteurs sont très fiers de l'utiliser pour montrer les différences liées au terroir : leur Podlasie utilise les mêmes patates que leur Kaszebe, mais le caractère diffère beaucoup entre les 2. La première fait fortement penser à une sorte de prune artisanale au niveau du nez, la bouche est très douce avec un parfum de noyau. La seconde est bien plus sèche, on croit percevoir une légère saveur de seigle en note finale. D'après le producteur, avec qui j'avais un peu discuté lors de son passage chez Julhès, cela vient en majeure partie des sols différents (terres noires pour la Podlasie, sols plus sableux pour la Kaszebe). Afin de préserver ces différences de caractères ils ne font qu'une seule distillation (à la différence de bien des vodkas distillées x fois). Il m'avait aussi fait goûter une édition 2009 de la Podlasie histoire de montrer l'évolution d'une année à l'autre.
 
Ils ont également dans leur gamme une sorte de liqueur de sureau, assez sucrée comme on peut s'y attendre mais avec un côté végétal intéressant (malheureusement elle n'est pas encore distribuée en France).
 
EDIT : pour les tarifs les 2 sont vendues aux alentours de 35 € la bouteille, oui, c'est pas donné mais pas pire que la Grey Goose.

Sinon, la formule originelle de l'Izarra est de retour soit le nom d'Izarra 54.

 
J'aurais aimé être là mais je n'ai pas pu une fois de plus
 
BTW je me suis fabriqué mon propre limoncello, avec du Rhum à 55° et des citrons bio
 
Bah rien à voir avec les limoncelli (?) du commerce, le gout d'alcool à bruler en moins (ca vient du fait que j'utilisé du rhum à la place d'alcool à 90%), le titrage reste similaire, je l'estime aux alentours de 30°.
 
Je déplore un gout de citron peut-etre un peu moins prononcé, à voir si ca provient d'arome ajouté dans ceux du commerce ou si cela vient du fait que je n'ai pas extrait les aromes dans de l'alcool assez fort (ce que j'ai pu lire, d'où la nécessite d'alcool le plus fort possible).

 
 
 
Ouf j'ai eu peur que personne n'en parle... C'est de chez moi
 
Le cointreau citrus, servi rafraichi    
 
Liqueur d'écorce d'oranges douces et amères. J'ai goûté un jour une crème brulée au Cointreau, c'était à tomber...  

Un retour sur des gins goûtés (plus ou moins) récemment :
 
- Citadelle : http://www.citadellegin.com/fr/
 

 
A l'origine distillé dans le Nord, la recette a été reprise par un producteur de cognac, et est donc à présent distillée en Charente. Leur gin est assez rond, bonne présence du genièvre, en fait il m'a surtout rappelé le Genièvre de Houlle que nous avait fait goûter CharlesT. Le nombre d'épices différentes (pas loin d'une vingtaine) donne une complexité intéressante. Je n'ai pas encore goûté la version Réserve (vieillie quelques mois en fûts), mais je tenterai bien à l'occasion. Rapport qualité/prix plutôt bien placé, à 30 € la bouteille.
 
- Tanqueray 10 : http://www.tanqueray.com/product.html
 

 
Un gin assez frais, très élégant, l'allure de son contenant étant à l'aune du contenu. Son nez est intéressant et bien présent, on y retrouve un peu le côté eau de Cologne de ce genre de gin assez orienté sur les agrumes. Prix déjà un peu plus élevé que le Citadelle, compter une quarantaine d'euros, mais il les vaut bien.
 
- Monkey 47 : http://www.monkey47.com/
 

 
Une recette qui vient de la Forêt Noire et utilise pas moins de 47 épices et herbes différents (d'où une partie de son nom). Au nez le côté parfum est encore plus flagrant que sur le Tanqueray, en bouche l'entrelacement des saveurs est assez impressionnant. Toutes proportions gardées on dirait un peu un gin Hendrick's sous stéroïdes. Belle réussite gustative, qui visiblement a même impressionné les Anglais (couronné médaille d'or à l'IWSC de Londres en 2011). Pas donné quand même : 46 € les 50 cl.
 
