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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°11511903
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 12-05-2007 à 20:56:34  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Ma soeur qui a 14 ans est jalouse de moi   :'(  parce'que tout se que je fesait je le reussisait les garcons tout le brevet  enfain presque tout sauf l'ecriture jai des idee genial mais je suis nul en horthographe en plus le langage sms et msn  ne maider pas dutout alors je vais prendre des cour de francais en plus   ma soeur et jalouse et pour montré a tout le monde mais faute elle a mis des texte que jai ecrit    mais a  douze as  desoler pour les lacunes et merci car vous aver aider ma soeur en orthographe    :d :d :d :d :d

mood
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Posté le 12-05-2007 à 20:56:34  profilanswer
 

n°11513813
Amibe_R Na​rd
Posté le 12-05-2007 à 22:54:50  profilanswer
 


Bonjour Arwen
 
J'aimerais vous soumettre un texte. Ca fait un petit bout de temps que je l'ai écrit mais bon:  
 
Le ciel se termine par un dégradé de couleur parfait à l’horizon au-delà des silhouettes des hauts sapins.  
 
/couleurs (puisque dégradé)
 
Phrase bien longue... manque de respiration ? ou de retournement ?
 
Peut-être les deux. Plaçons une virgule pour aérer
 
Au-delà des silhouettes des hauts sapins, le ciel se termine par un dégradé de couleurs parfait à l’horizon.
 
Bien sûr, on pourrait ajouter un peu de mouvement
 
Toisant les silhouettes des hauts sapins, le ciel
Surnageant au-delà des silhouettes des hauts sapins, le ciel
Surnageant, au-delà des silhouettes des hauts sapins, le ciel
 
Autre reproche : dégradé de quelles couleurs ?
 
Rouge ?
Bleu ?
Vert ?
 
Surnageant pourrait indiquer de l'eau
 
Sinon, on se demande bien de quel dégradé...
Donc le "couleurs" pourrait se transformer en bleu, rouge ou vert
Bleu parfait (pas très beau en sonorité)
 
/
 
Les beaux jours sont finis. La pluie, le vent et le froid s’installent peu à peu. Les criquets, moins nombreux, chantent, pâle souvenir des soirs d’été où le vent ne faisait qu’effleurer les feuilles et les pétales de roses. Les nuages recouvrent le ciel, plongeant le monde dans l’obscurité presque totale.  
 
/nuages noirs
/
 
Le dernier orage de l’année déroule ses rubans de flammes dans le ciel.
 
/ici il faudrait descendre à la ligne
/
 
L’enfant se cache sous les couvertures, serrant sa peluche préférée. Les images terrifiantes apparaissent par flash dans sa mémoire. D’abord floues, puis de plus en  
 
/flashs  
/
plus nettes, de plus en plus horribles. Du sang, des pleurs, des cris... Et les cloches sonnantes de la sombre cathédrale. Des corps étendus, le sentiment d’abandon... Et des cercueils accueillants des êtres aimés. L’enfant hurle et pleure. Larmes d’argent, larmes tranchantes. Ses joues pleurent aussi. Elles pleurent le sang coulé.  
 
Le petit garçon n’est plus dans son lit et son doux ami l’a abandonné. Les vitraux crachent une lumière fantomatique. Le carrelage est froid, mais l’air étouffant. Un rat trottine le long des murs, unique présence de vie. Les ombres des arbres agités sourient hostilement à l’enfant.
 
/sourient, hostiles à l'enfant.
sourient, hostiles, à l'enfant.
 
unique présence de vie = le rat
donc l'enfant n'est plus là.
/
 
 
 Le vent se met à siffler au travers des encadrements de portes et de fenêtres. Un souffle chaud épouse la nuque de l’enfant qui sursaute terrorisé. Ou bien est-ce son imagination ? Sans un regard derrière lui, il se met à courir sans fin. Sans savoir où aller. Le plus loin possible. Les portes claquent, des ombres dansent sur les murs. L’orage reprend de plus belle. La lumière l’éblouit mais l’enfant continue de courir. Il se met à hurler ses parents, sa famille. Son cœur s’accélère, ses mains se glacent. Il  
 
/hurler après (?) ses parents
/
ne pense plus, il est seulement là, tentant d’échapper à il ne sait trop quoi. Quand ce cauchemar se terminera-t-il ? Ils parcourent des couloirs, des escaliers en marbre  
 
/il parcourt
/
 
blanc, des salles lugubres aux fenêtres découpés par des barreaux. Quelles sont ces pièces ? Et ces intersections ? Les a-t-il jamais vu auparavant ? Le manoir de sa tante n’était pas si grand. Il s’arrête enfin, la respiration saccadée, les joues en feu. Il regarde autour de lui et devine des tableaux accrochés au mur. Le salon est immense comme tous les autres. La bouche béante et noire de suie de la cheminée semble vouloir l’avaler dans les ténèbres mais il ne peut s’empêcher d’approcher. Son pied butte sur un objet et il s’étale de tout son long sur le sol. Sur un sol mou, un sol chaud... Le petit garçon se relève avec hâte et l’horreur se découvre sous ses yeux, à la lumière de l’éclair.  
Deux corps sont étendus par terre, tout couverts de sang. Papa ! Maman ! Non, ce n’était pas possible. Ils ne peuvent pas mourir, ils ne doivent pas. Et, plus loin, son grand frère tant aimé qui serre dans ses bras sa petite sœur qui n’est encore qu’un bébé. Tous, ils sont tous morts. L’enfant se met à pleurer et se recroqueville sur le sol espérant qu’on vienne le chercher à son tour. Espérant mourir.  
 
Le petit garçon est toujours caché dans ses couvertures, mais désormais les souvenirs sont trop clairs dans sa mémoire pour qu’il puisse s’endormir. Il se souvient son oncle qui avait voulu l’écarter de ce cauchemar. Il se souvient comment  
 
/de son
/
il avait tenté de le rassurer, lui, le petit garçon terrorisé.  Il se souvient qu’il lui avait expliqué pourquoi ils étaient morts et pas eux : la maladie. Une maladie qu’aucun  
 
/pas eux deux
/
médecin n’était parvenu à identifier. Une maladie qui frappait sans qu’on comprenne pourquoi. La maladie.  
Il se souvient comment il l’avait élevé ces deux dernières années et il se souvient comment, finalement, il était mort, lui aussi de la maladie.  
 
/La question qui demeure est : c'est quoi cette maladie.
 
Et pourquoi il est dans la cathédrale ?
Pourquoi est-il seul ?  (alors que son oncle vivait encore avec lui, donc d'autres aussi)
 
comment, finalement, il était mort, lui aussi de la maladie, comme les autres survivants.  (l'expliquerait, et gommerait le besoin de savoir pourquoi il est dans la cathédrale (? Cathédrale ou chapelle ?), car là on peut supposer que c'était le seul endroit non touché par la maladie.)
 
Au final, ce n'est pas grave que la maladie ne soit pas nommée  :), si on répond aux autres questions.
 
Un autre orage :)
Peut-être y a-t-il ici l'occasion de jeter un peu de folie dans les yeux de l'enfant qui entend un bruit de vie, alors qu'il est seul depuis ???... si la notion de temps a vraiment de l'importance.
 
En clair, on ne comprend pas trop à quoi te sert le rat... sauf s'il s'enfuit en couinant.  
L'autre présence de vie s'enfuit, terrorisée, donc l'enfant devient terrorisé à son tour.
 
