Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
4223 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
 
 Page :   1  2
Page Suivante
Auteur Sujet :

Topic métaphysique ; La Conscience.

n°61613
Pyrus
Pas de cravate ? Erreur 1017
Posté le 30-01-2003 à 12:27:39  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Coethium a écrit :


:jap: C'est un point de vue ;)
Donc le contraire : une foumis possède t-elle une conscience ?


justement c'est ça qui est intéressant ...  :)  
Au mieux, une fourmi n'a qu'une conscience de lui même.
Mais en s'associant avec ses congénères, il forme une nouvelle entité plus capable, plus "intelligente" ...


---------------
Hazukashii serifu kinshi!
mood
Publicité
Posté le 30-01-2003 à 12:27:39  profilanswer
 

n°61637
Coethium
Galaxia
Posté le 30-01-2003 à 12:32:09  profilanswer
 

Pyrus a écrit :


justement c'est ça qui est intéressant ...  :)  
Au mieux, une fourmi n'a qu'une conscience de lui même.Mais en s'associant avec ses congénères, il forme une nouvelle entité plus capable, plus "intelligente" ...


 
Ben justement, je pense que non, que la foumi n'a pas la consience d'elle-même.

n°61641
Pyrus
Pas de cravate ? Erreur 1017
Posté le 30-01-2003 à 12:33:09  profilanswer
 

Coethium a écrit :


 
Ben justement, je pense que non, que la foumi n'a pas la consience d'elle-même.


c'est pour ça que j'ai dit "au mieux"  :o


---------------
Hazukashii serifu kinshi!
n°62103
Coethium
Galaxia
Posté le 30-01-2003 à 14:20:51  profilanswer
 

Pyrus a écrit :


c'est pour ça que j'ai dit "au mieux"  :o  


Donc nous nous retrouvons dans le même cas que neurones/cerveau ;) On a pas avancé d'un iota :D

n°63190
l'Antichri​st
Posté le 30-01-2003 à 17:46:24  profilanswer
 

Citation :

Quand la partie a conscience du tout,ne peut t'on pas dire que le tout a conscience de lui meme ?
exemple: l'homme a conscience de l'univers,mais l'univers ,considéré dans son ensemble,c'est a dire atemporel ou incluant la dimension du temps,pourrait t_il avoir conscience de lui meme ?


 
Une pensée peut éclairer ta question, celle de Hegel (mieux même que celle de Spinoza). Il s'agit de donner un sens au savoir absolu sans faire intervenir le Dieu des religions.
 
Tout le projet de Hegel est de montrer que la totalité est le dépassement de toutes les bribes mais il faut éprouver les bribes parce que la totalité se donne dans les bribes. Sans les parties, le tout n'est qu'un agrégat et non une totalité vivante. Il faut échapper à l'indifférenciation de la totalité où l'on ne peut rien connaître. Penser un système de la totalité, c'est éprouver toutes les bribes mais aussi le passage de telle bribe à telle bribe. Etre dans la totalité, c'est ne pas être dans l'indifférencié : c'est vivre au contraire les différences, c'est éprouver les moments de morts, c'est sentir " la puissance du négatif ". La bribe n'est donc pas coupée de la totalité. Il faut comprendre que la vérité (qui est la vérité de la totalité) passe par la vie et la mort de toutes les bribes qui constituent la totalité. Mais pour atteindre la totalité, il faut accepter de lâcher les bribes c'est-à-dire ne pas s'attacher aux différents visages que prend la totalité. Pour atteindre le Vrai, il ne faut donc pas être fétichiste. Il faut lâcher les bribes pour s'élever au savoir absolu. Comment quitter la partie ? En s'élevant à la totalité, qui n'est pas un Tout indifférencié (où l'on ne peut rien penser) mais un Tout vivant qui ouvre à la vérité.
 
