Reprise du message précédent :

 
Ma foi voilà un lieu dont le but me réjouit, il y a si longtemps qu'on ne joue à ces lignes qu'il a comme un parfum entêtant de défis, de réserves de sons qui n'attendent qu'un signe
 
   
 
(euuuh, merci buck, c'est trop )

 
Je crois bien que Gilou en conservit la trace, lui qui participa plus d'une fois par jour et fut parfois si bon que nous perdîmes la face au regard de ses mots placés avec amour.

 
Bien souvent j'ai regretté sa disparition
Las, il est parti et jamais ne reviendra
Alors je crains qu'il ne faille se faire une raison
Blabla s'en est allé, nul ne le reverra
Laissant derrière lui ses passions, sa déraison
Adieu l'ami... Pour toujours tu nous manqueras.

Mouaha, pauvre de moi
que de malheurs c'est sur
sur le rable me pèsent:
 
naissance d'un second gars
le fruit de ma luxure
mais qui me comble d'aise
 
4.3 kilo son poid
55 sa stature:
il est plutôt balèze.
 
alors pour la rancoeur
ou le broutage d'herbe
tu pourra repasser.
 
6 pieds c'est une horreur !
Et je crains que de l'herbe
tu n'en aies trop fumé.
 
Ciao,
LoneCat
 
 
 
 

 
Mes félicitations
C'est un sacré mecton
Quel bonheur d'être père !
 
Je suis content pour toi
Courage, petit papa
Talque-lui le derrière !
 
Gratz !  

Nous les mous, nous les lents, nous les ramollis du gland  
n’aurons pas peur de venir un beau jour
faire enfin valoir notre condition humaine
au sein d’un monde qui nous prive d’amour.
 
Avachis du bulbe, permanents retardataires
trouveront bien leur place sur notre belle terre.
Je sais, je suis tout seul mais je compte bien revenir
un jour où le temps sera moins lourd.  
 

 
Il serait souhaitable d'apprendre à compter,
vous avez du cartable les maths évacué

 
C'est pas moi c'est Alexis HK

 
Parce qu'en plus ce truc est pas de toi, mais tu cites pas tes sources d'entrée ?  

 
J'ai voulu faire illusion

Illusion
Piège à cons
Illusion
Bumpons, bumpons !!
Bien mon colon ...
 
Ciao,
LoneCat

De la façon dont la critique flatte les grenouilles.
 
(ou Nul n'est méchant volontairement)
 
Ô visqueux batracien borné à Croire
Ô palmipède azuré d'un bleu de chimère,
Du haut de ton orgueil, du haut de ton perchoir
Te complais-tu vraiment en ces "gouffres amers"?
 
Aurais-tu pris tes deux gluantes et gauches pattes
Pour de certes moins "veules" ailes d'Albatros,
Pour les plumes du phénix, au vol bien plus calme
Ou entreprendrais-tu une existence fausse?
 
Car invoquer le Sage en parlant au Vulgaire
(de changements de registre... crées pour plaire)
Dont toi seul jubile, que nous deux entendons
 
Ne pansera jamais ni blessure ni plaie.
Comble donc, reinettre à troux, ta soif égoïste
Si en ces bas marécages tu te complais!
 
Tu me retorqueras pour sur
Que la grenouille de l'azur
Voit un quelque peu évident
Trou dans MON raisonnement:
 
"ainsi, arrogante étrangère
je ne versifie que pour plaire?
N'entends-tu donc rien à l'essence
de la Poyesis? De tes sens,
de tes tourments, de tes fléaux
tous condensés en un noyau...
Un lingot distillé et pur
dont les vers ne sont que l'armure!
 
Qui, de plus, trouve le culot
de m'écrire en ce que plus tôt
elle me démontrait la bassesse...
Aux vers elle dénie la noblesse
puis elle versifie ses discours
(vain et paradoxal parcours...)"
 
Créature des marécages,
Je n'en critique que l'usage
Abusif, hautain et pompeux
Qui en vide tout intérêt
Et ne fait que perpetuer
 
la paresseuse foule
 la Bétise qu'on foule
  le temps s'écoule
   le vide découle
    du sel qui coule
sur nos pomettes.

Pouet
 
Ciao,
LoneCat

 
J'avoue bien volontiers mon penchant pour les feux
De la rampe; et enfin, pourquoi le cacherais-je ?
J'aime les compliments, si le monde est un jeu
Alors je veux gagner le pompon du manège !
 
Après tout, si la rime est pauvre et maladroite
Est-ce sa faute enfin, faut-il la supprimer ?
Elle a droit à la vie, même si le vers boîte
Nous ne sommes pas à un concours de beauté.
 
Tu es cruel, ami, de vouloir limiter
La poésie à l'art de savoir l'appliquer
Un être sans talent a tout autant de rêves
Devra-t-il les cacher jusqu'à ce qu'il en crève ?
 