 
Voilà pour aujourd'hui
 
Bien Amicalement
      L'Amibe_R Nard

n°11518209
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 13-05-2007 à 12:54:38  profilanswer
 

Merci L'Amibe pour tes critiques je commençais à me dire que ce texte passerait inaperçu dans le topic, perdu parmi les questions d'édition. En effet mon texte manque de précision, comme par exemple que tu ais compris qu'il est dans une cathédrale alors qu'il s'agit du manoir de sa tante. Les cloches sonnantes de la cathédrale a du te confondre en erreur mais la cathédrale est juste pas loin. Voilà, encore merci.

n°11518216
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 13-05-2007 à 12:55:28  profilanswer
 

Au fait j'ai oublié, je ne veux pas nommer la maladie. Voilà c'est tout.

n°11520598
eXXelion
Posté le 13-05-2007 à 18:49:52  profilanswer
 

pour repondre a Arwen sur le point  
"
Peut-être y a-t-il ici l'occasion de jeter un peu de folie dans les yeux de l'enfant qui entend un bruit de vie,..."
 
j'ai procedé comme ceci. En me mettant à la place du personnage, en essayant de ressentir ses emotions. Le contexte est : un enfant seul dans une foret en pleine nuit.
 
"

Citation :


Autour de lui, une multitude de bruits résonnaient ; des bruits dont sa jeune imagination eût tôt fait de changer en des souffles, des rires contenus et en des déplacements silencieux de je-ne-sais-quoi.
 
 Le monde réel…ce n’est pas un conte ici…tout ceci n’est que ton imagination…
…pas de dragon… ni de bonne fée, ça c’est sur…
…pourtant…
 
Peut-être n’était-ce  que le vent hurlant dans les branchages déplumés, mais Adrien perçu des sons qu’il prit pour des pas.  
Le cœur sur le point d’exploser, Adrien se retourna et …
 
 Rien, bien entendu, ce qui accentua son angoisse. Un instant plus tard, les mêmes bruits se firent entendre.
Pas de doute, il n’était plus seul.
  Adrien se tourna en un éclair, tentant de percer les ténèbres que la forêt amplifiait.
  —  Qui est là ? Souffla  le petit garçon d’une voix presque inaudible.
Pas de réponse. Evidement.
Il tourna sur lui-même, cherchant désespérément un éclat de lumière où se nicher, où il serait enfin loin de ce cauchemar. Rien.
 
Il faisait si noir et si froid.
 
 Quelque chose lui frôla le bras. Il le retira immédiatement, tentant de se rassurer ; ce n’était qu’une branche effleurée que son imagination faisait travailler.
"


Citation :

"
Ce fut comme percevoir d’infernales créatures de cauchemar à la lueur éphémère de la foudre. Le noir régnant partout donnait le sentiment trompeur que tout venait de disparaître de nouveaux et pourtant elles étaient là. Créatures n’existant que le temps d’un éclair, tapies dans les ténèbres de la folie, semblant attendre, guetter, observer silencieusement...."


 
A partir de ton contexte, met toi dans la peau de ton perso. Un gamin perdu dans un manoir sombre en plein orage... l'imaginaire du mome va vite travailler ...
 
ensuite si vraiment il ya danger, utiliser le rapide eclat lumineaux du flash d'un eclair pour donner un impact psychologique". Je pense au film pitch black ou il ya une scene ou on voit un mec dans le noir absolu, plus dans il crache du feu on voit un instant des milliers de creatures abominables a 30 centimetres de lui ... on sursaute. puis le noir reviens... fausement rassurant et mortel.
 
Je n'arrive pas trouver vos textes d'avant dsl.


Message édité par eXXelion le 13-05-2007 à 19:01:55
n°11530524
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 14-05-2007 à 18:55:46  profilanswer
 

Salut tous le monde je vous ferais lire des passages descriptive j'ai un peut du mal  avec sa tous vous conseils seront les bien venu et toute vous critique .Pour  les critiques aller y pas très mechant  (bien sur vous pouvait critiquer :p) car je me vexe très très vite  aurevoir et merci des conseil et des critique  

n°11537463
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-05-2007 à 19:20:54  profilanswer
 

Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever  les oiseaux chanter des mélodies magnifique.
Le matin était un des seul moment de la journée ou les voitures et les klaxons n’avait pas leur places dans se monde .Si  en tendaient l’oreille ont pouvait entendre une cascade coulée.
De temps en temps les arbres bouger laissant entendre un langage inconnu .Le ciel  avais un ton orange et  rose .Une jument hennisse sans doute pour appelait son poulain.
Les premier réverbère s’éteignent laissant place à une rue sombre presque sans vie. Les oiseaux  qui chantent avais enfin change de mélodie c’elle  ci ressemblé plus à un chant surnaturelle qu’a une mélodie.
Un chien aboyer après une poule il voulait sans doute lui tordre le cou .Une mamie était assise devant sa fenêtre elle regardait sans doute les derniers instants de sa vie défile devant elle, elle souriait montrant à la vie qu’elle été prête, prête à faire son voyage mortuaire, prête à faire   cadeaux de sont corps a la mort c’est vrais son maris été mort a 45 ans d’un concert  elle en avait 97 elle en avait passait du temps seul  sa fille avais déménager au Canada et son fils c’étais fais écrase par une voiture et elle c’étais disputer avec sa sœur .Ainsi mourir ne lui faisait pas peur ,elle pourrait de nouveau voir son maris . La mamie éclatas de rires puis posa sa main sur la vitre  elle ne bougea plus le froid commencer à l’envahir tout ses soucis  disparurent même les plus petit qu’il soit laissant place a un corps remplie de bonheur.
Un bonheur qu’aucun être humain ne connaîtra jusqu'à sa mort .Les yeux et les lèvres de la mamie ne bougeaient plus, sa main qui était contre la vitre glissa  la mamie avait enfin eu ce qu’elle voulait la mort. Elle avait pas eu un vie facile alors elle espère avoir une mort facile  la mamie mourut sans peur ni crainte d’aller en enfer ,car l’enfer n’exister pas plus que dieu existe sa maison s’assombrit puis les oiseaux chantèrent du mieux qu’il purent pour faire honneur à la mamie.
     
c'est le premier que j'ecrit   :s :s

n°11537471
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-05-2007 à 19:21:21  profilanswer
 

desoler c serre

n°11537584
eXXelion
Posté le 15-05-2007 à 19:30:54  profilanswer
 

il ne faut pas se vexer :)
premier lecture rapide: il manque de la ponctuation + l'orthographe ( à soigner c'est important)

n°11538303
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-05-2007 à 20:47:28  profilanswer
 

peut tu me dire mes faute je suis très nuuul en orthographe

mood
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Posté le 15-05-2007 à 20:47:28  profilanswer
 

n°11538312
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-05-2007 à 20:48:36  profilanswer
 

mais avant jarriver pas a faire des passsage descriptive

n°11538990
eXXelion
Posté le 15-05-2007 à 21:53:33  profilanswer
 

salut, petite precision pour m'eclairer: quel age as tu ? merci :)
 
T'inquiete pas pas on est tous passé par la. A l'ecole primaire j'etais infoutu d'ecrire 10 lignes en redaction ...

n°11540021
EricFerris
Posté le 15-05-2007 à 23:45:40  profilanswer
 

Druduss,
 
J'ai été voir le forum pour jeter un oeil sur le texte que tu as soumis, mais tu as effacé le message. Tu veux le resoumettre? Ou en soumettre un autre?


