Reprise du message précédent :

 
Je n'ai jamais passé une nuit plus pourrie
Et je me suis vautré nu dans l'ignominie
Ignoré, rabaissé, j'ai perdu mon orgueil
Mon esquif s'est brisé contre ce sombre écueil.
 
Aussi j'apprécierais au lieu de critiquer
Que tu puisses en deux vers, trois vers me consoler
Est-ce trop demander, dans ce monde bancal
D'avoir de la tendresse en injection létale ?
 
 
 

 
Où donc avons nous déclaré avoir du talent?
A comprendre tu es lent
Tu écris pour ne rien dire
Un conseil arrête d'écrire
 
Cela vaudra mieux pour toi
Et pour nos Q.I. très bas
Tu souhaite une guerre de poèmes?
Mon pauvre tu manques de "je t'aime"
 
Ton pseudo révèle ta personnalité
Un pauvre imbécile emplit de vanités
La poèsie ne parle que de bonheur
Pourquoi ne pas rajouter un peu de malheur?
 
La poèsie cache trop la réalité de la vie
De chaque côté on rit
Être perdu regarde autour de toi
Le bonheur se fait rare ici bas

;

De plus le révolté, dédaignant Érato,
Vient nous dire, au nez, que les rimes sont trop
Loin des réalités; bien qu'il s'en serve, lui,
Pour nous seriner que la Mort est une amie
Que le monde est sans beauté et que nos poêmes  
Manquent de ce qui le torture si fort: "je t'aime !"
Mon dieu! je trouve cela dur à accepter  
Et souligne de ses propos l'inanité!

 
Ah, tout à ma douleur je n'avais pas noté
L'apparition ici d'une autre demoiselle
Et dans mon célibat, malheureux, torturé
Les rimes féminines me donnent des ailes.    

 
c'est trop beau  
j'en verse de gros sanglots
mes vers sont bidon  
j'ai touché le fond

Courage Grenouille, je connais ce que tu traverses
On écrit des vers et peut-être certain te blessent
Oui, un vers ça va, trois vers... bonjour les dégâts
Laisse-les dire, ce ne sont pas tous de mauvais gars.
 
Retenir tes larmes ne sert à rien, pleure Grenouille
Avance, même si certains ici te cassent les c...
On dit que ce qui aujourd'hui te fait souffrir
Une fois les larmes sechées reste un beau souvenir
Le temps est ton allié, laisse-le te guérir...

putain je dis baléze
vous maniez vraiment les mots a votre aise

 
Comme un serpent qui laisse ses écailles au sol
En finissant hier ses réserves d'alcool
La grenouille a touché le fond et désormais
Il n'y a plus de larmes dans ses yeux défaits
Bah, je me sentais mal, et j'étais amoureux
Aujourd'hui ce n'est même plus si douloureux
Tout un monde possible à portée de mes palmes
Aucune restriction, aucun appel au calme
Il y a du soleil, des fleurs, c'est le printemps
Raison de plus pour profiter de ce moment
Et noyer mon chagrin dans le sport et l'amour.
 
Entendez-vous, mesdames, cet appel au secours ?

J'abandonne un moment l'alexandrin au profit du décasyllabe...
 
Printemps, avec toi reviennet les beaux jours
Revenez, mini-jupes et chemisiers
Il y a dans l'air un parfum d'amour
Ne sentez-vous pas ce parfum léger ?
Toutes les filles redeviennet jolies
En abandonnant leurs pulls au placard
Moi, mes amis, je sens que je revis !
Pointes arrogantes au bout des nib...      (ça devait rimer )
Sachez savourer, il n'est pas trop tard !

sortez un recueille de poéme , c'est trop bien !!!

Quand je repense à elle, à ces tristes moments,  
Je sens me revenir cette douleur infâme  
Qui en d?autres époques a dominé mon âme,  
Et qui hélas n?est pas détruite par le temps.  
 
Étrange sensation que ce cruel tourment  
Où mon esprit entier est jeté dans les flammes  
Par de cruels démons qui me blessent de leurs lames;  
L?ennemi de Baudelaire se nourrit de mon sang.  
 
