Reprise du message précédent :

 
ô malheur
ô douleur
 
qu'ais-je fais, qu'ais-je dis
je suis un incompris.
jamais je n'eus voulu
que mes mots blessent tant
car mon coeur ne conçut
rien de désobligeant
envers le don céleste
de yobtr qui en reste,
s'élève jusqu'aux nues
quand il parle de nues.

Je m'excuse par avance si mes vers
N'égale en rien ceux, qui fleurissent
Joliment sur ces pages d'ordinaire,
Et que je dévore avec délice!
 
Je m'excuse aussi si mes paroles
Vous rappelles certains poèmes écris  
pour se rendre bêtement "original"
plus que par un simple dégoût de la vie
 
Excusez-moi surtout mon ignorance
Des réglementations poétiques que
Mes professeurs jugeaient sans importance
Et qui maintenant voyez-le me manquent
 
Je m'excuse aussi de l'inspiration
Primaire que j'aurai si je composai
Autre chose que cette lamentation
qui d'aucunes façons ne me satisfait
 
 

C'est pas bien de se lever à midi.
Mon samedi est déjà presque fini,
Mon après midi tout entamé
Mon petit déjeuner a peine commmencé.
 

En troubadour des détours,
Où l'humour rime d'amour,
Une onde cascade se ballade,
Sentons camarades ces décades.
 
Trofub conte sans compter,
 

Oui à la nuit où tout reluie,
Rien ne commence sans un calin.
Rien ne s'achève sans un refrain.
Non à ce jour où tout finit.
 
 

Sa bouche me regarde avec son oeil unique
Des larmes tracent sur mes joues un sillon chaotique
Sa culasse percute une balle supersonique
Bang ! Splash sur mon mur une trace pathétique
 
Son noeud coulant coule un regard oblique et torve
Sur ma carcasse tremblante au nez suintant la morve
Puis enserre mon cou de son étreinte brève
Me plongeant dans l'oubli d'un monde peuplé de rêves
 
Son parfum entêtant s'insinue dans ma tête
Me rappelant nos jeux , nos ébats et nos fêtes
Elle me couvre de baisers , me dit que je suis bête
 
Sa langue danse sur la mienne un tango langoureux
Mon coeur s'emballe soudain sur ce rythme vigoureux
Et je meurs dans ses bras , heureux et amoureux .
 

 
On dirait du mauvais rap

 
...de branleurs !  
 

en plus le nombre de pied est aléatoire , la chute mauvaise et le tout totalement incohérent .  
Mais ça m'est venu comme ça alors je l'ai mis ici .  
 
Au lieu de critiquer  
Cher forumeur Guillaume
Fais-nous donc partager
Tes vers de surhomme
Quand à Buck : et chloé ?
En train de racoler ?

De surhomme il n'y a point, pas plus que de partage :
Etre banal en somme est assez difficile
Sans étouffer d'orgueil sous un oiseux ramage,
et lorsque l'on atteint l'équilibre facile,
l'éparpiller ici en dépit du bon sens
est un péché véniel ressurgi de l'enfance

De ma vie entière je n'ai jamais vu
De spectacle aussi bas, risible et convenu
Que celui qui consiste à maladroitement
Forcer la main aux rimes : ca fait perdre du temps
 
D'un message limpide on a boutit souvent
A un amas brouillon, en fait rien que du vent
Vous l'aurez tous compris, écrire en vers est vain
Qui nous délivrera de ces Alexandrins?

 
Moi aussi comme toi je boutis bien souvent,
mais la foule incrédule me traite de dément

Une faute de frappe est si vite arrivée;
Que dire d'une erreur dans le nombre de pieds?  
 
Avant une consonne, il est de tradition
De prononcer le 'e', qui d'un statut muet
Se voit pour son bonheur transformé en un son
Pourquoi donc l'en priver? Cela le vexerait.
 
Les us et les coutumes, méritent le respect
Puis nous fumerons le calumet de la paix

 
C'est fort vrai j'en conviens, me voilà bien marri
Il aurait mieux valu que la foule applaudît

L'année a bien avancé
Et déjà l'automne arrive
On devrait voir s'activer
En cette saison productive
Quantité d'encriers
Et de plumes inventives
 
Appel à tous les Inspirés
Qu'ils déposent leur missive
Et fassent vivre le sujet !!

