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Auteur Sujet :

[blabla@olympe] Le topic du modo, dieu de la fibre et du monde

n°1306268
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 14:52:34  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
http://img470.imageshack.us/img470/341/stfu8pv.gif


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
mood
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Posté le 15-02-2006 à 14:52:34  profilanswer
 

n°1306269
stiffler
Lâche mon profil putain ! :o
Posté le 15-02-2006 à 14:52:59  profilanswer
 

boulax a écrit :

THAT IS WHAT I SAY STIFFLOUILLE


Bah je sais pas quand je serais sur Paris [:dawa]

n°1306270
chrisbk
-
Posté le 15-02-2006 à 14:53:19  profilanswer
 
n°1306272
boulax
Inserer phrase hype en anglais
Posté le 15-02-2006 à 14:53:35  profilanswer
 

screw....
home....


---------------
Posté depuis des chiottes, sales. Me gusta.
n°1306273
R3g
fonctionnaire certifié ITIL
Posté le 15-02-2006 à 14:53:38  profilanswer
 

Citation :

Sélection naturelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : navigation, recherche
 
En biologie, la sélection naturelle est un aspect de la théorie de l'évolution décrite par Charles Darwin.
 
La sélection provient du fait qu'il naît tôt ou tard plus d'individus qu'il ne peut en vivre, les ressources n'étant pas infinies (voir Malthus). Si les caractéristiques des individus présentent des variations et que celles-ci sont héréditaires, les variations les plus propices à la survie et à la reproduction se transmettront mieux que les autres.
Sommaire
[masquer]
 
    * 1 Principe
    * 2 Position
    * 3 Pression de sélection
    * 4 Détail sur la sélection sexuelle
    * 5 Relation avec la génétique
 
[modifier]
 
Principe
 
Quand les modifications sont neutres pour ces deux fonctions, on parle de dérive, voire (si le groupe est très réduit) d'effet fondateur. Quand ces modifications produisent une tendance vérifiable sur des générations, on parle de sélection. Notons que si des caractères acquis étaient héréditaires (hypothèse de Lamarck), le principe de cette sélection s'appliquerait là encore, et Darwin l'envisage explicitement dans L'Origine des espèces.
[modifier]
 
Position
 
L'adjectif naturelle s'oppose chez Darwin au concept de sélection artificielle connue et pratiquée depuis quelques milliers d'années par les éleveurs. La sélection naturelle, moins rapide, se compose
 
    * d'une sélection de survie (atteindre les proies, échapper aux prédateurs, gérer les parasites et germes de maladie)
    * d'une sélection sexuelle (obtenir une descendance : séduire ou forcer un partenaire) sur laquelle Darwin insiste suite à ses observations dans les Galapagos, mais qui fut un peu négligée par ses continuateurs jusque vers la fin du XXème siècle où Stephen Jay Gould remit l'accent sur cette notion.
 
Et tout cela mieux que les congénères (et les autres espèces proches), y compris à leur détriment, aspect là encore remis en lumière par Stephen Jay Gould.
[modifier]
 
Pression de sélection
 
Les modifications successives des générations dans les populations naturelles sont 'orientées' par les pressions intérieures (séduction, compétition dans l'espèce) et extérieures à l'espèce (limitation des ressources, modifications de l'environnement, prédateurs, parasites...), bref, ce qui influence la survie et la reproduction des individus. La sélection naturelle apparaît quand les conditions suivantes sont réunies :
 
    * renouvellement d'une population d'individus par mortalité et reproduction;
    * variabilité de caractères au sein des individus d'une population à un instant donné;
    * héritabilité de certains de ces caractères variables, c'est-à-dire corrélation forte entre ces caractères chez un individu et ces caractères chez ses parents, ou plus généralement, ses ancêtres;
    * variabilité du nombre de descendants;
    * interaction non aléatoire entre les caractères variables héritables et l'environnement pour déterminer statistiquement l'importance de la descendance d'un individu.
 
Il en découle alors que l'environnement détermine une orientation des modifications successives des générations. Ces conditions peuvent être simulées et le phénomène vérifié (référence au domaine de la recherche informatique sur la vie artificielle à mettre).
[modifier]
 
Détail sur la sélection sexuelle
 
La sélection sexuelle selon Darwin est l'idée que, chez les espèces à reproduction sexuée, les modifications successives des générations sont aussi influencées par les critères de choix des partenaires sexuels. Il s'agit ici d'un phénomène interne à l'espèce, même s'il interfère souvent avec la sélection naturelle résultant d'influences externes. La sélection sexuelle est invoquée pour expliquer des caractères ou des comportements qui pénalise la survie quand ils sont analysés en dehors du contexte reproductif, comme la queue du paon, les bois des megaceros, ou le suicide de l'araignée mâle. S'il s'agit dans ces cas d'exemples extrêmes, le phénomène est général à des degrés divers : dans la plupart des espèces (d'oiseaux, de mammifères, de poissons, d'insectes...) les mâles (en général, il y a de rares cas où il s'agit des femelles) ont des caractères qui vont à l'encontre de leur survie (mais qui n'interfère pas négativement avec leur potentiel reproductif, au contraire) : attributs voyants (couleurs, attitudes) ou encombrants, comportements qui exposent plus au danger, etc.
 
Du point de vue des femelles, tant qu'il reste suffisamment de mâles (et c'est presque toujours le cas), tout facteur aussi absurde soit-il qui augmente la pression de sélection sur les mâles (même si c'est au prix d'une mortalité plus forte), constitue un avantage : les performances dans les "autres compartiments du jeu" (santé, performance physique ou intellectuelle, etc.) n'en auront que plus d'importance, ce qui sera tout bénéficie pour les descendant de la femelle. Ainsi, pour une femelle, choisir un mâle qui a survécu malgré une exposition plus importante est un indice qu'il dispose d'avantages significatifs.
 
Tout compte fait, une femelle paon qui accepterait un mâle moins "beau" non seulement ne gagne aucun avantage sur ses congénères (qui trouvent un mâle aussi facilement qu'elle), et se prive d'un indice significatif dans les autres domaines. Il est donc avantageux même pour les femelles de choisir un mâle qui participe à cette compétition aussi absurde qu'elle paraisse.
 
La même analyse explique que, inversement, les mâles n'ont aucun intérêt à courtiser préférentiellement des femelles participant à une compétition absurde du même genre, mais au contraire doivent s'interesser des indices de fécondité réelle
 
Les deux pressions s'observent facilement dans l'espèce humaine.
[modifier]
 
Relation avec la génétique
 
Dans sa forme générale, et dans sa forme originale due à Darwin, la notion de sélection naturelle ne nécessite pas de théorie sur la génétique. Darwin et Mendel vécurent à la même époque, mais ne correspondirent jamais ! La génétique donna néanmoins des bases précises pour décrire la transmission des caractères. Cela a permis le développement au milieu du XXe siècle de la génétique des populations, qui propose des modèles mathématiques aux différentes formes de sélection, et permet ainsi de quantifier ces phénomènes.

n°1306274
stiffler
Lâche mon profil putain ! :o
Posté le 15-02-2006 à 14:53:42  profilanswer
 

[:bannette]

n°1306275
chrisbk
-
Posté le 15-02-2006 à 14:54:18  profilanswer
 

R3g a écrit :

Citation :

Sélection naturelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : navigation, recherche
 
En biologie, la sélection naturelle est un aspect de la théorie de l'évolution décrite par Charles Darwin.
 
La sélection provient du fait qu'il naît tôt ou tard plus d'individus qu'il ne peut en vivre, les ressources n'étant pas infinies (voir Malthus). Si les caractéristiques des individus présentent des variations et que celles-ci sont héréditaires, les variations les plus propices à la survie et à la reproduction se transmettront mieux que les autres.
Sommaire
[masquer]
 
    * 1 Principe
    * 2 Position
    * 3 Pression de sélection
    * 4 Détail sur la sélection sexuelle
    * 5 Relation avec la génétique
 
[modifier]
 
Principe
 
Quand les modifications sont neutres pour ces deux fonctions, on parle de dérive, voire (si le groupe est très réduit) d'effet fondateur. Quand ces modifications produisent une tendance vérifiable sur des générations, on parle de sélection. Notons que si des caractères acquis étaient héréditaires (hypothèse de Lamarck), le principe de cette sélection s'appliquerait là encore, et Darwin l'envisage explicitement dans L'Origine des espèces.
[modifier]
 
Position
 
L'adjectif naturelle s'oppose chez Darwin au concept de sélection artificielle connue et pratiquée depuis quelques milliers d'années par les éleveurs. La sélection naturelle, moins rapide, se compose
 
    * d'une sélection de survie (atteindre les proies, échapper aux prédateurs, gérer les parasites et germes de maladie)
    * d'une sélection sexuelle (obtenir une descendance : séduire ou forcer un partenaire) sur laquelle Darwin insiste suite à ses observations dans les Galapagos, mais qui fut un peu négligée par ses continuateurs jusque vers la fin du XXème siècle où Stephen Jay Gould remit l'accent sur cette notion.
 
Et tout cela mieux que les congénères (et les autres espèces proches), y compris à leur détriment, aspect là encore remis en lumière par Stephen Jay Gould.
[modifier]
 
Pression de sélection
 
Les modifications successives des générations dans les populations naturelles sont 'orientées' par les pressions intérieures (séduction, compétition dans l'espèce) et extérieures à l'espèce (limitation des ressources, modifications de l'environnement, prédateurs, parasites...), bref, ce qui influence la survie et la reproduction des individus. La sélection naturelle apparaît quand les conditions suivantes sont réunies :
 
    * renouvellement d'une population d'individus par mortalité et reproduction;
    * variabilité de caractères au sein des individus d'une population à un instant donné;
    * héritabilité de certains de ces caractères variables, c'est-à-dire corrélation forte entre ces caractères chez un individu et ces caractères chez ses parents, ou plus généralement, ses ancêtres;
    * variabilité du nombre de descendants;
    * interaction non aléatoire entre les caractères variables héritables et l'environnement pour déterminer statistiquement l'importance de la descendance d'un individu.
 
Il en découle alors que l'environnement détermine une orientation des modifications successives des générations. Ces conditions peuvent être simulées et le phénomène vérifié (référence au domaine de la recherche informatique sur la vie artificielle à mettre).
[modifier]
 
Détail sur la sélection sexuelle
 
La sélection sexuelle selon Darwin est l'idée que, chez les espèces à reproduction sexuée, les modifications successives des générations sont aussi influencées par les critères de choix des partenaires sexuels. Il s'agit ici d'un phénomène interne à l'espèce, même s'il interfère souvent avec la sélection naturelle résultant d'influences externes. La sélection sexuelle est invoquée pour expliquer des caractères ou des comportements qui pénalise la survie quand ils sont analysés en dehors du contexte reproductif, comme la queue du paon, les bois des megaceros, ou le suicide de l'araignée mâle. S'il s'agit dans ces cas d'exemples extrêmes, le phénomène est général à des degrés divers : dans la plupart des espèces (d'oiseaux, de mammifères, de poissons, d'insectes...) les mâles (en général, il y a de rares cas où il s'agit des femelles) ont des caractères qui vont à l'encontre de leur survie (mais qui n'interfère pas négativement avec leur potentiel reproductif, au contraire) : attributs voyants (couleurs, attitudes) ou encombrants, comportements qui exposent plus au danger, etc.
 
Du point de vue des femelles, tant qu'il reste suffisamment de mâles (et c'est presque toujours le cas), tout facteur aussi absurde soit-il qui augmente la pression de sélection sur les mâles (même si c'est au prix d'une mortalité plus forte), constitue un avantage : les performances dans les "autres compartiments du jeu" (santé, performance physique ou intellectuelle, etc.) n'en auront que plus d'importance, ce qui sera tout bénéficie pour les descendant de la femelle. Ainsi, pour une femelle, choisir un mâle qui a survécu malgré une exposition plus importante est un indice qu'il dispose d'avantages significatifs.
 
Tout compte fait, une femelle paon qui accepterait un mâle moins "beau" non seulement ne gagne aucun avantage sur ses congénères (qui trouvent un mâle aussi facilement qu'elle), et se prive d'un indice significatif dans les autres domaines. Il est donc avantageux même pour les femelles de choisir un mâle qui participe à cette compétition aussi absurde qu'elle paraisse.
 
La même analyse explique que, inversement, les mâles n'ont aucun intérêt à courtiser préférentiellement des femelles participant à une compétition absurde du même genre, mais au contraire doivent s'interesser des indices de fécondité réelle
 
Les deux pressions s'observent facilement dans l'espèce humaine.
[modifier]
 
Relation avec la génétique
 
Dans sa forme générale, et dans sa forme originale due à Darwin, la notion de sélection naturelle ne nécessite pas de théorie sur la génétique. Darwin et Mendel vécurent à la même époque, mais ne correspondirent jamais ! La génétique donna néanmoins des bases précises pour décrire la transmission des caractères. Cela a permis le développement au milieu du XXe siècle de la génétique des populations, qui propose des modèles mathématiques aux différentes formes de sélection, et permet ainsi de quantifier ces phénomènes.



 
http://www.informaticien.be/templates/blogs/themes/peugeotRC/css_logo.jpg
http://www.informaticien.be/templates/blogs/themes/peugeotRC/css_logo.jpg
http://www.informaticien.be/templates/blogs/themes/peugeotRC/css_logo.jpg
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http://www.informaticien.be/templates/blogs/themes/peugeotRC/css_logo.jpg

n°1306276
skeye
Posté le 15-02-2006 à 14:54:50  profilanswer
 

chrisbk a écrit :

<insert another expert here>


 
Comment tu veux que je t'offres de l'amour si tu penses jamais à moi? :/


---------------
Can't buy what I want because it's free -
n°1306277
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 14:55:04  profilanswer
 

masklinn a écrit :

Nan mais c'est bon, tu sais pas lire, t'as tord, t'es tout seul, personne t'aime, vas-t-en quoi :o


+1, je répondrais désormais par ta gueule à tous les posts de R3g :o


---------------
"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306278
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 14:55:06  profilanswer
 

http://www.rathergood.com/lalala/


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
mood
Publicité
Posté le 15-02-2006 à 14:55:06  profilanswer
 

n°1306279
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 14:55:25  profilanswer
 

vivement qu'on puisse embedded du flash dans les topics, tiens.


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°1306280
masklinn
í dag viðrar vel til loftárása
Posté le 15-02-2006 à 14:55:28  profilanswer
 


Your point?
 
 
PS: http://wnd.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=48829 [:pingouino]


---------------
I mean, true, a cancer will probably destroy its host organism. But what about the cells whose mutations allow them to think outside the box by throwing away the limits imposed by overbearing genetic regulations? Isn't that a good thing?
n°1306282
Taiche
(╯°□°)╯︵ ┻━┻
Posté le 15-02-2006 à 14:56:40  profilanswer
 

R3g a écrit :

Citation :

Sélection naturelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : navigation, recherche
 
En biologie, la sélection naturelle est un aspect de la théorie de l'évolution décrite par Charles Darwin.
 
La sélection provient du fait qu'il naît tôt ou tard plus d'individus qu'il ne peut en vivre, les ressources n'étant pas infinies (voir Malthus). Si les caractéristiques des individus présentent des variations et que celles-ci sont héréditaires, les variations les plus propices à la survie et à la reproduction se transmettront mieux que les autres.
Sommaire
[masquer]
 
    * 1 Principe
    * 2 Position
    * 3 Pression de sélection
    * 4 Détail sur la sélection sexuelle
    * 5 Relation avec la génétique
 
[modifier]
 
Principe
 
Quand les modifications sont neutres pour ces deux fonctions, on parle de dérive, voire (si le groupe est très réduit) d'effet fondateur. Quand ces modifications produisent une tendance vérifiable sur des générations, on parle de sélection. Notons que si des caractères acquis étaient héréditaires (hypothèse de Lamarck), le principe de cette sélection s'appliquerait là encore, et Darwin l'envisage explicitement dans L'Origine des espèces.
[modifier]
 
Position
 
L'adjectif naturelle s'oppose chez Darwin au concept de sélection artificielle connue et pratiquée depuis quelques milliers d'années par les éleveurs. La sélection naturelle, moins rapide, se compose
 
    * d'une sélection de survie (atteindre les proies, échapper aux prédateurs, gérer les parasites et germes de maladie)
    * d'une sélection sexuelle (obtenir une descendance : séduire ou forcer un partenaire) sur laquelle Darwin insiste suite à ses observations dans les Galapagos, mais qui fut un peu négligée par ses continuateurs jusque vers la fin du XXème siècle où Stephen Jay Gould remit l'accent sur cette notion.
 
Et tout cela mieux que les congénères (et les autres espèces proches), y compris à leur détriment, aspect là encore remis en lumière par Stephen Jay Gould.
[modifier]
 
Pression de sélection
 
Les modifications successives des générations dans les populations naturelles sont 'orientées' par les pressions intérieures (séduction, compétition dans l'espèce) et extérieures à l'espèce (limitation des ressources, modifications de l'environnement, prédateurs, parasites...), bref, ce qui influence la survie et la reproduction des individus. La sélection naturelle apparaît quand les conditions suivantes sont réunies :
 
    * renouvellement d'une population d'individus par mortalité et reproduction;
    * variabilité de caractères au sein des individus d'une population à un instant donné;
    * héritabilité de certains de ces caractères variables, c'est-à-dire corrélation forte entre ces caractères chez un individu et ces caractères chez ses parents, ou plus généralement, ses ancêtres;
    * variabilité du nombre de descendants;
    * interaction non aléatoire entre les caractères variables héritables et l'environnement pour déterminer statistiquement l'importance de la descendance d'un individu.
 
Il en découle alors que l'environnement détermine une orientation des modifications successives des générations. Ces conditions peuvent être simulées et le phénomène vérifié (référence au domaine de la recherche informatique sur la vie artificielle à mettre).
[modifier]
 
Détail sur la sélection sexuelle
 
La sélection sexuelle selon Darwin est l'idée que, chez les espèces à reproduction sexuée, les modifications successives des générations sont aussi influencées par les critères de choix des partenaires sexuels. Il s'agit ici d'un phénomène interne à l'espèce, même s'il interfère souvent avec la sélection naturelle résultant d'influences externes. La sélection sexuelle est invoquée pour expliquer des caractères ou des comportements qui pénalise la survie quand ils sont analysés en dehors du contexte reproductif, comme la queue du paon, les bois des megaceros, ou le suicide de l'araignée mâle. S'il s'agit dans ces cas d'exemples extrêmes, le phénomène est général à des degrés divers : dans la plupart des espèces (d'oiseaux, de mammifères, de poissons, d'insectes...) les mâles (en général, il y a de rares cas où il s'agit des femelles) ont des caractères qui vont à l'encontre de leur survie (mais qui n'interfère pas négativement avec leur potentiel reproductif, au contraire) : attributs voyants (couleurs, attitudes) ou encombrants, comportements qui exposent plus au danger, etc.
 
