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La crise actuelle sera...




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Auteur Sujet :

[ECO] Can it run Crises ?

n°30601539
baggers
Posté le 13-06-2012 à 16:14:40  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

docmaboul a écrit :

hé bien il te semble mal.


 
Pourtant, il semblerais que la pierre d'achoppement de la formation d'un gouvernement grec ait été la position des partis sur l'austérité et la conduite vis a vis de l'europe.
 
De la même façon, le parti de gauche majoritaire est un parti anti-austérité.
 
ce qui ne signifie pas que l'on ne va pas arriver a un accord au final! Tout les partis grecs sans exception désirent rester dans l'euro et l'europe.
 
Mais l'austérité elle-même semble compromise, au moins dans les paroles.

mood
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Posté le 13-06-2012 à 16:14:40  profilanswer
 

n°30601541
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 16:14:51  profilanswer
 

xilebo a écrit :


Et sinon, l'économie en cercle fermé, rien n'empeche de le faire avec les euros actuels également à moins qu'il ne reste plus aucune liquidité en grèce  ?


 
Non, car tu n'a aucun moyen de dévalué ou surévalué ta monnaie quand ça devient nécessaire, quand ce n'est pas toi qui l'imprime...  [:cosmoschtroumpf]  
 
Pour faire simple, le fait d'imprimé sa propre monnaie, permet d'en imprimé plus ou moins, ce qui permet de réévalué la monnaie pour luter contre l'inflation.
 
Avec l'Euro, c'est la BCE qui à se pouvoir, alors qu'avec une monnaie nationale, ce sont les gouvernements ou la banque nationale du pays qui disposent de se pouvoir...
 
L'écononime en cercle fermé, nécessite forcement une monnaie nationale.

Message cité 2 fois
Message édité par Elias de Kelliwich le 13-06-2012 à 16:20:40
n°30601584
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 16:17:28  profilanswer
 

docmaboul a écrit :


Non. Avant l'euro, ces pays ne s'en sortaient pas "très bien". J'allais régulièrement en Grèce il y a quelques dizaines d'années et je me souviens en particulier des ascenseurs sans porte et d'un hôtel où tu voyais encore entre deux étages les traces de sang d'un type qui s'était coincé le bras en descendant. Ca m'évoquait plutôt le tiers-monde à vrai dire, avec le même genre d'échoppes pour touristes et leurs produits bas de gamme que dans le Maghreb. Et puis bon, voilà le climat: pour bosser dans des champs en Grèce, il ne faut pas avoir d'autre choix si tu veux mon avis. Mieux vaut encore être pêcheur.


 
Certes, mais ce n’était pas la banqueroute qu'on voit aujourd'hui, le pays faisait avec ses moyens.
 

docmaboul a écrit :


En outre, le monde a bien changé depuis. Une nouvelle superpuissance a émergé en Asie. L'URSS s'est écroulée. Le commerce mondial s'est intensifié. Le prix des matières premières a sacrément grimpé. Etc. Ce qui rend la comparaison pour le moins absurde.


 
Il est vrai qu'on ne joue plus avec les mêmes cartes...  ;)  

n°30601602
baggers
Posté le 13-06-2012 à 16:19:01  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :


 
Non, car tu n'a aucun moyen de dévalué ou surévalué ta monnaie quand ça devient nécessaire, quand ce n'est pas toi qui l'imprime...  [:cosmoschtroumpf]  
 
Pour faire simple, le fait d'imprimé sa propre monnaie, permet d'en imprimé plus ou moins, ce qui permet de réévalué la monnaie pour luter contre l'inflation.
 
Avec l'Euro, c'est la BCE qui à se pouvoir, alors qu'avec une monnaie nationale, ce sont les gouvernements ou la banque nationale du pays qui disposent de se pouvoir...


 
On avait évoqué ici la possibilité pour l'état grec d'imprimer des reconnaissances de dettes. Valables uniquement sur le territoire national. des "IOU"
 
Ca reviens a une dévaluation locale, sans quitter l'euro.
 
http://tempsreel.nouvelobs.com/mon [...] -jour.html

n°30601613
docmaboul
Posté le 13-06-2012 à 16:20:02  profilanswer
 

baggers a écrit :


 
Pourtant, il semblerais que la pierre d'achoppement de la formation d'un gouvernement grec ait été la position des partis sur l'austérité et la conduite vis a vis de l'europe.
 
De la même façon, le parti de gauche majoritaire est un parti anti-austérité.
 
ce qui ne signifie pas que l'on ne va pas arriver a un accord au final! Tout les partis grecs sans exception désirent rester dans l'euro et l'europe.
 