Proust écrivait que les paradis les plus beaux  
Sont ceux qu?on a perdus, et je m?inscris en faux.  
Rien n?est plus dramatique, dans une destinée,  
 
Que ceux qu?on a humés, sans les pouvoir sentir,  
Que ce qui à jamais semble vouloir nous fuir,  
Que cette femme, enfin, que j?ai par trop aimée.  
 
 
Dîtes-moi la vérité, mes rimes en é ne peuvent pas décemment être considérées comme des rimes féminines n'est-ce pas ?
 
edit: faute de frappe au vers 7
edit2: correction de faute (v14) et modification (v11)

 
 
Je pense pour ma part que c'est l'amour charnel
Qui par sa vraie nature est le plus triste en somme
Si jamais il n'est pas infini, éternel
La douleur de l'échec est trop pour un seul homme.
 
Alors que si la fille est une amie fidèle
Une collection de photos dans un album
Il te reste l'espoir, et les rêves irréels
Tu perds le paradis si tu croques sa pomme.
 
Il vaut mieux le désir, inassouvi, puissant
Le plaisir de savoir que l'on peut être amants
Peut-être un jour ou bien, une nuit platonique
 
Plutôt que de crever dans le tombeau bancal
D'une relation morte et trop sentimentale
L'amour n'a pas de sens s'il est à sens unique

Salut à toutes et tous , me voilà connecté
Et c'est avec plaisir que je lis vos ecrits .
Nonobstant les jeûnots gorgés d'une volonté
Sinistre , suicidaire et leurs poèmes maudits ,
 
Un parfum printanier raffraîchit ce topic .
Notre bleu batracien au coeur brisé menu
Irradie de désir , on sent qu'il n'en peut plus .
Qu'attendez-vous ,enfin ! , colombes poétiques
Unissez-vous , ensemble effacez son air grave
Et peut-être en retour , vous aurez de sa bave
 
Edit : orthographe ...

 
La bave du batracien, azurée comme lui
serait pour nous, paiens, comme l'hydromel divin
dans un calice de jade ou une jarre de vin
la force de rêver, tirée du fond d'un puit
 
Mais sa détresse nous blesse, nous simples hfériens
et sans raison aucune nous perd dans la nuit
pourtant si désireux de s'approcher de lui,
je ne peux sans pleurer faire de son chagrin, mien
 
La grenouille est alors cet animal étrange
qui pénètre nos coeurs de ses vers qui dérangent
ravivant la tristesse qui étraignait ma vie
 
De ses ailes il s'approche, et se pose, tel un ange
sur les épaules des hommes, et de ses mots démange
la douleur du souvenir qui me laisse sans répit    

 
Le spleen te tiraille, et te laisse sans arme,
ton coeur se refroidit, ouvert, meurtrit, blessé
et chaque pensée maudite tournée vers l'être aimé
te rapporche du gouffre en te rappelant son charme
 
Mais ton amour est pur, et c'est bien là ton drame
Si elle t'a quitté, c'est en craigant son coeur
Par peur de te céder, ou par simple rancoeur
et pour sa lacheté, sur elle revient le blame
 
Car les femmes parfois, en voulant se venger
de leurs anciens amants, ou d'amour effrayées,
nous fuient sans rien nous dire de leurs douleurs secrètes
 
Alors à nous, mortels, par leur dédain blessés
De voir la vie en face, non sans nous lamenter:
L'amour est un combat que toujours l'on regrette

 
Roi des mots délicats, vous voir tout souriant
Et caracolant de si gracieuse façon,
Nous est à tous une juste satisfaction!
On ne saurait être triste, comme un élan
Universel le joli mois de mai fait tout
Vibrer en vous et partout les jeunettes font
Eclore leurs robes comme de clairs bourgeons,
Autour de vous virevoltent et vous rende fou...
Une belle saison effacera vos plaies ...

 
   
 
Printemps revenu, me verra aussi!
Et une seule minute, le temps d'un instant,
Taquinant l'oprobe, chassant la manante,
Accoudé au bar, j'affronte la vie.. !
Soudain pour toujours, je la voie devant moi :  
Serais-ce l'amour, idée de bonheur?
Eternel espoir, revoilà l'émoi!
 
Eternel?
Non!
 