Du point de vue des femelles, tant qu'il reste suffisamment de mâles (et c'est presque toujours le cas), tout facteur aussi absurde soit-il qui augmente la pression de sélection sur les mâles (même si c'est au prix d'une mortalité plus forte), constitue un avantage : les performances dans les "autres compartiments du jeu" (santé, performance physique ou intellectuelle, etc.) n'en auront que plus d'importance, ce qui sera tout bénéficie pour les descendant de la femelle. Ainsi, pour une femelle, choisir un mâle qui a survécu malgré une exposition plus importante est un indice qu'il dispose d'avantages significatifs.
 
Tout compte fait, une femelle paon qui accepterait un mâle moins "beau" non seulement ne gagne aucun avantage sur ses congénères (qui trouvent un mâle aussi facilement qu'elle), et se prive d'un indice significatif dans les autres domaines. Il est donc avantageux même pour les femelles de choisir un mâle qui participe à cette compétition aussi absurde qu'elle paraisse.
 
La même analyse explique que, inversement, les mâles n'ont aucun intérêt à courtiser préférentiellement des femelles participant à une compétition absurde du même genre, mais au contraire doivent s'interesser des indices de fécondité réelle
 
Les deux pressions s'observent facilement dans l'espèce humaine.
[modifier]
 
Relation avec la génétique
 
Dans sa forme générale, et dans sa forme originale due à Darwin, la notion de sélection naturelle ne nécessite pas de théorie sur la génétique. Darwin et Mendel vécurent à la même époque, mais ne correspondirent jamais ! La génétique donna néanmoins des bases précises pour décrire la transmission des caractères. Cela a permis le développement au milieu du XXe siècle de la génétique des populations, qui propose des modèles mathématiques aux différentes formes de sélection, et permet ainsi de quantifier ces phénomènes.



[:plusun]


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Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself  |  It is the peculiar quality of a fool to perceive the faults of others and to forget his own  |  Early clumsiness is not a verdict, it’s an essential ingredient.
n°1306283
lorill
Posté le 15-02-2006 à 14:57:30  profilanswer
 

R3g a écrit :

Citation :

Sélection naturelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : navigation, recherche
 
En biologie, la sélection naturelle est un aspect de la théorie de l'évolution décrite par Charles Darwin.
 
La sélection provient du fait qu'il naît tôt ou tard plus d'individus qu'il ne peut en vivre, les ressources n'étant pas infinies (voir Malthus). Si les caractéristiques des individus présentent des variations et que celles-ci sont héréditaires, les variations les plus propices à la survie et à la reproduction se transmettront mieux que les autres.
Sommaire
[masquer]
 
    * 1 Principe
    * 2 Position
    * 3 Pression de sélection
    * 4 Détail sur la sélection sexuelle
    * 5 Relation avec la génétique
 
[modifier]
 
Principe
 
Quand les modifications sont neutres pour ces deux fonctions, on parle de dérive, voire (si le groupe est très réduit) d'effet fondateur. Quand ces modifications produisent une tendance vérifiable sur des générations, on parle de sélection. Notons que si des caractères acquis étaient héréditaires (hypothèse de Lamarck), le principe de cette sélection s'appliquerait là encore, et Darwin l'envisage explicitement dans L'Origine des espèces.
[modifier]
 
Position
 
L'adjectif naturelle s'oppose chez Darwin au concept de sélection artificielle connue et pratiquée depuis quelques milliers d'années par les éleveurs. La sélection naturelle, moins rapide, se compose
 
    * d'une sélection de survie (atteindre les proies, échapper aux prédateurs, gérer les parasites et germes de maladie)
    * d'une sélection sexuelle (obtenir une descendance : séduire ou forcer un partenaire) sur laquelle Darwin insiste suite à ses observations dans les Galapagos, mais qui fut un peu négligée par ses continuateurs jusque vers la fin du XXème siècle où Stephen Jay Gould remit l'accent sur cette notion.
 
Et tout cela mieux que les congénères (et les autres espèces proches), y compris à leur détriment, aspect là encore remis en lumière par Stephen Jay Gould.
[modifier]
 
Pression de sélection
 
Les modifications successives des générations dans les populations naturelles sont 'orientées' par les pressions intérieures (séduction, compétition dans l'espèce) et extérieures à l'espèce (limitation des ressources, modifications de l'environnement, prédateurs, parasites...), bref, ce qui influence la survie et la reproduction des individus. La sélection naturelle apparaît quand les conditions suivantes sont réunies :
 
    * renouvellement d'une population d'individus par mortalité et reproduction;
    * variabilité de caractères au sein des individus d'une population à un instant donné;
    * héritabilité de certains de ces caractères variables, c'est-à-dire corrélation forte entre ces caractères chez un individu et ces caractères chez ses parents, ou plus généralement, ses ancêtres;
    * variabilité du nombre de descendants;
    * interaction non aléatoire entre les caractères variables héritables et l'environnement pour déterminer statistiquement l'importance de la descendance d'un individu.
 
Il en découle alors que l'environnement détermine une orientation des modifications successives des générations. Ces conditions peuvent être simulées et le phénomène vérifié (référence au domaine de la recherche informatique sur la vie artificielle à mettre).
[modifier]
 
Détail sur la sélection sexuelle
 
La sélection sexuelle selon Darwin est l'idée que, chez les espèces à reproduction sexuée, les modifications successives des générations sont aussi influencées par les critères de choix des partenaires sexuels. Il s'agit ici d'un phénomène interne à l'espèce, même s'il interfère souvent avec la sélection naturelle résultant d'influences externes. La sélection sexuelle est invoquée pour expliquer des caractères ou des comportements qui pénalise la survie quand ils sont analysés en dehors du contexte reproductif, comme la queue du paon, les bois des megaceros, ou le suicide de l'araignée mâle. S'il s'agit dans ces cas d'exemples extrêmes, le phénomène est général à des degrés divers : dans la plupart des espèces (d'oiseaux, de mammifères, de poissons, d'insectes...) les mâles (en général, il y a de rares cas où il s'agit des femelles) ont des caractères qui vont à l'encontre de leur survie (mais qui n'interfère pas négativement avec leur potentiel reproductif, au contraire) : attributs voyants (couleurs, attitudes) ou encombrants, comportements qui exposent plus au danger, etc.
 
Du point de vue des femelles, tant qu'il reste suffisamment de mâles (et c'est presque toujours le cas), tout facteur aussi absurde soit-il qui augmente la pression de sélection sur les mâles (même si c'est au prix d'une mortalité plus forte), constitue un avantage : les performances dans les "autres compartiments du jeu" (santé, performance physique ou intellectuelle, etc.) n'en auront que plus d'importance, ce qui sera tout bénéficie pour les descendant de la femelle. Ainsi, pour une femelle, choisir un mâle qui a survécu malgré une exposition plus importante est un indice qu'il dispose d'avantages significatifs.
 
Tout compte fait, une femelle paon qui accepterait un mâle moins "beau" non seulement ne gagne aucun avantage sur ses congénères (qui trouvent un mâle aussi facilement qu'elle), et se prive d'un indice significatif dans les autres domaines. Il est donc avantageux même pour les femelles de choisir un mâle qui participe à cette compétition aussi absurde qu'elle paraisse.
 
La même analyse explique que, inversement, les mâles n'ont aucun intérêt à courtiser préférentiellement des femelles participant à une compétition absurde du même genre, mais au contraire doivent s'interesser des indices de fécondité réelle
 
Les deux pressions s'observent facilement dans l'espèce humaine.
[modifier]
 
Relation avec la génétique
 
Dans sa forme générale, et dans sa forme originale due à Darwin, la notion de sélection naturelle ne nécessite pas de théorie sur la génétique. Darwin et Mendel vécurent à la même époque, mais ne correspondirent jamais ! La génétique donna néanmoins des bases précises pour décrire la transmission des caractères. Cela a permis le développement au milieu du XXe siècle de la génétique des populations, qui propose des modèles mathématiques aux différentes formes de sélection, et permet ainsi de quantifier ces phénomènes.



 
 


 
y'a toujours un idiot pour tout citer  :o

n°1306284
Taiche
(╯°□°)╯︵ ┻━┻
Posté le 15-02-2006 à 14:58:00  profilanswer
 

Citation :

Cloche
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
Cloche d'une chapelle du Cantal
 
Une cloche est un objet simple pour émettre du son. C'est un instrument de percussion et un idiophone. Sa forme est habituellement un tambour ouvert et évidé d'une seule pièce qui résonne après avoir été frappé. La partie qui frappe le corps de la cloche est soit un battant, sorte de langue suspendue dans la cloche, soit une petite sphère libre comprise dans le corps de la cloche, soit un maillet séparé qui frappe la cloche depuis l'extérieur. Les cloches sont surtout faites de métal mais certaines petites cloches peuvent être en céramique ou en verre. Les cloches sont fondues (fabriquées) par le fondeur de cloches (ou encore « saintier »).
 
Sa forme la plus classique est la cloche d'église, qui est suspendue dans une tour (le clocher ou le beffroi) et sonnée en ayant la cloche elle même basculée par des cordes, sur quoi une langue accrochée à l'intérieur frappe le corps de la cloche. Cette pratique est connue comme sonner la cloche, et cela produit un son à la fois grave et clair. Le métal traditionnel pour ces cloches est un alliage : le bronze (anciennement airain), comprenant environ 20% d'étain. Connu comme du métal à cloche, cet alliage est aussi le même pour les cymbales.
Sommaire
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    * 1 Bénédiction
    * 2 Signal
    * 3 Instrument de musique
    * 4 Cloche pour bovin
    * 5 Expressions
    * 6 Divers
    * 7 Voir aussi
    * 8 Liens externes
 
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Bénédiction
 
Lors de l'inauguration d'une cloche d'église, l'usage veut qu'une cérémonie religieuse lui soit consacrée, appelée bénédiction ou consécration, durant laquelle un nom est attribué à la cloche. La tradition considère en effet la cloche comme une personne, et lui affecte un parrain et une marraine.
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Signal
 
Les cloches des églises pouvaient autrefois être utilisées comme système d'alerte pour des événements graves comme le feu ou les invasions (on sonnait alors le tocsin, ou à toute volée : à grande vitesse). Le type de sonnerie de cloches d'églises accompagnant les cérémonies funèbres s'appelle quant à lui le glas : c'est un son régulier au tempo très lent.
 
Cependant, ces cloches ont pour fonction normale de signaler le passage du temps. Dans ce cas, une séquence particulière de sons peut être produite par un groupe de cloches pour indiquer l'heure et ses subdivisions. L'une des plus connues et celle dite des quart de Westminster, une série de seize notes qui est émise par le carillon de l'horloge du palais de Westminster dont la grande cloche qui sonne l'heure même jouit du nom de Big Ben. La plupart du temps, seules les heures pleines sont sonnées (en général à raison d'un coup par heure, en allant de 1 à 12), parfois en deux séries de coups : le pic et le repic (ou rappel). Dans certains cas, on arrête le carillon durant la nuit pour préserver la quiétude des riverains.
 
On trouve des systèmes de production de son basés sur des cloches miniatures dans des alarmes, des sonneries de téléphone, de carillon de portes d'entrée ou de réveille-matin par exemple. Pour les sons se répétant rapidement produits par de tels systèmes, le terme est sonnette.
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Instrument de musique
une petite cloche à main
Agrandir
une petite cloche à main
 
Les cloches peuvent être de toutes les dimensions : depuis des accessoires de robe minuscules (clochettes ou grelots) jusqu'à celles destinées aux églises, pesant plusieurs tonnes.
 
Les cloches sont utilisées comme des instruments de musique, organisées en carillon : un ensemble d'au moins 23 cloches couvrant tout ou partie de la gamme. Un tel ensemble peut être commandé, soit par un seul musicien par l'intermédiaire d'un clavier et d'un système de transmission, soit par un ensemble de joueurs de cloches, commandant chacun à la main une ou plusieurs cloches aux tons différents. Certains carillons sont composés de cloches dont le corps est constitué d'un simple tube métallique : ce sont des cloches tubulaires.
 
Dans la région du Valais en Suisse, il existe aussi un genre particulier de carillon. Celui-ci, dit carillon valaisan, est constitué d’un nombre de cloches variant entre trois et environ une dizaine. Il n’y a pas de clavier, le carillonneur, assis sur un banc parfois au milieu du beffroi, parfois à l’étage en dessous, actionne directement une mécanique très simple constituée de cordes et de chaînes reliées aux battants des cloches. Le plus grand carillon de ce style se situe à Lens dans le Valais central. Le clocher comprend un carillon à clavier flamand de 24 cloches dont 11 sont aussi équipées pour le carillon valaisan (Voir sous http://www.lens.ch).
 
Des cloches sans battant en métal sont un composant important de la musique latino-américaine. Elles reprennent la forme des cloches de campagne utilisées pour les animaux, appelées aussi « cloches à vaches » (le terme en espagnol est d'ailleurs campana pour désigner une cloche). Elles sont frappées avec un bâton ou une baguette ; le son est modulé en touchant différentes parties et en l'assourdissant avec la main.
 
Dans divers endroits du monde (notablement en Afrique de l'ouest) des paires ou des trios de cloches sans battant sont jointes de manière qu'elles puissent être frappées séparément ou ensemble. La plus fréquente est l'agogô, aussi utilisé au Brésil.
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Cloche pour bovin
 
Dans les zones où le cheptel bovin, ovin ou caprin est libre de stabulation, ou dans les transhumances, des cloches peuvent être utilisées pour identifier les animaux appartenant à un troupeau particulier et pour aider à les trouver notamment lorsque l'on veut les rassembler. Ces cloches sont habituellement de forme trapézoïde, cylindrique ou en coupe. Il existe des concours de musique pastorale les utilisant.
 
Dans la musique cubaine, une cloche apellée cencerro s'utilise comme instrument de percussion. Normalment le même musiciain joue les bongos aussi, c'est pourquoi il s'appelle bongocerro.
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Expressions
 
    * Avoir la cloche fêlée. Être fou (cloche étant ici synonyme de tête).
    * Cloche à/de plongeur. Appareil en forme de cloche permettant de travailler sous l'eau.
    * Courbe en cloche. En mathématiques, désigne la représentation graphique de la loi normale (gaussienne), utilisée en probabilités.
    * Déménager à la cloche de bois. Partir sans laisser d'adresse.
    * Se faire sonner les cloches. Se faire fortement réprimander.
    * Se taper la cloche. Consommer un bon repas.
    * Son de cloche. Opinion ou version particulières concernant une affaire ou un événement.
 
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Divers
 
    * Fonderie Paccard installée depuis 1791 à Annecy-le-Vieux, puis plus récemment à Sévrier (74), est la plus grosse fonderie française de cloches. Auteur de records tel que « la Savoyarde » (18 835 kg) installée au Sacré-Coeur de Montmartre en 1892, et plus récemment de la cloche du Millénaire « Millenium Bell » (33 000 kg) à destination des États-Unis en 1999.
 
    * Fonderie de cloches Bollée, installée depuis 1838 à Saint-Jean-de-Braye, près d'Orléans et qui a fondu quelques cloches prestigieuses (Ottawa, basilique de Yamassouko…). Elle abrite actuellement un musée campanaire depuis 1992.
 
    * La fonderie de Villedieu-les-Poêles, à proximité du mont Saint-Michel, en Normandie, est l'héritière d'une tradition datant de la fin du Moyen Âge. Elle propose une visite guidée à travers son atelier historique et initie à l'art de fondre des cloches.
 
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Voir aussi
 
    * Campanologie


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Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself  |  It is the peculiar quality of a fool to perceive the faults of others and to forget his own  |  Early clumsiness is not a verdict, it’s an essential ingredient.
n°1306287
skeye
Posté le 15-02-2006 à 14:58:41  profilanswer
 

'tain, pourquoi adblock fait pas les blocs de texte?[:pingouino]


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Can't buy what I want because it's free -
n°1306288
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 14:58:49  profilanswer
 

http://img470.imageshack.us/img470/341/stfu8pv.gifhttp://img470.imageshack.us/img470/341/stfu8pv.gifhttp://img470.imageshack.us/img470/341/stfu8pv.gif


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°1306289
Taiche
(╯°□°)╯︵ ┻━┻
Posté le 15-02-2006 à 14:59:36  profilanswer
 

skeye a écrit :

'tain, pourquoi adblock fait pas les blocs de texte?[:pingouino]


Parce qu'il ne censure pas l'information !@# ADBLOCK EST POUR LA LIBRE CIRCULATION DE L'INFO VERITABLE, IL SAIT RECONNAITRE LE BON GRAIN DE L'IVRAIE !@#


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Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself  |  It is the peculiar quality of a fool to perceive the faults of others and to forget his own  |  Early clumsiness is not a verdict, it’s an essential ingredient.
n°1306290
masklinn
í dag viðrar vel til loftárása
Posté le 15-02-2006 à 14:59:38  profilanswer
 

Taiche a écrit :

Citation :

Cloche
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
Cloche d'une chapelle du Cantal
 
Une cloche est un objet simple pour émettre du son. C'est un instrument de percussion et un idiophone. Sa forme est habituellement un tambour ouvert et évidé d'une seule pièce qui résonne après avoir été frappé. La partie qui frappe le corps de la cloche est soit un battant, sorte de langue suspendue dans la cloche, soit une petite sphère libre comprise dans le corps de la cloche, soit un maillet séparé qui frappe la cloche depuis l'extérieur. Les cloches sont surtout faites de métal mais certaines petites cloches peuvent être en céramique ou en verre. Les cloches sont fondues (fabriquées) par le fondeur de cloches (ou encore « saintier »).
 
Sa forme la plus classique est la cloche d'église, qui est suspendue dans une tour (le clocher ou le beffroi) et sonnée en ayant la cloche elle même basculée par des cordes, sur quoi une langue accrochée à l'intérieur frappe le corps de la cloche. Cette pratique est connue comme sonner la cloche, et cela produit un son à la fois grave et clair. Le métal traditionnel pour ces cloches est un alliage : le bronze (anciennement airain), comprenant environ 20% d'étain. Connu comme du métal à cloche, cet alliage est aussi le même pour les cymbales.
Sommaire
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    * 1 Bénédiction
    * 2 Signal
    * 3 Instrument de musique
    * 4 Cloche pour bovin
    * 5 Expressions
    * 6 Divers
    * 7 Voir aussi
    * 8 Liens externes
 
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Bénédiction
 
Lors de l'inauguration d'une cloche d'église, l'usage veut qu'une cérémonie religieuse lui soit consacrée, appelée bénédiction ou consécration, durant laquelle un nom est attribué à la cloche. La tradition considère en effet la cloche comme une personne, et lui affecte un parrain et une marraine.
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Signal
 
Les cloches des églises pouvaient autrefois être utilisées comme système d'alerte pour des événements graves comme le feu ou les invasions (on sonnait alors le tocsin, ou à toute volée : à grande vitesse). Le type de sonnerie de cloches d'églises accompagnant les cérémonies funèbres s'appelle quant à lui le glas : c'est un son régulier au tempo très lent.
 