Mais l'austérité elle-même semble compromise, au moins dans les paroles.


 
Ah qu'il y ait des désaccords sur la question, c'est un fait. Mais ça ne peut pas se traduire en un "la Grèce refuse l'austérité", tout du moins pour l'instant.

n°30601682
Dkiller
Posté le 13-06-2012 à 16:25:01  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :


 
Non, car tu n'a aucun moyen de dévalué ou surévalué ta monnaie quand ça devient nécessaire, quand ce n'est pas toi qui l'imprime...  [:cosmoschtroumpf]  
 
Pour faire simple, le fait d'imprimé sa propre monnaie, permet d'en imprimé plus ou moins, ce qui permet de réévalué la monnaie pour luter contre l'inflation.
 
Avec l'Euro, c'est la BCE qui à se pouvoir, alors qu'avec une monnaie nationale, ce sont les gouvernements ou la banque nationale du pays qui disposent de se pouvoir...
 
L'écononime en cercle fermé, nécessite forcement une monnaie nationale.


Faire marcher la planche a billet, ça ne crée pas forcément de l'inflation ?

n°30601689
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 16:25:38  profilanswer
 

baggers a écrit :


 
On avait évoqué ici la possibilité pour l'état grec d'imprimer des reconnaissances de dettes. Valables uniquement sur le territoire national. des "IOU"
 
Ca reviens a une dévaluation locale, sans quitter l'euro.


 
Effectivement, ça pourrait être une solution, faut voir le moyen dont ce serait mis en œuvre et si ça permettrait vraiment de résoudre le problème...  :??:

n°30601722
baggers
Posté le 13-06-2012 à 16:28:43  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :


 
Effectivement, ça pourrait être une solution, faut voir le moyen dont ce serait mis en œuvre et si ça permettrait vraiment de résoudre le problème...  :??:


 
Ce genre de solutions fonctionne si l'état est capable d'imposer et de faire accepter les "IOU" par la population comme moyen de paiement.
 
En France, ce serait simple: le parlement voterais une loi imposant l'obligation d'accepter des "IOU" comme moyen de paiement, sous peine de poursuite et de passage au tribunal.
 
Sans ça, les IOU pourraient bien avoir une durée de vie très-très courte... Et les gens payés en IOU (les fonctionnaires en particulier) se retrouver définitivement ruinés et a la rue sans même le pouvoir de se payer une corde. Et là se seras l'explosion sociale.


Message édité par baggers le 13-06-2012 à 16:29:36
n°30601724
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 16:28:48  profilanswer
 

Dkiller a écrit :


Faire marcher la planche a billet, ça ne crée pas forcément de l'inflation ?


 
Si justement, plus tu imprime de billet, plus tu crée de l'inflation.
 
Le principe est de pouvoir réguler le fonctionnement de ta planche à billet pour réguler l'inflation (quand les prix s'envolent tu fabrique un peu moins de billet, quand ils chutent tu en fabrique un plus pour maintenir l'équilibre).
 
Actuellement c'est la BCE qui fait ça pour toute l'Europe, c'est en parti ce qui pose problème pour les pays les plus pauvres.

Message cité 1 fois
Message édité par Elias de Kelliwich le 13-06-2012 à 16:30:39
n°30601747
johnbroot
n00b Inside
Posté le 13-06-2012 à 16:31:21  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :


 
Si justement, plus tu imprime de billet, plus tu crée de l'inflation.
 
Le principe est de pouvoir réguler le fonctionnement de ta planche à billet pour réguler l'inflation (quand les prix s'envolent tu fabrique un peu moins de billet, quand ils chutent tu en fabrique un plus pour maintenir l'équilibre).


 
Ce n'est pas automatique dans ce sens. La preuve actuellement (PQ=MV toussa...).


---------------
"Tout le monde sait que les immigrés viennent vivre du RSA en prenant les emplois des français. L'immigré de Schrödinger" Gottorp
mood
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Posté le 13-06-2012 à 16:31:21  profilanswer
 

n°30601805
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 16:36:06  profilanswer
 

johnbroot a écrit :


 
Ce n'est pas automatique dans ce sens. La preuve actuellement (PQ=MV toussa...).


 
Oui car la dévaluation de la monnaie, n'est pas la seul cause à l'inflation, mais c'est un moyen de régulation quand même.  ;)
 
EDIT : j'avais lu ça qui est très intéressant : http://libertariens.chez.com/limitemon.htm
 
 

Citation :

7,9% de croissance de la masse monétaire et de grandes rigidités de notre économie
 
Mais d’où vient l’inflation ? Fondamentalement, de l’excès de création monétaire. C’est lorsque l’offre de monnaie (représentée par la masse monétaire) augmente plus vite que la demande de monnaie (quantité que les agents économiques veulent conserver, compte tenu par exemple de leur revenu à long terme) que les ménages dépensent l’excès d’offre de monnaie et que se produit l’inflation.
 
