Démission fin 2008 (en pleine crise donc), sans rien derrière.
Quand on me posait la question (et c'était pas forcement systématique) , je répondais franchement : aucune évolution possible, aucune reconnaissance dans mon travail. Impossible de continuer à me rendre au travail en faisant l'hypocrite etc... je suis un winner, blablabla....
En règle général, c'était bien perçu, mais un peu jugé "culotté" (surtout par le secteur financier)
Message édité par kikidonc le 23-12-2009 à 16:58:06