Cependant, ces cloches ont pour fonction normale de signaler le passage du temps. Dans ce cas, une séquence particulière de sons peut être produite par un groupe de cloches pour indiquer l'heure et ses subdivisions. L'une des plus connues et celle dite des quart de Westminster, une série de seize notes qui est émise par le carillon de l'horloge du palais de Westminster dont la grande cloche qui sonne l'heure même jouit du nom de Big Ben. La plupart du temps, seules les heures pleines sont sonnées (en général à raison d'un coup par heure, en allant de 1 à 12), parfois en deux séries de coups : le pic et le repic (ou rappel). Dans certains cas, on arrête le carillon durant la nuit pour préserver la quiétude des riverains.
 
On trouve des systèmes de production de son basés sur des cloches miniatures dans des alarmes, des sonneries de téléphone, de carillon de portes d'entrée ou de réveille-matin par exemple. Pour les sons se répétant rapidement produits par de tels systèmes, le terme est sonnette.
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Instrument de musique
une petite cloche à main
Agrandir
une petite cloche à main
 
Les cloches peuvent être de toutes les dimensions : depuis des accessoires de robe minuscules (clochettes ou grelots) jusqu'à celles destinées aux églises, pesant plusieurs tonnes.
 
Les cloches sont utilisées comme des instruments de musique, organisées en carillon : un ensemble d'au moins 23 cloches couvrant tout ou partie de la gamme. Un tel ensemble peut être commandé, soit par un seul musicien par l'intermédiaire d'un clavier et d'un système de transmission, soit par un ensemble de joueurs de cloches, commandant chacun à la main une ou plusieurs cloches aux tons différents. Certains carillons sont composés de cloches dont le corps est constitué d'un simple tube métallique : ce sont des cloches tubulaires.
 
Dans la région du Valais en Suisse, il existe aussi un genre particulier de carillon. Celui-ci, dit carillon valaisan, est constitué d’un nombre de cloches variant entre trois et environ une dizaine. Il n’y a pas de clavier, le carillonneur, assis sur un banc parfois au milieu du beffroi, parfois à l’étage en dessous, actionne directement une mécanique très simple constituée de cordes et de chaînes reliées aux battants des cloches. Le plus grand carillon de ce style se situe à Lens dans le Valais central. Le clocher comprend un carillon à clavier flamand de 24 cloches dont 11 sont aussi équipées pour le carillon valaisan (Voir sous http://www.lens.ch).
 
Des cloches sans battant en métal sont un composant important de la musique latino-américaine. Elles reprennent la forme des cloches de campagne utilisées pour les animaux, appelées aussi « cloches à vaches » (le terme en espagnol est d'ailleurs campana pour désigner une cloche). Elles sont frappées avec un bâton ou une baguette ; le son est modulé en touchant différentes parties et en l'assourdissant avec la main.
 
Dans divers endroits du monde (notablement en Afrique de l'ouest) des paires ou des trios de cloches sans battant sont jointes de manière qu'elles puissent être frappées séparément ou ensemble. La plus fréquente est l'agogô, aussi utilisé au Brésil.
[modifier]
 
Cloche pour bovin
 
Dans les zones où le cheptel bovin, ovin ou caprin est libre de stabulation, ou dans les transhumances, des cloches peuvent être utilisées pour identifier les animaux appartenant à un troupeau particulier et pour aider à les trouver notamment lorsque l'on veut les rassembler. Ces cloches sont habituellement de forme trapézoïde, cylindrique ou en coupe. Il existe des concours de musique pastorale les utilisant.
 
Dans la musique cubaine, une cloche apellée cencerro s'utilise comme instrument de percussion. Normalment le même musiciain joue les bongos aussi, c'est pourquoi il s'appelle bongocerro.
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Expressions
 
    * Avoir la cloche fêlée. Être fou (cloche étant ici synonyme de tête).
    * Cloche à/de plongeur. Appareil en forme de cloche permettant de travailler sous l'eau.
    * Courbe en cloche. En mathématiques, désigne la représentation graphique de la loi normale (gaussienne), utilisée en probabilités.
    * Déménager à la cloche de bois. Partir sans laisser d'adresse.
    * Se faire sonner les cloches. Se faire fortement réprimander.
    * Se taper la cloche. Consommer un bon repas.
    * Son de cloche. Opinion ou version particulières concernant une affaire ou un événement.
 
[modifier]
 
Divers
 
    * Fonderie Paccard installée depuis 1791 à Annecy-le-Vieux, puis plus récemment à Sévrier (74), est la plus grosse fonderie française de cloches. Auteur de records tel que « la Savoyarde » (18 835 kg) installée au Sacré-Coeur de Montmartre en 1892, et plus récemment de la cloche du Millénaire « Millenium Bell » (33 000 kg) à destination des États-Unis en 1999.
 
    * Fonderie de cloches Bollée, installée depuis 1838 à Saint-Jean-de-Braye, près d'Orléans et qui a fondu quelques cloches prestigieuses (Ottawa, basilique de Yamassouko…). Elle abrite actuellement un musée campanaire depuis 1992.
 
    * La fonderie de Villedieu-les-Poêles, à proximité du mont Saint-Michel, en Normandie, est l'héritière d'une tradition datant de la fin du Moyen Âge. Elle propose une visite guidée à travers son atelier historique et initie à l'art de fondre des cloches.
 
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Voir aussi
 
    * Campanologie



Citation :

Cathedral
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For other uses, see Cathedral (disambiguation).
 
A cathedral is a Christian church building, specifically of a denomination with an episcopal hierarchy, such as the Anglican, Catholic and some Lutheran churches, which serves as the central church of a diocese, and thus as a bishop's seat. As cathedrals are often particularly impressive edifices, the term is sometimes also used loosely as a designation for any large important church.
 
Some pre-Reformation cathedrals in Scotland now within the Church of Scotland still retain the term cathedral, despite the Church's Presbyterian polity which does not have bishops.
 
The term is not officially used in Eastern Orthodoxy, the church of a bishop being known as "the great church", though 'cathedral' is commonly used in English translations.
Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
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Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
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Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
Contents
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    * 1 Designation
    * 2 History and organization
    * 3 See also
    * 4 External links
 
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Designation
 
The word cathedral is derived from the Greek noun &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (cathedra) which translates as seat and refers to the presence of the bishop's (or archbishop's) chair or throne.
 
In this sense therefore, the word cathedral, though grammatically used as a noun, is originally the adjective in the phrase cathedral church, from the Latin ecclesia cathedralis. The seat marks the place set aside in the prominent church of the diocese for the head of that diocese and is therefore a major symbol of authority.
 
Although a cathedral may be amongst the grandest of churches in the diocese (and country), especially in the medieval and Renaissance times, this has never been a requirement and (especially in modern times, where functionality rather than grandeur is the foremost consideration) a cathedral church may be modest in structure. Certainly the early Celtic and Saxon cathedrals tended to be of diminutive size, and where they continued in use would have undergone expansion through the development of the bishopric.
 
Cathedrals have either been founded and built as such, or were originally parish or monastic churches that were elevated to cathedral status. Missionary activity, ecclesiastical power and, more recently, demographic considerations have determined the creation or reorganisation of sees.
 
One of the earliest instances of the term ecclesia cathedralis is said to occur in the acts of the council of Tarragona in 516. Another name for a cathedral church is ecclesia mater, indicating that it is the mother church from which other congregations have been established. As the one important church, it was also known as ecclesia major. As the chief house of God, it is called the Domus Dei in Latin, where the words domus (home) and dominus (lord) share a common origin. From this Latin root come the German word for a cathedral, Dom (a Domherr being a German canon), as well as the Italian Duomo. In Spanish it is customary to refer to la seo (the see).
 
 
Part of the series on
Christianity
 
History of Christianity
Jesus of Nazareth
The Apostles
Ecumenical councils
Great Schism
The Crusades
Reformation
 
The Trinity of God
God the Father
Christ the Son
The Holy Spirit
 
Christian theology
Christian Church
Christian worship
Grace
Salvation
Sermon on the Mount
The Ten Commandments
 
The Christian Bible
Old Testament
New Testament
Apocrypha
 
Christian denominations
Catholicism
Orthodox Christianity
Protestantism
 
Christian movements
 
At Strasbourg and many places in Germany, and in many imposing churches of England, the cathedral is called a Minster (German: Münster), from Latin monasterium, because some cathedrals were served by canons living in community.
 
The other kind of great church in Western Europe is the abbey.
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History and organization
 
It was early decreed that the cathedra of a bishop was not to be placed in the church of a village, but only in that of a city. This was not difficult on the continent of Europe, where towns were numerous and cities were the natural centres from which Christianity was diffused among the surrounding districts. In the British Isles, however, towns were few, and, instead of exercising jurisdiction over definite areas, many of the bishops were bishops of tribes or peoples, as the bishops of the south Saxons, the West Saxons, the Somersætas, etc. The cathedra of such a bishop was often migratory.
 
In 1075 a council was held in London, under the presidency of Archbishop Lanfranc, which, reciting the decrees of the council of Sardica held in 347 and that of Laodicea held in 360 on this matter, ordered the bishop of the south Saxons to remove his see from Selsey to Chichester; the Wiltshire and Dorset bishop to remove his cathedra from Sherborne to Old Sarum, and the Mercian bishop, whose cathedral was then at Lichfield, to transfer it to Chester. Traces of the tribal and migratory system may still be noted in the designations of the Irish see of Meath (where the result has been that there is now no cathedral church) and Ossory, the cathedral church of which is at Kilkenny. Some of the Scottish sees were also migratory.
 
By the canon law the bishop is regarded as the pastor of the cathedral church, the parochia of which is his diocese. In view of this, canon lawyers sometimes speak of the cathedral church as the one church of the diocese, and all others are deemed chapels in their relation to it. Occasionally two churches share the distinction of containing the bishop's cathedra. In such case they are said to be co-cathedrals.
 
Cathedral churches may have different degrees of dignity:
 
   1. the simple cathedral church of a diocesan bishop,
   2. the metropolitical church to which the other diocesan cathedral churches of a province are suffragan,
   3. the primatial church under which are ranged metropolitical churches and their provinces,
   4. patriarchal churches to which primatial, metropolitical, and simple cathedral churches alike owe allegiance.
 
The title of "primate" was occasionally conferred on metropolitans of sees of great dignity or importance, such as Canterbury, York, Rouen, whose cathedral churches remained simply metropolitical. Lyon, where the cathedral church is still known as La Primatiale, and Lund in Sweden, may be cited as instances of churches which were really primatial. Lyon had the archbishops of Sens and Paris and their provincial dioceses subject to it until the French Revolution, and Lund had the archbishop of Uppsala and his province subject to it. As with the title of primate, so also that of "patriarch" has been conferred on sees such as Venice and Lisbon, the cathedral churches of which are patriarchal in name alone. The Basilica di San Giovanni in Laterano, the cathedral church of Rome, alone in Western Europe possesses a patriarchal character among Roman Catholics, since the Pope is the Patriarch of the West.
 
The removal of a bishop's cathedra from a church deprives that church of its cathedral dignity, although often the name clings in common speech, as for example at Antwerp, which was deprived of its bishop at the French Revolution.
 
The history of the body of clergy attached to the cathedral church is obscure, and as in each case local considerations affected its development, all that can be attempted is to give a general outline of the main features which were more or less common to all. Originally the bishop and cathedral clergy formed a kind of religious community, which, in no true sense a monastery, was nevertheless often called a monasterium. The word did not have the restricted meaning which it afterwards acquired. Hence the apparent anomaly that churches like York Minster and Lincoln Cathedral, which never had any monks attached to them, have inherited the name of minster or monastery. In these early communities the clergy often lived apart in their own dwellings, and were not infrequently married. In the 8th century, however, Chrodegang, bishop of Metz (743-766), compiled a code of rules for the clergy of the cathedral churches, which, though widely accepted in Germany and other parts of the continent, gained little acceptance in England.
 
According to Chrodegang's rule, the cathedral clergy were to live under a common roof, occupy a common dormitory and submit to the authority of a special officer. The rule of Chrodegang was, in fact, a modification of the Benedictine rule. Gisa, a native of Lorraine, who was bishop of Wells from 1061 to 1088, introduced it into England, and imposed its observance on the clergy of his cathedral church, but it was not followed for long there, or elsewhere in England.
 
During the 10th and 11th centuries, the cathedral clergy became more definitely organized, and were divided into two classes. One was that of a monastic establishment of some recognized order of monks, often the Benedictines, while the other class was that of a college of clergy, bound by no vows except those of their ordination, but governed by a code of statutes or canons. Hence the name of canon. In this way arose the distinction between the monastic and secular cathedral churches.
The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
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The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
 
In Germany, as in England, many of the cathedral churches were monastic. In Denmark all seem to have been Benedictine at first, except Børglum, which was Praemonstratensian till the Reformation. The others were changed to churches of secular canons. In Sweden, Uppsala was originally Benedictine, but was secularized about 1250, and it was ordered that each of the cathedral churches of Sweden should have a chapter of at least fifteen secular canons. In France monastic chapters were very common, but nearly all the monastic cathedral churches there had been changed to churches of secular canons before the 17th century. One of the latest to be so changed was that of Seez, in Normandy, which was Augustinian till 1547, when Pope Paul III dispensed the members from their vows, and constituted them a chapter of secular canons. The chapter of Senez was monastic till 1647, and others perhaps even later, but the majority were secularized about the time of the Reformation.
 
In the case of monastic cathedral churches there were Dignitaries, the internal government was that of the order to which the chapter belonged, and all the members kept perpetual residence. The reverse of this was the case with the secular chapters; the dignities of provost, dean, precentor, chancellor, treasurer, etc., soon came into being, for the regulation and good Order of the church and its services, while the non-residence of the canons, rather than their perpetual residence, became the rule, and led to their duties being performed by a body of "vicars", who officiated for them at the services of the church.
 
Abroad, the earliest head of a secular church seems to have been the provost (praepositus, Probst, etc.), who was charged, not only with the internal regulation of the church, and oversight of the members of the chapter and control of the services, but was also the steward or seneschal of the lands and possessions of the church. The latter often mainly engaged his attention, to the neglect of his domestic and ecclesiastical duties, and complaints were soon raised that the provost was too much mixed in worldly affairs, and was too frequently absent from his spiritual duties. This led, in many cases, to the institution of a new officer called the "dean", who had charge of that portion of the provost's duties which related to the internal discipline of the chapter and the services of the church.
 
In some cases the office of provost was abolished, but in others it was continued: the provost, who was occasionally archdeacon as well, remaining head of the chapter. This arrangement was most commonly followed in Germany. In England the provost was almost unknown. Bishop Gisa introduced a provost as head of the chapter of Wells, but the office was afterwards subordinated to the other dignities, and the provost became simply the steward of certain of the prebendal lands. The provost of the collegiate church of Beverley was the most notable instance of such an officer in England, but at Beverley he was an external officer with authority in the government of the church, no stall in the choir and no vote in chapter.
 
The provost of Eton, introduced by Henry VI of England, occupied a position most nearly approaching that of a foreign cathedral provost. In Germany and in Scandinavia, and in a few of the cathedral churches in the south of France, the provost was the ordinary head of the cathedral chapter, but the office was not common elsewhere. As regards France, of one hundred and thirty-six cathedral churches existing at the Revolution, thirty-eight only, and those either on the borders of Germany or in the extreme south, had a provost as the head of the chapter. In others the provost existed as a subordinate officer. There were two provosts at Autun, and Lyons and Chartres had four each, all as subordinate officers.
Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
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Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
 
The normal constitution of the chapter of a secular cathedral church comprised four dignitaries (there might be more), in addition to the canons. The dean (decanus) seems to have derived his designation from the Benedictine dean who had ten monks under his charge. The dean, as already noted, came into existence to supply the place of the provost in the internal management of the church and chapter. In England the dean was the head of all the secular cathedral churches, and was originally elected by the chapter and confirmed in office by the bishop. He is president of the chapter, and in church has charge of the due performance of the services, taking specified portions of them by statute on the principal festivals. He sits in the chief stall in the choir, which is usually the first on the right hand on entering the choir at the west.
 
Next to the dean (as a rule) is the precentor (primicerius, cantor, etc.), whose special duty is that of regulating the musical portion of the services. He presides in the dean's absence, and occupies the corresponding stall on the left side, although there are exceptions to this rule, where, as at St Paul's, the archdeacon of the cathedral city ranks second and occupies what is usually the precentor's stall. The third dignitary is the chancellor (scholasticus, écoldtre, capiscol, magistral, etc.), who must not be confounded with the chancellor of the diocese. The chancellor of the cathedral church is charged with the oversight of its schools, ought to read divinity lectures, and superintend the lections in the choir and correct slovenly readers. He is often the secretary and librarian of the chapter. In the absence of the dean and precentor he is president of the chapter. The easternmost stall, on the dean's side of the choir, is usually assigned to him.
 
The fourth dignitary is the treasurer (custos, sacrisla, cheficier). He is guardian of the fabric, and of all the furniture and ornaments of the church, and his duty was to provide bread and wine for the Eucharist, and candles and incense, and he regulated such matters as the ringing of the bells. The treasurer's stall is opposite to that of the chancellor.
 
These four dignitaries, occupying the four corner stalls in the choir, are called in many of the statutes the quatuor majores personae of the church. In many cathedral churches there were additional dignitaries, as the praelector, subdean, vice-chancellor, succentor-canonicorum, and others, who came into existence to supply the places of the other absent dignitaries, for non-residence was the fatal blot of the secular churches, and in this they contrasted very badly with the monastic churches, where all the members were in continuous residence. Besides the dignitaries there were the ordinary canons, each of whom, as a rule, held a separate prebend or endowment, besides receiving his share of the common funds of the church.
 
For the most part the canons also speedily became non-resident, and this led to the distinction of residentiary and non-residentiary canons, till in most churches the number of resident canons became definitely limited in number, and the non-residentiary canons, who no longer shared in the common funds, became generally known as prebendaries only, although by their non-residence they did not forfeit their position as canons, and retained their votes in chapter like the others. This system of non-residence led also to the institution of vicars choral, each canon having his own vicar, who sat in his stall in his absence, and when the canon was present, in the stall immediately below, on the second form. The vicars had no place or vote in chapter, and, though irremovable except for offences, were the servants of their absent canons whose stalls they occupied, and whose duties they performed.
St. Vitus Cathedral in Prague
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St. Vitus Cathedral in Prague
 
Abroad they were often called demi-prebendaries, and they formed the bachcrur of the French churches. As time went on the vicars were themselves often incorporated as a kind of lesser chapter, or college, under the supervision of the dean and chapter.
 
There was no distinction between the monastic cathedral chapters and those of the secular canons, in their relation to the bishop or diocese. In both cases the chapter was the bishop's consilium which he was bound to consult on all important matters and without doing so he could not act. Thus, a judicial decision of a bishop needed the confirmation of the chapter before it could be enforced. He could not change the service books, or "use" of the church or diocese, without capitular consent, and there are many episcopal acts, such as the appointment of a diocesan chancellor, or vicar general, which still need confirmation by the chapter, but the older theory of the chapter as the bishop's council in ruling the diocese has become a thing of the past, not in England only, but on the continent also.
 