Désormais, cette offre de monnaie est européenne. Or la Banque Centrale Européenne est affirmative. Alors que l’objectif de croissance de la masse monétaire (M3) devrait être de 4,5% par an (valeur de référence depuis 1998), les derniers chiffres publiés par la BCE font état d‘une progression de 7,9% pour les trois derniers mois, en termes annuels. Commentaire de la BCE « la forte croissance monétaire observée dans la zone euro au cours des deux dernières années s’est traduite par l’accumulation d’un excès de liquidités au regard de ce qui est nécessaire au financement d‘une croissance économique non inflationniste. ». Il est incontestable « qu’un excès de liquidités important s’est accumulé dans la zone euro ». Voilà pourquoi l’inflation n’est pas nulle.
 
Mais cette monnaie se répartit dans toute la zone euro. Et on observe que les taux d’inflation ne sont pas les mêmes dans les douze pays. C’est donc aussi qu’il existe des facteurs nationaux. On peut penser aux déficits budgétaires, qui sont excessifs en France. On peut penser au dérapage des revenus et en particulier aux hausses excessives du SMIC. Mais ce sont surtout les facteurs structurels qui sont en cause. L’économie française est caractérisée par de grandes rigidités, à commencer par les 35 heures, ou encore par les rigidités du marché du travail ou du secteur public. Cela signifie que l’offre ne peut pas augmenter aussi rapidement que chez nos voisins : nous n’avons d’ailleurs que 0,2% de croissance en 2003. Résultat : avec un même accroissement de la masse monétaire, l’inflation est chez nous plus forte parce que les rigidités administratives et fiscales empêchent l’offre de progresser plus vite. Voilà ce qui, en dehors du dérapage de la BCE, auquel il faut mettre fin, devrait inquiéter notre premier ministre.


 
Je viens de trouver un autre article ici qui dit sensiblement la même chose : http://www.econologie.com/fonction [...] -2736.html
 

Citation :

Il est décidément des choses bien étranges dans des domaines aussi rigoureux et supposés aussi scientifiques que les politiques économiques et monétaires. Prenons l'exemple de la BCE. Lancée officiellement en 1998, elle s'était fixée comme objectif ( outre la maîtrise de l'inflation sous 2%, dans les conditions de mesure que l'on sait ) une évolution programmée et fixe de la masse monétaire, c'est-à-dire de la quantité d'argent en circulation en zone euro, conformément aux préceptes de Milton Friedman : faire croître la masse monétaire d'une valeur constante et prévisible, égale à l'inflation visée additionnée de la croissance visée. Ainsi fut défini l'objectif de faire croître cette masse monétaire ( appelée M3 ) d'environ 4,5% par an ( 2% d'inflation + 2% de croissance + 0,5% terme correctif ).
 
En 2005, il m'a pris d'aller jeter un oeil ( certes, il faut le vouloir, car tout ceci n'est ni très médiatisé ni très compréhensible au premier abord, il est vrai ) sur les données en la matière. Et devinez ce que l'on découvre : en 2005, la masse monétaire a grossi en Europe de près de 8%.
 
Cas isolé me direz vous? Que nenni. Car depuis son lancement, jamais une année, je dis bien jamais une année, la BCE n'a tenu son objectif de 4,5% ! Toujours au dessus, et pas qu'un peu.
 
Résultat : par rapport à la progression théorique visée en 1998, ce sont environ 20% d'euros "en trop" qui ont été créés et mis en circulation, soit près de 1000 milliards d'euros sur une masse monétaire totale d'environ 6000 milliards.


 
Donc en gros la BCE aurait délibérément augmenter la masse monétaire pour crée de l'inflation, après on s’étonne que c'est la merde un peu partout.  :o
 
Comment on peut espérer qu'un pays s'en sorte si les gouvernements n'ont plus aucun pouvoir sur leur propre économie ?  :??:
 
Vouloir faire une monnaie unique ça à été une connerie, stou...  [:cosmoschtroumpf]


Message édité par Elias de Kelliwich le 13-06-2012 à 17:06:55
n°30602292
le-poulpe
CONTRADICTION IS BALANCE
Posté le 13-06-2012 à 17:14:43  profilanswer
 

