Non mais Paris c'est différent, enfin ça n'a vraiment rien à voir, quoi.
C'est exactement la même chose, mais à Paris. Et ça, ça change tout
 

Be my girl

bon ok, tu marques un point

Ces noms évoquent le bord de la scène, les lumières chatoyantes de cette ville qui vit même la nuit, parfois surtout la nuit. Cette incomparable odeur que la pluis d'automne laisse sur le bitume, et qui rappelle toujours quelque chose de mélancolique, cette sortie d'école 30 ans plus tôt, un pain au chocolat encore tout chaud,  une blague de potache, des images Panini. Et lorsqu'on arrive à y atteindre ce détachement délicieux, au milieu de cet océan d'âmes en peine qui n'ont plus que du stress qui bat dans leurs veines, lorsqu'on arrive à se sentir un avec la ville, on prend cette profonde inspiration, on s'arrête de marcher une seconde, et on se sent le maître du monde. La ville appartient à ceux qui sont capables de s'arrêter.

Evidemment il fallait lire, "la Seine", et non pas "la scène", j'ai pas pris mes cachets
Edit: "et la pluie" rholala les fautes

t'es où à mérignac toi ? t'as le tram qui arrive pas loin ou pas ?

les chartrons ca restait correct le ratio places gratuites/payantes
 
c'est juste que les emplacements sont trop rares.

Tous ces noms m'évoquent la circulation, le métro, les gens pressés, stressés, les kebabs douteux, les chinois improbables, les immeubles vétustes et austères, les places de parking inexistantes, les centres commerciaux, les crottes sur les trottoirs, les poubelles aussi, au milieu des crottes, les bus agressifs, les lycées surchargés, les travaux de voirie, les ronds-points impossibles, les sens uniques inversés.
 
Ca grouille, ça fourmille, ça s'affaire. Ca se heurte, ça se bouscule, ça se dit pas pardon-bonjour-s'il vous plait, ça se regarde pas quand ça se croise.

Tous ces noms m'évoquent la circulation, le métro, les gens pressés, stressés, les kebabs douteux, les chinois improbables, les immeubles vétustes et austères, les places de parking inexistantes, les centres commerciaux, les crottes sur les trottoirs, les poubelles aussi, au milieu des crottes, les bus agressifs, les lycées surchargés, les travaux de voirie, les ronds-points impossibles, les sens uniques inversés.
 
Ca grouille, ça fourmille, ça s'affaire. Ca se heurte, ça se bouscule, ça se dit pas pardon-bonjour-s'il vous plait, ça se regarde pas quand ça se croise.

[...]ça risque pas de s'améliorer, ça...et le non payant est en train de disparaitre complètement...faudrait que je retrouve l'excuse à la con qu'ils ont trouvé cette fois, tiens...:o

Toi aussi tu tentes le record de virgules ?    
 
Prodigy

t'as tort c'est bobo à mort y a presque plus d'immigré à montreuil et en plus ça vote ségo

surement le truc classique, genre le perpétuel souci d'amélioration de nos services aux usagers...
en gros, c'est par philanthropie et par charité chrétienne qu'ils nous rackettent, ces fils de crevards  

Putain, ils mettent du soufre dans leur pinard, cons de Lyonnais...

choisis ton camp
 
chez toi:
http://www.goudenege.com/images/ac [...] %20610.jpg
 
chez moi:
http://www.lamurette.com.fr/Images/village.JPG

Ah c'est bien ce que je me disais, que ça sonnait bizarre.
Enfin voilà quoi, Frifri, je le vois bien dans un costard croisé, dans un tissu gris avec des reflets verdâtres, un pantalon à revers trop court, ce genre de trucs.