---------------
-- Le coin du scribe: http://ferrisfantasy.blogspot.com
n°11540126
Amibe_R Na​rd
Posté le 15-05-2007 à 23:56:07  profilanswer
 

Bonsoir Younas
 
Tu n'es pas nulle, tu apprends.
Ce qui change tout.
 
 
J'ai lu ton texte en entier.
 
La première chose à corriger, ce sont les verbes mal conjugués.
Là, une seule solution : basculer les phrases au futur.
 
>Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever  les oiseaux chanter des >mélodies magnifique.  
 
Il fera doux, l'air sera léger, le soleil sera en train de se lever, les oiseaux chanteront des mélodies magnifiques (avec un s à magnifiques, un autre point à revoir)
 
 
>Le matin était un des seul moment de la journée ou les voitures et les klaxons n’avait pas >leur places dans se monde .
 
le matin sera un des seul"s" moment"s" de la journée où les voitures et les klaxons n'auront pas leur place (sans s ici) dans ce monde  (ce monde, celui-là, donc ce)
 
 
>Si  en tendaient l’oreille ont pouvait entendre une cascade coulée.  
 
Si ne marche pas avec le futur
Donc, le si se transforme en lorsque dans le futur
 
Lorsqu'on tendra l'oreille, on pourra entendre une cascade "vendre" (donc couler)
 
>De temps en temps les arbres bouger laissant entendre un langage inconnu .Le ciel  avais un  
> ton orange et  rose .
 
De temps en temps, les arbres bougeront laissant entendre un langage inconnu.
Le ciel aura un ton orange et rose.
 
Ce qui donne, en rétablissant les temps
 
"De temps en temps les arbres bougeaient laissant entendre un langage inconnu . Le ciel avait un ton orange et  rose."
 
 
>Une jument hennisse sans doute pour appelait son poulain.  
Une jument hennira  sans doute pour "vendre" appeler son poulain.
 
> Les premier réverbère s’éteignent laissant place à une rue sombre presque sans vie.  
 
Là, réverbères avec un s
 
>Les oiseaux  qui chantent avais enfin change de mélodie c’elle  ci ressemblé plus à un chant surnaturelle qu’a une mélodie.  
 
Les oiseaux qui chanteront auront enfin (vendu) changé de mélodie, celle-ci ressemblera plus à un chant surnaturel qu'à une mélodie.
 
 
> Un chien aboyer après une poule il voulait sans doute lui tordre le cou .
 
un chien aboiera après une poule, il voudra sans doute lui tordre le cou .
 
un chien aboyait après une poule, il voulait sans doute lui tordre le cou .
 
 
>Une mamie était assise devant sa fenêtre elle regardait sans doute les derniers instants de sa vie défile devant elle, elle souriait montrant à la vie qu’elle été prête, prête à faire son voyage mortuaire, prête à faire cadeaux de sont corps a la mort
 
Une mamie sera assise devant sa fenêtre, elle regarder sans doute les derniers instants de sa vie "vendre" défiler devant elle, elle sourira montrant à la vie qu’elle sera prête, prête à faire son voyage mortuaire, prête à faire  (le) cadeau de son corps à la mort
 
 
> c’est vrais son maris été mort a 45 ans d’un concert  elle en avait 97 elle en avait passait du temps seul  sa fille avais déménager au Canada et son fils c’étais fais écrase par une voiture et elle c’étais disputer avec sa sœur .
 
ce sera vrai, son mari sera mort à 45 ans d’un cancer.  Elle en aura 97, elle en aura "vendu" passé du temps seule. Sa fille aura "vendu" déménagé au Canada et son fils se sera fait "vendre" écraser par une voiture et elle se sera "battue" disputée avec sa sœur .
 
>Ainsi mourir ne lui faisait pas peur ,elle pourrait de nouveau voir son maris . La mamie éclatas de rires puis posa sa main sur la vitre  elle ne bougea plus le froid commencer à l’envahir tout ses soucis  disparurent même les plus petit qu’il soit laissant place a un corps remplie de bonheur.  
 
Ainsi mourir ne lui fera pas peur , elle pourra de nouveau voir son mari . La mamie éclatera de rire puis posera sa main sur la vitre.  Elle ne bougera plus, le froid commencera à l’envahir, tous ses soucis  disparaîtront, même les plus petits qu’ils seront (même le plus petit qui soit), laissant place à un corps rempli de bonheur.
 
>Un bonheur qu’aucun être humain ne connaîtra jusqu'à sa mort .Les yeux et les lèvres de la mamie ne bougeaient plus, sa main qui était contre la vitre glissa  la mamie avait enfin eu ce qu’elle voulait la mort. Elle avait pas eu un vie facile alors elle espère avoir une mort facile  la mamie mourut sans peur ni crainte d’aller en enfer ,car l’enfer n’exister pas plus que dieu existe sa maison s’assombrit puis les oiseaux chantèrent du mieux qu’il purent pour faire honneur à la mamie.
 
Un bonheur qu’aucun être humain ne connaîtra jusqu'à sa mort. Les yeux et les lèvres de la mamie ne bougeront plus, sa main qui sera contre la vitre glissera. La mamie aura enfin eu ce qu’elle voudra : la mort. Elle n'aura pas eu une vie facile alors elle espérera avoir une mort facile. La mamie mourra sans peur ni crainte d’aller en enfer, car l’enfer n’existera pas plus que dieu n'existera. Sa maison s’assombrira puis les oiseaux chanteront du mieux qu’ils pourront pour faire honneur à la mamie.
 
 
Ici, dans ce passage, tu n'as presque pas commis de faute.
>Un bonheur qu’aucun être humain ne connaîtra jusqu'à sa mort .Les yeux et les lèvres de la mamie ne bougeaient plus, sa main qui était contre la vitre glissa. La mamie avait enfin eu ce qu’elle voulait : la mort. Elle n'avait pas eu un vie facile alors elle "espérait" avoir une mort facile. La mamie mourut sans peur ni crainte d’aller en enfer, car l’enfer n’existait pas plus que dieu "n'existait". Sa maison s’assombrit puis les oiseaux chantèrent du mieux qu’il"s" purent pour faire honneur à la mamie.
 
 
 
Donc, une fois que tu as commencé à écrire, on sent que ça va mieux au bout de quelques paragraphes.
 
Si tu utilises la technique du passage au futur, tu trouveras où sont tous les verbes conjugués, ce qui te permettra de faire la différence entre les a (qui se transformeront en aura) et les à accent qui ne se transformeront pas.
 
Tu as aussi le verbe vendre, pour remarquer un verbe à l'infinitif.
Une jument hennira  sans doute pour "appelera" son poulain.  (ça ne va pas)
Une jument hennira  sans doute pour "vendre" appeler son poulain. (donc il y a un infinitif ici)
 
 
Tu as encore le problème avec ce et se
 
Ce = cela
Ce sera bon = cela sera bon
 
 
Elle se sentira bien = elle même se sentira bien
Elle "cela" sentira bien, ça ne marche pas.
 
Le truc du cela ne marche pas bien avec cette phrase
les voitures et les Klaxons n’avaient pas leur places dans cela monde.
 
si on peut dire ce monde-là, ou ce monde-ci, on peut aussi dire celui-là
 
les voitures et les Klaxons n’avaient pas leur places dans ce monde (dans celui-là, donc c'est un ce).
 