Et tout ça n'est pas de la faute des banques qui jouent au casino, ni même du coût de la protection sociale,  mais des congés payés, des 35 heures, et du niveau du SMIC, dont il est reconnu qu'il permet de vivre dans une scandaleuse opulence. :o

n°30602467
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 17:32:26  profilanswer
 

le-poulpe a écrit :

Et tout ça n'est pas de la faute des banques qui jouent au casino, ni même du coût de la protection sociale,  mais des congés payés, des 35 heures, et du niveau du SMIC, dont il est reconnu qu'il permet de vivre dans une scandaleuse opulence. :o


 
C'est surtout AMHA, que l'Europe se retrouve piégé dans une course ou guerre économique entre les Etats-Unis et la Chine qu'elle ne peut pas concurrencer.  [:cosmoschtroumpf]  
 
La Chine s’oppose toujours à une réévaluation du yuan : http://bourse.lefigaro.fr/devises- [...] yuan-70245
 
Nous devrions dévaluer l'euro. Mais les Chinois feront tout pour s'y opposer via le dollar... : http://www.atlantico.fr/decryptage [...] l?page=0,0
 

Citation :

Cela nourrit d’ailleurs un deuxième dispositif, celui qui permet à la Chine de contrôler un deuxième cours de change, le cours euro/dollar. Si la Chine veut que l’euro reste cher contre dollar, il lui suffit que les yuans qu’il lui faut de toute façon vendre soient vendus par l’Etat chinois pour acheter des euros plutôt que des dollars ; l’euro restera alors cher contre dollar même si par ailleurs une brigade de spéculateurs privés entreprend un mouvement spéculatif à la baisse de l’euro contre dollar.


 
Ce ne peut pas bien se finir pour la zone Euro, les Etats-Unis veulent garder leur première place, les chinois veulent leur prendre, et ils se servent de l'Euro pour arriver à leur fin...  :o
 
Résultat, l'Europe n'arrive pas à faire dévaluer sa monnaie, ou ne le veux pas (j'imagine qu'il doit y avoir des enjeux politique et des lobbys derrière tous ça).

Message cité 1 fois
Message édité par Elias de Kelliwich le 13-06-2012 à 17:40:11
n°30602604
ph75
Posté le 13-06-2012 à 17:43:04  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :

Résultat, l'Europe n'arrive pas à faire dévaluer sa monnaie, ou ne le veux pas (j'imagine qu'il doit y avoir des enjeux politique et des lobbys derrière tous ça).

C'est tout simplement le dogme néolibéral et libre échangiste sur lequel a été construit l'union actuelle, alors qu'il nous faudrait le pragmatisme des US ou de la Chine pour se défendre ...

n°30602618
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 17:44:18  profilanswer
 

ph75 a écrit :

C'est tout simplement le dogme néolibéral et libre échangiste sur lequel a été construit l'union actuelle, alors qu'il nous faudrait le pragmatisme des US ou de la Chine pour se défendre ...


 
Et aussi que les gouvernements de la Zone Euro n'ont plus aucun pouvoir sur leur propre économie...  [:cosmoschtroumpf]
 
Ou alors, il faudrait fondé un gouvernement Européen qui gère tout dans toute l'Europe (terminé l’état Français, Allemands, etc...)...  :o

Message cité 1 fois
Message édité par Elias de Kelliwich le 13-06-2012 à 17:48:47
n°30603155
Profil sup​primé
Posté le 13-06-2012 à 18:30:31  answer
 

 


oui mais c'est très loin d'etre le seul a avoir dit que ca ne marcherait pas

 

et c'est pas grace aux idées de friedman que l'on sait ça mais grace a un certain Mundell :o

 

pour beaucoup d'économistes américains, l'euro était une idée folle et ils se baisaient sur la théorie des zones monétaires optimales donc :o


Message édité par Profil supprimé le 13-06-2012 à 18:32:31
n°30603383
baggers
Posté le 13-06-2012 à 18:50:03  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :


 
Et aussi que les gouvernements de la Zone Euro n'ont plus aucun pouvoir sur leur propre économie...  [:cosmoschtroumpf]
 
Ou alors, il faudrait fondé un gouvernement Européen qui gère tout dans toute l'Europe (terminé l’état Français, Allemands, etc...)...  :o


 
même qu'on appelerais ça le Reichsregierung  :o

n°30603404
Elias de K​elliwich
Dit : Le Fourbe.
Posté le 13-06-2012 à 18:51:36  profilanswer
 

baggers a écrit :


 
même qu'on appelerais ça le Reichsregierung  :o


 
 :D

n°30603520
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 19:03:10  profilanswer
 

docmaboul a écrit :

sans compter que c'est pour le moins risible et pathétique de faire de la situation en Grèce la "crise de l'euro" après nous avoir expliqué pendant des mois que c'était la faute aux feignasses.