Vouloir connaître, c'est vouloir connaître la totalité. C'est ne rien vouloir laisser à l'extérieur. Mais n'est-ce pas l'essence même de la raison qui est intériorisation ? La raison connaissante intériorise : elle ne laisse rien à l'extérieur. Quand je pense une galaxie, je ne la pense pas extérieurement à moi mais en moi. Elle est moi. Etre un sujet, c'est donc intérioriser ce qui est. C'est avoir la totalité en soi. Le concept de totalité n'est donc pas d'abord l'extérieur que je veux saisir mais est l'extérieur en tant qu'il est saisi dans et par moi. En tant qu'il est moi. Dans le domaine de la connaissance, je suis dans la sphère de l'intériorisation. Quand je veux connaître, je veux connaître la totalité. Mais puis-je réaliser cela sans l'exemplification, sans le morceau, sans la bribe ? C'est, par exemple, ce que nous expérimentons en art. N'est-ce pas dans une oeuvre d'art particulière que nous voyons le support de l'Art tout entier ? Où est l'art si ce n'est dans les exemplifications que sont les oeuvres ? " La " musique n'existe pas : n'existent que des morceaux de musique. Cependant, dans un morceau, toute la musique est présente. Le morceau est bien support parce que si on le retire, la musique disparaît. Le monde de l'art est le monde de la totalité qui ne prend forme que dans l'instance particulière d'une oeuvre toujours circonstanciée. A ce moment là, la totalité n'est pas le contraire de la partie ou de la bribe : la bribe est ce qui soutient la totalité. Que se passe-t-il dans l'expérience esthétique ? Je suis face à une oeuvre particulière avec des sons et des couleurs particulières et pourtant, elle supporte l'art tout entier. Tout l'art est une toile de Vermeer, mais aussi dans une toile de Picasso, mais aussi dans un morceau de Beethoven, mais aussi dans une pièce de Rodin. L'art n'existe que dans les oeuvres. La totalité n'existe que dans les bribes. La symphonie est dans la totalité des notes mais sans note, on ne peut rien entendre. Les notes de musique soutiennent la totalité de la partition. La réciproque de cette idée réside en ceci que chaque note au moment où elle apparaît est la totalité de la symphonie. La totalité n'est donc plus à concevoir ce qui coiffe infiniment les bribes mais les bribes sont absolument nécessaires à l'existence de la totalité. Sans oeuvre d'art, l'art n'existe pas. Le morceau est donc la totalité : il n'y a que des morceaux. Nous ne pouvons pas faire l'expérience de l'art en général. Nous ne jouissons que d'oeuvres particulières. Mais dans chaque oeuvre, il y a la totalité de ce qu'il y à voir. L'oeuvre d'art soutient l'art. La bribe soutient la totalité. Soutien au sens fort : si nous l'enlevons, tout disparaît.
 
Mais reste le sujet qui fait l'expérience de tout cela ! C'est en moi que se joue la bribe et la totalité. Tout le problème consiste à savoir si je suis une totalité ou bien si je suis un morceau !

Message cité 1 fois
Message édité par l'Antichrist le 30-01-2003 à 17:50:54
n°63277
Coethium
Galaxia
Posté le 30-01-2003 à 18:09:07  profilanswer
 

Et en langage commun ?  :heink:

n°64051
nur
Posté le 30-01-2003 à 21:34:20  profilanswer
 

L'Antichrist a écrit :

Citation :

Quand la partie a conscience du tout,ne peut t'on pas dire que le tout a conscience de lui meme ?
exemple: l'homme a conscience de l'univers,mais l'univers ,considéré dans son ensemble,c'est a dire atemporel ou incluant la dimension du temps,pourrait t_il avoir conscience de lui meme ?


 
Une pensée peut éclairer ta question, celle de Hegel (mieux même que celle de Spinoza). Il s'agit de donner un sens au savoir absolu sans faire intervenir le Dieu des religions.
 