In its corporate capacity the chapter takes charge sede vacante of a diocese. In England, however (except as regards Salisbury and Durham), this custom has never obtained, the two archbishops having, from time immemorial, taken charge of the vacant dioceses in their respective provinces. When, however, either of the sees of Canterbury or York is vacant the chapters of those churches take charge, not only of the diocese, but of the province as well, and incidentally, therefore, of any of the dioceses of the province which may be vacant at the same time.
 
All the English monastic cathedral chapters were dissolved by Henry VIII, and, except Bath and Coventry, were refounded by him as churches of secular chapters, with a dean as the head, and a certain number of canons ranging from twelve at Canterbury and Durham to four at Carlisle, and with certain subordinate officers as minor canons, gospellers, epistolers, etc. The precentorship in these churches of the "New Foundation", as they are called, is not, as in the secular churches of the "Old Foundation", a dignity, but is merely an office held by one of the minor canons.
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See also
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Cathedral
 
    * List of cathedrals
    * List of tallest church towers
    * Cathedral architecture
    * Three-spired Cathedrals
    * Cathedral diagram
    * Basilica
    * Duomo
    * Minster
 
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External links
 
    * Cathedral - Catholic Encyclopedia
    * Cathedrals of the World - Sacred Destinations
    * Gallery of photographs on the Cathedral Evry


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I mean, true, a cancer will probably destroy its host organism. But what about the cells whose mutations allow them to think outside the box by throwing away the limits imposed by overbearing genetic regulations? Isn't that a good thing?
n°1306291
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 14:59:55  profilanswer
 

mareek a écrit :

la contradiction illustrée, volumle 1:


4 PQ [:jar jar]


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"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306292
boulax
Inserer phrase hype en anglais
Posté le 15-02-2006 à 15:00:40  profilanswer
 

L'antileech de grande classe [:kbchris] http://img300.imageshack.us/img300 [...] ech4us.jpg


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Posté depuis des chiottes, sales. Me gusta.
n°1306293
masklinn
í dag viðrar vel til loftárása
Posté le 15-02-2006 à 15:00:51  profilanswer
 

En attendant, tout le monde a raté mon toubib qui mélange des foetus avortés à son 4h [:pingouino]


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I mean, true, a cancer will probably destroy its host organism. But what about the cells whose mutations allow them to think outside the box by throwing away the limits imposed by overbearing genetic regulations? Isn't that a good thing?
n°1306294
skeye
Posté le 15-02-2006 à 15:00:53  profilanswer
 

Blabla@prog doit être le post le plus informatif quantitativement d'HFR, avec la quantité de pavés indigestes qui y trainent.[:pingouino]


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Can't buy what I want because it's free -
n°1306297
skeye
Posté le 15-02-2006 à 15:01:41  profilanswer
 

masklinn a écrit :

En attendant, tout le monde a raté mon toubib qui mélange des foetus avortés à son 4h [:pingouino]


 
Non, et je crois que t'as gagné le prix du truc le plus immonde de la journée.[:marc]


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Can't buy what I want because it's free -
n°1306299
R3g
fonctionnaire certifié ITIL
Posté le 15-02-2006 à 15:02:06  profilanswer
 

masklinn a écrit :

Citation :

Cathedral
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For other uses, see Cathedral (disambiguation).
 
A cathedral is a Christian church building, specifically of a denomination with an episcopal hierarchy, such as the Anglican, Catholic and some Lutheran churches, which serves as the central church of a diocese, and thus as a bishop's seat. As cathedrals are often particularly impressive edifices, the term is sometimes also used loosely as a designation for any large important church.
 
Some pre-Reformation cathedrals in Scotland now within the Church of Scotland still retain the term cathedral, despite the Church's Presbyterian polity which does not have bishops.
 
The term is not officially used in Eastern Orthodoxy, the church of a bishop being known as "the great church", though 'cathedral' is commonly used in English translations.
Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
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Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
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Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
Contents
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    * 1 Designation
    * 2 History and organization
    * 3 See also
    * 4 External links
 
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Designation
 
The word cathedral is derived from the Greek noun &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (cathedra) which translates as seat and refers to the presence of the bishop's (or archbishop's) chair or throne.
 
In this sense therefore, the word cathedral, though grammatically used as a noun, is originally the adjective in the phrase cathedral church, from the Latin ecclesia cathedralis. The seat marks the place set aside in the prominent church of the diocese for the head of that diocese and is therefore a major symbol of authority.
 
Although a cathedral may be amongst the grandest of churches in the diocese (and country), especially in the medieval and Renaissance times, this has never been a requirement and (especially in modern times, where functionality rather than grandeur is the foremost consideration) a cathedral church may be modest in structure. Certainly the early Celtic and Saxon cathedrals tended to be of diminutive size, and where they continued in use would have undergone expansion through the development of the bishopric.
 
Cathedrals have either been founded and built as such, or were originally parish or monastic churches that were elevated to cathedral status. Missionary activity, ecclesiastical power and, more recently, demographic considerations have determined the creation or reorganisation of sees.
 
One of the earliest instances of the term ecclesia cathedralis is said to occur in the acts of the council of Tarragona in 516. Another name for a cathedral church is ecclesia mater, indicating that it is the mother church from which other congregations have been established. As the one important church, it was also known as ecclesia major. As the chief house of God, it is called the Domus Dei in Latin, where the words domus (home) and dominus (lord) share a common origin. From this Latin root come the German word for a cathedral, Dom (a Domherr being a German canon), as well as the Italian Duomo. In Spanish it is customary to refer to la seo (the see).
 
 
Part of the series on
Christianity
 
History of Christianity
Jesus of Nazareth
The Apostles
Ecumenical councils
Great Schism
The Crusades
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The Trinity of God
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The Holy Spirit
 
Christian theology
Christian Church
Christian worship
Grace
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Sermon on the Mount
The Ten Commandments
 
The Christian Bible
Old Testament
New Testament
Apocrypha
 
Christian denominations
Catholicism
Orthodox Christianity
Protestantism
 
Christian movements
 
At Strasbourg and many places in Germany, and in many imposing churches of England, the cathedral is called a Minster (German: Münster), from Latin monasterium, because some cathedrals were served by canons living in community.
 
The other kind of great church in Western Europe is the abbey.
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History and organization
 
It was early decreed that the cathedra of a bishop was not to be placed in the church of a village, but only in that of a city. This was not difficult on the continent of Europe, where towns were numerous and cities were the natural centres from which Christianity was diffused among the surrounding districts. In the British Isles, however, towns were few, and, instead of exercising jurisdiction over definite areas, many of the bishops were bishops of tribes or peoples, as the bishops of the south Saxons, the West Saxons, the Somersætas, etc. The cathedra of such a bishop was often migratory.
 
In 1075 a council was held in London, under the presidency of Archbishop Lanfranc, which, reciting the decrees of the council of Sardica held in 347 and that of Laodicea held in 360 on this matter, ordered the bishop of the south Saxons to remove his see from Selsey to Chichester; the Wiltshire and Dorset bishop to remove his cathedra from Sherborne to Old Sarum, and the Mercian bishop, whose cathedral was then at Lichfield, to transfer it to Chester. Traces of the tribal and migratory system may still be noted in the designations of the Irish see of Meath (where the result has been that there is now no cathedral church) and Ossory, the cathedral church of which is at Kilkenny. Some of the Scottish sees were also migratory.
 
By the canon law the bishop is regarded as the pastor of the cathedral church, the parochia of which is his diocese. In view of this, canon lawyers sometimes speak of the cathedral church as the one church of the diocese, and all others are deemed chapels in their relation to it. Occasionally two churches share the distinction of containing the bishop's cathedra. In such case they are said to be co-cathedrals.
 
Cathedral churches may have different degrees of dignity:
 
   1. the simple cathedral church of a diocesan bishop,
   2. the metropolitical church to which the other diocesan cathedral churches of a province are suffragan,
   3. the primatial church under which are ranged metropolitical churches and their provinces,
   4. patriarchal churches to which primatial, metropolitical, and simple cathedral churches alike owe allegiance.
 
The title of "primate" was occasionally conferred on metropolitans of sees of great dignity or importance, such as Canterbury, York, Rouen, whose cathedral churches remained simply metropolitical. Lyon, where the cathedral church is still known as La Primatiale, and Lund in Sweden, may be cited as instances of churches which were really primatial. Lyon had the archbishops of Sens and Paris and their provincial dioceses subject to it until the French Revolution, and Lund had the archbishop of Uppsala and his province subject to it. As with the title of primate, so also that of "patriarch" has been conferred on sees such as Venice and Lisbon, the cathedral churches of which are patriarchal in name alone. The Basilica di San Giovanni in Laterano, the cathedral church of Rome, alone in Western Europe possesses a patriarchal character among Roman Catholics, since the Pope is the Patriarch of the West.
 
The removal of a bishop's cathedra from a church deprives that church of its cathedral dignity, although often the name clings in common speech, as for example at Antwerp, which was deprived of its bishop at the French Revolution.
 
The history of the body of clergy attached to the cathedral church is obscure, and as in each case local considerations affected its development, all that can be attempted is to give a general outline of the main features which were more or less common to all. Originally the bishop and cathedral clergy formed a kind of religious community, which, in no true sense a monastery, was nevertheless often called a monasterium. The word did not have the restricted meaning which it afterwards acquired. Hence the apparent anomaly that churches like York Minster and Lincoln Cathedral, which never had any monks attached to them, have inherited the name of minster or monastery. In these early communities the clergy often lived apart in their own dwellings, and were not infrequently married. In the 8th century, however, Chrodegang, bishop of Metz (743-766), compiled a code of rules for the clergy of the cathedral churches, which, though widely accepted in Germany and other parts of the continent, gained little acceptance in England.
 
According to Chrodegang's rule, the cathedral clergy were to live under a common roof, occupy a common dormitory and submit to the authority of a special officer. The rule of Chrodegang was, in fact, a modification of the Benedictine rule. Gisa, a native of Lorraine, who was bishop of Wells from 1061 to 1088, introduced it into England, and imposed its observance on the clergy of his cathedral church, but it was not followed for long there, or elsewhere in England.
 
During the 10th and 11th centuries, the cathedral clergy became more definitely organized, and were divided into two classes. One was that of a monastic establishment of some recognized order of monks, often the Benedictines, while the other class was that of a college of clergy, bound by no vows except those of their ordination, but governed by a code of statutes or canons. Hence the name of canon. In this way arose the distinction between the monastic and secular cathedral churches.
The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
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The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
 
In Germany, as in England, many of the cathedral churches were monastic. In Denmark all seem to have been Benedictine at first, except Børglum, which was Praemonstratensian till the Reformation. The others were changed to churches of secular canons. In Sweden, Uppsala was originally Benedictine, but was secularized about 1250, and it was ordered that each of the cathedral churches of Sweden should have a chapter of at least fifteen secular canons. In France monastic chapters were very common, but nearly all the monastic cathedral churches there had been changed to churches of secular canons before the 17th century. One of the latest to be so changed was that of Seez, in Normandy, which was Augustinian till 1547, when Pope Paul III dispensed the members from their vows, and constituted them a chapter of secular canons. The chapter of Senez was monastic till 1647, and others perhaps even later, but the majority were secularized about the time of the Reformation.
 
In the case of monastic cathedral churches there were Dignitaries, the internal government was that of the order to which the chapter belonged, and all the members kept perpetual residence. The reverse of this was the case with the secular chapters; the dignities of provost, dean, precentor, chancellor, treasurer, etc., soon came into being, for the regulation and good Order of the church and its services, while the non-residence of the canons, rather than their perpetual residence, became the rule, and led to their duties being performed by a body of "vicars", who officiated for them at the services of the church.
 
Abroad, the earliest head of a secular church seems to have been the provost (praepositus, Probst, etc.), who was charged, not only with the internal regulation of the church, and oversight of the members of the chapter and control of the services, but was also the steward or seneschal of the lands and possessions of the church. The latter often mainly engaged his attention, to the neglect of his domestic and ecclesiastical duties, and complaints were soon raised that the provost was too much mixed in worldly affairs, and was too frequently absent from his spiritual duties. This led, in many cases, to the institution of a new officer called the "dean", who had charge of that portion of the provost's duties which related to the internal discipline of the chapter and the services of the church.
 
In some cases the office of provost was abolished, but in others it was continued: the provost, who was occasionally archdeacon as well, remaining head of the chapter. This arrangement was most commonly followed in Germany. In England the provost was almost unknown. Bishop Gisa introduced a provost as head of the chapter of Wells, but the office was afterwards subordinated to the other dignities, and the provost became simply the steward of certain of the prebendal lands. The provost of the collegiate church of Beverley was the most notable instance of such an officer in England, but at Beverley he was an external officer with authority in the government of the church, no stall in the choir and no vote in chapter.
 
The provost of Eton, introduced by Henry VI of England, occupied a position most nearly approaching that of a foreign cathedral provost. In Germany and in Scandinavia, and in a few of the cathedral churches in the south of France, the provost was the ordinary head of the cathedral chapter, but the office was not common elsewhere. As regards France, of one hundred and thirty-six cathedral churches existing at the Revolution, thirty-eight only, and those either on the borders of Germany or in the extreme south, had a provost as the head of the chapter. In others the provost existed as a subordinate officer. There were two provosts at Autun, and Lyons and Chartres had four each, all as subordinate officers.
Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
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Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
 
The normal constitution of the chapter of a secular cathedral church comprised four dignitaries (there might be more), in addition to the canons. The dean (decanus) seems to have derived his designation from the Benedictine dean who had ten monks under his charge. The dean, as already noted, came into existence to supply the place of the provost in the internal management of the church and chapter. In England the dean was the head of all the secular cathedral churches, and was originally elected by the chapter and confirmed in office by the bishop. He is president of the chapter, and in church has charge of the due performance of the services, taking specified portions of them by statute on the principal festivals. He sits in the chief stall in the choir, which is usually the first on the right hand on entering the choir at the west.
 
Next to the dean (as a rule) is the precentor (primicerius, cantor, etc.), whose special duty is that of regulating the musical portion of the services. He presides in the dean's absence, and occupies the corresponding stall on the left side, although there are exceptions to this rule, where, as at St Paul's, the archdeacon of the cathedral city ranks second and occupies what is usually the precentor's stall. The third dignitary is the chancellor (scholasticus, écoldtre, capiscol, magistral, etc.), who must not be confounded with the chancellor of the diocese. The chancellor of the cathedral church is charged with the oversight of its schools, ought to read divinity lectures, and superintend the lections in the choir and correct slovenly readers. He is often the secretary and librarian of the chapter. In the absence of the dean and precentor he is president of the chapter. The easternmost stall, on the dean's side of the choir, is usually assigned to him.
 
The fourth dignitary is the treasurer (custos, sacrisla, cheficier). He is guardian of the fabric, and of all the furniture and ornaments of the church, and his duty was to provide bread and wine for the Eucharist, and candles and incense, and he regulated such matters as the ringing of the bells. The treasurer's stall is opposite to that of the chancellor.
 
These four dignitaries, occupying the four corner stalls in the choir, are called in many of the statutes the quatuor majores personae of the church. In many cathedral churches there were additional dignitaries, as the praelector, subdean, vice-chancellor, succentor-canonicorum, and others, who came into existence to supply the places of the other absent dignitaries, for non-residence was the fatal blot of the secular churches, and in this they contrasted very badly with the monastic churches, where all the members were in continuous residence. Besides the dignitaries there were the ordinary canons, each of whom, as a rule, held a separate prebend or endowment, besides receiving his share of the common funds of the church.
 
For the most part the canons also speedily became non-resident, and this led to the distinction of residentiary and non-residentiary canons, till in most churches the number of resident canons became definitely limited in number, and the non-residentiary canons, who no longer shared in the common funds, became generally known as prebendaries only, although by their non-residence they did not forfeit their position as canons, and retained their votes in chapter like the others. This system of non-residence led also to the institution of vicars choral, each canon having his own vicar, who sat in his stall in his absence, and when the canon was present, in the stall immediately below, on the second form. The vicars had no place or vote in chapter, and, though irremovable except for offences, were the servants of their absent canons whose stalls they occupied, and whose duties they performed.
St. Vitus Cathedral in Prague
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St. Vitus Cathedral in Prague
 
Abroad they were often called demi-prebendaries, and they formed the bachcrur of the French churches. As time went on the vicars were themselves often incorporated as a kind of lesser chapter, or college, under the supervision of the dean and chapter.
 
There was no distinction between the monastic cathedral chapters and those of the secular canons, in their relation to the bishop or diocese. In both cases the chapter was the bishop's consilium which he was bound to consult on all important matters and without doing so he could not act. Thus, a judicial decision of a bishop needed the confirmation of the chapter before it could be enforced. He could not change the service books, or "use" of the church or diocese, without capitular consent, and there are many episcopal acts, such as the appointment of a diocesan chancellor, or vicar general, which still need confirmation by the chapter, but the older theory of the chapter as the bishop's council in ruling the diocese has become a thing of the past, not in England only, but on the continent also.
 
In its corporate capacity the chapter takes charge sede vacante of a diocese. In England, however (except as regards Salisbury and Durham), this custom has never obtained, the two archbishops having, from time immemorial, taken charge of the vacant dioceses in their respective provinces. When, however, either of the sees of Canterbury or York is vacant the chapters of those churches take charge, not only of the diocese, but of the province as well, and incidentally, therefore, of any of the dioceses of the province which may be vacant at the same time.
 
All the English monastic cathedral chapters were dissolved by Henry VIII, and, except Bath and Coventry, were refounded by him as churches of secular chapters, with a dean as the head, and a certain number of canons ranging from twelve at Canterbury and Durham to four at Carlisle, and with certain subordinate officers as minor canons, gospellers, epistolers, etc. The precentorship in these churches of the "New Foundation", as they are called, is not, as in the secular churches of the "Old Foundation", a dignity, but is merely an office held by one of the minor canons.
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Église
Temple
Cathédrale Notre-Dame de Paris
Cathédrale Notre-Dame de Paris
 
Une cathédrale s'entend comme une église dans laquelle est placé le trône de l'évêque du diocèse.
Sommaire
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    * 1 La cathédrale : église du siège de l'évêque
    * 2 Histoires des Cathédrales
          o 2.1 Le modèle des basiliques antiques
          o 2.2 Moyen Âge
          o 2.3 Types particuliers de cathédrales
    * 3 Acception commune
    * 4 Voir aussi
 
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La cathédrale : église du siège de l'évêque
 
Le terme vient du grec &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (kathedra), qui signifie siège, d'où trône épiscopal. En ancien français, on retrouve le verbe « cathédrer » et le participe « cathédrant », qui veulent dire «siéger» et «siégeant» dans les écrits de Montaigne. Dans les églises primitives, le trône de l'évêque (cathedra) était placé au fond de l'abside, dans l'axe, comme le siège du juge de la basilique antique, et l'autel s'élevait en avant de la tribune, ordinairement sur le tombeau d'un martyr. L'évêque, entouré de son clergé, se trouvait ainsi derrière l'autel, isolé et dépourvu de retable ; il voyait donc l'officiant en face. Cette disposition primitive explique pourquoi, jusque vers le milieu du dernier siècle du Moyen Âge, dans certaines cathédrales, le maître-autel n'était qu'une simple table sans gradins, tabernacles ni retables.
 