Changeant de trottoir, la voilà en fuite!
Hélant un taxi, chassant le destin,
Aurait-elle vraiment, une vie de pantin,
La dame de mes rêves, une fille de jésuite?    
Et puis je sais bien, que tout est fini :  
Un reste d'humeur, pétasse en chaleur,  
Relant sans odeur, d'une soirée d'ennuie.  
 

 
J'ai le droit à un pass VIP pour le tomik ?  
 
[edit : ortho + smileys]

Ne sachant pas quoi faire
De ma soirée d'hier
Face à la nullité
Des programmes télé
J'ai pris papier / stylo
Pour écrire ces compos :
 
J?ai été réveillé par le bruit de la lune
Elle a chu violemment au détour d?une dune
Rassemblant mes esprits je suis allé la voir
Sa face mystérieuse évitait mon regards .
 
Ainsi finit ta vie , lui dis-je , je t?importune ?
J?ai tellement cru en toi , voici ton infortune  
Tu fis fi de mes rêves , ignoras mes espoirs
Et mes chaudes prières récitées chaque soir .
 
Par quel étrange hasard , quel phénomène physique
Ou quelle magie noire , par quel calcul quantique
Te retrouves-tu sur terre , au raz des pâquerettes ?
 
Je m?en vais t?expliquer , dit-elle laconique ,
Un jeune soupirant , aspirant à la nique
M?a décrochée afin de plaire à sa conquête
 
 
  Pyrotechnique
 
Myriam ,insouciante , tu es inscrite en moi
Le triste souvenir de ton corps lumineux
Cisaille mon coeur gourd , me rend si ombrageux .
Tu n?as jamais perçu cet incroyable émoi ,
 
L?extrème adulation qui souvent m?animait
Lors de nos discussions légères et futiles .
Tu brillais , nonchalante , astre si accessible
Et pourtant si lointain , incontestable attrait .
 
Je gravitais , sublime , autour de ton aura
Captait de tout mon corps ton pur rayonnement
Me laissait dériver tout en te regardant .
Tu m?inspirais , tu m?aspirais, j?étais en toi.
 
Puis je t?ai invitée un jour très simplement :
J?ai dévié un sujet de son cours initial
Pour le rediriger vers le lit très banal
Du cinéma propice aux rendez-vous galants
 
Quand tu m?as fait faux bon pour «  la 25ème heure »
Puis dit le lendemain , que tu avais un mec
J?ai senti fortement l?odeur de fennec
Qui parfume la vie lorqu?on est un rêveur .
 
La saignée de mon âme m?a laissé insensible .
Fort de ce douloureux revers de l?amour
J?ai décidé , malin , de devenir vautour
De fondre sans pitié sur une moindre cible .
 
Sur mon lieu de travail , sirotant son soda ,
Audrey répondit oui lorque j?ai dit tout bas :
La veux-tu dans ton fion bien profond , mon chaton ?
On va donc conclure sur ce petit dicton :
Pour emballer les filles , la solution magique
Est de privilégier le soupir aux techniques .
 
edit : vers 7 du sonnet, mise en évidence de l'acrostiche final

 
Respect total
 
J'aime beaucoup la première, mais la seconde n'est pas mal non plus !

 
 
excellent en effet.  je me suis permis une légère correction (en gras) afin d'améliorer un peu le rythme, qui était cassé (amha)
 
 

 
   NON belle tentative mais :
 
Quiconque parle des collocs pour entrer dans le bizz
Aura droit tout au plus au pass Tele-tubbies
 
sorry....

Après 2 edit, mon sonnet est ENFIN conforme aux règles
pour auriez pu me signaler ma faute au vers 14

 
Je ne pensais pas que tu recherchais la perfection
Dans ce cas, les vers 7,8 et 11 ont respectivement 1 pied, 2 pieds et 1 pied de trop  

Ok , bonne remarque . Je voulais faire du 4 * 3 ( TU AS FAIT FI / DE MES RE VES / DE MES ES POIRS ) pour changer mais je me range à ton avis : c'est au détriment du rythme .

