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Auteur Sujet :

LFI [NFP] 6e République, écosocialisme, paix - Free Palestine

n°31922330
darksword
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Posté le 08-10-2012 à 19:11:54  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Trudok a écrit :

Sinon comme ça, le fait que les média soient à x% pour ou contre Chavez ne change strictement rien au fait que les actions du Venezuela contre les chaines de tv privés ne sont absolument pas celles d'un État de droit.


 
Chaque chose en son temps, petit padawan. Ta question est peut-être légitime, mais on peut aussi se poser d'autres questions et au final on n'aura toujours aucune réponse.
Y a les pro, les anti et les lurkers (dont je fais partie sur ce débat). Les pro n'ont qu'à faire les télés, les antis les radios et les lurkers les journaux. Et voilà.


---------------
Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux. Car gouverner n’a jamais été autre chose que repousser par mille subterfuges le moment où la foule vous pendra.
mood
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Posté le 08-10-2012 à 19:11:54  profilanswer
 

n°31922349
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 19:14:00  answer
 

Trudok a écrit :

Sinon comme ça, le fait que les média soient à x% pour ou contre Chavez ne change strictement rien au fait que les actions du Venezuela contre les chaines de tv privés ne sont absolument pas celles d'un État de droit.

 

Tu me démontrer le caractère illégale de ces décisions de justice de ne pas reconduire des concessions ? Surtout que d'autres concessions sont accordées au privé en parallèle ...

 


Par contre quand Israël ferme militairement  des chaines de TV palestiniennes, là ça dérange personne.   :fou:

 
Citation :

L’armée israélienne ferme deux chaînes de télévision palestiniennes.

 


Reporters sans frontières est profondément choquée par le raid de l’armée israélienne contre les locaux de deux chaînes de télévision palestiniennes, situés en Cisjordanie, dans la nuit du 28 au 29 février 2012, engendrant la saisie du matériel et la fermeture de ces médias....


http://fr.rsf.org/israel-l-armee-i [...] 41984.html

 

Chavez aurait agit ainsi et les ricains débarquaient a Caracas..  :pfff:

 

Message cité 3 fois
Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 19:20:26
n°31922458
Trudok
Posté le 08-10-2012 à 19:27:50  profilanswer
 


 
C'est bien de répéter en permanence le même cas, mais il y en a bien d'autres.
 
http://fr.rsf.org/venezuela-l-etat [...] 41242.html
Et bien sûr, le fait que les chaines aient été longtemps obligées de retransmettre les discours-fleuve de Chavez.

n°31922462
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 19:28:06  answer
 

C'est une honte, voilà la grande décision de la BCE  pour le peuple Européen...  
 

Citation :

La BCE : «Baissez les salaires pour préserver l'euro»
 
 
La banque centrale européenne (BCE) revient dans une étude publiée ce 8 octobre sur les enjeux structurels de la zone euro. Ses travaux, cette année, sont consacrés exclusivement au marché du travail et l’hétérogénéité des  réponses européennes pendant la crise. Ces divergences, selon la BCE, pose une menace sur la convergence des économies de la  zone euro.
 
Ses recommandations : « l’ajustement des salaires au conditions du marché du travail doit une priorité sur les marchés du travail de la zone euro. Cela facilitera la nécessaire réallocation sectorielle, soutiendra la création d’emplois durables et la réduction du chômage. Des réformes importantes et approfondies du marché du travail sont donc nécessaires pour accroître la flexibilité de l’emploi et des salaires dans la zone euro afin de réduire le risque d’une montée persistante d’un chômage structurel et d’une baisse de la croissance potentielle. Cette stratégie de réforme est aussi l’élément clé pour un reprise économie solide dans la zone euro, qui contribuerait aussi à corriger et à prévenir les déséquilibres macro-économiques et la consolidation fiscale. Une plus grande flexibilité des marchés du travail dans la zone euro réduirait également les coûts d’ajustement associés aux chocs économiques et renforcer l’efficacité de la politique monétaire ».  
 
En trois ans de crise, les salaires en Grèce ont baissé de plus de 25%, le chômage touche désormais 21% de la population active et 54% des jeunes...


 
http://www.mediapart.fr/journal/in [...] rver-leuro

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 19:28:43
n°31922531
yannick
Posté le 08-10-2012 à 19:35:11  profilanswer
 

Ernestor a écrit :


Dans les deux cas, tu hurles à la mort contre le premier et tu dénonces du bout des doigts le second.


 
Une lutte à mort se déroule entre d'un coté les USA (avec le soutien  de l'Europe) et de l'autre le Venezuela. L'existence même de Chavez, de sa révolution et de son gouvernement est en jeu.  Dans ce contexte, on trouve les alliés que l'on peut (Russie, Chine, Iran, etc...). C'est la raison pourquoi la politique étrangère de Chavez sera dénoncé du bout des doigts par l'EG.  
 
Or l'existance de la France et de son gouvernement ne sont pas en jeu. En clair, on fricote avec des ordures pour des intérêts commerciaux exclusivement.
 

Ernestor a écrit :


Mais maintenant, tu m'expliques en quoi il est bon pour le Vénézuela d'aller fricoter avec un provocateur négationniste de la Shoah par exemple ? Ou est le gain pour ce pays ?
 
En fait, j'ai une vision très simple de la géo-politique à la Chavez. Elle est similaire à celle d'un Dieudonné : je suis pote avec tous les pourris de la terre qui crachent sur les mêmes types que moi, juste par pure provocation. C'est juste puérilement totalement débile.  
 
Et puis paye la gueule de ton axe anti-impérialiste. Le pire dans tout ça, c'est qu'un pays démocratique comme le Vénézuela se prend un gros a priori négatif dans la tronche en fricotant par pure idéologie haineuse avec les pires pourris de la planète. Même Mélenchon en est allé de son couplet pour dénoncer cela chez Chavez, c'est dire.