Ce lapsus était parfait
Lacanien, un peu, mais parfait

C'est pas que ça me gêne de marcher dans la boue, mais comment dire, je crois que je préfère encore boire la tasse à Mururoa
J'ose même pas imaginer le taux de consaguinité, le nb de pieds bots au m²  
 
P.S : Tu m'étonnes que tu scores au scrabble, c'est la même dynamique que le "joueur d'échecs" de Zweig

bah c'est justement pour illustrer tes dires (que je partage sur le fonds) que j'ai posté ces 2 photos diamétralement opposées. Généralement, on habite à l'endroit qu'on a choisi (si c'est pas le village même, c'est au moins le cadre de vie : campagne, ville, mer, montagne, banlieue, ...) et fatalement, on a tendance à penser que c'est mieux de vivre chez soi que chez le voisin.
Celà dit, le nombre de pieds bots au m² chez moi doit pas dépasser le nb de cul de jattes dans les couloirs du métro parisien. Chacun sa merde
 
(j'ai pas lu Zweig, raconte)

Mais vos gueules, quoi

tout faux
je suis un rebelle
aujourd'hui j'ai le cuir et les bottes  
et je n'ai pas de costume et jamais de chemise  

La vengeance est un plat qui se mange froid

Flemme, flemme, flemme....

Ah au fait, il faudra faire une recherche sur "C'est pas comme si c'était grave", et pas sur "Forcené". Enfin en tout cas, c'est comme ça, pour le moment. Et prévoir un verre d'eau

flais-nous voir le ciel ...

Villejuif.
 
Sinon, c'est classe de nous faire partager ton tout nouveau bonheur, il y en a tellement qui victimisent ici. Ca nous change, un petit enculé décomplexé  

it's fun to stay at the YMCA ?  

Dis donc

Tous ces noms m'évoquent la circulation, le métro, les gens pressés, stressés, les kebabs douteux, les chinois improbables, les immeubles vétustes et austères, les places de parking inexistantes, les centres commerciaux, les crottes sur les trottoirs, les poubelles aussi, au milieu des crottes, les bus agressifs, les lycées surchargés, les travaux de voirie, les ronds-points impossibles, les sens uniques inversés.
 
Ca grouille, ça fourmille, ça s'affaire. Ca se heurte, ça se bouscule, ça se dit pas pardon-bonjour-s'il vous plait, ça se regarde pas quand ça se croise.

y'a deux semaines, deux mecs un peu saouls se baladaient rue voltaire, ils voient une dame s'écrouler. Un peu affolé, un des deux gars compose le 17 au lieu du 18, pendant que l'autre fait "comme à la télé" en faisant un bouche à bouche et un massage cardiaque.
Les flics arrivent et se jettent sur le bonhomme qui donnait les premiers soins à la femme, et lui foutent les menottes, lui mettent une beigne quand il essaie d'expliquer que ce sont eux qui les ont appelé. Les pompiers arrivent, embarquent la femme et le pote tiraillé entre le devoir de rester avec la femme et l'envie de rester avec son pote pour expliquer aux flics. arrivé à l'hopital, les pompiers disent que la femme a probablement été sauvée par les gestes du pote. Pendant ce temps là, ce dernier se retrouve au poste de la pm essayant d'expliquer ce qui s'est passé, après une deuxième beigne, un fonctionnaire lui dit "la prochaine fois, tu composeras pas le 17"
enquète de l'IGS en cours
 
Levallois, ville sympa

ui mistress ?

ça dépend  
 
si c'est totalement froid tu n'en as plus rien à faire et c'est dans une indifférence complète, presque compatissante, que tu regardes la vengeance se dérouler sous tes yeux.
mais ça c'est dans l'hypothèse où la vengeance est menée à bien par d'autres - chez lesquels tu avais, bien antérieurement donc, actionné différentes manettes, qui produisent finalement le jour J l'effet escompté : comme aux échecs une savante combinaison qui à terme se referme telle une nasse sur l'adversaire.  
 
Par contre si tu tiens à châtier toi-même le ou la coupable, là y'a pas intérêt à trop laisser refroidir : mais il faut que le coup soit mortel, sans réplique, il faut que l'adversaire soit réduit en un instant à l'état de caniche

elle est bonnasse la irina du taf
 
typique de ce qu'il faut pour prod

Mais encore ?    
 
Prodigy

cadre brune bonnasse avec un accent des pays de l'est