- G'Vine Floraison : http://www.g-vine.com/home.php?pag [...] on&lang=FR
 

 
Retour en France pour ce dernier flacon, élaboré dans la région de Cognac, avec une originalité revendiquée par ses producteurs par rapport aux gins classiques, très souvent à base d'alcool de grain : ici le distillat de base provient du raisin, et les fleurs de ce dernier rentrent dans la composition du cocktail d'aromates utilisé. Le résultat est un gin très doux, avec une forte présence de la cardamome : note originale mais qui masque peut-être la saveur de la fleur de vigne (je dis ça mais n'en ayant jamais senti/goûté je serai en fait bien en peine de la reconnaitre). Très sympathique mais ça manque un peu de complexité et de longueur. Démarche intéressante dans tous les cas, même si à 40 € la bouteille il y a des concurrents avec plus d'arguments.

Oh putain. Merci de la nouvelle
 
j'ai réussi à trouver une bouteille d'izarra jaune l'année dernière dans un truc de déstockage à marseille mais depuis rien

Ma femme souhaite m offrir ma première bouteille de cognac ou d armagnac. Préférant le premier mais n y connaissant honnêtement pas grand chose, je viens quémander quelques infos
 
Auriez vous une bouteille a me conseiller, un bon rapport Q/P qui me permette d apprendre sagement a développer mon goût pour cet alcool?
 
Merci

C'est quoi ton budget ?

Ça va être moindre que pour les whiskys la. Autour de 50/60€

Je suis pas complètement fermé a l armagnac si vous pensez a une bouteille pour bien me faire le palais

Dans cette gamme de prix, je sais pas. Attends que FDaniel passe par ici, tu auras certainement une réponse circonstanciée. Quoique... pour 65 €, en Armagnac, il y a le domaine d'Aurensan de 15 ans qui m'avait bien plu. Mais c'est une bouteille de 50 cl Ah non, c'est bien 70 cl. J'ai relu mes notes : 15 ans, belle expression, encore sur le fruit frais.

Si jamais le budget est trop peu conséquent, je suis prêt a attendre un peu pour me payer quelque chose qui vaille le coup, surtout pour débuter

Merci pour ce 1er avis

Si tu préfères le cognac, reste sur ta première décision. En la matière, j'y connais que dalle.

HINE fait de bonnes choses.

 
Grosperrin fait de belles choses.

En cognac je recommande chaudement tout ce que fait Prisset (j'ai déjà du en parler dans le topic), plus particulièrement dans la gamme du XO si tu cherches une belle rondeur. Il doit être trouvable dans ton budget, notamment ici : http://www.finelepecerie.com/ (épicerie à Belleville, c’est pas indiqué sur le site mais ils en ont régulièrement en stock). Leur millésime 1962 est magnifique, mais c'est pas le même tarif (150 à 200 € la bouteille).
 
Tu peux aussi tenter ta chance chez Julhès, je ne connais pas le cognac qu'ils vendent mais s'il n'y a pas trop de monde ils ne seront pas réticents à te le faire goûter (ainsi que leurs armagnacs) : http://www.julhesparis.com/

Je confirme pour le cognac Grosperrin vendu chez Julhes, le 1980 est excellent (vendu 47€ les 35cl).

déjà évoqué par CharlesT, l'hydromel, chouchen pour les intimes.
Alcool de miel, il a la réputation de faire marcher à l'envers, ce qui est une réputation pas complètement usurpée  

Retour de l'Izarra 54      
 
(Bon, depuis 2 mois chez Nicolas en fait… à 51€)
 

j'avais pas vu l'topic    
 
m'étonne pas de l'auteur
 
participation rapido mais faudrait en dire plus
 
région : BUGEY
alcool : Cerdon

 
Région : VERCORS
alcool : clairette de Die  

 
OK c'est du léger .. mais faut bien attaquer l'apéro

Le topic vin, c'est à côté...  

C'est régional  
 

'Tain ! Je connais pas...  Faudra que je goûte...  
 
Alors, le modo, on n'arrive toujours pas à lire ses MP ?  

 
 
On est prié de lire la TSPP, à quoi ça sert que CharlesT il se décarcasse ?
 

C'te pas doué de Lyonnais...  
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0

 
ah parcequ'il se décarcasse  
 
   
 

Ah...

Vends une pédale

C'est ce que je fais...

non tu essaies