 
Un autre soir de cuite,
La messe vous sera dite,
Et la vous comprendrez,
De quel bois je suis fait;
 
Je connais pas de découragement,
Et je puis très bien me passer de vous;
Voilà vous pouvez trembler maintenant :  
Votre plume malhabile, craindra mon couroux.

 
Mais je ne boirai plus
Car l'alcool m'indispose
Mon vers, je l'ai perdu
Et je parlais en prose.
Je ne te souhaite pas
Ce que j'ai traversé
Même si la vodka
A un goût de rosée.
Quand la lune s'éteint
Que les étoiles jouent
Moi, tout seul, je déteins
Je deviens acajou
Mon azur se délite
Et mon ciel s'obscurcit
Selon d'antiques rites
Je me sers le whisky.
Pour oublier l'amour
Il y a peu de choix
Soit on allume le four
à gaz - ou bien l'on boit
Et comme je n'ai pas
De pulsions suicidaires
Eh, je sors la vodka
Et je remplis mon verre.
Qui viendra donc trinquer
Au coffre de ma bière ?
Qui voudra se saouler
Au nectar solitaire ?
Oui l'alcool m'a sauvé
Par ses effets pervers
Il m'a fait oublier
Les plaisirs de naguère.
Car si l'alcool ne peut
Rendre heureux ses buveurs
Il a le pouvoir de
Faire sortir les pleurs
Qui sinon, effacés
Au fond de ma poitrine
Resteraient à rêver
A un flot de cyprine.
Ne jetons pas la pierre
Aux poivrots du dimanche
Qui au fond de l'ether
S'amusent à faire la planche.
On est passés par là
On en est revenus
Compagnon d'un combat
L'alcool m'a soutenu
Mais désormais tout seul
Et l'amour en bataille
Je me rase la gueule
Mes cheveux, je les taille
Et reprends peu à peu
La forme d'un têtard
D'une grenouille bleue
Qui fume un nénuphar.

La repentence est faite
Te sens-tu soulagé ?
Fini l'alcool , la fête
La grenouille a changé
A troqué son dur spleen
Contre un long imper mou
Il draguera des teen
En montrant ses genoux
Puis un jour , il verra
Une belle institutice
et elle se nommera
Chloé , reinette du vice
Ensemble ils s'en iront
Dans la mare au canard
Et ils forniqueront
Sur tous les nénuphars
Il oubliera sa belle,
Sa vodka et sa bière
Dans les doux bras de celle
Que Buck aimait naguère .

 
   
Le vers de six pieds te sied au teint, j'adore    
 
 
Ah quelle belle vie
Que celle que tu vantes
Des désirs interdits
Une femme, une amante
La sortie des lycées
Et les after en boîte
Puis l'amour de Chloé
Et de ses belles nattes
Buck en dit tant de bien
Qu'elle doit valoir le coup
Allez, ma Chloe, viens
Cette nuit est à nous !

 
A.A. (Alcolo Amateur)
 
Six despés par semaines,
Voilà mon seul vice,
Que voulez-vous que j'y fisses,
Tant que la coupe est pleine..!
 
Mes lèvres de joie y plongent,
Le reste n'est qu'un rêve,
Et l'on se voit dire "crève!"
Un vulgaire coup d'éponge,
 
Sur nos résolutions tranquiles,
Qui ce soir paraissent pis,
Qu'une soirée de beuverie,
Et sa remontée de bile.
 
(Le rythme roxorise, cette fois   )
 
[edit : merde, j'ai commencé en rimes embrassées, et je finis en croisée    ]
[redit : spa grave, c'est corrigé]

C'est vrai que Chloe donne envie . Buck , y'a moyen que tu en remettes une couche ?

dommage que les vers soient en 6 , 7 ou 8 pieds et pas tous égaux car c'est pas mal du tout .

Même si un homme et une femme s'aiment depuis toujours,
Ils se poseront tôt ou tard cette question :
Est-on ensemble par habitude ou par amour ?
Un doute surgira au coeur de leur relation
Xtc l'a chanté bien mieux que moi : Wake up !           si si, Wake up est bien une chanson de XTC
 
Va-t-elle râler parce que j'ai vidé le ketchup ?
A-t-il pensé à l'anniversaire de ma mère ?
Une série de questions banales, presque vulgaires
Tout n'est plus comme avant, et ce n'est pas d'hier.
 