 
Même si certains aspect de sa politique étrangère sont discutable, il ne faudrait pas prendre Chavez pour un gros gogol non plus. La Libye, l'Iran et le Venezuela sont des gros producteurs de pétrole membre de l'Opep. Une lutte d'influence se déroule en permanence, au sein de cette organisation, sur les quotas et les prix de l'or noir. D'un point de vue real politik, maintenir de bonnes relations avec ces pays (et la Russie) à son sens.  
 
Une partie de sa position sur la Syrie peut aussi se défendre. Après tout des puissances étrangères (Qatar, KSA, Europe, etc...) essayent de déstabiliser le gouvernement légal d'un pays souverain. Un peu comme en 2002 au Venezuela même si le contexte est largement différent. D'un point de vue droit international sa position se défend. Avait il cepandant besoin de traiter l'ASL de terroriste? Ne pouvait il pas se contenter de denoncer les ingérences étrangères? Je pense qu'il a plus en vue les relations avec la Chine et la Russie qu'avec ceux avec la Syrie.  
 
Alors bien sur il se prends un gros à priori négatif (justifié) , y compris au FdG et à l'EG. La réalité est que les pays comme l'Iran, la Russie et la Chine pèsent plus dans la balance que les opinions d'Occidentaux vertueux.  
 
Et à sa place, je ferais sans doute la même analyse...


Message édité par yannick le 08-10-2012 à 19:37:53
n°31922596
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 19:42:49  answer
 

Trudok a écrit :


 
C'est bien de répéter en permanence le même cas, mais il y en a bien d'autres.
 
http://fr.rsf.org/venezuela-l-etat [...] 41242.html
Et bien sûr, le fait que les chaines aient été longtemps obligées de retransmettre les discours-fleuve de Chavez.


 
Quel rapport avec ma question  :??:  
 
 En quoi, ne pas renouveler des concessions par décisions de justice est anti-démocratique ?
 
Je te rappelle que...
 

Citation :

En 1998, à l’élection de Chavez, on comptait 342 concessions dont 331 à des chaînes privées et 11 à des chaînes publiques. En 2010, on en comptait 791 dont 466 à des chaînes privées, 82 à des chaînes publiques, 243 à des chaînes communautaires. C’est tout aussi flagrant pour les concessions hertziennes de TV. En 1998, on comptait 40 concessions dont 32 à des chaînes privées et 8 à des chaînes publiques. En 2010, on en comptait 111 dont 61 à des chaînes privées, 13 à des chaînes publiques et 37 à des chaînes communautaires. Chavez a donc favorisé la pluralité des médias. La presse est plus libre et diverse au Venezuela qu’en France. C’est un fait, pas une opinion. Notez d’ailleurs que l’interdiction de la censure est consacrée dans la Constitution prétendument « totalitaire » qu’a fait adopter Chavez....


 
Peux tu me démontrer ou est la volonté de Chavez de faire taire  l'opposition par rapport a ce bilan,  et ou est la dérive autoritaire ?  
 
C'est de cette manière qu'agissent les dictateurs ?  Parce qu'a moment, il suffit pas balancer du fumier, faut étayer avec des vrais augments si l'on veut être crédible.

Message cité 2 fois
Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 19:45:15
n°31922713
Trudok
Posté le 08-10-2012 à 19:55:40  profilanswer
 

 

Je n'en sais rien. Je vois par contre que tu t'acharne à parler uniquement du cas de RCTV. J'imagine que c'est le seul un minimum défendable.

  


Hors sujet. Et je veux bien la démonstration que privé = anti-chavez.
Attaquer plusieurs chaines, radios et journaux, qu'il y en a 2 ou 200 autres, ça reste des pratiques de pays non libres.
Si Sarkozy avait fait fermer un journal communiste sous des prétextes bidons, est ce que tu aurais dit qu'il n'y a aucun problème de liberté, puisque qu'il y a plein d'autres journaux de gauche ?

Message cité 2 fois
Message édité par Trudok le 08-10-2012 à 19:56:11
n°31922755
pik3
Posté le 08-10-2012 à 19:59:42  profilanswer
 

RSF INTERVIENT AUPRÈS DE LA SOUS-COMMISSION DES DROITS DE L’HOMME DU PARLEMENT EUROPÉEN
 

Citation :

Stigmatisation systématique des journalistes
 
Notre organisation n’ignore pas la part de responsabilité des médias eux-mêmes – qu’ils soient publics ou privés - dans un tel climat. Elle explique, pour partie, la stigmatisation récurrente des journalistes de terrain en fonction de leur média d’appartenance.
 
L’agression, le 9 septembre dernier, de la journaliste Lorena Benítez – issue du Système national des médias publics qui inclut notamment la principale chaîne d’État, Venezolana de Televisión (VTV) – par des partisans du candidat d’opposition Henrique Capriles Radonski, est l’un des exemples récents de cette situation. Le cas de figure se vérifie, à l’inverse, contre des collègues de médias critiques envers le gouvernement, notamment de la chaîne d’informations de la région de Caracas Globovisión, cible régulière des soutiens du président Hugo Chávez. Des militants progouvernementaux portent, de même, la responsabilité des violences subies le 12 septembre dernier à l’aéroport de Puerto Cabello, par le photographe et collaborateur de l’Agence France-Presse Geraldo Caso Bizama, venu couvrir la visite du candidat d’opposition. L’insécurité, alimentée par l’hystérie partisane, affecte même des journalistes issus des rares médias tenant d’une ligne modérée, comme cette équipe du quotidien Últimas Noticias, prise dans un échange de tirs à la périphérie de Caracas, le 2 septembre. Reporters sans frontières a dénombré une quarantaine d’agressions de ce type au cours de l’année 2012.