L'appel est donc resté vain
Je vous exhorte ce n'est pas inutile
A venir avec vos avec vos quatrains
Même s'ils sont malhabiles

Je ne suis qu'une inculte doublée d'une ignare
Ce qui fait tout de même de moi un oiseau rare    
J'accepte ma faiblesse, rimes de mirliton
Mais cessons de parler de moi et remontons
A ceux ici présents qui ont reçu un don
Celui d'écrire avec talent et raison
((ce vers est boiteux, je ne peux hélas faire mieux)
Ces pseudomymes, tous ces poètes audacieux
On lancé par leurs actions une joute de taille
Je lis avec passion cette aimable bataille
Et adresse hommages, respects et salutations
A ces génies qui riment avec précision

Ainsi donc ce topic aux vers particuliers
Remonte de nouveau au sommet du forum
Léger et parfumé comme une odeur de rhum
Il attire en son sein Eudrep de Papeete
 
Et un chimiste fou , né de ville inconnue
Qui expose sa tête au trombi d'Hache et Fer
Initié par le Buck , posteur ici naguère
De poèmes enflammés et parfois même crus
 
 
 

Le chimiste est d'alsace et il trouve agréable
De voir des forumeurs retrouver le plaisir
De débrider leurs pensées et sentir le désir
D'écrire sur ce forum quelques bribes notables
 
Je salue donc les deux vaillants écrivaillons
Qui ont donné une réponse de leur main leste
A mon appel que j'espère suivi à foison  
Que ceux qui nous liront et croiseront y restent

Fouler les rimes par les pieds,
Bouter des vers pour parler,
Hurler de rire et filer,
Magma de mots en friche,
pourquoi veux tu une fiche ?
Les sens titubent, les mots savent,
Le doute s'insinue et il bave.
 
   
 

La poesie ne peut vivre qu'en étant lue
Ainsi poser des mots sur une feuille nue
Est peut être désolant pour son instigateur
Si son oeuvre ne trouve de lecteur
 
Par contre recoit mes plus profondes excuses
Mais le signification de tes vers me semble confuse
 
J'en oublie tout même le rythme chaotique
Que prend ma déclaration non poétique
 
 

Depuis combien de temps ce topic sombrait-il ?
N'y a-t-il plus ici que des débats stériles ?
Autrefois motivés, la paresse nous nimbe
Merci à toi, ami, de nous sauver des limbes.
 
 
 
 

Je ne sauve personne vous vous sauvez vous même
En postant à la suite des petits bouts de poêmes
De débats stériles je ne quémande points
Je ne désire que découvrir de nouveaux quatrains

Vous souvenez-vous de ma petite Chloé ?
On avait trop souffert et on s'était quittés...
Un soir d'hiver pourtant, je l'entendis sonner
Ses yeux m'ont supplié je l'ai laissé entrer.
 
Assise près du feu, elle m'a tout raconté
Il me faut avouer qu'elle a dû en baver.
Moi je n'écoutais plus, j'avais déjà craqué
Et il était déjà trop tard pour reculer...
Z'auriez dû voir mon air, j'étais tétanisé.
 
Chloé m'a regardé, je n'ai pu résister
Honteux bien malgré moi d'aussi vite céder
La petite Chloé a cessé de pleurer
Où es-tu Cupidon, par où es-tu entré ?
Elle était devant moi et elle m'a embrassé...
 
?

Vos lèvres se touchaient, l'instant était magique
Il neigeait au-dehors, dedans il faisait jour
Vivaldi au violon gérait l'aspect musique
Et ses quatre saisons vibraient de votre amour
 
Chloe a su trouver le chemin de tes bras
Hurlant dans le matin sa joie et son bonheur
Le toucher de ses mains te réchauffe le coeur
Oublie tous tes soucis au creux de ses ardeurs
Et surtout, petit Buck, ne te réveille pas...

 
Oserais-tu encore en douter ?
Unique Chloé, vaste sujet !
Inspiré, continue d'en parler !

Où sont maintenant les long quatrains lorsqu'il se faisait tard ?
Pourquoi plus rien ne vient-il de loin ?
Proche est l'heure où les vers devraient être oubliés
Et, d'ailleur, descendre les sujets sans prise.
Car sombre est le chemin qui est réservé
la mort, peut-être, aux poèmes, rimes et vers.

