"On a eu quelques inquiétudes avec la plateforme de compétition", a admis Jean-Luc Rougé, le secrétaire général de la Fédération internationale de judo. "On se demandait d’où venait le problème car quand on marchait, ce n’était pas homogène. On a d’abord cru que c’étaient les tapis, puis on s’est rendu compte en enlevant les tapis, qu’on pensait mauvais, que sur la plateforme il y avait des marches, des interstices et que ça ne marchait pas."
 
Par conséquent, il a fallu commander une nouvelle plateforme, qui a été placée par-dessus. "On vient de faire les tests et ça devrait marcher", a poursuivi Rougé. "On était obligé car on ne pouvait pas faire la compétition dans ces conditions-là. Si les athlètes tombent et trébuchent tout seuls, ce n’est pas le but du judo. Il faut qu’on soit sur une partie excessivement plate, qui est homologuée avec des normes très précises. Là ce n’était pas le cas. Je n’ai pas encore tout testé mais ça devrait être bon."

"On a eu quelques inquiétudes avec la plateforme de compétition", a admis Jean-Luc Rougé, le secrétaire général de la Fédération internationale de judo. "On se demandait d’où venait le problème car quand on marchait, ce n’était pas homogène. On a d’abord cru que c’étaient les tapis, puis on s’est rendu compte en enlevant les tapis, qu’on pensait mauvais, que sur la plateforme il y avait des marches, des interstices et que ça ne marchait pas."

Par conséquent, il a fallu commander une nouvelle plateforme, qui a été placée par-dessus. "On vient de faire les tests et ça devrait marcher", a poursuivi Rougé. "On était obligé car on ne pouvait pas faire la compétition dans ces conditions-là. Si les athlètes tombent et trébuchent tout seuls, ce n’est pas le but du judo. Il faut qu’on soit sur une partie excessivement plate, qui est homologuée avec des normes très précises. Là ce n’était pas le cas. Je n’ai pas encore tout testé mais ça devrait être bon."

Dans un article, le média australien News.co.au s'étonne des prix de la buvette du Stade de France, et rappelle que les boissons alcoolisées sont interdites dans les stades.
"Les fans des Jeux olympiques doivent payer 13 dollars pour moins d'une pinte de bière, et elle ne contient même pas d'alcool". Tel est le constat de News.co.au, l'un des principaux sites d'actualité en Australie, au terme de la première journée d'épreuves anticipées de Paris 2024. L'auteur de l'article juge "exorbitants" les prix pratiqués à la buvette du Stade de France, qui accueille les premiers matchs du tournoi de rugby à sept masculin.

Des chips à 7,50 euros

S'ils n'étaient pas au courant, les touristes australiens sont ainsi prévenus que la vente d'alcool est interdite par la loi dans les stades lors d'événements sportifs (à moins d'être en zone VIP). Des bières sans alcool sont toutefois vendues dans les travées du stade. Leur prix? 8 euros pour un demi-litre, 6 euros pour 40 centilitres, d'après la photo de News.co.au.

La nourriture n'est pas donnée non plus: 7,50 euros pour un paquet de chips de 150 grames, 4,50 euros la glace, 3,5 euros les 100 grammes de pop-corn.

Le journaliste s'est aussi interessé aux plats vendus à l'extérieur du stade: "Le plat le plus cher aux vendeurs situés à l'extérieur du stade est un cheeseburger à 18,10 dollars (10,90 euros). Les hot-dogs coûtent 15,65 dollars (9,40 euros), suivis des sandwichs au poulet et des ciabattas à la mozzarella à 14 dollars (8,40 euros)".

 
"On a eu quelques inquiétudes avec la plateforme de compétition", a admis Jean-Luc Rougé, le secrétaire général de la Fédération internationale de judo. "On se demandait d’où venait le problème car quand on marchait, ce n’était pas homogène. On a d’abord cru que c’étaient les tapis, puis on s’est rendu compte en enlevant les tapis, qu’on pensait mauvais, que sur la plateforme il y avait des marches, des interstices et que ça ne marchait pas."
 
Par conséquent, il a fallu commander une nouvelle plateforme, qui a été placée par-dessus. "On vient de faire les tests et ça devrait marcher", a poursuivi Rougé. "On était obligé car on ne pouvait pas faire la compétition dans ces conditions-là. Si les athlètes tombent et trébuchent tout seuls, ce n’est pas le but du judo. Il faut qu’on soit sur une partie excessivement plate, qui est homologuée avec des normes très précises. Là ce n’était pas le cas. Je n’ai pas encore tout testé mais ça devrait être bon."