 
Agression des deux côtés: 1-1 balle au centre.
 

Citation :

Parole publique confisquée
 
Pour le gouvernement, la polarisation médiatique extrême qui affecte le pays doit, à l’origine, à l’attitude plus que complaisante des principaux médias privés lors du coup d’État avorté contre Hugo Chávez en avril 2002. Reporters sans frontières reconnaît qu’à l’époque, ces derniers ont dangereusement outrepassé le rôle informatif qui devait être le leur. Nous rappelons néanmoins qu’aucun représentant des médias concernés n’a fait l’objet de la moindre procédure judiciaire, comme attendu en ce genre de circonstances. Surtout, cet épisode a servi d’argument à une véritable contre-offensive, à la fois médiatique et législative, préjudiciable à la liberté d’informer.
 
Nous ne contestons pas à l’État vénézuélien le droit de développer un service audiovisuel public. Nous lui reprochons, en revanche, de s’en servir pour ériger la vindicte publique et la théorie du complot permanent en système de communication. Formuler une critique ou interpeller le pouvoir revient à “insulter le peuple” ou “déstabiliser la Nation”. Cette “guerre médiatique”, qui s’applique également aux ONG, tient lieu de ligne éditoriale au sein des médias d’État, actuellement au nombre de six (VTV, Vive TV, Asamblea Nacional TV, Tves, Ávila TV et Telesur) pour la partie télévisuelle ; et de trois (Radio Nacional, YVKE Mundial et Rumbos) pour la partie radiophonique. L’offensive continue se diffuse en particulier à travers les messages à caractère officiels ou cadenas, détournés en harangue sans limite de durée par Hugo Chávez en personne et imposés au même moment à toutes les antennes (hors diffusion internationale). Avec 2000 cadenas prononcées entre le 3 février 1999, date de sa première investiture, et le 3 février 2010, le président Hugo Chávez aura parlé l’équivalent de deux mois plein sans interruption. Ce décompte n’inclut pas le programme dominical, “Aló Presidente”, qu’il anime lui-même sur VTV. De janvier à août 2012, ces cadenas se sont chiffrées à 136 heures et 20 minutes d’antenne soit, par comparaison, une semaine d’allocution ininterrompue.
 
Confiscation de la parole publique, perturbation volontaire de la programmation audiovisuelle, et au final vecteur d’une forme de censure, les cadenas doivent faire l’objet d’une régulation encadrant réellement leur contenu et leur durée, sinon être affectées à une seule chaîne publique dans leur forme actuelle.


 

Citation :

Dégradée par une tendance, hélas partagée au sein des médias, à privilégier l’attaque partisane sur l’information, la liberté d’informer se trouve également entravée par un cadre légal devenu de plus en plus restrictif. Outre de la réforme du code pénal, en 2005, qui aggrave les peines de prison en cas de “diffamation” et d’“injure”, les difficultés viennent de la loi de responsabilité sociale en radio et télévision, adoptée en 2004 et étendue à Internet en 2010. Sa formulation pose déjà question en raison de clauses trop imprécises justifiant d’une amende voire de suspensions contre des médias, comme “inciter ou promouvoir l’apologie du délit”, “répandre la panique parmi les citoyens ou altérer l’ordre public”, ou encore “déconsidérer les autorités légitimement constituées”. Une autre clause de la loi punit les contenus “incitant à la propagande de guerre”.
 
La sanction s’appliquera-t-elle à une propagande gouvernementale qui promet la “victoire ou la guerre civile” ? Le problème majeur vient de l’application sélective de la loi, qui ne concerne jusqu’à présent que les médias réputés critiques, dont, à nouveau, la chaîne Globovisión, condamnée en juin 2012 à une amende de deux millions de dollars pour sa couverture de mutineries pénitentiaires à Caracas en juin 2011.
 
Tout en plaidant pour une dépénalisation des délits de presse, Reporters sans frontières recommande une complète révision de la régulation de l’espace de communication – en particulier audiovisuel – à l’appui d’une juste répartition des fréquences et, le cas échéant, d’une limitation extrêmement précise de certains contenus hors de toute considération idéologique. D’autres pays de la région, comme l’Argentine, se sont engagés – au moins en principe – sur la voie d’une régulation nouvelle. Cet enjeu implique d’y associer les organisations professionnelles, syndicales ou engagées dans la défense de la liberté d’expression, que pénalise, pour une part, la loi de coopération internationale également adoptée en 2010.


 
Mais tout va bien côté médias.  :whistle:

n°31922891
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 20:14:03  answer
 

Trudok a écrit :


 
Je n'en sais rien. Je vois par contre que tu t'acharne à parler uniquement du cas de RCTV. J'imagine que c'est le seul un minimum défendable.
 


 
Mais c'est incroyable ça , c'est toi qui s'acharne a me parler RTCV. Ou j'ai t'ai parlé de RCTV dans mes réponses a  tes postes ?????

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 20:14:36
n°31922912
Trudok
Posté le 08-10-2012 à 20:17:02  profilanswer
 


 
Au hasard, parler de renouvellement de concession ?

mood
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Posté le 08-10-2012 à 20:17:02  profilanswer
 

n°31922946
Quesque
Posté le 08-10-2012 à 20:20:37  profilanswer
 


En bombardant Cuba au passage... :o  

n°31922978
Terminatux
Communiste
Posté le 08-10-2012 à 20:23:30  profilanswer
 

pik3 a écrit :

Citation :

La sanction s’appliquera-t-elle à une propagande gouvernementale qui promet la “victoire ou la guerre civile” ?


 

Si je ne m'abuse, le PSUV ne disait pas qu'il déclencherait une guerre civile s'il perdait, mais que la politique de Capriles, s'il était élu, serait similaire à celles des années 80 qui ont effectivement abouti à une révolte populaire réprimée dans le sang. (qualifiée de guerre civile donc)


Message édité par Terminatux le 08-10-2012 à 20:25:26
n°31922983
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 20:23:58  answer
 

Trudok a écrit :

 

Au hasard, parler de renouvellement de concession ?