Du haut de mon orgueil, du haut de mon perchoir
Je peux te regarder sans risquer de déchoir
J'assume mon statut de piètre rimailleur
Maintenant, cher critique, allez rimer... ailleurs
 
Car
  Se lève la houle
  Ces vagues qui roulent
  Autour de ton moule
  Originel
  Aux relents d'azur
  Pur.

tin pin façin d'parlin en verlin !

Sans même en avoir l'air
Une fleur dans les cheveux
Chloe fit des heureux
En montrant son derrière
 
Si vous l'apprivoisez
Avec son petit nez
Laissez la respirer
Ou bien vous la perdrez
Pleurez l'ami, pleurez
Elle s'en est allée...

Avec son air mutin
Voluptueuse vorace
Allumeuse elle tient
La chose entre ses mains
Elle vous rend grâce
 
Grâce à son talent
Oubliez les soucis
Un vrai petit serpent  
Rêve de votre vie  
Mais prenez garde
A partir de minuit
Nul ne la regarde
Dangereuse égérie
Elle est vraiment partie ...

 
La première strophe est meilleure que la seconde, c'est dommage

 
Je sais, j'ai faibli...

 
Ah non, non, le début était truculent

et le terme est choisi

Aaaah la petite Chloe    

 
On dirait du Elmer Food Beat avec du talent

foot

Grands sacres je profere,
Car jamais je n'ai su,
De tout mon vecu,
M'exprimer en vers.

 
ah non    
Sinon phonétiquement ça ne fait pas "fou de bite"

Et en rime , ça donne quoi ?

 
d'une je me suis lamentablement fourvoyé, désolé
de deux j'en apprends une bien bonne

 
T'avais jamais compris le jeu de mots moisi ?

non
 
oui je sais c'est une peu con

 
Que nenni pour le sport,
changer le mot médian
détruit le nom poilant
de ce groupe de porcs.
 
ça ira ?

 
Une grande rapidité alliée à l'efficacité
ta réputation semble vraiment méritée

doucement, doucement, regarde un peu son slip
car à chaque tirade, hop là un double flip
et si tu continues, direct un triple axel
rien de moins confortable après sur sa selle
 

 
N'importe quoi
J'en chiale

hého j'suis pas pouet moi

 
Est-ce que l'acrostiche aux relents sulfureux
Trouvera chez les femmes un écho langoureux ?
 
Le poète échauffé par sa muse féconde
A envie de toucher sa croupe vagabonde,
 
Tourne autour de la gueuse avec des yeux fripons,
Efface dans ses rêves le maudit jupon,
Nourrissant la pensée pétrie de convoitise
De rajouter un "A" lorsqu'il lui fait la bise,
Râpant d'un doigt calleux la nuque de la belle,
Espérant entrevoir un éclair de dentelle,
Savourant par avance les mots secs et crus
Sussurés à l'oreille par sa muse nue
Etendue et offerte à son talent brandi
 
Baisée, elle sera, certes, mais en poésie !
Oublions donc ici le poète et sa muse
Retirons-nous pendant que l'écrivain s'amuse
Dénonçons, indignés, ce grand fumeur de pipe  
Espérant malgré tout qu'un jour on participe...
L'orgasme littéraire, c'est un vers qu'on écluse.

 
Aha! T'as de la répartie mon gaillard
Mais fais attention car un jour
Tu pourrais, sans y prendre gare
Te prendre un coup d'pied aux fesses à ton tour!
 
(chui achement fier de moi
    pas pour ces vers débile
    mais plutot parce que pour une fois
    j'ai quand même l'air moins débile!)

30 minutes de zik je viens d'enregistrer    
putain comme c'était bon de la trance bien frappée    
elle a heurté mes oreilles comme un marteau    
martelant le sol, cet effroyable salaud    
 
Je crois que je m'en vais me pieuter    
Tout ça en vous souhaitant une bonne nuitasse   ²
car à 18h30 je vais travailler    
et si je dors pas un peu, je serais à la masse
 
Les vers pour moi c'est nouveau
soyez sympa, payez votre pot d'eau
car l'alcool me fait un sale effet
après chui fou et je cours comme un furet

Un seul mot pour rimer,
Peu ont osé.
Appauvrir
ou s'ouvrir.
 
(t'in si je continue je vais faire du poême hawaiien ou je sais plus quoi qui n'a aucun sens ni aucune règle... des trucs du genre, La pluie tombe, les oiseaux chantent, je me meurt (passé dans le métro il y a qques années)

 
Bigre , c'est exquis
Rafiné et joli
Avec un je ne sais quoi
Vraiment je suis coit
Onanisme littéraire
 
La rime nous éclaire
Avec des thèmes osés
 
Grivaux et légers
Rions sur ce topic
Ensemble , c'est caustique
Nous occupons le temps
Oisifs et nonchalants
Une journée de travail
Illuminée de poésie
Le forum s'encanaille
Le contenu s'enrichi
Etc ...

La panne d'inspiration
Agit comme une pute
Cachée dans son fourgon
On paye et elle turlute.