 
Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui.
 
Continue à écrire, à transformer les phrases au futur sur le papier (après tu le feras de tête, et ça ira plus vite)
 
 
 
On verra la ponctuation dans un autre texte.
 
Bien Amicalement
 L'Amibe_R Nard

n°11540127
EricFerris
Posté le 15-05-2007 à 23:56:10  profilanswer
 

Youna,
Ton texte est déjà une grande amélioration par rapport à ce que tu écrivais il y a quelques mois. Tu progresses, bravo! Il faut maintenant que tu soignes la ponctuation et la conjugaison.
 
Je corrige seulement les quelques premières phrases de ton texte:
 

youna and jinnas a écrit :

Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever  les oiseaux chanter des mélodies magnifique.
Le matin était un des seul moment de la journée ou les voitures et les klaxons n’avait pas leur places dans se monde.


 

Il faisait doux. L'air était léger, le soleil était en train de se lever. Les oiseaux chantaient des mélodies magnifiques.
 
Le matin était l'un des seuls moments de la journée où les voitures et les klaxons n'avaient pas leur place dans ce monde.

 
Le conseil que je peux te donner, c'est de lire, lire beaucoup. Et ce n'est pas nécessairement des gros pavés qu'il faut lire. Sur mon site, j'ai une liste de grands classiques à lire pour apprendre à bien écrire. Et tu peux voir qu'il y a des bandes dessinées dans le lot! Regarde: http://ferrisfantasy.blogspot.com/ [...] chive.html
 
J'explique pourquoi je recommande ces BD. En un mot: bonne histoire, français impeccable. Avec ces BD, tu ne seras pas rebuté, et tu assimileras les règles d'expression sans effort.


Message édité par EricFerris le 16-05-2007 à 03:06:09

---------------
-- Le coin du scribe: http://ferrisfantasy.blogspot.com
n°11541186
eXXelion
Posté le 16-05-2007 à 01:56:52  profilanswer
 

Tout a fait,  
 
il n'y a pas de secret, il faut lire lire lire et s'impregnez de tout ce que tu fais.
 De plus bien ecrire peut s'averer tres utile pour plus tard...
 
Dsl je pars en voyage donc je n'ai pas le temps de revoir ton texte.
Cependant, j'ai vu que tu tentais de faire des descriptions.  
 
Pour donner de la dynamique à des descriptions, n'hesite pas à faire des phrases longues , courtes, a alterner tout ca. Tu peut aussi utiliser du champ lexical, des comparaisons, des figures de styles simples comme des comparaisons ou des metaphores.
 
La description doit etre judicieuse car elle peut " endormir " le lecteur .
Trop de description, c'est lourd.
Pas assez , ca peut etre superficiel
 
Il faut se demander ce que que veut FAIRE RESSENTIR au lecteur
 
Ex: tu veux decrire une enorme cathedrale surplombant la ville de Paris.
 
- La cathedrale depassait les toits de son imposante taille.
 ca fait leger, on a pas une impression de grandeur. Si c'est ce que tu recherche a faire ressentir alors c'est neanmoins bon.
 
- La cathedrale dressait son ombre titanesque et majestueuse sur les remparts de la cité...
 
voila :) pas le temps de detailler plus , bonne chance ! :sol:
 

Citation :

Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever  les oiseaux chanter des mélodies magnifique.  
Le matin était un des seul moment de la journée ou les voitures et les klaxons n’avait pas leur places dans se monde.


 
-->
 
Il faisait doux, l'air etait leger. Les oiseaux chantaient de sublimes melodies.
Dans ce moment de pleinitude où la nature revele progressivement aux yeux de tous son eclatante et indeniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place.

 
( peu hardcore aussi ), c'est toujours une question de dosage.
Que veux tu faire ressentir?  
 
La splendeur de la nature ?alors  la tu mets le paquet en degageant le coté onirique d'un leve de soleil, ect ...
 
Un simple leve de soleil comme il yen aura 15 pages plus loin, alors  
- le soleil est sur le point de se lever.  Les oiseaux chantaient. A cet instant, les voitures et les kaxlons n'avaient pas leur place dans ce monde.
 
suffit amplement
 


Message édité par eXXelion le 16-05-2007 à 02:08:50
n°11548320
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 16-05-2007 à 18:23:13  profilanswer
 

Il faisait doux, l'air etait leger. Les oiseaux chantaient de sublimes melodies.
Dans ce moment de pleinitude où la nature revele progressivement aux yeux de tous son eclatante et indeniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place.  Cela change beaucoup du texte que javais ecrit . Amibe_R Na rd je suis obliger de le laisser au futur si???
 merci

n°11548335
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 16-05-2007 à 18:24:59  profilanswer
 

merci  je vais en ecrire un autre mais je vais essaie de le faire sont faute (enfain le moins possible)

n°11548647
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 16-05-2007 à 19:11:48  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

Il faisait doux, l'air etait leger. Les oiseaux chantaient de sublimes melodies.
Dans ce moment de pleinitude où la nature revele progressivement aux yeux de tous son eclatante et indeniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place.  Cela change beaucoup du texte que javais ecrit . Amibe_R Na rd je suis obliger de le laisser au futur si???
 merci


Non, bien sûr c'est juste pour savoir comment conjuguer qu'il te conseille le futur, mais après évidemment tu mets au passé ou au présent, ça dépend du temps que tu utilises.

n°11548758
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 16-05-2007 à 19:30:43  profilanswer
 

Citation :

Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever  les oiseaux chanter des mélodies magnifique.


Le "est en train" est maladroit, si tu utilises l'imparfait ça le fait: le soleil se levait et ça sous entend le "est en train".
 

Citation :

De temps en temps les arbres bouger laissant entendre un langage inconnu .Le ciel  avais un ton orange et  rose .Une jument hennisse sans doute pour appelait son poulain.
Les premier réverbère s’éteignent laissant place à une rue sombre presque sans vie. Les oiseaux  qui chantent avais enfin change de mélodie c’elle  ci ressemblé plus à un chant surnaturelle qu’a une mélodie.


Il y a des trucs pour les descriptions: le déplacement du regard: on aperçoit d'abord les réverbères, puis les arbres et enfin le ciel; il y a les sens: tu décris dans l'ordre de ce qui tu ressentirais si tu étais sur les lieux: peut-être d'abord l'odeur enivrante des roses, le doux chant des oiseaux, le paysage d'une ville endormie et tout ça peut encore mener à un bien-être que tu décris en final (l'ordre peut varier, si tu vois d'abord puis ferme les yeux pour entendre les oiseaux et enfin sentir le parfum des roses...).
 

Citation :

Une mamie était assise devant sa fenêtre


Au lieu d'utiliser "mamie" qui je trouve est familier, j'utiliserais "grand-mère" et pour varier "la vieille dame".
 