 
 
 
Rarement un baiser m'a autant fait planer
Elle a alors passé sa main dans mes cheveux
Tremblements et frissons, je me sens vaciller
Retrouver ma Chloé, je suis le plus heureux...
On est restés comme ça, sans même oser bouger
Une idée me hantait : ne pas me réveiller !
Viens Chloé avec moi, viens sur le canapé
Assieds-toi mon amour, es-tu bien installée ?
Il arrrive un moment où l'envie dépasse tout
La voir si près de moi, je ne puis résister.
La main qui me caresse, et ses baisers si doux
Et puis son chemisier dont les pans écartés...
Saloperie de réveil, je me suis réveillé !  

Qu'est-ce donc que ceci ? Le retour de Chloé ?
Une muse volage nocive à la santé    
Elle qui poursuit Buck jusque dans ses pensées
 
Vénus inoubliable , ange de volupté
Adorable mutine qui butine les lèvres  
Insuflant des quatrains à ses proies envoûtées
Libérant leurs pulsions débridées dans des rêves
Les laissant pantelant , hagards et frustrés
Eveillés à demi , le coeur tout chaviré .

Chanceuse Chloé d'être si aimée,
de voir déclamer, en quelques versets
parfois un peu lestes (Buck est aussi preste
à rimer, du reste, qu'à ôter sa veste)
des parts de ta vie, que tu as jolie,
l'amis disant  oui à toutes tes folies
 
Je trouve beua, moi, qu'il parle de toi
avec tant de foi. Reste sous son toit...
Il t'aime toujours et te fais la cours
mais perd son humour, pleure dans sa tour
dès que, mijaurée, tu l'as délaissé
Il t'a retrouvé, entend te garder.
 
Ensemble filez le bonheur, soyez
comme un soird'été. Eternelle cuvée
que le vin d'amour, mais il joue des tours,
rend aveuglé et sourd au monde alentour
Vivez vos envies, les autres tant pis !
Chassez les soucis, on a qu'une vie !
 
 
 
  Poésie de bas étage....

 
De bas étage il n'y aurait que celui
Qui critiquerait ce que tu écrit
 

3615Buck a écri a écrit : Rarement un baiser m'a autant fait planer   Elle a alors passé sa main dans mes cheveux   Tremblements et frissons, je me sens vaciller   Retrouver ma Chloé, je suis le plus heureux...   On est restés comme ça, sans même oser bouger   Une idée me hantait : ne pas me réveiller !   Viens Chloé avec moi, viens sur le canapé   Assieds-toi mon amour, es-tu bien installée ?   Il arrrive un moment où l'envie dépasse tout   La voir si près de moi, je ne puis résister.   La main qui me caresse, et ses baisers si doux   Et puis son chemisier dont les pans écartés...   Saloperie de réveil, je me suis réveillé !

 
Qu'imaginer de plus beau qu'une jeune fille
Une créature parfaite et plus belle que le ciel
Il faudrait être fou pour lui tourner le dos
 
Et se rassurer en se disant "c'est la vie"
Se lamenter plus tard en se souvenant d'elle
Très proche il y a peu et maintenat des sanglots
 
Et quand passent les jours et s'écoulent les années
Le regret remonte et gangrène tes pensées
La question apparit donc évidente quant à elle  
Est-ce bien un rêve ou un désir bien réel

Découvrant avec joie à cette heure tardive
Ce sujet, permettez  
Que bien péniblement et de ma main lassive
Un drapeau soit planté

 
Qu'il flotte au vent cet étendard
Porté par ton Inspiration
Un souffle divin , un art
Une nouvelle dimension

Est-ce la fin d'un monde
ou le début des nôtres,
ou un topic noyé
dans le flou de ses ondes?
De mes livres renaît
mon âme sans la vôtre.
 
Jadis elle vascillait
 
Là,vous cherche perdue
éperdue
épeurée
sure
sanglée
Certaine.
Pure.
 
 
 

Je n'ai pas vraiment le talent
De la poésie de tous ces gens
Je voulais tout de meme essayer
De poser sur ces vers une idée
Celle de peut etre pouvoir lire
Ici quelques histoires délires
Transformés en vers de talent
Qui ne les rendraient que plus attrayant
 
LOL

Je trouvais ce sujet intéréssant
Cet avis, personne ne le partageant
Je ne peux que déposer un drapeau
Pour que vous écriviez à nouveau
Ces vers que j'a eu du plaisir
A lire, à lire, à lire...

 
   
Bien faciles, ils me semblent
Ces vers bien étranges
Mais cherchons tous ensemble
La suite qui nous arrange