Pendant mon interview sur CNEWS/Europe 1 ce matin, la chaîne a diffusé devant des centaines de milliers de téléspectateurs, le visage de deux jeunes filles mineures.
 
Jeter à la vindicte populaire ces jeunes filles manifestement mineures, sans les flouter et en les assimilant à des «islamistes», peut s’apparenter à du harcèlement moral.
 
Par ailleurs, la chaîne n’a pas recueilli l’autorisation écrite préalable des parents avant de diffuser leurs images.
J’encourage ces victimes à se tourner vers les auteurs de cette diffusion, @Frontieresmedia et @CNEWS, afin que ces images soient retirées au plus vite pour que ces mineurs soient protégées du harcèlement qu’elles subissent depuis deux jours.
 
Au titre de l’article 40 du code de procédure pénale, je suis tenue en tant qu’élue de saisir la justice quand j’assiste à une infraction, je saisis donc le procureur de la république.

Pendant mon interview sur CNEWS/Europe 1 ce matin, la chaîne a diffusé devant des centaines de milliers de téléspectateurs, le visage de deux jeunes filles mineures.

Jeter à la vindicte populaire ces jeunes filles manifestement mineures, sans les flouter et en les assimilant à des «islamistes», peut s’apparenter à du harcèlement moral.

Par ailleurs, la chaîne n’a pas recueilli l’autorisation écrite préalable des parents avant de diffuser leurs images.
J’encourage ces victimes à se tourner vers les auteurs de cette diffusion, @Frontieresmedia et @CNEWS, afin que ces images soient retirées au plus vite pour que ces mineurs soient protégées du harcèlement qu’elles subissent depuis deux jours.

Au titre de l’article 40 du code de procédure pénale, je suis tenue en tant qu’élue de saisir la justice quand j’assiste à une infraction, je saisis donc le procureur de la république.

Pendant mon interview sur CNEWS/Europe 1 ce matin, la chaîne a diffusé devant des centaines de milliers de téléspectateurs, le visage de deux jeunes filles mineures.
 
Jeter à la vindicte populaire ces jeunes filles manifestement mineures, sans les flouter et en les assimilant à des «islamistes», peut s’apparenter à du harcèlement moral.
 
Par ailleurs, la chaîne n’a pas recueilli l’autorisation écrite préalable des parents avant de diffuser leurs images.
J’encourage ces victimes à se tourner vers les auteurs de cette diffusion, @Frontieresmedia et @CNEWS, afin que ces images soient retirées au plus vite pour que ces mineurs soient protégées du harcèlement qu’elles subissent depuis deux jours.
 
Au titre de l’article 40 du code de procédure pénale, je suis tenue en tant qu’élue de saisir la justice quand j’assiste à une infraction, je saisis donc le procureur de la république.

Jean-Luc Mélenchon ouvre sa veste et montre l’étiquette. « Regardez bien, il y a marqué quoi, là ? “Made in France” ! » Face à lui, le représentant de la société Textiles de France l’interrompt : « Monsieur Mélenchon, vous n’allez pas vous mettre en slip devant tout le monde, tout de même ! » Dans les couloirs du Salon du made in France, temple du cocorico économique qui se tient jusqu’à dimanche à la Porte de Versailles, à Paris, le chef des Insoumis a remis son costume de candidat à la présidentielle. Même s’il ne le dit pas officiellement, sa campagne pour 2027 a déjà commencé. D’où son retour sur le terrain, entamé dimanche dernier sur un marché populaire de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). « Je suis en campagne depuis cinquante ans », rétorque-t-il, l’air de rien.

Aujourd’hui, en voyant cette photo où de très jeunes filles, vraiment encore petites, apparaissent voilées de manière très stricte, accompagnées d’un homme avec une barbe extrêmement longue, à l’Assemblée nationale, j’ai ressenti un profond malaise.
Ce n’est pas un simple choix vestimentaire. Ce sont des codes très précis, liés aux mouvances salafistes et aux courants islamistes radicaux. Et voir ces symboles dans un lieu national comme l’Assemblée, symbole de notre République et de nos libertés, est un signal inquiétant.

Je le dis avec sincérité : cette scène m’a immédiatement rappelé les images que beaucoup d’entre nous ont vues dans les zones contrôlées par Daech. Là-bas, ce style de vêtements pour les enfants, ces barbes très longues, ces attitudes codifiées, faisaient partie d’un système idéologique qui a détruit des vies et défiguré notre religion.
Ce parallèle n’est pas exagéré : ce sont les mêmes signes extérieurs, les mêmes tentatives d’imposer une vision extrême, qui n’a jamais représenté l’islam authentique.

En France, nous devons rester extrêmement vigilants. Laisser entrer ces symboles, les banaliser, ou fermer les yeux, c’est leur donner de l’espace. Et chaque espace donné est ensuite utilisé pour avancer encore plus loin. Nous ne pouvons pas accepter que des mineures soient instrumentalisées ou exposées à une idéologie si toxique, surtout dans un des lieux les plus importants de la République.

Je remercie sincèrement la Présidente de l’Assemblée nationale, Mme Yaël Braun-Pivet, pour sa réaction rapide et responsable. Elle a compris la gravité de ce signal et a agi immédiatement, ce qui montre un sens réel du devoir.

J’invite également tous les responsables politiques, religieux et associatifs à prendre cette situation au sérieux. Nous avons une responsabilité collective : protéger la société, protéger les enfants, et protéger la véritable image de notre religion contre ceux qui veulent la déformer.
C’est un combat commun, un combat pour la dignité, pour la République, et pour un islam authentique, loin de toute forme d’extrémisme.

"Je regrette surtout le génocide": Jean-Luc Mélenchon "ne condamne pas" les incidents à la Philharmonie de Paris
l.bfmtv.com/oJn1