La crise de l'€ c'est une crise de déséquilibres de balances des paiements interne à la zone, puisqu'il y a plus eu aucun ajustement de balance commerciale par changes flottants.
 
Tu peux le nier tant que tu voudras ça ne changera pas les faits : la conception de l'€ est le problème. Une union monétaire sans fédéralisme budgétaire est condamnée puisqu'elle n'est pas capable de corriger les déséquilibres internes.

Message cité 1 fois
Message édité par dreamer18 le 13-06-2012 à 19:06:23

---------------
"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30603768
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 13-06-2012 à 19:29:10  profilanswer
 

Elias de Kelliwich a écrit :

 

C'est la qu'est tout le problème, c'est un pays qui n'a aucune industrialisation, qui ne génère donc qu'un petit PIB.

 

Avec l'euro, on rentre dans une concurrence mondial qui ne laisse aucune chance aux petits pays, c'est sois tu t'industrialise à mort pour concurrencer le dollar, soit tu crève...

 

L'euro, ça à toujours été une erreur à mon sens, les petits pays seront toujours défavorisés par rapports aux gros pays industrialisés, et devront toujours rembourser de plus en plus de dette (ce qu'il ne pourront de toute façon jamais faire).  [:cosmoschtroumpf]


ce qui revient à un défaut, mais avec plus de vaseline pour les créanciers... :D


---------------
"La physique, c'est les mathématiques du branleur curieux"© | "Les gens ont tellement peur d'avoir un futur pourri qu'ils se font facilement a l'idee d'avoir un present de merde, en somme"©
n°30603793
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 13-06-2012 à 19:32:47  profilanswer
 

johnbroot a écrit :

 

Ce n'est pas automatique dans ce sens. La preuve actuellement (PQ=MV toussa...).


c'est pas automatique pour pq=mv mais aussi pour les fuites, ça s'exporte assez bien l'inflation :D


---------------
"La physique, c'est les mathématiques du branleur curieux"© | "Les gens ont tellement peur d'avoir un futur pourri qu'ils se font facilement a l'idee d'avoir un present de merde, en somme"©
n°30603811
michel 166​4
Patriote
Posté le 13-06-2012 à 19:34:53  profilanswer
 

Ce n'est bien évidemment pas une surprise, néamoins c'est encore + rapide que je ne le pensais  :sweat: :
 
La Grèce à court d'argent fin juillet pour payer les fonctionnaires et les retraites :
 

Citation :

La Grèce, où se tiendront dimanche des élections cruciales, ne dispose plus que de deux milliards d'euros dans ses coffres pour assurer le paiement des salaires de la fonction publique et des retraites jusqu'au 20 juillet, a affirmé mercredi le quotidien Kathimerini, sans citer ses sources.
 
Le ministère grec des Finances n'avait pas démenti mercredi après-midi.
 
Outre Kathimerini, plusieurs médias grecs ont relayé mercredi cette information qui aurait filtré d'une réunion mardi soir entre le ministre des Finances intérimaire Georges Zannias et le chef de la gauche Syriza Alexis Tsipras.
 
Le ministère des Finances a indiqué mardi dans un communiqué que les recettes publiques se sont élevées à 18,168 milliards d'euros, soit 666 millions d'euros en moins que prévu, sur les cinq premiers mois de 2012.
 
Selon l'hebdomadaire allemand Die Zeit à paraître jeudi, la Grèce "aura besoin cet été d'argent frais" et un "troisième plan d'aide pourrait dans quelques semaines être débattu" par les députés allemands. L'hebdomadaire chiffrait ce nouveau prêt "en dizaines de milliards d'euros".
[...]

Message cité 1 fois
Message édité par michel 1664 le 13-06-2012 à 19:35:33

---------------
Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste espère qu’il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. Vivement le FMI en France.
n°30603905
michel 166​4
Patriote
Posté le 13-06-2012 à 19:38:40  profilanswer
 


 
 :lol: J'y avais même pas pensé, mais il est vrai que l'Italie qui doit lever de la dette à 10 ans à 6% pour les reprêter pour le Bail-Out de 100 Milliards des banques Espagnoles à 3% sur 15 ans, c'est juste  :love:  


---------------
Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste espère qu’il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. Vivement le FMI en France.
n°30604100
Profil sup​primé
Posté le 13-06-2012 à 19:51:23  answer
 

Bon c'est la France, mais çà revient au même çà fait partit de l'euro !  
 
 
"L'argent ne pousse pas sur les arbres". D'où vient cette somme qui n'existe pas et qu'il faut rembourser  :heink:  ?
 
