Bonjour à tous,
Je suis en train de rédiger un dossier sur la crise du syndicalisme français et, pour cela, j'aurais besoin de connaître votre opinion :
Non seulement le syndicalisme français est faible, si on le compare à celui des autres pays européen, mais en plus, il est fortement divisé. La perte d'effectifs se traduit en termes électoraux (prud'hommes), mais aussi en termes d'adhésions. De 4 millions en 1970, soit un quart des salariés, le nombre des syndiqués est tombé à 2,1 millions en 1993, soit moins de 11 % de la population active salariée. En 1996, les trois principales confédérations CGT, CFDT, FO, réunissaient ensemble moins de 1,2 million de salariés actifs, soit 6 % du salariat.
Selon vous :
1) Peut-on parler de "crise" du syndicalisme ? ou doit-on penser plutôt à une mutation ?
2) Les difficultés présentes du syndicalisme proviennent-elles de l?extérieur ou des responsabilités propres des organisations professionnelles ?
3) Comment s?opère l?adhésion à une organisation syndicale et comment se réalise la fidélisation ?
4) Quelles sont selon vous les perspectives d'évolution du syndicalisme ?
Que vous soyez ou non syndiqués, votre opinion m'intéresse.
Je vous remercie d'avance de vos réponses.
Message édité par Alice1 le 22-11-2003 à 22:48:39