Salut à tous,
 
désolé pour les utilisateurs avertis : ma question est celle d'un béotien. J'ai beau chercher dans les entrailles du forum, je n'y trouve pas la solution à mon problème.
 
J'ai deux dd montés en IDE qui fonctionnent très bien. J'ai acqui aujourd'hui un troisième disque, S-ATA celui-là (Hitachi 160Go). Ma carte mère est une Asus A7N8X Deluxe, mon OS est Win XP pro avec le Pack SP1. Je précise que j'ai installé les drivers SATA (fournis sur le cd de la carte mère) et que je ne souhaite pas pour l'instant installer windows sur le sata (je veux seulement m'en servir pour stocker de la video DV).
 
Je branche mon dd sata de façon correcte, il apparait dans les messages du bios au démarrage, je me dis donc que tout va bien.
Las, dans le poste de travail, ce satané Hitachi est reconnu en tant que lecteur de dvd alors que dans le gestionnaire de périphériques il est présent dans la section "lecteurs de disque" en tant que HDS72251 6VLSA80 SCSI Disk Device. Les trois entrées dans la section "Contrôleurs SCSI et RAID" ne présentent pas de conflit.
 
Avez vous une idée pour que le disque dur soit reconnu en tant que tel et non comme un lecteur de DVD ?
 
Merci pour toutes vos suggestions
 
Vince

Up s'il vous plait !!

Ben j y connais rien en SATA mais essaye déjà de mettre les drivers
RAID à jour car ceux du CD de ta carte mère doivent pas être tout récent.
Après il y a la solution du flashage du BIOS de ta carte mère si ça ne résoud pas le problème.
Mais ça c'est en supposant qu'il n y  ait pas de conflit et que la configuration des disques soit correcte après pour les branchements et
la configuration du RAID je peux pas t'aider...

Et dans l'outil de gestion des disques, il apparaît comment ?
 
 

Dans la série "je passe pour un newbie que je suis" : où trouve-je l'outil de gestion des disques ?
 
Merci pour votre soutien !
 
Vince

clic droit poste de travail -> gerer

poste de travail > ckique droit > gerer
 
edit: grillaid  

mille mercis à tous, j'ai pu le formater et maintenant tout foncitonne
encore merci,
Vince