 

A ma connaissance, toutes les chaines fermés l'ont été par non renouvellement de concession. Sais-tu au moins de quoi tu parles ?

 

je doute pas une seconde que sarkozy fermerait avec plaisir un journal communiste s'il enfreint la loi a de multiples reprises.

 
Citation :

Trudok a écrit :

 

Hors sujet. Et je veux bien la démonstration que privé = anti-chavez.
Attaquer plusieurs chaines, radios et journaux, qu'il y en a 2 ou 200 autres, ça reste des pratiques de pays non libres.
Si Sarkozy avait fait fermer un journal communiste sous des prétextes bidons, est ce que tu aurais dit qu'il n'y a aucun problème de liberté, puisque qu'il y a plein d'autres journaux de gauche ?



 

Je note aussi que  Chavez a attaqué...  au bazooka sans doute ?

 

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 20:35:57
n°31923045
Terminatux
Communiste
Posté le 08-10-2012 à 20:30:00  profilanswer
 

Trudok a écrit :

Si Sarkozy avait fait fermer un journal communiste sous des prétextes bidons, est ce que tu aurais dit qu'il n'y a aucun problème de liberté, puisque qu'il y a plein d'autres journaux de gauche ?

 

Plusieurs partis d'extrême-gauche ont été dissous par décret dans la foulée de mai 1968.

Message cité 1 fois
Message édité par Terminatux le 08-10-2012 à 20:30:41
n°31923056
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 20:31:35  answer
 


 
Heureusement qu'il appris des mesures contre la diffamation et  l'injure. Les médias privés sont allés tellement loin dans ces dérives que cela devenait surréaliste.

n°31923111
Trudok
Posté le 08-10-2012 à 20:36:54  profilanswer
 


 
As tu au moins cliqué sur le lien que j'ai posté plus haut ?

n°31923117
moonboots
Posté le 08-10-2012 à 20:37:28  profilanswer
 

Trudok a écrit :

Sinon comme ça, le fait que les média soient à x% pour ou contre Chavez ne change strictement rien au fait que les actions du Venezuela contre les chaines de tv privés ne sont absolument pas celles d'un État de droit.


ah ? si le parlement vénézuelien a voté dans ce sens où se trouve le problème ? c'est parfaitement légal...

n°31923121
briseparpa​ing
Posté le 08-10-2012 à 20:37:52  profilanswer
 

France 2 vient de démentir ses conneries sur le Vénézuela :D

n°31923134
moonboots
Posté le 08-10-2012 à 20:39:32  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :

France 2 vient de démentir ses conneries sur le Vénézuela :D


quelles conneries ?

Message cité 1 fois
Message édité par moonboots le 08-10-2012 à 21:06:52
n°31923168
pik3
Posté le 08-10-2012 à 20:42:07  profilanswer
 


 
Ah parce que Chavez n'a pas insulté Capriles ?  :o  :D  
Mais là c'est normal.  :whistle:  
Sinon concernant le fond , un avis ?

n°31923323
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 20:54:14  answer
 

Trudok a écrit :


 
As tu au moins cliqué sur le lien que j'ai posté plus haut ?


 
Bon, vous l'aurez voulu .... le Pavé  :o  
 
 

Citation :


Conflits sur les médias au Venezuela (1) : L’attaque de Globovision
 
Au début du mois d’août, trois « événements » survenus au Venezuela ont retenu l’attention de quelques médias en France et à l’étranger, ainsi que de diverses ONG : la suppression de la licence de 34 radios et télévisions privées, l’annonce d’un « Projet de loi sur les délits médiatiques » et une attaque de la télévision Globovision. La quasi-simultanéité des faits et des informations correspondantes se prêtait à leur association. Et cela n’a pas manqué : chaque dépêche de l’AFP sur l’un de ces faits est l’occasion de parler des deux autres.
 
Mais pour évaluer sereinement, encore faut-il informer exactement. C’est loin d’être le cas, comme on peut le vérifier en commençant par l’attaque de Globovision, avant de revenir dans un prochain article sur les questions les plus controversées : le « projet de loi » et la suppression des licences de radios et de télévisions.

En guise de préambule :
Comment on réécrit l’histoire…

 
Des conflits d’une rare intensité opposent, depuis la première élection d’Hugo Chávez à la Présidence du Venezuela, le gouvernement et ses partisans, d’une part et les médias privés d’opposition et leurs supporters, d’autre part. Pour comprendre les événements et la situation, encore conviendrait-il de les replacer dans leur contexte et dans leur histoire. Or, le contexte, dans la plupart des médias français, ce ne sont ni les formes d’appropriation des médias au Venezuela, ni le rôle des médias et la nature des informations qu’ils diffusent, ni les poids respectifs des radios privées et des radios associatives : pour l’établir, il faudrait enquêter. Non : le contexte, ce n’est pas la situation générale, mais, pour chaque acte imputable au gouvernement ou à ses partisans, les autres « événements » que l’on peut lui raccorder. Pour le cas qui nous occupe, informer sur une « affaire », c’est inévitablement évoquer les deux autres. Et c’est tout..
 
Quant à l’histoire, il suffit de relever quelques échantillons des « mises en perspective » dont ont bénéficié les événements récents, pour être… stupéfait.
 
