La dévaluation d'une monnaie est exogène (intervention extérieure d'une autorité monétaire) ; la dépréciation est, quant à elle, endogène. Les facteurs sont multiples.
L'unanimité requiert l'ensemble des votes ; la majorité qualifiée est un seuil minimum de votes.
Exemple. Soient 10 membres d'une chambre législative d'un État fictif.
Si la Constitution de cet État dispose que les projets de lois doivent être votés à l'unanimité, alors tous les députés doivent voter pour. Si un seul refuse, il a une forme de droit de veto puisque le projet ne pourra être adopté.
Si cette Constitution impose un vote des 3/5e (qualification de la majorité), alors au moins 6 députés doivent voter pour, non tous.
Je suppose bien sûr ici que le décompte des votes se fait sur la composition de la chambre des députés, non les présents.