Elle ne voit plus en lui que ce qui l'agace
Tout en elle l'exaspère, on dirait une pétasse.
Redeviendra-t-il attentionné comme avant ?
Est-ce fini, va-t-elle grossir comme belle-maman ?
 
Savoir s'ils s'aiment encore est vraiment difficile
Elle et lui disent s'aimer, mais c'est si futile.
Un jour, ils s'aiment vraiment comme au tout premier jour
Le lendemain, c'est à peine s'ils se disent bonjour
 
Que faire ? Rester ensemble ou bien se séparer ?
Un amour de dix ans a forcément changé
Etre amoureux comme au premier jour, vous rêvez !
 
Mais il se sent incapable de vivre sans elle.
A quoi bon rêver, tous les hommes sont infidèles
L'ami Cupidon, où sont tes flèches et tes ailes ?
 
Alors ils ont décidé de se résigner.
Chacun prend sur lui et ils vont continuer.
Ces rêves du début se sont si loin envolés
Où sont leurs promesses de toujours communiquer ?
Mal assortis, mais ne pouvant se séparer
Peur d'être seuls, ils voient les autres divorcer
A coups de désillusions ils vont avancer.
Gardez-vous de les juger, vous les blesseriez
N'êtes-vous pas mieux seuls que mal accompagnés ?
Est-ce un délit d'être seul et de le rester ?

, bon tu nous en fais un petit sur Chloé ?

 
Nombre de pieds (si je ne m'abuse)
6/5/7/6  
7/6/7/7
7/7/7/8
 
Tiens, je vais essayer de le faire en rimes anglaises (8 - 6)
 
L'alcool qui court dans mon sang bleu
Me rend invulnérable
Le whisky - j'en ai vidé deux
Me fait sentir minable
Je ne sais plus ce que j'ai fait
Et ca me rend nerveux
La fille au regard de poulet
A fini dans mon pieu  (j'aurais pu mettre "sur", mais sachons rester poètes   )
C'est amusant quand je l'ai vue
Je la trouvais pas mal
Mais j'avais juste un peu trop bu
C'est un vrai animal
Pas un tigre, ou une panthère
Ces animaux, ça va
Pas même un fier lépidoptère
Une truite, un cobra
Mais non, un thon, un banc entier
Une vache laitière
Mon coeur soudain s'est arrêté
Et j'ai vomi par terre
Si la beauté est accessoire
Elle n'en portait pas
J'ai soudain eu envie de boire
Pour oublier tout ça...

Ce topic prend de l'altitude
Lâchons un peu de leste  
Prout , je pète et com' d'habitude
Ca sent lourd , ça empeste
Et le niveau retombe un peu .
Je pars discret, hâbleur ,
Je connais la sortie de ceux
Qui sont modérateurs .
Ne montez pas trop haut , trop vite
Comme Icare avant vous ,
Vous risquez de brûler , c'est bête
Ou de devenir fous .

 
En voilà des façons!
Celle d'un alcoolique?      
D'exercer des critiques,
En évitant le fond?
 
Mais si la forme souffre,
C'est une simple blague !
Un 'va te faire foutre'
Ici ou à Prague...
 
Seul compte les mots,           (double sens : bonus * 4   )
Les fous ou les sots,
Qu'on les laisse agir,
Je préfère plaisir!             (combo : bonus + 10)
 
6/6/6/6 6/6/5/5 5/5/5/5  

 
Je sais sur quoi compter     (double sens bonus x 4)
Sur ma main sur le coeur     (double sens combo bonus x 5)
Car un verre sans pied       (double sens ultimate combo bonus x 6)
C'est comme un sol mineur    (double sens  à injection catalytique x 7)
Je vais me retirer           (double sens power punch x 8)
Tu vois, à la bonne heure    (double sens coital master kick x 9)
Mes doigts se replier        (double sens awesome eight-hits combo x 10)
Sauf un qui est Majeur       (Finish him ! Fatality !)

 
J'en attendais un peu moins...
Celui qui pisse le plus loin?
Mais regarde dont ta prose,
Car c'est chez toi qu'on arrose!