La plus grande église d'Europe, Saint-Pierre du Vatican, conserve encore le siège du prince des apôtres enfermé dans une chaire de bronze au fond de l'abside. C'était dans les églises cathédrales, dans ce lieu réservé à la cathedra, que les évêques procédaient aux ordinations. Lorsque ceux-ci étaient invités par l'abbé d'un monastère, on plaçait une cathèdre au fond du sanctuaire. L'église abbatiale devenait alors cathédrale. Le siège épiscopal était le signe et le symbole de la juridiction des évêques. La juridiction épiscopale était donc le véritable lien qui unissait la basilique antique à l'église chrétienne. La cathédrale n'est pas seulement une église appropriée au service du culte, elle conserve, et possédait bien plus encore durant les premiers siècles du christianisme, le caractère d'un tribunal sacré, et les cathédrales sont restées longtemps, jusqu'au XIVe siècle, des édifices à la fois religieux et civils. On ne s'y réunissait pas seulement pour assister aux offices religieux, on y tenait aussi des assemblées de nature politique ; les considérations religieuses n'étaient cependant pas dépourvues d'influence sur ces réunions civiles ou militaires.
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Histoires des Cathédrales
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Le modèle des basiliques antiques
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Moyen Âge
 
Jusqu'à la fin du XIIe siècle, les cathédrales n'avaient les dimensions que nous leur connaissons aujourd'hui ; beaucoup d'églises abbatiales étaient beaucoups plus grandes. Jusqu'à cette époque, le morcellement féodal constituait un obstacle à la constitution civile des populations; l'influence des évêques était limitée par ces grands établissements religieux du XIe siècle. Propriétaires puissants, jouissant de privilèges étendus, seigneurs féodaux protégés par les papes, tenant en main l'éducation de la jeunesse et participant à toutes les décisions politiques, les abbés attiraient tout à eux : richesse et pouvoir, intelligence et activité. Lorsque les populations urbaines, instruites, enrichies, laissèrent paraître les premiers symptômes d'émancipation, s'érigèrent en communes, il y eut une réaction contre la féodalité monastique et séculière dont les évêques, appuyés par la monarchie, profitèrent avec autant de promptitude que d'intelligence. Ils comprirent que le moment était venu de reconquérir le pouvoir et l'influence que leur consentait l'Église, pouvoir concentré dans les établissements religieux. Ce que les abbayes purent faire pendant le XIe siècle, les évêques n'en auraient pas eu le pouvoir. Mais, au XIIe siècle, l'épiscopat entreprit de reconstruire ses cathédrales ; il trouva dans les populations un concours si énergique qu'il pu vérifier la justesse de ses prévisions, comprendre que son temps était venu, et que l'activité développée par les établissements religieux, dont il avait d'ailleurs profité, allait lui venir en aide. Il est difficile aujourd'hui de donner une idée de l'empressement avec lequel les populations urbaines se mirent à élever des cathédrales. La foi avait certes son importance, mais il s'y joignait un instinct très juste d'unité et de constitution civile.
 
Où voyons-nous les grandes cathédrales s'élever à la fin du XIIIe siècle ? A Noyon, Soissons, Laon, Reims, Amiens, Saint-Denis, villes qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale de l'Île-de-France, centre du pouvoir monarchique, Paris; à Rouen, centre de la plus belle province conquise par Philippe Auguste; à Liège, capitale de la principauté de Liège.
 
Mais, du point de vue architectural, c'est de celle de Senlis, l'archétype du genre, que toutes s'inspirent.
 
L'alliance du clergé avec la monarchie ne tarda pas à inquiéter les barons ; saint Louis reconnut bientôt que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, la noblesse de France et le roi s'assemblèrent à Saint-Denis pour limiter la puissance que les tribunaux ecclésiastiques s'étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte d'union et nommèrent une commission des quatre plus puissants d'entre eux, pour décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; de plus, chaque seigneur s'était engagé à mettre en commun la centième partie de son revenu, afin de poursuivre activement le but de l'union.
 
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité monarchique sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces constructions se ralentir, ou s'achever à la hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Faut-il attribuer cela à un refroidissement de la foi religieuse ? Probablement pas ; les quelques études des comptes montrent que les réserves faites par les évêques s'étaient épuisées, souvent en rachat d'immeubles autour des anciennes cathédrales, et dans le début de la construction de l'église. Celle-ci, n'étant plus alimentée que par des dons annuels et les excédents dégagés par les ressources du domaine de l'évêque, ralentissait donc.
 
À la fin du XIIIe siècle, les chantiers de ces vastes constructions tardivement sorties de terre n'arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent tout à coup ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que par les efforts personnels d'évêques ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la foi et la fougue de toute une population avaient permis de commencer. Rares sont les cathédrales qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur existence est pour ainsi dire un besoin impérieux, l'expression d'un désir irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans ! Ce qui nous surprend aujoud'hui, c'est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire aussi vaste, des résultats aussi surprenants ; car ce n'était pas seulement des manœuvres qu'il fallait trouver, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous aujourd'hui un sujet d'admiration.
 
 
En dehors du domaine royal, le mouvement n'existe pas, et ce n'est que plus tard, vers la fin du XIIIe siècle, lorsque la monarchie eut à peu près réuni toutes les provinces des Gaules à la Couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C'est alors que quelques diocèses remplacent leurs vieux monuments par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il s'arrête bientôt par suite des difficultés politiques du XIVe siècle.
Cathédrale de Chartres
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Cathédrale de Chartres
 
À la mort de Philippe-Auguste, en 1223, les principales cathédrales comprises dans le domaine royal étaient celles de Paris, de Chartres, de Bourges, de Noyon, de Laon, de Soissons, de Meaux, d'Amiens, d'Arras, de Cambrai, de Rouen, d'Évreux, de Sées, de Bayeux, de Coutances, du Mans, d'Angers, de Poitiers, de Tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient fort avancées. Si certains diocèses sont politiquement unis au domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales s'élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles de la France; les diocèses de Reims, de Sens, de Châlons, de Troyes en Champagne, sont les premiers à suivre le mouvement. En Bourgogne, ceux d'Auxerre et de Nevers, les plus rapprochés du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'Autun et de Langres, plus éloignés, conservent leurs anciennes églises élevées vers le milieu du XIIe siècle.
 
Dans la Guyenne, restée anglaise, excepté Bordeaux qui tente un effort vers 1225, Périgueux, Angoulême, Limoges, Tulle, Cahors, Agen, gardent leurs vieux monuments.
 
À la mort de Philippe le Bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la Champagne ; il possède le Languedoc, le marquisat de Provence ; il tient l'Auvergne et la Bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, Carcassonne, Narbonne, Lyon, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et tentent de les renouveler. Clermont en Auvergne, cherche à suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la Provence seules résistent .
 
À la mort de Charles V, en 1380, les Anglais ne possèdent plus que Bordeaux, le Cotentin et Calais ; mais la sève est épuisée : les cathédrales dont la reconstruction n'a pas été commencée pendant le XIIIe siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.
 
Source : Viollet le Duc
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Types particuliers de cathédrales
Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
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Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
 
    * Une primatiale est la cathédrale d'un primat, archevêque ayant une juridiction théorique sur plusieurs provinces ecclésiastiques.
    * Une concathédrale est une église qui exerce en indivis avec une autre la fonction de cathédrale d'un diocèse. On n'en connait que peu d'exemples, ceux de Sospel et de Forcalquier étant les plus connus. On peut ajouter la concathédrale du patriarcat latin de Jérusalem, exerçant sa fonction avec le Saint-Sépulcre, comme celle de Logroño dasn la Rioja espagole.
    * Une pro-cathédrale est une église assumant la fonction de cathédrale sans en avoir le titre canonique. Cet état de fait est dû à une indisponibilité de la cathédrale (en travaux voire en construction), indisponibilité qui peut se prolonger : en Corse la plupart des cathédrales ont été ruinés au Xe siècle et remplacées par des pro-cathédrales qui sont restées sièges épiscopaux jusqu'à la Révolution sans jamais obtenir le titre de cathédrale.
 
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Acception commune
 
Dans la langue courante, on parlera de cathédrale pour tout édifice religieux chrétien de taille imposante. On ne parle pas spontanément de cathédrale pour celle de Créteil par exemple, qui est l'ancienne église paroissiale d'un village d'Île-de-France.
 
On va même plus loin puisque la presse parle de mosquées-cathédrales pour les mosquées construites ou à construire dans les grandes villes de France.

n°1306300
drasche
Posté le 15-02-2006 à 15:02:56  profilanswer
 

masklinn a écrit :

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Cathedral
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For other uses, see Cathedral (disambiguation).
 
A cathedral is a Christian church building, specifically of a denomination with an episcopal hierarchy, such as the Anglican, Catholic and some Lutheran churches, which serves as the central church of a diocese, and thus as a bishop's seat. As cathedrals are often particularly impressive edifices, the term is sometimes also used loosely as a designation for any large important church.
 
Some pre-Reformation cathedrals in Scotland now within the Church of Scotland still retain the term cathedral, despite the Church's Presbyterian polity which does not have bishops.
 
The term is not officially used in Eastern Orthodoxy, the church of a bishop being known as "the great church", though 'cathedral' is commonly used in English translations.
Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
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Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
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Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
Contents
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    * 1 Designation
    * 2 History and organization
    * 3 See also
    * 4 External links
 
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Designation
 
The word cathedral is derived from the Greek noun &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (cathedra) which translates as seat and refers to the presence of the bishop's (or archbishop's) chair or throne.
 
In this sense therefore, the word cathedral, though grammatically used as a noun, is originally the adjective in the phrase cathedral church, from the Latin ecclesia cathedralis. The seat marks the place set aside in the prominent church of the diocese for the head of that diocese and is therefore a major symbol of authority.
 
Although a cathedral may be amongst the grandest of churches in the diocese (and country), especially in the medieval and Renaissance times, this has never been a requirement and (especially in modern times, where functionality rather than grandeur is the foremost consideration) a cathedral church may be modest in structure. Certainly the early Celtic and Saxon cathedrals tended to be of diminutive size, and where they continued in use would have undergone expansion through the development of the bishopric.
 
Cathedrals have either been founded and built as such, or were originally parish or monastic churches that were elevated to cathedral status. Missionary activity, ecclesiastical power and, more recently, demographic considerations have determined the creation or reorganisation of sees.
 
One of the earliest instances of the term ecclesia cathedralis is said to occur in the acts of the council of Tarragona in 516. Another name for a cathedral church is ecclesia mater, indicating that it is the mother church from which other congregations have been established. As the one important church, it was also known as ecclesia major. As the chief house of God, it is called the Domus Dei in Latin, where the words domus (home) and dominus (lord) share a common origin. From this Latin root come the German word for a cathedral, Dom (a Domherr being a German canon), as well as the Italian Duomo. In Spanish it is customary to refer to la seo (the see).
 
 
Part of the series on
Christianity
 
History of Christianity
Jesus of Nazareth
The Apostles
Ecumenical councils
Great Schism
The Crusades
Reformation
 
The Trinity of God
God the Father
Christ the Son
The Holy Spirit
 
Christian theology
Christian Church
Christian worship
Grace
Salvation
Sermon on the Mount
The Ten Commandments
 
The Christian Bible
Old Testament
New Testament
Apocrypha
 
Christian denominations
Catholicism
Orthodox Christianity
Protestantism
 
Christian movements
 
At Strasbourg and many places in Germany, and in many imposing churches of England, the cathedral is called a Minster (German: Münster), from Latin monasterium, because some cathedrals were served by canons living in community.
 
The other kind of great church in Western Europe is the abbey.
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History and organization
 
It was early decreed that the cathedra of a bishop was not to be placed in the church of a village, but only in that of a city. This was not difficult on the continent of Europe, where towns were numerous and cities were the natural centres from which Christianity was diffused among the surrounding districts. In the British Isles, however, towns were few, and, instead of exercising jurisdiction over definite areas, many of the bishops were bishops of tribes or peoples, as the bishops of the south Saxons, the West Saxons, the Somersætas, etc. The cathedra of such a bishop was often migratory.
 
In 1075 a council was held in London, under the presidency of Archbishop Lanfranc, which, reciting the decrees of the council of Sardica held in 347 and that of Laodicea held in 360 on this matter, ordered the bishop of the south Saxons to remove his see from Selsey to Chichester; the Wiltshire and Dorset bishop to remove his cathedra from Sherborne to Old Sarum, and the Mercian bishop, whose cathedral was then at Lichfield, to transfer it to Chester. Traces of the tribal and migratory system may still be noted in the designations of the Irish see of Meath (where the result has been that there is now no cathedral church) and Ossory, the cathedral church of which is at Kilkenny. Some of the Scottish sees were also migratory.
 
By the canon law the bishop is regarded as the pastor of the cathedral church, the parochia of which is his diocese. In view of this, canon lawyers sometimes speak of the cathedral church as the one church of the diocese, and all others are deemed chapels in their relation to it. Occasionally two churches share the distinction of containing the bishop's cathedra. In such case they are said to be co-cathedrals.
 
Cathedral churches may have different degrees of dignity:
 
   1. the simple cathedral church of a diocesan bishop,
   2. the metropolitical church to which the other diocesan cathedral churches of a province are suffragan,
   3. the primatial church under which are ranged metropolitical churches and their provinces,
   4. patriarchal churches to which primatial, metropolitical, and simple cathedral churches alike owe allegiance.
 
The title of "primate" was occasionally conferred on metropolitans of sees of great dignity or importance, such as Canterbury, York, Rouen, whose cathedral churches remained simply metropolitical. Lyon, where the cathedral church is still known as La Primatiale, and Lund in Sweden, may be cited as instances of churches which were really primatial. Lyon had the archbishops of Sens and Paris and their provincial dioceses subject to it until the French Revolution, and Lund had the archbishop of Uppsala and his province subject to it. As with the title of primate, so also that of "patriarch" has been conferred on sees such as Venice and Lisbon, the cathedral churches of which are patriarchal in name alone. The Basilica di San Giovanni in Laterano, the cathedral church of Rome, alone in Western Europe possesses a patriarchal character among Roman Catholics, since the Pope is the Patriarch of the West.
 
The removal of a bishop's cathedra from a church deprives that church of its cathedral dignity, although often the name clings in common speech, as for example at Antwerp, which was deprived of its bishop at the French Revolution.
 
The history of the body of clergy attached to the cathedral church is obscure, and as in each case local considerations affected its development, all that can be attempted is to give a general outline of the main features which were more or less common to all. Originally the bishop and cathedral clergy formed a kind of religious community, which, in no true sense a monastery, was nevertheless often called a monasterium. The word did not have the restricted meaning which it afterwards acquired. Hence the apparent anomaly that churches like York Minster and Lincoln Cathedral, which never had any monks attached to them, have inherited the name of minster or monastery. In these early communities the clergy often lived apart in their own dwellings, and were not infrequently married. In the 8th century, however, Chrodegang, bishop of Metz (743-766), compiled a code of rules for the clergy of the cathedral churches, which, though widely accepted in Germany and other parts of the continent, gained little acceptance in England.
 
According to Chrodegang's rule, the cathedral clergy were to live under a common roof, occupy a common dormitory and submit to the authority of a special officer. The rule of Chrodegang was, in fact, a modification of the Benedictine rule. Gisa, a native of Lorraine, who was bishop of Wells from 1061 to 1088, introduced it into England, and imposed its observance on the clergy of his cathedral church, but it was not followed for long there, or elsewhere in England.
 
During the 10th and 11th centuries, the cathedral clergy became more definitely organized, and were divided into two classes. One was that of a monastic establishment of some recognized order of monks, often the Benedictines, while the other class was that of a college of clergy, bound by no vows except those of their ordination, but governed by a code of statutes or canons. Hence the name of canon. In this way arose the distinction between the monastic and secular cathedral churches.
The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
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The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
 
In Germany, as in England, many of the cathedral churches were monastic. In Denmark all seem to have been Benedictine at first, except Børglum, which was Praemonstratensian till the Reformation. The others were changed to churches of secular canons. In Sweden, Uppsala was originally Benedictine, but was secularized about 1250, and it was ordered that each of the cathedral churches of Sweden should have a chapter of at least fifteen secular canons. In France monastic chapters were very common, but nearly all the monastic cathedral churches there had been changed to churches of secular canons before the 17th century. One of the latest to be so changed was that of Seez, in Normandy, which was Augustinian till 1547, when Pope Paul III dispensed the members from their vows, and constituted them a chapter of secular canons. The chapter of Senez was monastic till 1647, and others perhaps even later, but the majority were secularized about the time of the Reformation.
 
In the case of monastic cathedral churches there were Dignitaries, the internal government was that of the order to which the chapter belonged, and all the members kept perpetual residence. The reverse of this was the case with the secular chapters; the dignities of provost, dean, precentor, chancellor, treasurer, etc., soon came into being, for the regulation and good Order of the church and its services, while the non-residence of the canons, rather than their perpetual residence, became the rule, and led to their duties being performed by a body of "vicars", who officiated for them at the services of the church.
 
Abroad, the earliest head of a secular church seems to have been the provost (praepositus, Probst, etc.), who was charged, not only with the internal regulation of the church, and oversight of the members of the chapter and control of the services, but was also the steward or seneschal of the lands and possessions of the church. The latter often mainly engaged his attention, to the neglect of his domestic and ecclesiastical duties, and complaints were soon raised that the provost was too much mixed in worldly affairs, and was too frequently absent from his spiritual duties. This led, in many cases, to the institution of a new officer called the "dean", who had charge of that portion of the provost's duties which related to the internal discipline of the chapter and the services of the church.
 
In some cases the office of provost was abolished, but in others it was continued: the provost, who was occasionally archdeacon as well, remaining head of the chapter. This arrangement was most commonly followed in Germany. In England the provost was almost unknown. Bishop Gisa introduced a provost as head of the chapter of Wells, but the office was afterwards subordinated to the other dignities, and the provost became simply the steward of certain of the prebendal lands. The provost of the collegiate church of Beverley was the most notable instance of such an officer in England, but at Beverley he was an external officer with authority in the government of the church, no stall in the choir and no vote in chapter.
 
