Le vendredi est le jour qui tient son nom de Vénus, déesse de l'amour et des plaisirs charnels, chacun le sait.
On pourra noter avec amusement que dans un merveilleux élan mystico-comploto-grammatical, le vendredi commence par un "V" conquérant; le même "V" qui se trouve être le fameux symbole de l'immortel féminin, injustement écarté de la gloire populaire par nos traditions judéo-chrétiennes machistes et patriarcales, mais fort heureusement ramené dans la lumière par le bienfaiteur de l'humanité et de la littérature, Dan Brown, dans son ouvrage quasi-Christique le "Da Vinci Code".
Fort de tout cela, le lecteur peut légitimement se poser la question fondamentale suivante : le vendredi serait il par essence le jour féminin, le havre de paix trouvé à la fin du voyage éreintant d'une semaine brutale?
Le vendredi est t il ce jour, béni entre tous, ou, tel l'enfant sur le sein de sa mère, l'homo-infomaticus pourrait y soulager sa tête lourde de responsabilités, comme en l'appuyant sur la rondeur et la douceur d'un mamelon lourd d'une promesse tiède de réconfort?
En bref le vendredi ne mériterait il pas de voir la femme rendue à sa place première?
Message édité par Leg9 le 02-12-2005 à 17:14:09
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If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."