Lam's |
Bon, je vais me mater un bon film d'Azerbaïdjan sans sous-titrage alors.
Citation :
On a souvent l’habitude de se moquer des scènes d’introduction de jeux vidéos, souvent mal jouées par des acteurs de seconde zone et réalisées avec les pieds. Les producteurs de MAX PAYNE le film semblent avoir apprécié celles des deux opus de la saga ludique pour les adapter à l’écran. Mais si le scénario d’un jeu est souvent un prétexte pour faire avancer le joueur dans les niveaux successifs, il lui manque la subtilité et la richesse de bon nombre de scripts cinéma. John Moore le réalisateur semble ici s’être principalement concentré sur l’ambiance. Tant mieux, elle est réussie grâce à une photographie magnifique. Mais très vite, les actions des personnages nous indiffèrent et les quelques rares scènes d’action n’arrivent pas à remonter l’intérêt de la chose. D’habitude plutôt bon quoiqu’en disent les mauvaises langues, Mark Wahlberg n’est pas du tout dans le rôle. Les autres acteurs sont là pour la figuration. On se demande également s’il est bien pertinent de sortir une telle adaptation cinq ans après le second jeu. Cinq ans, une éternité pour les « gamers
|
Citation :
Inspiré – euh, non, ce n'est pas le terme adéquat : tiré d'un jeu vidéo, Max Payne est un film conçu pour un public doué du quotient intellectuel d'un lapereau de six semaines. A ses origines numériques, ce long métrage emprunte un aspect stylisé qui fait transforme le plus naturel des décors en assemblage de pixels. Mais surtout, comme n'importe quel jeu vidéo, Max Payne est dépourvu de scénario. Si l'on est face à un moniteur LCD, une manette en main, ça n'a guère d'importance, on peut espérer que la combinaison des intelligences du programmateur et du joueur feront couler l'adrénaline à flots.
|
|