The provost of Eton, introduced by Henry VI of England, occupied a position most nearly approaching that of a foreign cathedral provost. In Germany and in Scandinavia, and in a few of the cathedral churches in the south of France, the provost was the ordinary head of the cathedral chapter, but the office was not common elsewhere. As regards France, of one hundred and thirty-six cathedral churches existing at the Revolution, thirty-eight only, and those either on the borders of Germany or in the extreme south, had a provost as the head of the chapter. In others the provost existed as a subordinate officer. There were two provosts at Autun, and Lyons and Chartres had four each, all as subordinate officers.
Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
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Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
 
The normal constitution of the chapter of a secular cathedral church comprised four dignitaries (there might be more), in addition to the canons. The dean (decanus) seems to have derived his designation from the Benedictine dean who had ten monks under his charge. The dean, as already noted, came into existence to supply the place of the provost in the internal management of the church and chapter. In England the dean was the head of all the secular cathedral churches, and was originally elected by the chapter and confirmed in office by the bishop. He is president of the chapter, and in church has charge of the due performance of the services, taking specified portions of them by statute on the principal festivals. He sits in the chief stall in the choir, which is usually the first on the right hand on entering the choir at the west.
 
Next to the dean (as a rule) is the precentor (primicerius, cantor, etc.), whose special duty is that of regulating the musical portion of the services. He presides in the dean's absence, and occupies the corresponding stall on the left side, although there are exceptions to this rule, where, as at St Paul's, the archdeacon of the cathedral city ranks second and occupies what is usually the precentor's stall. The third dignitary is the chancellor (scholasticus, écoldtre, capiscol, magistral, etc.), who must not be confounded with the chancellor of the diocese. The chancellor of the cathedral church is charged with the oversight of its schools, ought to read divinity lectures, and superintend the lections in the choir and correct slovenly readers. He is often the secretary and librarian of the chapter. In the absence of the dean and precentor he is president of the chapter. The easternmost stall, on the dean's side of the choir, is usually assigned to him.
 
The fourth dignitary is the treasurer (custos, sacrisla, cheficier). He is guardian of the fabric, and of all the furniture and ornaments of the church, and his duty was to provide bread and wine for the Eucharist, and candles and incense, and he regulated such matters as the ringing of the bells. The treasurer's stall is opposite to that of the chancellor.
 
These four dignitaries, occupying the four corner stalls in the choir, are called in many of the statutes the quatuor majores personae of the church. In many cathedral churches there were additional dignitaries, as the praelector, subdean, vice-chancellor, succentor-canonicorum, and others, who came into existence to supply the places of the other absent dignitaries, for non-residence was the fatal blot of the secular churches, and in this they contrasted very badly with the monastic churches, where all the members were in continuous residence. Besides the dignitaries there were the ordinary canons, each of whom, as a rule, held a separate prebend or endowment, besides receiving his share of the common funds of the church.
 
For the most part the canons also speedily became non-resident, and this led to the distinction of residentiary and non-residentiary canons, till in most churches the number of resident canons became definitely limited in number, and the non-residentiary canons, who no longer shared in the common funds, became generally known as prebendaries only, although by their non-residence they did not forfeit their position as canons, and retained their votes in chapter like the others. This system of non-residence led also to the institution of vicars choral, each canon having his own vicar, who sat in his stall in his absence, and when the canon was present, in the stall immediately below, on the second form. The vicars had no place or vote in chapter, and, though irremovable except for offences, were the servants of their absent canons whose stalls they occupied, and whose duties they performed.
St. Vitus Cathedral in Prague
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St. Vitus Cathedral in Prague
 
Abroad they were often called demi-prebendaries, and they formed the bachcrur of the French churches. As time went on the vicars were themselves often incorporated as a kind of lesser chapter, or college, under the supervision of the dean and chapter.
 
There was no distinction between the monastic cathedral chapters and those of the secular canons, in their relation to the bishop or diocese. In both cases the chapter was the bishop's consilium which he was bound to consult on all important matters and without doing so he could not act. Thus, a judicial decision of a bishop needed the confirmation of the chapter before it could be enforced. He could not change the service books, or "use" of the church or diocese, without capitular consent, and there are many episcopal acts, such as the appointment of a diocesan chancellor, or vicar general, which still need confirmation by the chapter, but the older theory of the chapter as the bishop's council in ruling the diocese has become a thing of the past, not in England only, but on the continent also.
 
In its corporate capacity the chapter takes charge sede vacante of a diocese. In England, however (except as regards Salisbury and Durham), this custom has never obtained, the two archbishops having, from time immemorial, taken charge of the vacant dioceses in their respective provinces. When, however, either of the sees of Canterbury or York is vacant the chapters of those churches take charge, not only of the diocese, but of the province as well, and incidentally, therefore, of any of the dioceses of the province which may be vacant at the same time.
 
All the English monastic cathedral chapters were dissolved by Henry VIII, and, except Bath and Coventry, were refounded by him as churches of secular chapters, with a dean as the head, and a certain number of canons ranging from twelve at Canterbury and Durham to four at Carlisle, and with certain subordinate officers as minor canons, gospellers, epistolers, etc. The precentorship in these churches of the "New Foundation", as they are called, is not, as in the secular churches of the "Old Foundation", a dignity, but is merely an office held by one of the minor canons.
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See also
Wikimedia Commons has media related to:
Cathedral
 
    * List of cathedrals
    * List of tallest church towers
    * Cathedral architecture
    * Three-spired Cathedrals
    * Cathedral diagram
    * Basilica
    * Duomo
    * Minster
 
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External links
 
    * Cathedral - Catholic Encyclopedia
    * Cathedrals of the World - Sacred Destinations
    * Gallery of photographs on the Cathedral Evry



Ca m'a manqué ces histoires de cathédrales [:pingouino]


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Whichever format the fan may want to listen is fine with us – vinyl, wax cylinders, shellac, 8-track, iPod, cloud storage, cranial implants – just as long as it’s loud and rockin' (Billy Gibbons, ZZ Top)
n°1306302
drasche
Posté le 15-02-2006 à 15:03:48  profilanswer
 

R3g a écrit :

En Français c'est mieux :o
 

Citation :

Cathédrale
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Cathédrale
Basilique
Collégiale
Église
Temple
Cathédrale Notre-Dame de Paris
Cathédrale Notre-Dame de Paris
 
Une cathédrale s'entend comme une église dans laquelle est placé le trône de l'évêque du diocèse.
Sommaire
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    * 1 La cathédrale : église du siège de l'évêque
    * 2 Histoires des Cathédrales
          o 2.1 Le modèle des basiliques antiques
          o 2.2 Moyen Âge
          o 2.3 Types particuliers de cathédrales
    * 3 Acception commune
    * 4 Voir aussi
 
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La cathédrale : église du siège de l'évêque
 
Le terme vient du grec &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (kathedra), qui signifie siège, d'où trône épiscopal. En ancien français, on retrouve le verbe « cathédrer » et le participe « cathédrant », qui veulent dire «siéger» et «siégeant» dans les écrits de Montaigne. Dans les églises primitives, le trône de l'évêque (cathedra) était placé au fond de l'abside, dans l'axe, comme le siège du juge de la basilique antique, et l'autel s'élevait en avant de la tribune, ordinairement sur le tombeau d'un martyr. L'évêque, entouré de son clergé, se trouvait ainsi derrière l'autel, isolé et dépourvu de retable ; il voyait donc l'officiant en face. Cette disposition primitive explique pourquoi, jusque vers le milieu du dernier siècle du Moyen Âge, dans certaines cathédrales, le maître-autel n'était qu'une simple table sans gradins, tabernacles ni retables.
 
La plus grande église d'Europe, Saint-Pierre du Vatican, conserve encore le siège du prince des apôtres enfermé dans une chaire de bronze au fond de l'abside. C'était dans les églises cathédrales, dans ce lieu réservé à la cathedra, que les évêques procédaient aux ordinations. Lorsque ceux-ci étaient invités par l'abbé d'un monastère, on plaçait une cathèdre au fond du sanctuaire. L'église abbatiale devenait alors cathédrale. Le siège épiscopal était le signe et le symbole de la juridiction des évêques. La juridiction épiscopale était donc le véritable lien qui unissait la basilique antique à l'église chrétienne. La cathédrale n'est pas seulement une église appropriée au service du culte, elle conserve, et possédait bien plus encore durant les premiers siècles du christianisme, le caractère d'un tribunal sacré, et les cathédrales sont restées longtemps, jusqu'au XIVe siècle, des édifices à la fois religieux et civils. On ne s'y réunissait pas seulement pour assister aux offices religieux, on y tenait aussi des assemblées de nature politique ; les considérations religieuses n'étaient cependant pas dépourvues d'influence sur ces réunions civiles ou militaires.
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Histoires des Cathédrales
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Le modèle des basiliques antiques
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Moyen Âge
 
Jusqu'à la fin du XIIe siècle, les cathédrales n'avaient les dimensions que nous leur connaissons aujourd'hui ; beaucoup d'églises abbatiales étaient beaucoups plus grandes. Jusqu'à cette époque, le morcellement féodal constituait un obstacle à la constitution civile des populations; l'influence des évêques était limitée par ces grands établissements religieux du XIe siècle. Propriétaires puissants, jouissant de privilèges étendus, seigneurs féodaux protégés par les papes, tenant en main l'éducation de la jeunesse et participant à toutes les décisions politiques, les abbés attiraient tout à eux : richesse et pouvoir, intelligence et activité. Lorsque les populations urbaines, instruites, enrichies, laissèrent paraître les premiers symptômes d'émancipation, s'érigèrent en communes, il y eut une réaction contre la féodalité monastique et séculière dont les évêques, appuyés par la monarchie, profitèrent avec autant de promptitude que d'intelligence. Ils comprirent que le moment était venu de reconquérir le pouvoir et l'influence que leur consentait l'Église, pouvoir concentré dans les établissements religieux. Ce que les abbayes purent faire pendant le XIe siècle, les évêques n'en auraient pas eu le pouvoir. Mais, au XIIe siècle, l'épiscopat entreprit de reconstruire ses cathédrales ; il trouva dans les populations un concours si énergique qu'il pu vérifier la justesse de ses prévisions, comprendre que son temps était venu, et que l'activité développée par les établissements religieux, dont il avait d'ailleurs profité, allait lui venir en aide. Il est difficile aujourd'hui de donner une idée de l'empressement avec lequel les populations urbaines se mirent à élever des cathédrales. La foi avait certes son importance, mais il s'y joignait un instinct très juste d'unité et de constitution civile.
 
Où voyons-nous les grandes cathédrales s'élever à la fin du XIIIe siècle ? A Noyon, Soissons, Laon, Reims, Amiens, Saint-Denis, villes qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale de l'Île-de-France, centre du pouvoir monarchique, Paris; à Rouen, centre de la plus belle province conquise par Philippe Auguste; à Liège, capitale de la principauté de Liège.
 
Mais, du point de vue architectural, c'est de celle de Senlis, l'archétype du genre, que toutes s'inspirent.
 
L'alliance du clergé avec la monarchie ne tarda pas à inquiéter les barons ; saint Louis reconnut bientôt que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, la noblesse de France et le roi s'assemblèrent à Saint-Denis pour limiter la puissance que les tribunaux ecclésiastiques s'étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte d'union et nommèrent une commission des quatre plus puissants d'entre eux, pour décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; de plus, chaque seigneur s'était engagé à mettre en commun la centième partie de son revenu, afin de poursuivre activement le but de l'union.
 
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité monarchique sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces constructions se ralentir, ou s'achever à la hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Faut-il attribuer cela à un refroidissement de la foi religieuse ? Probablement pas ; les quelques études des comptes montrent que les réserves faites par les évêques s'étaient épuisées, souvent en rachat d'immeubles autour des anciennes cathédrales, et dans le début de la construction de l'église. Celle-ci, n'étant plus alimentée que par des dons annuels et les excédents dégagés par les ressources du domaine de l'évêque, ralentissait donc.
 
À la fin du XIIIe siècle, les chantiers de ces vastes constructions tardivement sorties de terre n'arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent tout à coup ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que par les efforts personnels d'évêques ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la foi et la fougue de toute une population avaient permis de commencer. Rares sont les cathédrales qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur existence est pour ainsi dire un besoin impérieux, l'expression d'un désir irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans ! Ce qui nous surprend aujoud'hui, c'est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire aussi vaste, des résultats aussi surprenants ; car ce n'était pas seulement des manœuvres qu'il fallait trouver, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous aujourd'hui un sujet d'admiration.
 
 
En dehors du domaine royal, le mouvement n'existe pas, et ce n'est que plus tard, vers la fin du XIIIe siècle, lorsque la monarchie eut à peu près réuni toutes les provinces des Gaules à la Couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C'est alors que quelques diocèses remplacent leurs vieux monuments par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il s'arrête bientôt par suite des difficultés politiques du XIVe siècle.
Cathédrale de Chartres
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Cathédrale de Chartres
 
À la mort de Philippe-Auguste, en 1223, les principales cathédrales comprises dans le domaine royal étaient celles de Paris, de Chartres, de Bourges, de Noyon, de Laon, de Soissons, de Meaux, d'Amiens, d'Arras, de Cambrai, de Rouen, d'Évreux, de Sées, de Bayeux, de Coutances, du Mans, d'Angers, de Poitiers, de Tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient fort avancées. Si certains diocèses sont politiquement unis au domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales s'élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles de la France; les diocèses de Reims, de Sens, de Châlons, de Troyes en Champagne, sont les premiers à suivre le mouvement. En Bourgogne, ceux d'Auxerre et de Nevers, les plus rapprochés du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'Autun et de Langres, plus éloignés, conservent leurs anciennes églises élevées vers le milieu du XIIe siècle.
 
Dans la Guyenne, restée anglaise, excepté Bordeaux qui tente un effort vers 1225, Périgueux, Angoulême, Limoges, Tulle, Cahors, Agen, gardent leurs vieux monuments.
 
À la mort de Philippe le Bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la Champagne ; il possède le Languedoc, le marquisat de Provence ; il tient l'Auvergne et la Bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, Carcassonne, Narbonne, Lyon, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et tentent de les renouveler. Clermont en Auvergne, cherche à suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la Provence seules résistent .
 
À la mort de Charles V, en 1380, les Anglais ne possèdent plus que Bordeaux, le Cotentin et Calais ; mais la sève est épuisée : les cathédrales dont la reconstruction n'a pas été commencée pendant le XIIIe siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.
 
Source : Viollet le Duc
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Types particuliers de cathédrales
Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
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Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
 
    * Une primatiale est la cathédrale d'un primat, archevêque ayant une juridiction théorique sur plusieurs provinces ecclésiastiques.
    * Une concathédrale est une église qui exerce en indivis avec une autre la fonction de cathédrale d'un diocèse. On n'en connait que peu d'exemples, ceux de Sospel et de Forcalquier étant les plus connus. On peut ajouter la concathédrale du patriarcat latin de Jérusalem, exerçant sa fonction avec le Saint-Sépulcre, comme celle de Logroño dasn la Rioja espagole.
    * Une pro-cathédrale est une église assumant la fonction de cathédrale sans en avoir le titre canonique. Cet état de fait est dû à une indisponibilité de la cathédrale (en travaux voire en construction), indisponibilité qui peut se prolonger : en Corse la plupart des cathédrales ont été ruinés au Xe siècle et remplacées par des pro-cathédrales qui sont restées sièges épiscopaux jusqu'à la Révolution sans jamais obtenir le titre de cathédrale.
 
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Acception commune
 
Dans la langue courante, on parlera de cathédrale pour tout édifice religieux chrétien de taille imposante. On ne parle pas spontanément de cathédrale pour celle de Créteil par exemple, qui est l'ancienne église paroissiale d'un village d'Île-de-France.
 
On va même plus loin puisque la presse parle de mosquées-cathédrales pour les mosquées construites ou à construire dans les grandes villes de France.



ta gueule :o


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Whichever format the fan may want to listen is fine with us – vinyl, wax cylinders, shellac, 8-track, iPod, cloud storage, cranial implants – just as long as it’s loud and rockin' (Billy Gibbons, ZZ Top)
n°1306303
chrisbk
-
Posté le 15-02-2006 à 15:03:51  profilanswer
 

ca doit pas etre reciproque

n°1306306
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 15:05:54  profilanswer
 

+1


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°1306309
el muchach​o
Comfortably Numb
Posté le 15-02-2006 à 15:07:22  profilanswer
 
n°1306310
the real m​oins moins
Posté le 15-02-2006 à 15:07:50  profilanswer
 

welcome to last year


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°1306311
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 15:08:16  profilanswer
 

drasche a écrit :

Ca m'a manqué ces histoires de cathédrales [:pingouino]


pas moi [:dawa]


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"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306312
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 15:08:55  profilanswer
 

R3g a écrit :

En Français c'est mieux :o


ta gueule :o


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"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306313
R3g
fonctionnaire certifié ITIL
Posté le 15-02-2006 à 15:09:25  profilanswer
 


 

R3g a écrit :

Citation :

Sélection naturelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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En biologie, la sélection naturelle est un aspect de la théorie de l'évolution décrite par Charles Darwin.
 
La sélection provient du fait qu'il naît tôt ou tard plus d'individus qu'il ne peut en vivre, les ressources n'étant pas infinies (voir Malthus). Si les caractéristiques des individus présentent des variations et que celles-ci sont héréditaires, les variations les plus propices à la survie et à la reproduction se transmettront mieux que les autres.
Sommaire
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    * 1 Principe
    * 2 Position
    * 3 Pression de sélection
    * 4 Détail sur la sélection sexuelle
    * 5 Relation avec la génétique
 
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Principe
 
Quand les modifications sont neutres pour ces deux fonctions, on parle de dérive, voire (si le groupe est très réduit) d'effet fondateur. Quand ces modifications produisent une tendance vérifiable sur des générations, on parle de sélection. Notons que si des caractères acquis étaient héréditaires (hypothèse de Lamarck), le principe de cette sélection s'appliquerait là encore, et Darwin l'envisage explicitement dans L'Origine des espèces.
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Position
 
L'adjectif naturelle s'oppose chez Darwin au concept de sélection artificielle connue et pratiquée depuis quelques milliers d'années par les éleveurs. La sélection naturelle, moins rapide, se compose
 
    * d'une sélection de survie (atteindre les proies, échapper aux prédateurs, gérer les parasites et germes de maladie)
    * d'une sélection sexuelle (obtenir une descendance : séduire ou forcer un partenaire) sur laquelle Darwin insiste suite à ses observations dans les Galapagos, mais qui fut un peu négligée par ses continuateurs jusque vers la fin du XXème siècle où Stephen Jay Gould remit l'accent sur cette notion.
 
Et tout cela mieux que les congénères (et les autres espèces proches), y compris à leur détriment, aspect là encore remis en lumière par Stephen Jay Gould.
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Pression de sélection
 
Les modifications successives des générations dans les populations naturelles sont 'orientées' par les pressions intérieures (séduction, compétition dans l'espèce) et extérieures à l'espèce (limitation des ressources, modifications de l'environnement, prédateurs, parasites...), bref, ce qui influence la survie et la reproduction des individus. La sélection naturelle apparaît quand les conditions suivantes sont réunies :
 
    * renouvellement d'une population d'individus par mortalité et reproduction;
    * variabilité de caractères au sein des individus d'une population à un instant donné;
    * héritabilité de certains de ces caractères variables, c'est-à-dire corrélation forte entre ces caractères chez un individu et ces caractères chez ses parents, ou plus généralement, ses ancêtres;
    * variabilité du nombre de descendants;
    * interaction non aléatoire entre les caractères variables héritables et l'environnement pour déterminer statistiquement l'importance de la descendance d'un individu.
 