 

Citation :

Il faisait doux, l'air etait leger. Les oiseaux chantaient de sublimes melodies.  
Dans ce moment de pleinitude où la nature revele progressivement aux yeux de tous son eclatante et indeniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place.  Cela change beaucoup du texte que javais ecrit


Si c'est du premier jet, lorsque tu reviens sur ton texte, essaie de changer les tournures de phrases, utiliser des "images" en imaginant à quoi te fait penser telle ou telle chose pour la décrire dans ce sens, l'ex. de la cathédrale est très bon, elle est immense et pour le faire ressentir tu peux exagérer, et selon la façon dont tu veux la dépeindre tu peux utiliser des images différentes ("taille monstrueuse", "écrasante de verticalité" est bien différent de "la tour s'envolait en spirale et sa taille impressionante laissait penser qu'elle voulait atteindre les nuages": après quand c'est un peu niais tu peux changer encore et encore...).

n°11549124
EricFerris
Posté le 16-05-2007 à 20:21:54  profilanswer
 

Arwen Etoile du Soir a écrit :

[quote]
Il y a des trucs pour les descriptions: le déplacement du regard: on aperçoit d'abord les réverbères, puis les arbres et enfin le ciel; il y a les sens: tu décris dans l'ordre de ce qui tu ressentirais si tu étais sur les lieux: peut-être d'abord l'odeur enivrante des roses, le doux chant des oiseaux, le paysage d'une ville endormie et tout ça peut encore mener à un bien-être que tu décris en final (l'ordre peut varier, si tu vois d'abord puis ferme les yeux pour entendre les oiseaux et enfin sentir le parfum des roses...).


 
Arwen a raison, il y a des trucs à employer. L'idée est d'éviter la surcharge de descriptions en introduisant la scène peu à peu. Le plus simple est de plonger le lecteur dans une action ou même simplement un dialogue, et de faire découvrir le paysage ou le contexte à petites touches.
 
Regarde un exemple que je recommande évidemment (vu que c'est mon bouquin), comment la scène est introduite là: http://www.lulu.com/browse/preview.php?fCID=676423
 
Le chapitre 1 doit accrocher le lecteur. Tu as immédiatement de l'action (une bagarre) et un danger de mort pour le personnage. Par ses yeux, on découvre la scène (foule de badauds, auberge). Arrivent ensuite d'autres protagonistes, et à chaque fois, d'autres détails sont fournis peu à peu, "à la demande", lorsqu'on en a besoin. On évite ainsi de balancer les descriptions à la louche, façon Balzac.
 
Par contre, au chapitre 2, on ouvre sur une description. C'est un voyage, les héros traversent une contrée qu'on dit être dangereuse, il y a un vent violent, leur progression est ralentie par la poussière qui pique les yeux, s'introduit entre les dents, les fait tousser... On peut se permettre de la description parce qu'on est toujours en train de faire avancer l'histoire. Autrement, le paysage n'intéresserait pas le lecteur.
 
Le chapitre 3 devrait te plaire parce qu'il s'ouvre sur une scène d'aube, comme celle que tu décris... Mais c'est une scène de ravage, de destruction, une catastrophe dont les personnages émergent et dont ils sont tout juste sortis vivants. Et cette aube ne leur apporte pas la sérénité, mais le spectacle de leurs pertes et de leurs nouveaux problèmes! L'histoire continue à avancer. Parce que le coup de l'aurore aux doigts de rose, hein, on le lui a déjà fait, au lecteur, alors il faut le motiver.
 
Rappelle-toi: pour faire une histoire, il faut des protagonistes, un ou des problèmes, et un cheminement vers la solution. Tout est là. Ce sont les conflits et les dangers qui font les bonnes histoires, et l'humour ne gâte rien.
 
Donc, je te recommanderais de modifier ton texte pour introduire des éléments narratifs et des personnages dès le début, en y glissant les descriptions.


Message édité par EricFerris le 16-05-2007 à 20:26:17

---------------
-- Le coin du scribe: http://ferrisfantasy.blogspot.com
n°11549233
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 16-05-2007 à 20:32:30  profilanswer
 

d'accord merci  oui je vais maitre la grand mère

n°11553828
Amibe_R Na​rd
Posté le 17-05-2007 à 12:27:26  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

Il faisait doux, l'air etait leger. Les oiseaux chantaient de sublimes melodies.
Dans ce moment de pleinitude où la nature revele progressivement aux yeux de tous son eclatante et indeniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place.  Cela change beaucoup du texte que javais ecrit . Amibe_R Na rd je suis obliger de le laisser au futur si???
 merci


 
 
Bonjour Younas
 
Non, tu ne le laisses pas au futur  :)
C'est juste pour remarquer les verbes à conjuguer (les imparfaits en aient deviennent des ront au futur), et faire la différence entre les participes passés, infinitifs et les à et a.  
 
Ce qui, au début (et même plus tard :) ), évite beaucoup de fautes.
 
Car une phrase est constituée de trois points essentiels :
 
Le sujet
Le verbe (l'action qui donne le sens à la phrase)
Et les autres "compléments" qui vont éclairer le sens de la phrase
 
Lorsque tu as écrit tous tes compléments, il est temps de mettre un point.
 
 
La transformation au futur est là pour t'aider à corriger un maximum de fautes par toi-même.
C'est de la gymnastique mentale
 
 
La phrase que l'on t'a suggérée ne te convient pas, car, en effet, elle est loin de ton style.
Elle est aussi lourde (volontairement), pour montrer l'idée d'une certaine majesté
 
"Dans ce moment de plénitude, où la nature révèle progressivement aux yeux de tous son éclatante et indéniable beauté, les bruits de la ville n'ont plus leur place."
 
Les mots à quatre syllabes et plus représentent comme une majesté d'immeubles, même si on peut chipoter le progressivement (adverbe en –ment) qui alourdit trop la phrase lorsqu'on l'a prononce à haute voix.
 
 
On pourrait l'écrire ainsi :
Dans ce moment de plénitude, où la nature se révèle, pas à pas, dans une lente coulée d'écarlate, les bruits de la ville n'ont plus leur place.
 
Mais à ce moment-là, on perd le principal pour se perdre dans la description. Et le principal, c'est la fin de la phrase " les bruits de la ville n'ont plus leur place."
 
Dans ce moment de plénitude, où la nature se révèle, pas à pas, dans une lente coulée d'écarlate... les bruits de la ville n'ont plus leur place.  (pourrait lui redonner l'espace nécessaire)
 
 
Dans ce moment de plénitude, où la nature se révèle, pas à pas, dans un lent ruisseau d'écarlate... les bruits de la ville n'ont plus leur place.  (pourrait lui redonner l'espace nécessaire)
 
 
Mais ça ne vaut pas la phrase suivante, telle que l'as écrite :
 
Le matin était un des seuls moments de la journée où les voitures et les klaxons n’avaient pas leur place dans ce monde.  
 
Car c'est là une phrase de début de texte.
En la lisant, on se demande "pourquoi ?"
 
Elle est donc très riche de possibilités.
Ce qui en fait une très bonne phrase de début de texte.
 
Bien Amicalement
 L'Amibe_R Nard

n°11631523
cristal da​mbre
Posté le 25-05-2007 à 14:44:04  profilanswer
 

Eh bien voilà j'ai fini d'écrire mon roman (300 pages). C'est mon premier et j'aimerai avoir quelque conseil avant de l'envoyer chez un éditeur. Il s'agit d'un roman d'aventure, de légendes celtiques et quelqu'un m'a que certaines maisons d'éditions étaient spécialisée par thème, il m'a précisé que mon livre pouvait intéresser les enfant et les adolescents. Mais j'ai composé quelques poèmes en rapport avec l'histoire du livre et je doute qu'il puisse interesser les enfants et le texte est peut compliqué pour un jeune enfant. je pense qu'il pourrait surtout plaire à un adulte ! Enfin je ne sais pas où l'envoyer. Vers quelles maisons d'éditions ?          

n°11633812
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 25-05-2007 à 18:04:28  profilanswer
 

Regardes déjà ds ta ville où secteur que tu habites.