 
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La France a emprunté jeudi 7,836 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme sur le marché, à des taux en baisse, qui reflètent l'intérêt des investisseurs pour la dette française sur fond de tensions en zone euro.
La France a emprunté jeudi 7,836 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme sur le marché, à des taux en baisse, qui reflètent l'intérêt des investisseurs pour la dette française sur fond de tensions en zone euro. | Eric Piermont
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La France a emprunté jeudi 7,836 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme sur le marché, à des taux en baisse, qui reflètent l'intérêt des investisseurs pour la dette française sur fond de tensions en zone euro.
Le pays souhaitait lever entre 7 et 8 milliards d'euros lors de cet emprunt qui a attiré une demande des investisseurs environ deux fois supérieure à l'offre proposée par l'Agence France Trésor, chargée de placer la dette française sur le marché.
 
La France a emprunté des fonds sur quatre échéances, à 2019, 2022, 2026 et 2060, à chaque fois à des taux en baisse.
Ces bonnes conditions sont le signe que la dette française séduit les investisseurs, qui cherchent à allier rendement pour leur placement et sécurité.
La France a d'ailleurs vu son taux à 10 ans atteindre un plus bas historique sur le marché obligataire, où s'échange la dette déjà émise, la semaine dernière, avec un plancher sous 2,1%.
Les investisseurs ont ainsi rangé la France aux côtés de l'Allemagne parmi les pays les plus crédibles, au détriment des pays comme l'Espagne et l'Italie.
Dans le détail de l'emprunt de jeudi, le Trésor a levé 1,710 milliard d'euros à échéance avril 2019 à un taux de 1,92%, contre 3,67% lors de la dernière émission comparable le 7 mai 2009.
Il a levé 3,480 milliards d'euros à échéance avril 2022 à un taux de 2,46%, contre 2,96% le 3 mai 2012, ainsi que 1,961 milliard d'euros à échéance avril 2026 à un taux de 2,90% contre 3,46% le 5 avril 2012.
Enfin, il a levé 685 millions d'euros à échéance avril 2060, une première sur une telle ligne depuis fin 2010, à un taux de 3,27% contre 3,34% le 4 novembre 2010.

n°30604171
roscocoltr​an
L'enfer c'est les utilisateurs
Posté le 13-06-2012 à 19:55:40  profilanswer
 


                     [:bilderberg]  
                           /
mensonges, les créanciers de la Grèce ont déjà commencé
à accepter les conditions imposées par notre patrie!!


---------------
"Your god is too small", Giordano Bruno, 1548 - 1600
n°30604260
[Toine]
A la demande générale...
Posté le 13-06-2012 à 20:05:10  profilanswer
 


Qu'est ce qu'on attend pour racheter nos prêts à ce taux là ? :o


---------------
mes ventes : http://forum.hardware.fr/hfr/Achat [...] 0413_1.htm .
n°30604753
Amiral Fon​zie
Wow
Posté le 13-06-2012 à 20:38:17  profilanswer
 


 
Ca résume bien la situation  ubuesque dans laquelle on est :D

n°30604788
docmaboul
Posté le 13-06-2012 à 20:40:55  profilanswer
 

dreamer18 a écrit :

La crise de l'€ c'est une crise de déséquilibres de balances des paiements interne à la zone, puisqu'il y a plus eu aucun ajustement de balance commerciale par changes flottants.
 
Tu peux le nier tant que tu voudras ça ne changera pas les faits : la conception de l'€ est le problème. Une union monétaire sans fédéralisme budgétaire est condamnée puisqu'elle n'est pas capable de corriger les déséquilibres internes.


 
Ah oui, c'est sûr qu'exprimé ainsi, je ne vais pas me gêner de continuer à nier.
 
Tu vas peut-être me soutenir qu'en Grèce, en Espagne, au Portugal et en Irlande, les diverses crises traversées ont été causées par des déséquilibres de balance des paiements? Je serais curieux de lire ça. Ou à défaut de savoir de quoi parles-tu au juste avec cette prétendue "crise de l'euro".

n°30604881
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 20:47:33  profilanswer
 

http://www.objectifeco.com/economi [...] ujourd-hui
 

Citation :

Quelles sont les options disponibles pour débloquer cette situation ?
 
Pour corriger une crise de compétitivité liée à une monnaie unique, il n'y a que quatre options possibles :
 
1) Supprimer la monnaie unique, c'est à dire l'euro, pour redonner la marge de manoeuvre monétaire nécessaire en Europe du Sud. La dévaluation monétaire et la restructuration de la dette argentine au début des années 2000 a permis la sortie de crise pour ce pays et la suppression de la monnaie unique est pour moi indispensable au règlement de la crise en Europe du Sud.
 