Il en découle alors que l'environnement détermine une orientation des modifications successives des générations. Ces conditions peuvent être simulées et le phénomène vérifié (référence au domaine de la recherche informatique sur la vie artificielle à mettre).
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Détail sur la sélection sexuelle
 
La sélection sexuelle selon Darwin est l'idée que, chez les espèces à reproduction sexuée, les modifications successives des générations sont aussi influencées par les critères de choix des partenaires sexuels. Il s'agit ici d'un phénomène interne à l'espèce, même s'il interfère souvent avec la sélection naturelle résultant d'influences externes. La sélection sexuelle est invoquée pour expliquer des caractères ou des comportements qui pénalise la survie quand ils sont analysés en dehors du contexte reproductif, comme la queue du paon, les bois des megaceros, ou le suicide de l'araignée mâle. S'il s'agit dans ces cas d'exemples extrêmes, le phénomène est général à des degrés divers : dans la plupart des espèces (d'oiseaux, de mammifères, de poissons, d'insectes...) les mâles (en général, il y a de rares cas où il s'agit des femelles) ont des caractères qui vont à l'encontre de leur survie (mais qui n'interfère pas négativement avec leur potentiel reproductif, au contraire) : attributs voyants (couleurs, attitudes) ou encombrants, comportements qui exposent plus au danger, etc.
 
Du point de vue des femelles, tant qu'il reste suffisamment de mâles (et c'est presque toujours le cas), tout facteur aussi absurde soit-il qui augmente la pression de sélection sur les mâles (même si c'est au prix d'une mortalité plus forte), constitue un avantage : les performances dans les "autres compartiments du jeu" (santé, performance physique ou intellectuelle, etc.) n'en auront que plus d'importance, ce qui sera tout bénéficie pour les descendant de la femelle. Ainsi, pour une femelle, choisir un mâle qui a survécu malgré une exposition plus importante est un indice qu'il dispose d'avantages significatifs.
 
Tout compte fait, une femelle paon qui accepterait un mâle moins "beau" non seulement ne gagne aucun avantage sur ses congénères (qui trouvent un mâle aussi facilement qu'elle), et se prive d'un indice significatif dans les autres domaines. Il est donc avantageux même pour les femelles de choisir un mâle qui participe à cette compétition aussi absurde qu'elle paraisse.
 
La même analyse explique que, inversement, les mâles n'ont aucun intérêt à courtiser préférentiellement des femelles participant à une compétition absurde du même genre, mais au contraire doivent s'interesser des indices de fécondité réelle
 
Les deux pressions s'observent facilement dans l'espèce humaine.
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Relation avec la génétique
 
Dans sa forme générale, et dans sa forme originale due à Darwin, la notion de sélection naturelle ne nécessite pas de théorie sur la génétique. Darwin et Mendel vécurent à la même époque, mais ne correspondirent jamais ! La génétique donna néanmoins des bases précises pour décrire la transmission des caractères. Cela a permis le développement au milieu du XXe siècle de la génétique des populations, qui propose des modèles mathématiques aux différentes formes de sélection, et permet ainsi de quantifier ces phénomènes.



 

Taiche a écrit :

Citation :

Cloche
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
Cloche d'une chapelle du Cantal
 
Une cloche est un objet simple pour émettre du son. C'est un instrument de percussion et un idiophone. Sa forme est habituellement un tambour ouvert et évidé d'une seule pièce qui résonne après avoir été frappé. La partie qui frappe le corps de la cloche est soit un battant, sorte de langue suspendue dans la cloche, soit une petite sphère libre comprise dans le corps de la cloche, soit un maillet séparé qui frappe la cloche depuis l'extérieur. Les cloches sont surtout faites de métal mais certaines petites cloches peuvent être en céramique ou en verre. Les cloches sont fondues (fabriquées) par le fondeur de cloches (ou encore « saintier »).
 
Sa forme la plus classique est la cloche d'église, qui est suspendue dans une tour (le clocher ou le beffroi) et sonnée en ayant la cloche elle même basculée par des cordes, sur quoi une langue accrochée à l'intérieur frappe le corps de la cloche. Cette pratique est connue comme sonner la cloche, et cela produit un son à la fois grave et clair. Le métal traditionnel pour ces cloches est un alliage : le bronze (anciennement airain), comprenant environ 20% d'étain. Connu comme du métal à cloche, cet alliage est aussi le même pour les cymbales.
Sommaire
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    * 1 Bénédiction
    * 2 Signal
    * 3 Instrument de musique
    * 4 Cloche pour bovin
    * 5 Expressions
    * 6 Divers
    * 7 Voir aussi
    * 8 Liens externes
 
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Bénédiction
 
Lors de l'inauguration d'une cloche d'église, l'usage veut qu'une cérémonie religieuse lui soit consacrée, appelée bénédiction ou consécration, durant laquelle un nom est attribué à la cloche. La tradition considère en effet la cloche comme une personne, et lui affecte un parrain et une marraine.
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Signal
 
Les cloches des églises pouvaient autrefois être utilisées comme système d'alerte pour des événements graves comme le feu ou les invasions (on sonnait alors le tocsin, ou à toute volée : à grande vitesse). Le type de sonnerie de cloches d'églises accompagnant les cérémonies funèbres s'appelle quant à lui le glas : c'est un son régulier au tempo très lent.
 
Cependant, ces cloches ont pour fonction normale de signaler le passage du temps. Dans ce cas, une séquence particulière de sons peut être produite par un groupe de cloches pour indiquer l'heure et ses subdivisions. L'une des plus connues et celle dite des quart de Westminster, une série de seize notes qui est émise par le carillon de l'horloge du palais de Westminster dont la grande cloche qui sonne l'heure même jouit du nom de Big Ben. La plupart du temps, seules les heures pleines sont sonnées (en général à raison d'un coup par heure, en allant de 1 à 12), parfois en deux séries de coups : le pic et le repic (ou rappel). Dans certains cas, on arrête le carillon durant la nuit pour préserver la quiétude des riverains.
 
On trouve des systèmes de production de son basés sur des cloches miniatures dans des alarmes, des sonneries de téléphone, de carillon de portes d'entrée ou de réveille-matin par exemple. Pour les sons se répétant rapidement produits par de tels systèmes, le terme est sonnette.
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Instrument de musique
une petite cloche à main
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une petite cloche à main
 
Les cloches peuvent être de toutes les dimensions : depuis des accessoires de robe minuscules (clochettes ou grelots) jusqu'à celles destinées aux églises, pesant plusieurs tonnes.
 
Les cloches sont utilisées comme des instruments de musique, organisées en carillon : un ensemble d'au moins 23 cloches couvrant tout ou partie de la gamme. Un tel ensemble peut être commandé, soit par un seul musicien par l'intermédiaire d'un clavier et d'un système de transmission, soit par un ensemble de joueurs de cloches, commandant chacun à la main une ou plusieurs cloches aux tons différents. Certains carillons sont composés de cloches dont le corps est constitué d'un simple tube métallique : ce sont des cloches tubulaires.
 
Dans la région du Valais en Suisse, il existe aussi un genre particulier de carillon. Celui-ci, dit carillon valaisan, est constitué d’un nombre de cloches variant entre trois et environ une dizaine. Il n’y a pas de clavier, le carillonneur, assis sur un banc parfois au milieu du beffroi, parfois à l’étage en dessous, actionne directement une mécanique très simple constituée de cordes et de chaînes reliées aux battants des cloches. Le plus grand carillon de ce style se situe à Lens dans le Valais central. Le clocher comprend un carillon à clavier flamand de 24 cloches dont 11 sont aussi équipées pour le carillon valaisan (Voir sous http://www.lens.ch).
 
Des cloches sans battant en métal sont un composant important de la musique latino-américaine. Elles reprennent la forme des cloches de campagne utilisées pour les animaux, appelées aussi « cloches à vaches » (le terme en espagnol est d'ailleurs campana pour désigner une cloche). Elles sont frappées avec un bâton ou une baguette ; le son est modulé en touchant différentes parties et en l'assourdissant avec la main.
 
Dans divers endroits du monde (notablement en Afrique de l'ouest) des paires ou des trios de cloches sans battant sont jointes de manière qu'elles puissent être frappées séparément ou ensemble. La plus fréquente est l'agogô, aussi utilisé au Brésil.
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Cloche pour bovin
 
Dans les zones où le cheptel bovin, ovin ou caprin est libre de stabulation, ou dans les transhumances, des cloches peuvent être utilisées pour identifier les animaux appartenant à un troupeau particulier et pour aider à les trouver notamment lorsque l'on veut les rassembler. Ces cloches sont habituellement de forme trapézoïde, cylindrique ou en coupe. Il existe des concours de musique pastorale les utilisant.
 
Dans la musique cubaine, une cloche apellée cencerro s'utilise comme instrument de percussion. Normalment le même musiciain joue les bongos aussi, c'est pourquoi il s'appelle bongocerro.
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Expressions
 
    * Avoir la cloche fêlée. Être fou (cloche étant ici synonyme de tête).
    * Cloche à/de plongeur. Appareil en forme de cloche permettant de travailler sous l'eau.
    * Courbe en cloche. En mathématiques, désigne la représentation graphique de la loi normale (gaussienne), utilisée en probabilités.
    * Déménager à la cloche de bois. Partir sans laisser d'adresse.
    * Se faire sonner les cloches. Se faire fortement réprimander.
    * Se taper la cloche. Consommer un bon repas.
    * Son de cloche. Opinion ou version particulières concernant une affaire ou un événement.
 
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Divers
 
    * Fonderie Paccard installée depuis 1791 à Annecy-le-Vieux, puis plus récemment à Sévrier (74), est la plus grosse fonderie française de cloches. Auteur de records tel que « la Savoyarde » (18 835 kg) installée au Sacré-Coeur de Montmartre en 1892, et plus récemment de la cloche du Millénaire « Millenium Bell » (33 000 kg) à destination des États-Unis en 1999.
 
    * Fonderie de cloches Bollée, installée depuis 1838 à Saint-Jean-de-Braye, près d'Orléans et qui a fondu quelques cloches prestigieuses (Ottawa, basilique de Yamassouko…). Elle abrite actuellement un musée campanaire depuis 1992.
 
    * La fonderie de Villedieu-les-Poêles, à proximité du mont Saint-Michel, en Normandie, est l'héritière d'une tradition datant de la fin du Moyen Âge. Elle propose une visite guidée à travers son atelier historique et initie à l'art de fondre des cloches.
 
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Voir aussi
 
    * Campanologie



 

masklinn a écrit :

Citation :

Cathedral
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For other uses, see Cathedral (disambiguation).
 
A cathedral is a Christian church building, specifically of a denomination with an episcopal hierarchy, such as the Anglican, Catholic and some Lutheran churches, which serves as the central church of a diocese, and thus as a bishop's seat. As cathedrals are often particularly impressive edifices, the term is sometimes also used loosely as a designation for any large important church.
 
Some pre-Reformation cathedrals in Scotland now within the Church of Scotland still retain the term cathedral, despite the Church's Presbyterian polity which does not have bishops.
 
The term is not officially used in Eastern Orthodoxy, the church of a bishop being known as "the great church", though 'cathedral' is commonly used in English translations.
Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
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Bristol Cathedral, Bristol, England. The Abbey of Saint Augustine was the first building on the site, begun in 1140. In 1542 the abbey was declared a cathedral by Henry VIII
Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
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Saint Raphael's Cathedral, Dubuque, Iowa. This parish serves as the Cathedral parish for the Archdiocese of Dubuque
Contents
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    * 1 Designation
    * 2 History and organization
    * 3 See also
    * 4 External links
 
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Designation
 
The word cathedral is derived from the Greek noun &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (cathedra) which translates as seat and refers to the presence of the bishop's (or archbishop's) chair or throne.
 
In this sense therefore, the word cathedral, though grammatically used as a noun, is originally the adjective in the phrase cathedral church, from the Latin ecclesia cathedralis. The seat marks the place set aside in the prominent church of the diocese for the head of that diocese and is therefore a major symbol of authority.
 
Although a cathedral may be amongst the grandest of churches in the diocese (and country), especially in the medieval and Renaissance times, this has never been a requirement and (especially in modern times, where functionality rather than grandeur is the foremost consideration) a cathedral church may be modest in structure. Certainly the early Celtic and Saxon cathedrals tended to be of diminutive size, and where they continued in use would have undergone expansion through the development of the bishopric.
 
Cathedrals have either been founded and built as such, or were originally parish or monastic churches that were elevated to cathedral status. Missionary activity, ecclesiastical power and, more recently, demographic considerations have determined the creation or reorganisation of sees.
 
One of the earliest instances of the term ecclesia cathedralis is said to occur in the acts of the council of Tarragona in 516. Another name for a cathedral church is ecclesia mater, indicating that it is the mother church from which other congregations have been established. As the one important church, it was also known as ecclesia major. As the chief house of God, it is called the Domus Dei in Latin, where the words domus (home) and dominus (lord) share a common origin. From this Latin root come the German word for a cathedral, Dom (a Domherr being a German canon), as well as the Italian Duomo. In Spanish it is customary to refer to la seo (the see).
 
 
Part of the series on
Christianity
 
History of Christianity
Jesus of Nazareth
The Apostles
Ecumenical councils
Great Schism
The Crusades
Reformation
 
The Trinity of God
God the Father
Christ the Son
The Holy Spirit
 
Christian theology
Christian Church
Christian worship
Grace
Salvation
Sermon on the Mount
The Ten Commandments
 
The Christian Bible
Old Testament
New Testament
Apocrypha
 
Christian denominations
Catholicism
Orthodox Christianity
Protestantism
 
Christian movements
 
At Strasbourg and many places in Germany, and in many imposing churches of England, the cathedral is called a Minster (German: Münster), from Latin monasterium, because some cathedrals were served by canons living in community.
 
The other kind of great church in Western Europe is the abbey.
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History and organization
 
It was early decreed that the cathedra of a bishop was not to be placed in the church of a village, but only in that of a city. This was not difficult on the continent of Europe, where towns were numerous and cities were the natural centres from which Christianity was diffused among the surrounding districts. In the British Isles, however, towns were few, and, instead of exercising jurisdiction over definite areas, many of the bishops were bishops of tribes or peoples, as the bishops of the south Saxons, the West Saxons, the Somersætas, etc. The cathedra of such a bishop was often migratory.
 
In 1075 a council was held in London, under the presidency of Archbishop Lanfranc, which, reciting the decrees of the council of Sardica held in 347 and that of Laodicea held in 360 on this matter, ordered the bishop of the south Saxons to remove his see from Selsey to Chichester; the Wiltshire and Dorset bishop to remove his cathedra from Sherborne to Old Sarum, and the Mercian bishop, whose cathedral was then at Lichfield, to transfer it to Chester. Traces of the tribal and migratory system may still be noted in the designations of the Irish see of Meath (where the result has been that there is now no cathedral church) and Ossory, the cathedral church of which is at Kilkenny. Some of the Scottish sees were also migratory.
 
By the canon law the bishop is regarded as the pastor of the cathedral church, the parochia of which is his diocese. In view of this, canon lawyers sometimes speak of the cathedral church as the one church of the diocese, and all others are deemed chapels in their relation to it. Occasionally two churches share the distinction of containing the bishop's cathedra. In such case they are said to be co-cathedrals.
 
Cathedral churches may have different degrees of dignity:
 
   1. the simple cathedral church of a diocesan bishop,
   2. the metropolitical church to which the other diocesan cathedral churches of a province are suffragan,
   3. the primatial church under which are ranged metropolitical churches and their provinces,
   4. patriarchal churches to which primatial, metropolitical, and simple cathedral churches alike owe allegiance.
 
The title of "primate" was occasionally conferred on metropolitans of sees of great dignity or importance, such as Canterbury, York, Rouen, whose cathedral churches remained simply metropolitical. Lyon, where the cathedral church is still known as La Primatiale, and Lund in Sweden, may be cited as instances of churches which were really primatial. Lyon had the archbishops of Sens and Paris and their provincial dioceses subject to it until the French Revolution, and Lund had the archbishop of Uppsala and his province subject to it. As with the title of primate, so also that of "patriarch" has been conferred on sees such as Venice and Lisbon, the cathedral churches of which are patriarchal in name alone. The Basilica di San Giovanni in Laterano, the cathedral church of Rome, alone in Western Europe possesses a patriarchal character among Roman Catholics, since the Pope is the Patriarch of the West.
 
The removal of a bishop's cathedra from a church deprives that church of its cathedral dignity, although often the name clings in common speech, as for example at Antwerp, which was deprived of its bishop at the French Revolution.
 
The history of the body of clergy attached to the cathedral church is obscure, and as in each case local considerations affected its development, all that can be attempted is to give a general outline of the main features which were more or less common to all. Originally the bishop and cathedral clergy formed a kind of religious community, which, in no true sense a monastery, was nevertheless often called a monasterium. The word did not have the restricted meaning which it afterwards acquired. Hence the apparent anomaly that churches like York Minster and Lincoln Cathedral, which never had any monks attached to them, have inherited the name of minster or monastery. In these early communities the clergy often lived apart in their own dwellings, and were not infrequently married. In the 8th century, however, Chrodegang, bishop of Metz (743-766), compiled a code of rules for the clergy of the cathedral churches, which, though widely accepted in Germany and other parts of the continent, gained little acceptance in England.
 
According to Chrodegang's rule, the cathedral clergy were to live under a common roof, occupy a common dormitory and submit to the authority of a special officer. The rule of Chrodegang was, in fact, a modification of the Benedictine rule. Gisa, a native of Lorraine, who was bishop of Wells from 1061 to 1088, introduced it into England, and imposed its observance on the clergy of his cathedral church, but it was not followed for long there, or elsewhere in England.
 
During the 10th and 11th centuries, the cathedral clergy became more definitely organized, and were divided into two classes. One was that of a monastic establishment of some recognized order of monks, often the Benedictines, while the other class was that of a college of clergy, bound by no vows except those of their ordination, but governed by a code of statutes or canons. Hence the name of canon. In this way arose the distinction between the monastic and secular cathedral churches.
The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
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The Lutheran Helsinki Cathedral is Finland's most famous church
 
In Germany, as in England, many of the cathedral churches were monastic. In Denmark all seem to have been Benedictine at first, except Børglum, which was Praemonstratensian till the Reformation. The others were changed to churches of secular canons. In Sweden, Uppsala was originally Benedictine, but was secularized about 1250, and it was ordered that each of the cathedral churches of Sweden should have a chapter of at least fifteen secular canons. In France monastic chapters were very common, but nearly all the monastic cathedral churches there had been changed to churches of secular canons before the 17th century. One of the latest to be so changed was that of Seez, in Normandy, which was Augustinian till 1547, when Pope Paul III dispensed the members from their vows, and constituted them a chapter of secular canons. The chapter of Senez was monastic till 1647, and others perhaps even later, but the majority were secularized about the time of the Reformation.
 