Par exemple, sur le site de Métro, le 4 août 2009, on pouvait lire cette présentation (sous le titre « Venezuela : un nouveau pas vers la censure ? ») :
 
« Depuis son coup d’Etat [sic !] avorté de 2002, lorsque les médias d’opposition avaient occulté les manifestations en faveur de son retour au pouvoir, M. Chávez s’est montré de plus en plus méfiant. » Passons sur ce coup d’Etat de Chávez : les doigts de la journaliste ont dû déraper sur son clavier… Mais où celle-ci est-elle allée chercher cette présentation qui « occulte » la participation des médias d’opposition au coup d’Etat ? Dans une dépêche de l’AFP, reproduite, sans la mentionner : « La rupture entre le dirigeant socialiste et une partie de la presse remonte au coup d’Etat avorté de 2002, lorsque les médias d’opposition avaient occulté les manifestations en faveur du retour au pouvoir de M. Chávez. »
 
Sur l’Express.fr, on s’y connaît en matière d’occultation…. Un article intulé « Chávez et les médias » en administre la preuve.
 
Citation : « Avril 2002 : dans les 3 jours mouvementés qui précèdent le retour de Chávez le 11 avril 2002, [sic !] l’information est devenue un enjeu. Le gouvernement utilise à plus de trente reprises l’article 192 de la Loi sur les télécommunications qui lui donne le droit de réquisitionner l’antenne de l’ensemble des télévisions et radios. Le 11 avril, les chaînes de télévision, ayant majoritairement soutenu la tentative de coup d’Etat contre Chávez [Ah bon ? Il y a eu un coup d’Etat ?], sont obligées de diffuser un nouveau discours du Président Chávez. Elles pensent pouvoir retransmettre simultanément l’allocution présidentielle et la manifestation de l’opposition en partageant l’écran en deux. Mais Hugo Chávez annonce que le signal hertzien des principales chaînes, accusées d’"inciter à la violence", est coupé. Celles-ci poursuivent alors leurs retransmissions par satellite. »
Les faits évoqués sont, pris isolément, à peu près exacts, mais la présentation du coup d’Etat le réduit à un épisode mineur, à peine mentionné.
 
La suite n’est pas mal non plus : « Décembre 2002-Janvier 2003 : une importante partie de la presse privée apporte son soutien à une grève décrétée par l’opposition pour obtenir la démission du président Chávez. Diffusion de spots incitant à la désobéissance civile, retransmission d’appels au soulèvement de l’armée, diffusion de fausses informations... La riposte du gouvernement est rapide : augmentation du nombre d’agressions contre les journalistes, sièges de plusieurs médias privés assiégés, véhicules de chaînes de télévision brûlés. » Les faits, allusivement mentionnés, sont attribués à une « riposte du gouvernement » lui-même.
 
Ce n’est pas tout : «  Puis fin janvier 2003, Hugo Chávez utilise les excès commis par les médias pour lancer des représailles à leur encontre  ».Qu’appelle-t-on de (simples) « excès » ? Ce qui était mentionné plus haut : « Diffusion de spots incitant à la désobéissance civile, retransmission d’appels au soulèvement de l’armée, diffusion de fausses informations ». Et qu’appelle-t-on « des « représailles » ? Ceci : « projet de loi sur leur "responsabilité sociale", poursuites administratives lancées contre des chaînes de télévisions, pressions fiscales sur plusieurs médias d’opposition… »
 
La dépêche de l’AFP mentionnée plus haut poursuit : « Cinq ans plus tard, cette prise de position (selon l’AFP : l’occultation des manifestations en faveur de Chávez…) fut l’un des motifs de la résiliation de la licence de la chaîne RCTV, très critique à l’égard du régime. »
 
La journaliste de Métro traduit : «  Ces dernières semaines, il a menacé la chaîne de télévision privée Globovision de subir le même sort que sa consœur RCTV, disparue des canaux hertziens en 2007 sur ordre du gouvernement qui lui reprochait son ton acerbe à l’égard du pouvoir. » Cette fois la participation de RCTV au coup d’Etat n’est même plus une « occultation », c’est un « ton acerbe » [1].
 
Ces quelques exemples de mise en perspective ne sont peut-être pas généralisables, mais ils témoignent, au mieux, d’une méconnaissance qui n’est pas sans effet sur la présentation des faits, comme l’attaque de Globovision.
 
I. L’attaque de Globovision
 
Quelques mots sur le contexte. Comme nombre de médias ne manquent pas de le rappeler, Globovision a fait l’objet, depuis quelques mois, de plusieurs procédures judiciaires et administratives, assorties de menaces prononcées par Hugo Chávez. Mais, comme fort peu de médias le relatent, cette chaîne ne se borne pas à critiquer le gouvernement : elle multiplie agressions et désinformations. Du moins si l’on en croit François Meurisse, de Libération, peu suspect de complaisance à l’égard du gouvernement bolivarien. Evoquant la diffusion par l’une des radios privées d’antenne d’Aló Ciudadano, « un des programmes phares de l’antichavisme radical diffusé sur la chaîne Globovisión » , François Meurisse l’évalue ainsi : « Une émission où les lignes rouges de la diffamation et de l’injure sont dépassées quasi quotidiennement. Et où l’on continue à nier le soutien actif de la majorité des médias privés au coup d’Etat contre Chávez en avril 2002. [2] » De quoi susciter révolte et colère.
 
Une attaque
 
Lundi 3 août 2009. Plusieurs dépêches de l’AFP font état des informations suivantes :
 
« Un groupe armé a lancé deux grenades lacrymogènes à l’intérieur du siège de la télévision privée Globovision, très critique à l’encontre du président du Venezuela Hugo Chavez, a annoncé l’une des directrices de la chaîne. Une trentaine de personnes sont arrivées en moto au siège de Globovision dans la capitale vénézuélienne. Ils ont menacé les vigiles avec des armes à feu et sont entrés dans les locaux où ils ont jeté ces grenades, a raconté Maria Fernanda Flores. »
 
Et la suite de la dépêche de préciser : «  "Nous tenons le président pour responsable de ce qui s’est passé", a affirmé le directeur de la chaîne, Alberto Federico, dénonçant une attaque menée "en plein jour" par "un groupe de ses partisans".  » Quant aux condamnations immédiates de ces actions par des membres du gouvernement, elles attendront….
 