---------------
ploum ploum tralala
n°11633962
EricFerris
Posté le 25-05-2007 à 18:20:27  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Eh bien voilà j'ai fini d'écrire mon roman (300 pages). C'est mon premier et j'aimerai avoir quelque conseil avant de l'envoyer chez un éditeur. Il s'agit d'un roman d'aventure, de légendes celtiques et quelqu'un m'a que certaines maisons d'éditions étaient spécialisée par thème, il m'a précisé que mon livre pouvait intéresser les enfant et les adolescents. Mais j'ai composé quelques poèmes en rapport avec l'histoire du livre et je doute qu'il puisse interesser les enfants et le texte est peut compliqué pour un jeune enfant. je pense qu'il pourrait surtout plaire à un adulte ! Enfin je ne sais pas où l'envoyer. Vers quelles maisons d'éditions ?


 
Le secteur de l'heroic fantasy n'est pas très favorables aux auteurs débutants en France. J'en sais quelque chose.
 
Je te recommande de voir la liste des éditeurs dans le catalogue AUDACE édité par l'OIE PLATE. Voir les liens sur ma page, http://ferrisfantasy.blogspot.com/. Au strict minimum, achète leur catalogue et vérifie les politiques éditoriales des maisons que tu cibles. Tu éviteras ainsi les pertes de temps et d'argent.


---------------
-- Le coin du scribe: http://ferrisfantasy.blogspot.com
n°11634619
romainsch
Posté le 25-05-2007 à 19:47:16  profilanswer
 

EricFerris a écrit :

Le secteur de l'heroic fantasy n'est pas très favorables aux auteurs débutants en France. J'en sais quelque chose.
 
Je te recommande de voir la liste des éditeurs dans le catalogue AUDACE édité par l'OIE PLATE. Voir les liens sur ma page, http://ferrisfantasy.blogspot.com/. Au strict minimum, achète leur catalogue et vérifie les politiques éditoriales des maisons que tu cibles. Tu éviteras ainsi les pertes de temps et d'argent.


 
 
Tout à fait d'accord, pourtant c'est mon style préféré. J'espère que tu n'auras pas trop de soucis pour publier ton livre cristal dambre car c'est vraiment dur à écrire(l'heroic fantasy). As-tu imaginé un monde entier ou as-tu repris la Terre pour y raconter une histoire et changer certains lieux? Sinon je te souhaite bonne chance et bonne réussite.  ;)


Message édité par romainsch le 25-05-2007 à 19:47:52
n°11634656
Amibe_R Na​rd
Posté le 25-05-2007 à 19:50:38  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Eh bien voilà j'ai fini d'écrire mon roman (300 pages). C'est mon premier et j'aimerai avoir quelque conseil avant de l'envoyer chez un éditeur. Il s'agit d'un roman d'aventure, de légendes celtiques et quelqu'un m'a que certaines maisons d'éditions étaient spécialisée par thème, il m'a précisé que mon livre pouvait intéresser les enfant et les adolescents. Mais j'ai composé quelques poèmes en rapport avec l'histoire du livre et je doute qu'il puisse interesser les enfants et le texte est peut compliqué pour un jeune enfant. je pense qu'il pourrait surtout plaire à un adulte ! Enfin je ne sais pas où l'envoyer. Vers quelles maisons d'éditions ?


 
 
Salut  
 
Premier conseil :
 
Lecture par trois personnes, minimum, qui te donneront des avis (au-delà du "c'est bien" ).
On évitera de se sentir blessé, ils sont là pour te montrer les trous dans ton texte.
 
 
Deuxième conseil :
 
Tu laisses reposer un mois, et puis tu relis et tu corriges.
Avec la distance (et un peu d'oubli) on voit mieux ce qui ne va pas.
 
 
Troisième conseil :
 
Tu commences le tome/livre suivant. (Certains éditeurs refusent toujours le premier roman de nouveaux arrivés, sauf cas exceptionnels et très enthousiasmants) Car, si ça marche, il faudra que tu publies un autre livre l'année prochaine. On investit sur un livre, mais encore sur un nom. (L'édition c'est du business, et on te demandera certainement ce que tu as écrit en plus de ça)
 
Entame des nouvelles si tu n'as pas, de nouveau, la force de te lancer dans un livre;
 
 
 
Quatrième conseil :
 
Donne à lire ton premier chapitre.
Est-il suffisamment enthousiasmant pour que le lecteur ait envie de lire la suite ?
 
As-tu vérifié que ton histoire suit le principe des trois obstacles ?
 
 
Ceci dans le triptyque de l'histoire
 
1) Le héros est obligé de partir à l'aventure
Un premier obstacle surgit (gros obstacle)
 
Ici, soit le héros n'a pas les moyens de l'affronter, soit il les a.
 
2) Deuxième gros obstacle
S'il ne les a pas, il doit les trouver (ce qui peut correspondre au deuxième obstacle)
 
Soit il les a, et se rend compte que l'aventure va lui demander d'autres ressources  
(deuxième obstacle), en plus, à ce niveau, il n'a plus le choix de dire non.
 
3) Troisième gros obstacle
On arrive alors au climax, au troisième obstacle, qui peut être une redite du premier (le héros peut affronter le méchant, le démasquer avec des preuves)
C'est l'obstacle total : le héros passe ou meurt (ou est déconsidéré : mort symbolique)
 
Climax et choix définitif
 
 
 
Les gros obstacles peuvent résulter d'une série de petits obstacles.
 
Exemple sur le Seigneur des Anneaux
 
- Frodon reçoit l'anneau de son oncle
- Il est poursuivi par les Nazguls (obligation du départ)
 
Premier obstacle majeur
- Les Nazguls s'accrochent et tuent
- Le Héros est obligé de fuir (il est mis en danger de mort)
 
Constitution de la communauté de l'Anneau
Décision de détruire l'anneau, en territoire ennemi (!, obstacle mineur)
Départ de la communauté (Retournement de Saruman, Perte de Gandalf, Trahison de certains membres, retour de Gollum, l'Anneau prend de plus en plus de pouvoir sur Frodon)
 
Deuxième gros obstacle
Eclatement de la communauté, alors que la monde est à feu et à sang.
 
 
Frodon arrive enfin en Mordor
Ça va mal pour toute la nation humaine
Mais la situation se retourne lorsque les héros trouvent, enfin, de l'aide.
Saruman est vaincu par les Ents
Gandalf gagne la bataille du gouffre de l'Elm
La légion des morts vivants terrassent les adversaires des hommes.
 
Mais Frodon est capturé par l'araignée
Gollum s'échappe
Et le Mordor est de plus en plus actif.
 
Les héros foncent vers une situation désespérée pour donner à Frodon l'occasion de passer et marquer le but.
 
Mais le pouvoir de l'anneau est trop fort, Frodon va choisir de garder l'anneau et il faut Gollum pour terminer la passe. (voilà "pourquoi" il s'échappe avant le climax)
La destruction de l'anneau chasse Sauron hors de ce plan d'existence. (Bigre, pourquoi un si petit anneau peut-il tant de chose... Parce qu'il faut terminer l'histoire :-)) )
 
Fin du climax : les armées ennemies s'enfuient en pleine déroute, alors qu'elles sont à cent ou deux cents contre un.
 