In the case of monastic cathedral churches there were Dignitaries, the internal government was that of the order to which the chapter belonged, and all the members kept perpetual residence. The reverse of this was the case with the secular chapters; the dignities of provost, dean, precentor, chancellor, treasurer, etc., soon came into being, for the regulation and good Order of the church and its services, while the non-residence of the canons, rather than their perpetual residence, became the rule, and led to their duties being performed by a body of "vicars", who officiated for them at the services of the church.
 
Abroad, the earliest head of a secular church seems to have been the provost (praepositus, Probst, etc.), who was charged, not only with the internal regulation of the church, and oversight of the members of the chapter and control of the services, but was also the steward or seneschal of the lands and possessions of the church. The latter often mainly engaged his attention, to the neglect of his domestic and ecclesiastical duties, and complaints were soon raised that the provost was too much mixed in worldly affairs, and was too frequently absent from his spiritual duties. This led, in many cases, to the institution of a new officer called the "dean", who had charge of that portion of the provost's duties which related to the internal discipline of the chapter and the services of the church.
 
In some cases the office of provost was abolished, but in others it was continued: the provost, who was occasionally archdeacon as well, remaining head of the chapter. This arrangement was most commonly followed in Germany. In England the provost was almost unknown. Bishop Gisa introduced a provost as head of the chapter of Wells, but the office was afterwards subordinated to the other dignities, and the provost became simply the steward of certain of the prebendal lands. The provost of the collegiate church of Beverley was the most notable instance of such an officer in England, but at Beverley he was an external officer with authority in the government of the church, no stall in the choir and no vote in chapter.
 
The provost of Eton, introduced by Henry VI of England, occupied a position most nearly approaching that of a foreign cathedral provost. In Germany and in Scandinavia, and in a few of the cathedral churches in the south of France, the provost was the ordinary head of the cathedral chapter, but the office was not common elsewhere. As regards France, of one hundred and thirty-six cathedral churches existing at the Revolution, thirty-eight only, and those either on the borders of Germany or in the extreme south, had a provost as the head of the chapter. In others the provost existed as a subordinate officer. There were two provosts at Autun, and Lyons and Chartres had four each, all as subordinate officers.
Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
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Ulm Münster in Ulm, Germany, the tallest church in the world
 
The normal constitution of the chapter of a secular cathedral church comprised four dignitaries (there might be more), in addition to the canons. The dean (decanus) seems to have derived his designation from the Benedictine dean who had ten monks under his charge. The dean, as already noted, came into existence to supply the place of the provost in the internal management of the church and chapter. In England the dean was the head of all the secular cathedral churches, and was originally elected by the chapter and confirmed in office by the bishop. He is president of the chapter, and in church has charge of the due performance of the services, taking specified portions of them by statute on the principal festivals. He sits in the chief stall in the choir, which is usually the first on the right hand on entering the choir at the west.
 
Next to the dean (as a rule) is the precentor (primicerius, cantor, etc.), whose special duty is that of regulating the musical portion of the services. He presides in the dean's absence, and occupies the corresponding stall on the left side, although there are exceptions to this rule, where, as at St Paul's, the archdeacon of the cathedral city ranks second and occupies what is usually the precentor's stall. The third dignitary is the chancellor (scholasticus, écoldtre, capiscol, magistral, etc.), who must not be confounded with the chancellor of the diocese. The chancellor of the cathedral church is charged with the oversight of its schools, ought to read divinity lectures, and superintend the lections in the choir and correct slovenly readers. He is often the secretary and librarian of the chapter. In the absence of the dean and precentor he is president of the chapter. The easternmost stall, on the dean's side of the choir, is usually assigned to him.
 
The fourth dignitary is the treasurer (custos, sacrisla, cheficier). He is guardian of the fabric, and of all the furniture and ornaments of the church, and his duty was to provide bread and wine for the Eucharist, and candles and incense, and he regulated such matters as the ringing of the bells. The treasurer's stall is opposite to that of the chancellor.
 
These four dignitaries, occupying the four corner stalls in the choir, are called in many of the statutes the quatuor majores personae of the church. In many cathedral churches there were additional dignitaries, as the praelector, subdean, vice-chancellor, succentor-canonicorum, and others, who came into existence to supply the places of the other absent dignitaries, for non-residence was the fatal blot of the secular churches, and in this they contrasted very badly with the monastic churches, where all the members were in continuous residence. Besides the dignitaries there were the ordinary canons, each of whom, as a rule, held a separate prebend or endowment, besides receiving his share of the common funds of the church.
 
For the most part the canons also speedily became non-resident, and this led to the distinction of residentiary and non-residentiary canons, till in most churches the number of resident canons became definitely limited in number, and the non-residentiary canons, who no longer shared in the common funds, became generally known as prebendaries only, although by their non-residence they did not forfeit their position as canons, and retained their votes in chapter like the others. This system of non-residence led also to the institution of vicars choral, each canon having his own vicar, who sat in his stall in his absence, and when the canon was present, in the stall immediately below, on the second form. The vicars had no place or vote in chapter, and, though irremovable except for offences, were the servants of their absent canons whose stalls they occupied, and whose duties they performed.
St. Vitus Cathedral in Prague
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St. Vitus Cathedral in Prague
 
Abroad they were often called demi-prebendaries, and they formed the bachcrur of the French churches. As time went on the vicars were themselves often incorporated as a kind of lesser chapter, or college, under the supervision of the dean and chapter.
 
There was no distinction between the monastic cathedral chapters and those of the secular canons, in their relation to the bishop or diocese. In both cases the chapter was the bishop's consilium which he was bound to consult on all important matters and without doing so he could not act. Thus, a judicial decision of a bishop needed the confirmation of the chapter before it could be enforced. He could not change the service books, or "use" of the church or diocese, without capitular consent, and there are many episcopal acts, such as the appointment of a diocesan chancellor, or vicar general, which still need confirmation by the chapter, but the older theory of the chapter as the bishop's council in ruling the diocese has become a thing of the past, not in England only, but on the continent also.
 
In its corporate capacity the chapter takes charge sede vacante of a diocese. In England, however (except as regards Salisbury and Durham), this custom has never obtained, the two archbishops having, from time immemorial, taken charge of the vacant dioceses in their respective provinces. When, however, either of the sees of Canterbury or York is vacant the chapters of those churches take charge, not only of the diocese, but of the province as well, and incidentally, therefore, of any of the dioceses of the province which may be vacant at the same time.
 
All the English monastic cathedral chapters were dissolved by Henry VIII, and, except Bath and Coventry, were refounded by him as churches of secular chapters, with a dean as the head, and a certain number of canons ranging from twelve at Canterbury and Durham to four at Carlisle, and with certain subordinate officers as minor canons, gospellers, epistolers, etc. The precentorship in these churches of the "New Foundation", as they are called, is not, as in the secular churches of the "Old Foundation", a dignity, but is merely an office held by one of the minor canons.
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See also
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Cathedral
 
    * List of cathedrals
    * List of tallest church towers
    * Cathedral architecture
    * Three-spired Cathedrals
    * Cathedral diagram
    * Basilica
    * Duomo
    * Minster
 
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External links
 
    * Cathedral - Catholic Encyclopedia
    * Cathedrals of the World - Sacred Destinations
    * Gallery of photographs on the Cathedral Evry



 

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En Français c'est mieux :o
 

Citation :

Cathédrale
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Cathédrale Notre-Dame de Paris
Cathédrale Notre-Dame de Paris
 
Une cathédrale s'entend comme une église dans laquelle est placé le trône de l'évêque du diocèse.
Sommaire
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    * 1 La cathédrale : église du siège de l'évêque
    * 2 Histoires des Cathédrales
          o 2.1 Le modèle des basiliques antiques
          o 2.2 Moyen Âge
          o 2.3 Types particuliers de cathédrales
    * 3 Acception commune
    * 4 Voir aussi
 
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La cathédrale : église du siège de l'évêque
 
Le terme vient du grec &#954;&#945;&#952;&#941;&#948;&#961;&#945; (kathedra), qui signifie siège, d'où trône épiscopal. En ancien français, on retrouve le verbe « cathédrer » et le participe « cathédrant », qui veulent dire «siéger» et «siégeant» dans les écrits de Montaigne. Dans les églises primitives, le trône de l'évêque (cathedra) était placé au fond de l'abside, dans l'axe, comme le siège du juge de la basilique antique, et l'autel s'élevait en avant de la tribune, ordinairement sur le tombeau d'un martyr. L'évêque, entouré de son clergé, se trouvait ainsi derrière l'autel, isolé et dépourvu de retable ; il voyait donc l'officiant en face. Cette disposition primitive explique pourquoi, jusque vers le milieu du dernier siècle du Moyen Âge, dans certaines cathédrales, le maître-autel n'était qu'une simple table sans gradins, tabernacles ni retables.
 
La plus grande église d'Europe, Saint-Pierre du Vatican, conserve encore le siège du prince des apôtres enfermé dans une chaire de bronze au fond de l'abside. C'était dans les églises cathédrales, dans ce lieu réservé à la cathedra, que les évêques procédaient aux ordinations. Lorsque ceux-ci étaient invités par l'abbé d'un monastère, on plaçait une cathèdre au fond du sanctuaire. L'église abbatiale devenait alors cathédrale. Le siège épiscopal était le signe et le symbole de la juridiction des évêques. La juridiction épiscopale était donc le véritable lien qui unissait la basilique antique à l'église chrétienne. La cathédrale n'est pas seulement une église appropriée au service du culte, elle conserve, et possédait bien plus encore durant les premiers siècles du christianisme, le caractère d'un tribunal sacré, et les cathédrales sont restées longtemps, jusqu'au XIVe siècle, des édifices à la fois religieux et civils. On ne s'y réunissait pas seulement pour assister aux offices religieux, on y tenait aussi des assemblées de nature politique ; les considérations religieuses n'étaient cependant pas dépourvues d'influence sur ces réunions civiles ou militaires.
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Histoires des Cathédrales
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Le modèle des basiliques antiques
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Moyen Âge
 
Jusqu'à la fin du XIIe siècle, les cathédrales n'avaient les dimensions que nous leur connaissons aujourd'hui ; beaucoup d'églises abbatiales étaient beaucoups plus grandes. Jusqu'à cette époque, le morcellement féodal constituait un obstacle à la constitution civile des populations; l'influence des évêques était limitée par ces grands établissements religieux du XIe siècle. Propriétaires puissants, jouissant de privilèges étendus, seigneurs féodaux protégés par les papes, tenant en main l'éducation de la jeunesse et participant à toutes les décisions politiques, les abbés attiraient tout à eux : richesse et pouvoir, intelligence et activité. Lorsque les populations urbaines, instruites, enrichies, laissèrent paraître les premiers symptômes d'émancipation, s'érigèrent en communes, il y eut une réaction contre la féodalité monastique et séculière dont les évêques, appuyés par la monarchie, profitèrent avec autant de promptitude que d'intelligence. Ils comprirent que le moment était venu de reconquérir le pouvoir et l'influence que leur consentait l'Église, pouvoir concentré dans les établissements religieux. Ce que les abbayes purent faire pendant le XIe siècle, les évêques n'en auraient pas eu le pouvoir. Mais, au XIIe siècle, l'épiscopat entreprit de reconstruire ses cathédrales ; il trouva dans les populations un concours si énergique qu'il pu vérifier la justesse de ses prévisions, comprendre que son temps était venu, et que l'activité développée par les établissements religieux, dont il avait d'ailleurs profité, allait lui venir en aide. Il est difficile aujourd'hui de donner une idée de l'empressement avec lequel les populations urbaines se mirent à élever des cathédrales. La foi avait certes son importance, mais il s'y joignait un instinct très juste d'unité et de constitution civile.
 
Où voyons-nous les grandes cathédrales s'élever à la fin du XIIIe siècle ? A Noyon, Soissons, Laon, Reims, Amiens, Saint-Denis, villes qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale de l'Île-de-France, centre du pouvoir monarchique, Paris; à Rouen, centre de la plus belle province conquise par Philippe Auguste; à Liège, capitale de la principauté de Liège.
 
Mais, du point de vue architectural, c'est de celle de Senlis, l'archétype du genre, que toutes s'inspirent.
 
L'alliance du clergé avec la monarchie ne tarda pas à inquiéter les barons ; saint Louis reconnut bientôt que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, la noblesse de France et le roi s'assemblèrent à Saint-Denis pour limiter la puissance que les tribunaux ecclésiastiques s'étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte d'union et nommèrent une commission des quatre plus puissants d'entre eux, pour décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; de plus, chaque seigneur s'était engagé à mettre en commun la centième partie de son revenu, afin de poursuivre activement le but de l'union.
 
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité monarchique sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces constructions se ralentir, ou s'achever à la hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Faut-il attribuer cela à un refroidissement de la foi religieuse ? Probablement pas ; les quelques études des comptes montrent que les réserves faites par les évêques s'étaient épuisées, souvent en rachat d'immeubles autour des anciennes cathédrales, et dans le début de la construction de l'église. Celle-ci, n'étant plus alimentée que par des dons annuels et les excédents dégagés par les ressources du domaine de l'évêque, ralentissait donc.
 
À la fin du XIIIe siècle, les chantiers de ces vastes constructions tardivement sorties de terre n'arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent tout à coup ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que par les efforts personnels d'évêques ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la foi et la fougue de toute une population avaient permis de commencer. Rares sont les cathédrales qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur existence est pour ainsi dire un besoin impérieux, l'expression d'un désir irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans ! Ce qui nous surprend aujoud'hui, c'est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire aussi vaste, des résultats aussi surprenants ; car ce n'était pas seulement des manœuvres qu'il fallait trouver, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous aujourd'hui un sujet d'admiration.
 
 
En dehors du domaine royal, le mouvement n'existe pas, et ce n'est que plus tard, vers la fin du XIIIe siècle, lorsque la monarchie eut à peu près réuni toutes les provinces des Gaules à la Couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C'est alors que quelques diocèses remplacent leurs vieux monuments par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il s'arrête bientôt par suite des difficultés politiques du XIVe siècle.
Cathédrale de Chartres
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Cathédrale de Chartres
 
À la mort de Philippe-Auguste, en 1223, les principales cathédrales comprises dans le domaine royal étaient celles de Paris, de Chartres, de Bourges, de Noyon, de Laon, de Soissons, de Meaux, d'Amiens, d'Arras, de Cambrai, de Rouen, d'Évreux, de Sées, de Bayeux, de Coutances, du Mans, d'Angers, de Poitiers, de Tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient fort avancées. Si certains diocèses sont politiquement unis au domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales s'élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles de la France; les diocèses de Reims, de Sens, de Châlons, de Troyes en Champagne, sont les premiers à suivre le mouvement. En Bourgogne, ceux d'Auxerre et de Nevers, les plus rapprochés du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'Autun et de Langres, plus éloignés, conservent leurs anciennes églises élevées vers le milieu du XIIe siècle.
 
Dans la Guyenne, restée anglaise, excepté Bordeaux qui tente un effort vers 1225, Périgueux, Angoulême, Limoges, Tulle, Cahors, Agen, gardent leurs vieux monuments.
 
À la mort de Philippe le Bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la Champagne ; il possède le Languedoc, le marquisat de Provence ; il tient l'Auvergne et la Bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, Carcassonne, Narbonne, Lyon, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et tentent de les renouveler. Clermont en Auvergne, cherche à suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la Provence seules résistent .
 
À la mort de Charles V, en 1380, les Anglais ne possèdent plus que Bordeaux, le Cotentin et Calais ; mais la sève est épuisée : les cathédrales dont la reconstruction n'a pas été commencée pendant le XIIIe siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.
 
Source : Viollet le Duc
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Types particuliers de cathédrales
Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
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Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, primatiale des Gaulles
 
    * Une primatiale est la cathédrale d'un primat, archevêque ayant une juridiction théorique sur plusieurs provinces ecclésiastiques.
    * Une concathédrale est une église qui exerce en indivis avec une autre la fonction de cathédrale d'un diocèse. On n'en connait que peu d'exemples, ceux de Sospel et de Forcalquier étant les plus connus. On peut ajouter la concathédrale du patriarcat latin de Jérusalem, exerçant sa fonction avec le Saint-Sépulcre, comme celle de Logroño dasn la Rioja espagole.
    * Une pro-cathédrale est une église assumant la fonction de cathédrale sans en avoir le titre canonique. Cet état de fait est dû à une indisponibilité de la cathédrale (en travaux voire en construction), indisponibilité qui peut se prolonger : en Corse la plupart des cathédrales ont été ruinés au Xe siècle et remplacées par des pro-cathédrales qui sont restées sièges épiscopaux jusqu'à la Révolution sans jamais obtenir le titre de cathédrale.
 
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Acception commune
 
Dans la langue courante, on parlera de cathédrale pour tout édifice religieux chrétien de taille imposante. On ne parle pas spontanément de cathédrale pour celle de Créteil par exemple, qui est l'ancienne église paroissiale d'un village d'Île-de-France.
 
On va même plus loin puisque la presse parle de mosquées-cathédrales pour les mosquées construites ou à construire dans les grandes villes de France.



 
Qu'est-ce qu'on peut poster comme conneries quand même [:dawa]

n°1306314
chrisbk
-
Posté le 15-02-2006 à 15:10:00  profilanswer
 

lolley

n°1306315
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 15:10:20  profilanswer
 


C'est pas vraiment le même marché [:pingouino]


---------------
"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306316
skeye
Posté le 15-02-2006 à 15:10:45  profilanswer
 

Tiens, c'est un concept intéressant l'alarme incendie tellement puissante et désagréable qu'on est effectivement obligé de fuire dehors...[:pingouino]


---------------
Can't buy what I want because it's free -
n°1306317
nraynaud
lol
Posté le 15-02-2006 à 15:11:12  profilanswer
 

vos gueule les emo, vous allez faire débarquer la bande de crétins de la cat0 :o


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trainoo.com, c'est fini
n°1306318
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 15:12:06  profilanswer
 

R3g a écrit :

Qu'est-ce qu'on peut poster comme conneries quand même [:dawa]


ta gueule :o


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"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306320
mareek
Et de 3 \o/
Posté le 15-02-2006 à 15:13:10  profilanswer
 

skeye a écrit :

Tiens, c'est un concept intéressant l'alarme incendie tellement puissante et désagréable qu'on est effectivement obligé de fuire dehors...[:pingouino]


Et là tu postes en wifi depuis ta DS ? [:opus dei]


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"I wonder if the internal negative pressure in self pumping toothpaste tubes is adjusted for different market altitudes." John Carmack
n°1306322
skeye
Posté le 15-02-2006 à 15:14:15  profilanswer
 

mareek a écrit :

Et là tu postes en wifi depuis ta DS ? [:opus dei]


Nan, ils ont fini de tester les alarmes, et vu qu'il pleut j'ai préféré rentrer.[:dawa]


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Can't buy what I want because it's free -
mood
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Posté le   profilanswer
 

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