Ces informations, plus ou moins résumées, figurent également dans des dépêches qui font état de diverses condamnation de la suspension des licences de radio ou du « projet de loi sur les délits médiatiques » [3] Comme si tous ces faits avaient le même sens et la même portée.
 
Nombre de médias en ligne se sont bornés à reproduire tout ou partie de ces dépêches. C’est le cas par exemple du Figaro sous le titre : « Venezuela : Globovision prise pour cible » ou de Métro, le 4 août, dans l’article intitulé « Venezuela : un nouveau pas vers la censure ? » [4]
 
Ouest France, en revanche, a proposé une adaptation significative de l’information. Publié le 3 août à 22h44, un articulet intitulé « Venezuela : des partisans de Chavez attaquent une station de TV d’opposition » résumait l’attaque et « précisait » : «  […] Globovision est une petite station qui diffuse des programmes d’information critiques envers Chávez. » La « petite station » en question « couvre » plusieurs régions (dont Caracas) où vivent près de la moitié des vénézuéliens. Quant aux « programmes d’information critiques », nombre d’entre eux relèvent de la diffamation et de la désinformation. Le taire, c’est interdire de comprendre les motifs des assaillants, aussi condamnable que puisse être leur action. Et, information équilibrée : « Le gouvernement Chávez a condamné l’attaque, mais les propriétaires de Globovision disent soupçonner le président d’en être l’instigateur. ». Soit le type même de ces accusations qui entretiennent le « débat démocratique » au Venezuela. Plus précise, la dépêche de l’AFP témoignait d’une accusation légèrement plus prudente : «  "Nous tenons le président pour responsable de ce qui s’est passé", a affirmé le directeur de la chaîne, Alberto Federico […]. »
 
Les dépêches de l’AFP font état des condamnations internationales, mais aussi de celle d’un « Comité pour la protection des journalistes (CPJ), une organisation non gouvernementale basée à New York » - sans fournir la moindre indication sur la nature exacte des cette organisation [5]. En revanche, les condamnations de l’attaque par les autorités vénézuéliennes sont consciencieusement minorées, voire omises.

Des condamnations

 
Or dès le 3 août à 14h40 (alors que l’attaque avait eu lieu dans la matinée), on pouvait lire (et entendre) sur le site de VTV (Venezolana de Televisión) – la chaîne du gouvernement - une déclaration du Ministre de l’intérieur :
 
« Nous voulons, au nom du Gouvernement Bolivarien, condamner énergiquement et rejeter ce type d’actions violentes qui se sont produites à l’encontre de la chaîne Globovision. Nous n’acceptons pas que la violence soit l’instrument par lequel on tranche dans nos divergences. Nous avons, en conséquence, suivi strictement la loi et avons fait une démarche juridique vis à vis de la direction Nationale contre les Délits Organisés afin d’ouvrir l’enquête correspondante ; et quelle que soit la personne impliquée dans cette action violente et délictueuse, elle doit être mise à disposition de la justice vénézuélienne. » [6]
 
Le même jour, la ministre de l’Information et de la Communication du Venezuela, Blanca Ekhout, lors d’un contact téléphonique avec TeleSur confirme la déclaration du Ministre de l’intérieur et précise que ce sont les actions comme l’attaque à cette chaîne privée qui permettent aux médias d’opposition de « se victimiser afin de défendre leur agenda d’agression contre le Gouvernement bolivarien et contre le président légitime Hugo Chávez » Et d’ajouter notamment : « Jamais le gouvernement vénézuélien ne s’est comporté de la sorte : toujours il s’est tenu au respect du droit. Jamais les partisans de notre gouvernement et ceux qui ont défendu cette révolution (qualifiée de pacifique en dépit des agressions) n’ont cessé de respecter l’ état de droit ; nous avons agi sans accepter les provocations dans le but de maintenir la paix et la stabilité. » [7]
 
De ces déclarations, nous n’avons trouvé aucune trace dans les dépêches du même jour de l’AFP (du moins parmi celles que nous avons pu consulter). Et nous n’avons découvert que de rares allusions à ces déclarations sur les sites des quotidiens d’opposition du Venezuela. Ainsi sur le site de Tal Cual, cette « brève » elliptique, titrée « Il promet qu’il va “punir” les agresseurs » : « Le ministre de l’intérieur et de la justice Tareck El Aissami, manifeste son rejet et condamne l’action violente contre Globovision et assure qu’il a donné des instructions pour trouver les responsables. » La plupart de ces médias manifestent le même scepticisme. Et pourtant…

Le 4 août, Lina Ron, organisatrice présumée de l’attaque, se livre volontairement et est arrêtée.
Une dépêche de l’ Agencia Bolivariana de Noticias (ABN) intitulée « Le Président Chávez informe de la détention de Lina Ron » [8] rapporte les propos suivants du président de la République : « Des événements de ce genre nuisent à la révolution socialiste car ils sont contre-révolutionnaires […] » Et après avoir fait état des remarques privées et publiques qu’il dit lui avoir adressées depuis longtemps : « La camarade Lina Ron fait du mal à la révolution. Elle fait le jeu de l’ennemi. » Enfin, après avoir annoncé la mise en détention de cette dernière : « Elle est arrêtée, il n’y a pas d’autre solution, elle a violé la loi et il faut lui appliquer la loi en toute rigueur ainsi qu’à ceux qui l’accompagnaient. On ne peut pas tolérer des actes de ce genre, qu’ils soient le fait de l’opposition ou de la révolution. »
 