Retour au pays...
Les Héros ne sont plus les mêmes.
 
Gandalf est blanc, Frodon quitte la terre du milieu, certains sont morts, les autres hobbits ont vu les horreurs de la guerre et souhaite – vraiment – rentrer à la maison, d'autres sont reconnus comme des rois, etc.
 
 
Cinquième conseil :
 
Tu dois savoir que le parcours classique d'un livre, c'est entre six mois et un an.  
Six mois de lecture par l'éditeur avant sa réponse (négative à 99 %)
 
D'où l'utilité d'avoir d'autres textes en mouvement (que ce soit vers d'autres éditeurs, ou en cours de création)
 
Un an avant la réponse positive = tu signes un contrat que tu relis plusieurs fois pour savoir à quoi tu t'engages, surtout les lignes où TU dois payer de l'argent.
Et aussi les lignes où TU t'engages sur un travail (révision des épreuves = relecture du roman tapé par l'éditeur, avec les codes typographiques adéquats, qu'il te faudra apprendre pour l'occasion. Pas difficile, mais à apprendre quand même :) )
 
 
Sixième conseil :
 
Tu regardes bien les prix et les tarifs postaux en vigueur et le poids de ton roman.
 
Oui, avant d'être publié, c'est aussi un investissement financier que d'envoyer ses tapuscrits par la poste.
 
 
Septième conseil :
Tu fais une triple sauvegarde informatique de ton roman... avec un CDRW pour éviter le pur disque dur électromagnétique. (Tu peux aussi te l'envoyer en pièce jointe. Par Internet, c'est stocké chez le provider) Surtout, surtout si l'éditeur est d'accord. :)
 
Huitième conseil :
Tu ne te décourages pas !  :)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard
 
 
 
 

n°11639164
druduss
Posté le 26-05-2007 à 11:36:29  profilanswer
 

Très bon conseil ami Bernard.
 
A propos de la relecture et des éditeurs, je vous conseille l'initiative cocyclics ( http://cocyclics.org ).
Il s'agit d'un collectif de betalecteurs et écrivains, il y a des règles, tel que relire deux autres romans pour qu'on lise le tien. Mais le niveau de correction/critique est tout bonnement excellent, vous pouvez me croire.
De plus ils ont des liens avec certains nouveaux éditeurs, ceux qui s'intéressent aux manuscrits des jeunes auteurs car ils n'ont pas (encore) de blockbuster.
 
Bref, cristal dambre, je te conseille d'aller faire un tour sur ce site. Si tu crois avoir le niveau pour ton livre, alors passe par là, et tu sauras si c'est le cas, si ton livre est publiable. En premier tu dois te présenter, poster le premier chapitre sur le forum. On verra bien ce que ça donnera ;-)

n°11639329
cristal da​mbre
Posté le 26-05-2007 à 12:00:53  profilanswer
 

Je vous remercie tous de vos réponses et de vos gentils encouragements qui vont bien m'aider. La fin de mon livre laisse suposer au lecteur qu'il ya aura une suite et je l'ai déja en tête. J'ai d'ailleurs déjà commencé à l'écrire. Quant à mon livre, il pourrait ressembler aux seigneurs des anneaux en plus celtique. L'histoire se déroule au 19e siècle et J'ai rajouté quelques faits historique pour faire un paradoxe entre le réel et l'immaginaire pour rendre l'histoire plus accrochante.  

n°11639732
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 26-05-2007 à 13:11:14  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Quant à mon livre, il pourrait ressembler aux seigneurs des anneaux en plus celtique. L'histoire se déroule au 19e siècle et J'ai rajouté quelques faits historique pour faire un paradoxe entre le réel et l'immaginaire pour rendre l'histoire plus accrochante.


 
Loin de moi l'idée de te faire flipper, mais bien des livres de fantasy (de jeunes auteurs) ressemblent au Seigneur des Anneaux et les éditeurs en on marre de revoir la même histoire écrite un peu différente, il faut amener du neuf. Alors j'espère qu'il y a un petit quelque chose de différent dans ton histoire pour accrocher, justement, le lecteur. Mais j'avoue que bien que j'essaye de ne rien recopier en fantasy, il y a d'inévitables similitudes  :( . Voilà, tu aurais pas posté un extrait de ton histoire quelque part?

n°11644106
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-05-2007 à 22:38:42  profilanswer
 

tu peut pas faire passer un extrait je suis jeune mais je peut bien lire un passage

n°11647421
cristal da​mbre
Posté le 27-05-2007 à 13:27:56  profilanswer
 

Si je parle de ressemblance avec le seigneur des anneaux c'est surtout au niveau de l'écriture et des poèmes car le scénario est tout autre, il se refère plus au nivau des légendes celtiques de Bretagne, il se passe sur la terre et non dans un pays imaginaire. Il n'y aucune resemblance entre les deux livres. Le prologue parle d'un combat entre flibustiers et d'un duel sur la lande et d'une légende sur la vie éternelle mais je n'en dévoilerai pas plus ( aucune comparaison non plus avec pirates des Caraïbes). Je vais un peu le peaufiné (voir une dernière fois s'il ny pas des fautes d'orthographe ) et j'utiliserai le lien que m'a gentiment donné DRUDUSS pour poster mon premier chapître.      

n°11647587
cristal da​mbre
Posté le 27-05-2007 à 13:49:19  profilanswer
 

Cher druduss,  
 
Y a t'il un risque de plagiat en publiant le premier chapître de mon livre sur cocyclics@gnail.com ?
Sinon je suis un peu embêté car mon premier chapître est assez long.  

n°11649351
Amibe_R Na​rd
Posté le 27-05-2007 à 17:43:21  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Cher druduss,  
 
Y a t'il un risque de plagiat en publiant le premier chapître de mon livre sur cocyclics@gnail.com ?
Sinon je suis un peu embêté car mon premier chapître est assez long.


 
Salut
 
Toujours amusant cette peur (légitime, malgré tout) d'être plagié.
 
Amusant... parce que la meilleure possibilité de ne pas l'être, c'est justement de faire savoir que ce texte est à toi. C'est-à-dire en le proposant à la lecture  (au moins des petites parties, il peut suffire de quelques pages choisies)
 
Le conseil premier, cité précédemment, n'est pas là dans l'unique but d'être relu. Très important, c'est vrai, mais en même temps c'est de la protection (voilà pourquoi il vaut mieux éviter la famille proche  :) )
 
Rien qu'en mettant les 30 premières lignes de ton roman sur ce site, tu aurais une preuve d'antériorité (la seule qui peut faire foi contre les plagiaires).
D'abord, parce que nous serions nombreux à l'avoir lu, ensuite parce que le Forum Hardware conserve la date et l'heure du post (et qu'une machine impartiale s'en occupe)
 
Donc, ne crains pas Cocyclic.
Et si tu le crains vraiment, tu t'envoies par la poste quelques pages (numérotées) de ton roman.
Et tu demandes à ce que le tampon de la poste soit placé aussi sur la fermeture.
 
Là, tu peux y aller les yeux fermés. Tu te rendras compte que les avis valent mille fois la crainte d'être plagié.
 
