Citation :
Bonjour,
Je me permets de vous contacter concernant un litige que je rencontre avec Bouygues Télécom :
Etant possesseur d'une carte Nomad depuis octobre 1999, je suis passé sur un forfait avec un abonnement fin août 2003. Cette migration se déroulait à distance, directement avec l'opérateur. J'ai renvoyé le contrat pour l'abonnement le 20 ou 21 août dernier. La ligne forfait a été activée le 26 août. Dans le cadre de cette migration, je pouvais bénéficier d'un changement de téléphone à prix préférentiel. Dans le contrat que j'ai renvoyé le 21 août, j'ai précisé que je souhaitais recevoir le Panasonic GD67, pour 29 euros.
Vers le 4 ou 5 septembre, n'ayant toujours rien reçu, j'appelle le service clientèle pour leur demander des infos. On me dit qu'il y a eu un problème sur leur logiciel de traitement, et que je devrais recevoir le téléphone au plus tard à la fin de la semaine suivante, soit le vendredi 12 septembre.
Le 11 n'ayant toujours rien reçu, je les rappelle, et après un bon moment de répondeur, on me passe le service logistique, la personne que j'ai eu au téléphone m'a dit qu'il voyait aussitôt avec la personne responsable pour me faire parvenir le portable. Et que cette fois c'était sûr.
Jeudi dernier (le 18) bien entendu toujours rien! Re coup de téléphone, re service logistique, et re c'est sûr, "on vous envoie le téléphone, vous l'aurez d'ici la fin de la semaine prochaine!"
C'est du non respect du client, et ce cas montre un certain laisser-aller dans cette entreprise. Surtout qu'ils ne se sont pas gênés pour débiter mon compte du montant du téléphone ! Bref, je commence à en avoir marre de dépenser tout mon forfait pour avoir des gens incompétents qui ne font pas leur travail ! J'ai bien envie de les rappeler et leur demander qu'ils s'activent un peu, mais ce sera le même discours bateau que les deux fois précédentes je crains.
Ce genre d'anectode pourrait facilement s'intégrer dans un article plus général consacré aux abus assez courants chez les opérateurs de téléphonie mobile, abus dont vous avez déjà parlé dans les colonnes de votre magazine.
Que me conseillez-vous de faire ?
Je vous remercie
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