Que reste-t-il des déclarations d’Hugo Chávez dans les médias d’opposition au Venezuela ? A dire vrai, pas grand-chose. Qu’en reste-t-il dans les médias français ? Presque rien, si l’on excepte une citation tardive dans le Monde. C’est ainsi que, le 7 août, au détour d’un article – « Au Venezuela, le projet de loi sur les "délits médiatiques" n’est plus d’actualité » - qui met bout à bout l’abandon de l’examen du « projet de la loi, la suspension de 34 radios et télévisions et l’attaque contre Globovision, l’on apprend ceci : « Le parquet a immédiatement ordonné la détention de la dirigeante politique. Chávez a approuvé la mise en détention de Lina Ron et critiqué publiquement l’agression contre le siège de Globovision ». Et l’auteure de l’article de citer Hugo Chávez : « "Des actes de cette nature ne peuvent être tolérés, qu’ils viennent de l’opposition ou non, qu’ils viennent de révolutionnaires ou de pseudo-révolutionnaires ou de qui que ce soit", a déclaré le chef de l’Etat. Lina Ron s’est livrée, mercredi, aux autorités. »
 
Qui sait ? Peut-être les lecteurs de la presse écrite ou électronique en France auraient-ils aimé en être informés immédiatement et en savoir plus ? Par exemple sur le fait que la condamnation politique de Lina Ron et son arrestation ont divisé ceux qui soutiennent le gouvernement, entre ceux qui approuvent ses prises de position et ceux qui déclarent une solidarité indéfectible avec Lina Ron et avec son action. Tout n’est pas simple, même au Venezuela !


http://www.acrimed.org/article3196.html


Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 21:16:44
n°31923340
briseparpa​ing
Posté le 08-10-2012 à 20:55:08  profilanswer
 

moonboots a écrit :


quels conneries ?


 
Sur le taux de pauvreté et sur l'état de leurs transports ferroviaires :D

Message cité 2 fois
Message édité par briseparpaing le 08-10-2012 à 20:55:23
n°31923360
Altarius
As de la digression
Posté le 08-10-2012 à 20:56:49  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :

 

Sur le taux de pauvreté et sur l'état de leurs transports ferroviaires :D

 

L'horreur socialiste quoi, j'ai halluciné encore une fois devant F2.
Et c'est pas un hasard que ça tombe sur Chavez tellement la propagande atteint des sommets.


Message édité par Altarius le 08-10-2012 à 20:57:08

---------------
Dsl pour les fautes - ne pas juger est une clé qui change le monde - Mensonge, propagande et manipulation, bienvenue chez les médias.
n°31923481
ronx
Posté le 08-10-2012 à 21:06:57  profilanswer
 


 
Ce genre de trucs m'étonne même plus. Quelqu'un aurait un lien pour l'étude qui été publiée ?

n°31923520
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 21:09:33  answer
 

pik3 a écrit :

 

Ah parce que Chavez n'a pas insulté Capriles ?  :o  :D
Mais là c'est normal.  :whistle:
Sinon concernant le fond , un avis ?

 

N'importe quoi ...

 

Regarde cette vidéo qui démonte point par point ces attaques  bidons..

 

Une chaîne israélienne en flagrant délit de manipulation sur Chavez

 

Si Capriles et caricaturé en cochon ou avec avec croix gammé par les partisans de Chavez, ces opposants ne sont pas reste, et Chavez caricaturé en permanence comme un nazi, dictateur, gorille, etc.  A partir de 10mn sur la video..

 



Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 21:10:32
n°31924221
moonboots
Posté le 08-10-2012 à 22:13:14  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :


 
Sur le taux de pauvreté et sur l'état de leurs transports ferroviaires :D


c'était à quelle heure ? ils se sont excusés pour un reportage diffusé plus tôt ?

n°31924233
briseparpa​ing
Posté le 08-10-2012 à 22:15:15  profilanswer
 

moonboots a écrit :


c'était à quelle heure ? ils se sont excusés pour un reportage diffusé plus tôt ?


 
 
Vers 20h15
Ils ont corrigé leurs conneries, mais je ne sais pas de quand elles datent :o

n°31924252
moonboots
Posté le 08-10-2012 à 22:16:38  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :


 
 
Vers 20h15
Ils ont corrigé leurs conneries, mais je ne sais pas de quand elles datent :o


ah oui je viens d'entendre   [:tinostar]   les cons, ça en dit long
il parle de la semaine dernière, la flemme de chercher...

n°31924411
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 22:31:28  answer
 

moonboots a écrit :


ah oui je viens d'entendre   [:tinostar]   les cons, ça en dit long
il parle de la semaine dernière, la flemme de chercher...


 
C'etait mercredi au 20h a partir de 25mn

n°31924478
nehoria
Posté le 08-10-2012 à 22:37:59  profilanswer
 

ronx a écrit :

Ce genre de trucs m'étonne même plus. Quelqu'un aurait un lien pour l'étude qui été publiée ?


 
8 October 2012 - ECB publishes the 2012 Structural Issues Report on “Euro area labour markets and the crisis”


---------------
// Guillemin.
n°31924526
moonboots
Posté le 08-10-2012 à 22:41:54  profilanswer
 
n°31924597
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 22:47:42  answer
 

 

J'ai bien le commentaire.  :pfff:

 

"En revanche 80% de la population vie sous le seuil...(long silence)... de pauvreté !