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11650567
cristal da​mbre
Posté le 27-05-2007 à 20:02:11  profilanswer
 

Je vais suivre ton conseil Amibe_R nard et je te remercie de tes conseils. Je me demande si je pourrai écrire tout le prologue car il fait 6 pages c'est un peu long. Sais tu combien de pages nous avons le droit de poster sur cocyclics ?

n°11651314
druduss
Posté le 27-05-2007 à 21:10:20  profilanswer
 

Il n'y a pas de limites de pages, mais il y a une limite de caractère par post. Dans l'idéal ne dépasse pas deux posts.
Et aussi, si tu postes pour demander des critiques, tu as intérêt à en faire pour les autres. C'est un conseil.
 
Sinon le risque qu'on te copie ? Si tu as vraiment si peur que ça, suit les conseils de l'amibe_R nard.  
Moi je te dirais simplement qu'à moins que tu sois un génie, il n'y a pas de risques de plagiat. Et si tu étais un génie tu n'aurais pas besoin de critique  ;)

n°11656671
sincap
Posté le 28-05-2007 à 12:42:56  profilanswer
 

Bonjour à tous. Je ne sait pas si vous vous souvenez de moi, mais j'avait posté ici les premiers chapitres de mon livre, je voulait vous dire que je continue et que je regroupe maintenant tous les chapitres dans un blog, celui-ci : http://ghetto16.skyblog.com
J'attends vos commentaires, on se retrouve là-bas.  ;)

n°11657298
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 28-05-2007 à 13:49:03  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Si je parle de ressemblance avec le seigneur des anneaux c'est surtout au niveau de l'écriture et des poèmes car le scénario est tout autre, il se refère plus au nivau des légendes celtiques de Bretagne, il se passe sur la terre et non dans un pays imaginaire.


Wouah trop bien, j'aimerais bien lire ce que tu fais parce que je connais pas vraiment les légendes d'un coin pas loin de chez moi (certains vous diront que je fais partie de la Bretagne: historiquement c'est vrai, d'autres que non: parce que c'est pas ma région mais on va pas lancer la polémique même si le château des Ducs de Bretagne se trouve quand même à Nantes :D ).

n°11659323
cristal da​mbre
Posté le 28-05-2007 à 17:08:17  profilanswer
 

Salut Arwen du soir,  
Rassures toi si comme moi tu es de Naoned ( Nantes) Tu es bien Breton n'en déplaise à certains !  Pour te faire plaisir je t'envoi un extrait de mon livre ( le milieu du prologue). Si quelqu'un aperçoit des fautes de style ou d'orthographe je compte sur lui pour me le dire. Merci.  
 
" Yves Kergoat retourna le malheureux afin de regarder d'où venait la blessure. Il jura lorsqu'il découvrit un long poignard planté près de l'omoplate, la lame avait sûrement traversé le coeur. Ses yeux se posèrent sur Hubert de de Saint Fleury avec inquiètude, puis il secoua la tête d'un air négatif devant l'interrogation muette de son lieutenant. Il n'y avait plus d'espoir, leur Capitaine était mourant.
       De grandes rigoles de sang s'écoulaient de la blessure. La terre, tout autour de Kieran, était rougie. Il était exsangue, toutes couleurs s'effaçaient du beau visage que Tiphaine aimait tant caressser. Le jeune homme avait comprit que sa fin était proche. Dans son inconscience, il crut voir sa bien aimée penchée au dessus de lui qui lui souriait tendrement mais hélas l'image s'évanouie. C'est pourquoi, il murmura ces mots, comme ci sa fiancée pourrait les entendre de n'importe quel endroit où elle se trouvait.
 
    " Mon amour, la mort est venue me chercher ce matin, alors que mon coeur était remplit de joie à l'idée de te revoir et enfin pouvoir serrer dans mes bras ta taille si fine.
Toute nimbée de lumière, elle a tendu vers moi ses bras d'une blancheur opaline.
Ils formaient comme un sublime écrin pour accueillir mon long corps fatigué et meurtri.
Croisant son regard de cristal plein d'amour, confiant et rassuré je m'y suis blottit.
Pendant un court instant, il s'est confondu avec tes yeux si doux, puis j'ai senti sur mes lèvres, un doux baiser aussi léger que le frôlement des ailes d'un papillon.
J'ai su alors que cela ne pouvait être toi, je n'avais pas reconnu ta bouche brûlante de passion.
Pourtant j'étais si bien, ma petite, ma fièvre, cela est déraison de penser que le baiser de la mort est froid, moi au contraire il m'a semblé tendre et agréable comme du velours.
Pendant un instant j'eus l'impression d'être dans tes bras, je n'avais plus peur, ma femme, mon amour.
C'est avec le coeur remplit de paix que j'ai suivi cette belle silhouette de femme qui avait ton visage mais qui n'était pas toi.
 
      Kieran voyait maintenant des célestes créatures blanches dont les voiles aériens s'étendaient tout autour de lui comme pour le recouvrir de leurs linceuls. Dans son inconscience, il entendire le rire du Marquis de Rolin félicitant Morcefer le sorcier de son joli planté de poignard.              
       

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Message édité par cristal dambre le 28-05-2007 à 17:47:38
n°11659663
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 28-05-2007 à 17:45:53  profilanswer
 

cristal dambre a écrit :

Salut Arwen du soir,  
Rassures toi si comme moi tu es de Naoned ( Nantes) Tu es bien Breton n'en déplaise à certains !  Pour te faire plaisir je t'envoi un extrait de mon livre ( le milieu du prologue). Si quelqu'un aperçoit des fautes de style ou d'orthographe je compte sur lui pour me le dire. Merci.  
 
" Yves Kergoat retourna le malheureux afin de regarder d'où venait la blessure. Il jura lorsqu'il découvrit un long poignard planté près de l'omoplate, la lame avait sûrement traversé le coeur. Ses yeux se posèrent sur Hubert de de Saint Fleury avec inquiètude, puis il secoua la tête d'un air négatif devant l'interrogation muette de son lieutenant. Il n'y avait plus d'espoir, leur jeune Capitaine était mourant.


 
 
C'est la première fois que je joue au correcteur, mais je me dis qu'en essayant de corriger les autres je me corrige un peu moi meme. Donc c'est pas à prendre à la lettre.
 

Citation :

Yves Kergoat retourna le malheureux afin de regarder d'où venait la blessure.


 
bof. ..."à quel endroit le coup avait été porté" ou  "à quel endroit avait-il été blessé (touché)" ou "pour l'osculter et examiner la gravité de sa blessure" ou un truc ds le style.  
 

Citation :

près de l'omoplate


 
donc il s'est fait poignarder ds le dos ? Pourquoi pas "à la hauteur de l'omoplate" ou "au niveau de l'omoplate"  ou " juste en-dessous de l'omoplate" en précisant pourquoi pas, l'oblique de la lame et en hypothésant sur la façon dont il a été frappé ou reçu le coup puis en concluant sur

Citation :

la lame avait sûrement traversé le coeur


 
 

Citation :


Ses yeux se posèrent sur Hubert de de Saint Fleury avec inquiètude, puis il secoua la tête d'un air négatif devant l'interrogation muette de son lieutenant. Il n'y avait plus d'espoir, leur jeune Capitaine était mourant.


 
Peut-etre dépeindre un peu plus les expressions des personnages face à ce drame.


Message édité par Positiviste le 28-05-2007 à 17:54:03

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ploum ploum tralala
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