Reprise du message précédent :

 
J'en sais rien moi, tu aurais quoi comme autres alcools disons plus buvables ?

C'est parfait avec du rhum aussi, d'ailleurs je l'avais inventé comme ça, au début...

vodka-rhododendron?

Thierry...

 
Oui mais nous n'avons plus de croissants, Monsieur

 
Ben là, non.

je viens de me faire un rhum-sunrise.
et le sunrise commence à me chauffer le pédoncule, vois-tu

Be my girl  

tabarnak

tain de sa race, ils m'énervent tous là  

Kickban dans le tas

tu les traites de fils de pute et tu les bannes s'ils répondent

 
S'il supporte l'Olympique Lyonnais, il n'aura droit à aucune circonstance atténuante. Aucune. Ceci est valable pour tous les supporters de Lyon.

pour aller à Sainte-Foy-l'Argentière, j'y passe.Mais ça compte pas, hein?

Tu veux un petit sandouiche ?  

Je soutiens qu'il y a des dérogations. Et je n'en démordrai pas

Ma foi, pourquoi pas

 
Non. Tu peux même aller te faire sucer par une Lyonnaise, c'est pas grave. Du moment que tu ne prends pas un taxi de la société OL Taxi.

 
Aucune, madame. Qu'on soutienne secrètement, c'est une chose. Je n'empêche personne d'avoir ses opinions. Mais dés lors qu'on les exprime, et sur ce point précis, j'affirme que l'on devient mon ennemi.
 
On a vu des chairs se fendre, des corps tomber, pour des désaccords bien plus futiles

Il me reste des magrets de canard élevé sous la mère, je te fourre ça avec une petite sauce au miel et des figues émincées ?  

 
Alors j'ai rien compris. Si quelqu'un veut bien se donner la peine de me tenir la porte...

 
Commence par la sauce. Ca aidera.

 
Je dis, Monsieur, qu'un ami véritable est une douce chose et que soutenir le Hulk de la ligue 1 Orange, c'est un crypto détail qu'on peut facilement pardonner à une belle âme.

c'est un vieux proverbe des Laurentides

Fernand Raynaud est né à Clermont-Ferrand au sein de la cité de l'Oradou, bâtie par Michelin, où son père était contremaître. Sa sœur Yolande, de treize ans son aînée, deviendra un personnage phare de ses sketches. Il renonce aux études à 15 ans, après avoir obtenu son certificat d'études.
 
Il joue dans un théâtre amateur et exerce les métiers de bobineur, commis d'architecte, projectionniste de cinéma, terrassier au camp d'aviation d'Aulnat... Après une dernière dispute avec son père, il part s'installer à Paris à 17 ans, pendant la guerre. Il va voir tous les soirs les comiques de l'époque aux Folies Bergère. Il débute lui-même dans des brasseries, puis les cabarets, enchaînant quelques années de vache enragée.
 
Sa rencontre avec Jean Nohain au début des années 1950 va décider de sa carrière. Il participe à l'émission télé "36 Chandelles", où il rencontre Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, Darry Cowl et Raymond Devos. En décembre 1957, il épouse la chanteuse d'origine canadienne Renée Caron.
 
Il triomphe réellement au début des années soixante pendant 18 mois au Théâtre des Variétés, dans son spectacle "Fernand Raynaud Chaud". Puis il enchaîne les tournées en France, au Canada, en Afrique et dans le Pacifique. Il retrouve également régulièrement l'Olympia ou Bobino.
 
En 1962, il produit "Le Bourgeois gentilhomme" de Molière, où il interprète Monsieur Jourdain. Un an plus tard, il joue Sganarelle dans le "Don Juan" de Molière, aux côtés de Georges Descrières. En 1970, il propose un spectacle entièrement mimé au Théâtre de la Ville, intitulé "Une heure sans paroles", qui connaît un grand succès.
 
En 1972, menacé par un redressement fiscal, il annonce qu'il va mettre un terme à sa carrière pour se retirer à Nouméa (Nouvelle-Calédonie).
 
La stèle apposée sur le mur du cimetière du Cheix-sur-Morge
 
Mais le 28 septembre 1973, alors qu'il se rend à Clermont-Ferrand à un dernier Gala au profit des personnes âgées, où il compte annoncer qu'il arrêtait la scène, il se tue accidentellement lorsque son coupé Rolls (modèle 1968) percute à très vive allure une bétaillère à l'entrée de Cheix-sur-Morge (Puy-de-Dôme), entre Aigueperse et Riom. Une plaque commémorative signale cet endroit. Il est inhumé au cimetière (partie neuve) de Saint-Germain-des-Fossés (Allier), où, étant enfant, il passait ses vacances. Son père avait été employé SNCF dans cette ville avant d’entrer chez Michelin à Clermont-Ferrand.
 
Son comique a incarné l'entrée de la France dans une certaine modernité : « La prévention routière » et le développement de l'automobile, « Le douanier » et les travailleurs immigrés, le patron qui exige qu’on dise « Je m’amuse », le paysan « Crésus » et le passage de la paysannerie à l’agriculture intensive.
 
Entier, colérique, il était capable de lancer des formules blessantes aux gens qui lui déplaisaient. Il ne supportait notamment pas qu'on ne rie pas lors de ses spectacles. Usés jusqu'à la corde à force d'avoir été entendus et cités (comme ceux de Coluche), ses sketchs méritent d'être redécouverts, pour retrouver un artiste d'une classe exceptionnelle.

 
Mais je le connais bien, le sketche des croissants. Ainsi que la majorité de l'oeuvre de Fernand Reynaud, d'ailleurs. Mais il n'est pas question de Rhododendrons ni de vodka dans ce sketche.
 
Enfin peut-être que j'aurais dû comprendre, que c'était drôle, et que je suis juste un crétin

je pense qu'elle voulait souligner le coté dialogue de sourd de la situation.
"Vous n'aimez pas la vodka? allez prenez donc une vodka!".
 
Mais comme on dit dans les Laurentides : "fait pas chaud!"

Sans figue, ça ira merci

 
Oui mais là du coup, j'avais compris. Une fois que j'ai pigé que c'était pile poil la même chose, sauf que ça n'avait rien à voir, la boucle est bouclée, les enzymes ont fait le tour, y a du jus et de la lumière. Tchin.

comment t'expliquer?
Dans le sketch, à un moment donné, il dit (et c'est là qu'on se poile) : "vous n'avez plus de croissant? Alors donnez moi des croissants!"
bon, ben la, si tu préfères, Enzan a voulu faire un parallèle entre...
 
oh pis démerde toi, thierry.  

 
Heu... ma poule, je connais le sketche, tu vois. Bien, même. Je pourrais peut-être te le faire avec l'accent abruti de Fernaud Reynaud, pour un peu.
 
Alors c'est juste que le rapport entre les rhododendrons et les croissants, j'avais pas capté, ça c'est pour moi, inutile de me rendre la monnaie.
 
Maintenant, tu peux arrêter d'essayer de m'expliquer, quand je dis que les enzymes ont fait le tour, pour le coup, c'est bon. Mes yeux se sont ouverts, et j'ai vu la lumière. Enfin tu vois, quoi.

T'es vraiment psychorigide, toi, quand même
 
 

Stipey -> Et puis la prochaine fois, je te dirais pas comment faire pour placer "le grappin m'a choisi" dans une tempête de neige, tu te démerderas

En fait tu es au bord de victimiser, je le vois bien

 
J'en chie un peu, là
 

j'ai réussi à le placer, et sans tempête de neige. Dans des chiottes, par contre

ne me retenez pas, je vais me coucher.

Avec un t  

quoique ...