2) Rétablir artificiellement la compétitivité par l'instauration de mesures protectionnistes (barrières douanières, quotas d'importation).
 
De façon générale, cela présente de gros inconvénients : forte inflation (on substitue des produits importés moins chers par des produits locaux plus chers) et limitation considérable du progrès technique (on maintient artificiellement en vie des unités de production obsolètes et non compétitives).  
 
Cela est vrai dans un monde libéral théorique parfait, mais pas toujours dans le monde réel : Une petite dose de protectionnisme bien réfléchi peut parfois être nécessaire dans certains secteurs stratégiques, ou tout simplement parce que l'ensemble des autres pays fait aussi du protectionnisme indirect en subventionnant leurs produits, rendant ainsi invendables les produits du pays qui ne ferait pas de même.
Il ne faut cependant évidemment pas croire qu'on règlera la crise en Europe du Sud par le retour à un protectionnisme généralisé, tant qu'on n'aura pas supprimé la cause-racine (l'euro).
 
3) Baisser les salaires jusqu'à retrouver l'équilibre de compétitivité nécessaire.
 
Cette solution fonctionnerait en théorie parfaitement, y compris dans un contexte de monnaie unique (que certains libéraux défendent pour cette raison). Seul problème : dans le monde réel, aucun responsable politique ou économique ne parviendra à appliquer les baisses de salaires nécessaires pour le retour à l'équilibre et cette solution ne sera jamais acceptée socialement.
 
4) Traiter les pays d'Europe du Sud en régions assistées : les contribuables d'Europe du Nord paieront alors (tant que l'euro restera en place) pour entretenir le niveau de vie des pays d'Europe du Sud, jusqu'à faillite des généreux donateurs (et des bénéficiaires). C'est cette option qui a été choisie pour l'instant par nos dirigeants, via divers dispositifs d'aide et de prêts (pour l'instant il ne s'agit que de fuite en avant dans la dette, mais le contribuable paiera tôt ou tard, soit directement, soit sous forme de dévaluation monétaire).
 
Cette solution n'est évidemment pas viable sur le long terme, comme l'explique Tim Worstall : Il est impossible que des états qui dépensent déjà 50% de leur PIB (ou plus) pour leurs besoins « intérieurs » puissent durablement subventionner des pays d'Europe du Sud qui représentent en gros la moitié de la population européenne (ou plus si on considère que la France est en train de rejoindre lentement ces pays) !


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"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30605261
docmaboul
Posté le 13-06-2012 à 21:10:27  profilanswer
 

Merci.
 
Donc, l'euro, racine du mal selon ton auteur, a causé les bulles immobilières tout autour du monde, a causé leur éclatement, a causé la crise des subprimes, a coulé banques et assureurs, sinon a causé leur sauvetage par les Etats pour certains, a causé la crise de liquidité et de solvabilité, a déclenché une récession quasi-mondiale, a causé le non-respect du traité de Maastricht, a causé les magouilles des Grecs et de GS, a causé Fukushima et Tchernobyl (l'euro remonte le temps), ..., et tout cela par des déséquilibres de balance de paiements intra-européens. Tu m'as convaincu là: l'euro, c'est le mal :D
 
Bon, plus sérieusement, tu n'aurais pas un ensemble solide d'articulations logiques qui montrerait que l'euro est, je cite, la "cause racine" des problèmes de ces pays? Parce que c'est bien mignon de glisser ça en introduction et de dérouler dessus, je sais faire aussi, mais avec un raisonnement, ce serait quand même mieux: ça ferait un peu moins "Chuck Norris facts" si tu veux mon avis.


Message édité par docmaboul le 13-06-2012 à 21:11:29
n°30605313
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 21:13:24  profilanswer
 

Comment équilibrer les balances des paiements dans une zone où il n'y plus de changes flottants entre membres de la zone ?


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"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30605403
patx3
Posté le 13-06-2012 à 21:17:57  profilanswer
 

[Toine] a écrit :


Qu'est ce qu'on attend pour racheter nos prêts à ce taux là ? :o


 
Parce que les taux actuariels des anciens prêts sont à duration équivalente, identiques aux nouvelles obligations émises. :spamafote:

n°30605674
docmaboul
Posté le 13-06-2012 à 21:30:51  profilanswer
 

dreamer18 a écrit :

Comment équilibrer les balances des paiements dans une zone où il n'y plus de changes flottants entre membres de la zone ?


