Un hacker affirme, vidéo à l’appui, avoir réussi à pirater le système MoBIB de la STIB. Suivant la vidéo dévoilée, le hacker aurait réussi à s’introduire dans le système « sans contact » ou RFID de la carte de transport, pour là reprogrammer selon une période désirée et donc “de ne plus être redevable” frauduleusement envers la société de transports bruxelloise.
 
Selon le message révélé sur cette vidéo, le hacker semble vouloir attirer l’attention sur un problème de vie de privée qui serait lié au service de la STIB introduit depuis 2008. En effet, la puce RFID intégrée dans la carte serait capable de mémoriser les derniers voyages effectués sur le réseau STIB.
 
Le hacker prévient que si la société de transports bruxelloise ne change de pas de méthode pour mieux assurer la vie privée de ses usagers, l’accès au réseau STIB risque “de devenir gratuit pour tous”. Dans ce sens, le hacker invite toutes personnes à signer une pétition dénonçant ces méthodes.
 
Pour rappel, MoBIB est la dernière solution de titre de transport de la STIB. Introduite en 2008, elle est représenté sous la forme d’une carte de paiement traditionnelle et permet entre autres une durée de vie de la carte supérieure par rapport à une carte habituelle, des longueurs d’abonnements plus flexibles ainsi qu’une carte unique pour tous les services que vous utiliserez tels que les tickets de voyage.
 
Cette carte, basée sur la technologie « sans contact » ou RFID, peut ainsi être lu par une borne dans un rayon de 5 à 10 cm², donc la carte de transport ne doit plus être introduite dans une borne, offrant ainsi un gain de temps aux usagers.
 
À l’heure actuelle, nous n’avons pas encore pu obtenir une réaction du porte-parole de la STIB.

Un acquittement pour sexsomnie confirmé en appel
 
Rédaction en ligne
 
vendredi 15 juillet 2011, 11:50
La cour d’appel de Mons a acquitté un jeune homme poursuivi pour des attouchements nocturnes sur une fillette de 9 ans. Le prévenu soutient être victime de crises de somnambulisme sexuel.
 
En 2004, lorsque la fillette de 9 ans avait dénoncé les faits, le prévenu avait soutenu ne pas s’en souvenir. « Si je l’ai fait, ce n’est pas délibérément. Mais je souffre de somnambulisme et il est possible que cela se soit passé lors d’une crise », avait-il avancé.
 
Au bénéfice du doute, le tribunal correctionnel de Charleroi l’avait acquitté, une décision confirmée par la cour d’appel de Mons fin juin. La cour n’a pas remis en cause les faits reprochés mais a accepté comme « vraisemblables » les explications du prévenu, écrit Sud Presse.
 
Selon l’avocat du prévenu, Me Michel Bouchat, la cour « accepte le fait qu’il a agi sans volonté ni conscience de ce qu’il a fait. A ma connaissance, c’est le seul cas en Belgique où une juridiction pénale reçoit comme vraisemblable cette histoire ».

Deux blessés graves dans une collision avec un bus de la Stib à Laeken
 
BELGA
 
Mis en ligne le 28/07/2011
Les faits se sont produits vers 00h20, quand un Russe de 26 ans, qui circulait à bord d'une BMW dans l'avenue du Parc Royal, a tenté de faire un dérapage contrôlé.
 
Un automobiliste qui circulait dans la nuit de mercredi à jeudi le long du domaine royal, à Laeken, a perdu le contrôle de son véhicule en tentant d'effectuer un dérapage contrôlé. La voiture s'est encastrée dans un bus de la Stib. Le conducteur a été grièvement blessé, de même que son passager. Les jours des deux hommes sont en danger, a indiqué jeudi la porte-parole du parquet de Bruxelles.
 
Les faits se sont produits vers 00h20, quand un Russe de 26 ans, qui circulait à bord d'une BMW dans l'avenue du Parc Royal, a tenté de faire un dérapage contrôlé. Il a toutefois perdu le contrôle de son véhicule. Celui-ci s'est encastré dans un bus de la Stib, qui roulait sur la bande de circulation inverse.
 
A la suite du choc, le bus a été dévié de sa trajectoire et a heurté le mur d'enceinte du domaine royal. Le chauffeur du bus et les deux usagers qui se trouvaient à bord ont été légèrement blessés et conduits à l'hôpital. Quant à la BMW, elle a été totalement détruite et ses deux occupants, coincés à l'intérieur de l'habitacle, ont dû être désincarcérés par les pompiers. Un véhicule du Smur les a ensuite transportés à l'hôpital.