Message édité par Profil supprimé le 09-10-2012 à 04:32:54
n°31924703
zyx
NCC - 1701
Posté le 08-10-2012 à 22:57:00  profilanswer
 


 
Il se sont vites reformé par la suite sans problème [:afrojojo] Par contre, au Vénézuela, les concessions de diffusion, pas possible de les récupérer après :o, l'état les a conserver pour porter la bonne parole  :whistle:

Message cité 2 fois
Message édité par zyx le 08-10-2012 à 23:00:29
n°31924947
Profil sup​primé
Posté le 08-10-2012 à 23:16:43  answer
 

France2 a aussi raconté de la merde sur le pétrole du Venezuela. Ils ont imputé la baisse de la production par un manque d'investissements, la production passant de 3.2 à 2.4 millions. Mais ce qu'il omet de dire, c'est que si le Venezuela a la plus grosse réserve de pétrole au monde, c'est un brut extra-lourd  qui vient de l’Orénoque et qui coute cher a extraire.
Pour que son pétrole soit rentable il faut que le cours soit au dessus de 100 dollars. Voila pourquoi il baisse régulièrement sa production pour maintenir un cours élevé. D'ailleurs Chavez se bat constamment au sein de l'OPEP pour que l'organisation baisse la production, quand l'Arabie Saoudite demande la maintient de production, voir une augmenation.


Message édité par Profil supprimé le 08-10-2012 à 23:17:43
n°31925011
zyx
NCC - 1701
Posté le 08-10-2012 à 23:22:47  profilanswer
 


 
Je veux juste savoir ce que Israel vient faire dans le débat ....

n°31925364
helicon2
Posté le 09-10-2012 à 00:09:34  profilanswer
 

Ernestor a écrit :

Dans les deux cas, tu hurles à la mort contre le premier et tu dénonces du bout des doigts le second.


 
Effectivement, je m'intéresse plus à la politique de mon pays qu'à la politique des autres pays. Mais je le répète : Hollande comme Chavez s'accordent avec des dictateurs ce qui est pour moi condamnable. J'espère que tu as bien compris le message et que tu l'as bien enregistré. Je ne peux pas être plus clair.
 

Ernestor a écrit :

Mais maintenant, tu m'expliques en quoi il est bon pour le Vénézuela d'aller fricoter avec un provocateur négationniste de la Shoah par exemple ? Ou est le gain pour ce pays ?


 
Mais ce n'est pas à moi d'expliquer ce que fout Chavez avec les dictateurs. Il fait ce que bon lui semble tout comme Hollande ! Mais là où je ne suis pas d'accord mais alors pas du tout d'accord avec toi, c'est qu'il y aurait de la bonne real-politik et de la mauvaise real-politik. De bonnes raisons pour traiter avec un dictateur et de mauvaises raisons.
 
J'avoue que cela doit soulager ta conscience mais pour moi, c'est exactement la même chose (quelques soit les raisons).


---------------
Si vous voulez qu'ils s'en aillent tous, si vous voulez dégager tous les professionnels de la politique, soutenez Charlotte !
n°31925375
helicon2
Posté le 09-10-2012 à 00:11:33  profilanswer
 

Trudok a écrit :

C'est bien de répéter en permanence le même cas, mais il y en a bien d'autres.
 
http://fr.rsf.org/venezuela-l-etat [...] 41242.html
Et bien sûr, le fait que les chaines aient été longtemps obligées de retransmettre les discours-fleuve de Chavez.


 
Comme cela a été montré aujourd'hui, RSF n'est pas une source suffisamment fiable vu qu'elle a un parti-pris.


---------------
Si vous voulez qu'ils s'en aillent tous, si vous voulez dégager tous les professionnels de la politique, soutenez Charlotte !
n°31925385
helicon2
Posté le 09-10-2012 à 00:14:17  profilanswer
 


 
Cela fait pas 3 fois que tu postes ces chiffres ?
 
Tu vois pas qu'ils s'en foutent royalement des chiffres ?
 

zyx a écrit :


 
Il se sont vites reformé par la suite sans problème [:afrojojo] Par contre, au Vénézuela, les concessions de diffusion, pas possible de les récupérer après :o, l'état les a conserver pour porter la bonne parole  :whistle:


 
Tu es donc contre un service public de télévision. Dis le franchement, ça ira plus vite.

Message cité 1 fois
Message édité par helicon2 le 09-10-2012 à 00:19:44

---------------
Si vous voulez qu'ils s'en aillent tous, si vous voulez dégager tous les professionnels de la politique, soutenez Charlotte !
n°31925689
trueslash
(╯°□°)╯︵ MMM
Posté le 09-10-2012 à 01:49:38  profilanswer
 

Je me demande par quel méchanisme tordu France 2 arrive à publier ce genre de reportage. Je veux bien que Chavez fasse chier et d'autant plus que c'est un gros con à l'international mais ce genre de mensonge ne peut être publié que volontairement, à votre avis, qui pilote :??:
 

Spoiler :

Le CRIF  [:raph0ux] :??:

n°31926434
Terminatux
Communiste
Posté le 09-10-2012 à 09:39:08  profilanswer
 

zyx a écrit :

Il se sont vites reformé par la suite sans problème [:afrojojo] Par contre, au Vénézuela, les concessions de diffusion, pas possible de les récupérer après :o, l'état les a conserver pour porter la bonne parole  :whistle:


 
Toujours aucune réaction sur le fait que les concessions aux chaînes privés auraient progressé plus vite que celles aux chaînes publiques?
Tu préfères disserter sur du vent?

n°31926444
zyx
NCC - 1701
Posté le 09-10-2012 à 09:39:56  profilanswer
 

helicon2 a écrit :


 
Cela fait pas 3 fois que tu postes ces chiffres ?
 
Tu vois pas qu'ils s'en foutent royalement des chiffres ?
 


 

helicon2 a écrit :


 
Tu es donc contre un service public de télévision. Dis le franchement, ça ira plus vite.


 
créer une chaine publique =/= confisquer des cannaux de diffusion à des médias d'opposition pour les réaffecter à des médias gouvernementaux, surtout si ces derniers se mettent au service de la propagande d'état.
 
Ca devrait pourtant te parler un cas comme ça, je te donne un indice :
http://www.centreaffiche.toulouse.fr/thematiques/images/mai68/affiches/1683.jpg
 

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