 
Dois-je en déduire que tu ne peux pas montrer que l'euro est la cause des problèmes mondiaux qui nous tombent dessus depuis 5 ans?
 
C'est étonnant...

n°30605709
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 21:32:27  profilanswer
 

Je ne parle pas des problèmes mondiaux mais des problèmes de surendettement de l'€ zone. Ce qui est le sujet initial de la conversation.


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"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30606126
sidela
Posté le 13-06-2012 à 21:57:42  profilanswer
 

Olivier Berruyer - bfm
 
sans devaluation depuis 2007 le total des excedents allemands est de 600 milliards, -200 en Espagne -200 en Italie -200 en France
http://www.youtube.com/watch?featu [...] Po#t=15m35
 
le peuple Allemand risque de ne pas vouloir rendre les 600 milliards, c'est le coeur du probleme
http://www.youtube.com/watch?featu [...] cRPo#t=29m

Message cité 2 fois
Message édité par sidela le 13-06-2012 à 21:57:47
n°30606169
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 22:01:17  profilanswer
 

mais y a pas de problème avec la zone € on t'a dit au dessus.


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"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30606861
docmaboul
Posté le 13-06-2012 à 22:38:40  profilanswer
 

dreamer18 a écrit :

Je ne parle pas des problèmes mondiaux mais des problèmes de surendettement de l'€ zone. Ce qui est le sujet initial de la conversation.


 
Oui, sujet intitulé "crise de l'euro", expression floue au possible et qui sert de façon très malhonnête à tout mettre sur le dos de l'euro, en faisant complètement fi du contexte global et mondial, comme local et propre à chaque pays. Décorréler l'état de nos économies pour arriver à tout expliquer par un seul facteur, c'est bien trop réducteur pour être honnête.

n°30606975
dreamer18
CDLM
Posté le 13-06-2012 à 22:44:43  profilanswer
 

Je ne vois pas ce qu'on met sur le dos de l'€; en dehors des déséquilibres intra zone.


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"Parceque toi tu fracasses du migrant à la batte de baseball, c'est ça ?" - Backbone-
n°30607088
Profil sup​primé
Posté le 13-06-2012 à 22:53:27  answer
 

[Toine] a écrit :


Qu'est ce qu'on attend pour racheter nos prêts à ce taux là ? :o


Parce qu'il faut les racheter et que pour les céder, ceux qui les vendent en demandent un prix élevé qui fait qu'en gros on n'y gagnerait  rien. Ce ne sont pas des prêts avec un  prix de rachat fixe mais des obligations avec un prix fixé par celui qui les détiennent, et pour des raisons évidentes le prix pour un taux d'intérêt égal est similaire au prix des nouvelled obligations.

n°30607095
baggers
Posté le 13-06-2012 à 22:53:56  profilanswer
 

dreamer18 a écrit :

Je ne vois pas ce qu'on met sur le dos de l'€; en dehors des déséquilibres intra zone.


 
Boh, c'est juste un soucis de balance commerciale, comme tu l'as dit.
 
Mettons qu'il y a, en différentiel, 200 milliards qui sont partis de la grece vers l'Allemagne.
 
Ils suffit qu'ils fassent le chemin retour.
 
Bon, les grecs n'ont rien a vendre... A force de bosser, les allemands n'auraient pas envie d'aller passer les vacances en grece? Dépenser leur bel argent si durement gagné?
 
A part quelques jeunes mal élevés qui ne paiement pas leurs consos, ça devrait calmer tout le monde, non?
 

Citation :

Dans une interview accordée au journal Kathimerini, Luciano Canfora, philologue classique, historien et grand spécialiste italien de l'Antiquité, nous invite à faire face et à résister à la dictature allemande. Certains jeunes citoyens allemands, mal informés et qui ne connaissent pas le professeur italien, ont refusé de régler la note dans un bar en Crète expliquant leur geste par «le financement de la Grèce par l'Allemagne». Ils ont quitté le bar tabassés, c'est triste mais significatif, surtout qu'il ne s'agit plus d'un fait divers, mais d'un fait politique.


 
http://www.marianne2.fr/Grece-le-s [...] 19398.html
 
Feraient bien de se rappeler, tous autant qu'ils sont, que leur intérêt, de la grece comme de l'allemagne, n'est pas de se retrouver isolé au milieu d'états hostiles. Toutes ces terres ont versé le sang a d'innombrables reprises, et nous ne devons notre paix qu'a la présence d'alliés sur toutes nos frontières. Alors est ce que c'est trop cher payé?


Message édité par baggers le 13-06-2012 à 22:54:56
n°30607261
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 13-06-2012 à 23:05:57  profilanswer
 
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