Tout le projet de Hegel est de montrer que la totalité est le dépassement de toutes les bribes mais il faut éprouver les bribes parce que la totalité se donne dans les bribes. Sans les parties, le tout n'est qu'un agrégat et non une totalité vivante. Il faut échapper à l'indifférenciation de la totalité où l'on ne peut rien connaître. Penser un système de la totalité, c'est éprouver toutes les bribes mais aussi le passage de telle bribe à telle bribe. Etre dans la totalité, c'est ne pas être dans l'indifférencié : c'est vivre au contraire les différences, c'est éprouver les moments de morts, c'est sentir " la puissance du négatif ". La bribe n'est donc pas coupée de la totalité. Il faut comprendre que la vérité (qui est la vérité de la totalité) passe par la vie et la mort de toutes les bribes qui constituent la totalité. Mais pour atteindre la totalité, il faut accepter de lâcher les bribes c'est-à-dire ne pas s'attacher aux différents visages que prend la totalité. Pour atteindre le Vrai, il ne faut donc pas être fétichiste. Il faut lâcher les bribes pour s'élever au savoir absolu. Comment quitter la partie ? En s'élevant à la totalité, qui n'est pas un Tout indifférencié (où l'on ne peut rien penser) mais un Tout vivant qui ouvre à la vérité.
 
Vouloir connaître, c'est vouloir connaître la totalité. C'est ne rien vouloir laisser à l'extérieur. Mais n'est-ce pas l'essence même de la raison qui est intériorisation ? La raison connaissante intériorise : elle ne laisse rien à l'extérieur. Quand je pense une galaxie, je ne la pense pas extérieurement à moi mais en moi. Elle est moi. Etre un sujet, c'est donc intérioriser ce qui est. C'est avoir la totalité en soi. Le concept de totalité n'est donc pas d'abord l'extérieur que je veux saisir mais est l'extérieur en tant qu'il est saisi dans et par moi. En tant qu'il est moi. Dans le domaine de la connaissance, je suis dans la sphère de l'intériorisation. Quand je veux connaître, je veux connaître la totalité. Mais puis-je réaliser cela sans l'exemplification, sans le morceau, sans la bribe ? C'est, par exemple, ce que nous expérimentons en art. N'est-ce pas dans une oeuvre d'art particulière que nous voyons le support de l'Art tout entier ? Où est l'art si ce n'est dans les exemplifications que sont les oeuvres ? " La " musique n'existe pas : n'existent que des morceaux de musique. Cependant, dans un morceau, toute la musique est présente. Le morceau est bien support parce que si on le retire, la musique disparaît. Le monde de l'art est le monde de la totalité qui ne prend forme que dans l'instance particulière d'une oeuvre toujours circonstanciée. A ce moment là, la totalité n'est pas le contraire de la partie ou de la bribe : la bribe est ce qui soutient la totalité. Que se passe-t-il dans l'expérience esthétique ? Je suis face à une oeuvre particulière avec des sons et des couleurs particulières et pourtant, elle supporte l'art tout entier. Tout l'art est une toile de Vermeer, mais aussi dans une toile de Picasso, mais aussi dans un morceau de Beethoven, mais aussi dans une pièce de Rodin. L'art n'existe que dans les oeuvres. La totalité n'existe que dans les bribes. La symphonie est dans la totalité des notes mais sans note, on ne peut rien entendre. Les notes de musique soutiennent la totalité de la partition. La réciproque de cette idée réside en ceci que chaque note au moment où elle apparaît est la totalité de la symphonie. La totalité n'est donc plus à concevoir ce qui coiffe infiniment les bribes mais les bribes sont absolument nécessaires à l'existence de la totalité. Sans oeuvre d'art, l'art n'existe pas. Le morceau est donc la totalité : il n'y a que des morceaux. Nous ne pouvons pas faire l'expérience de l'art en général. Nous ne jouissons que d'oeuvres particulières. Mais dans chaque oeuvre, il y a la totalité de ce qu'il y à voir. L'oeuvre d'art soutient l'art. La bribe soutient la totalité. Soutien au sens fort : si nous l'enlevons, tout disparaît.
 
Mais reste le sujet qui fait l'expérience de tout cela ! C'est en moi que se joue la bribe et la totalité. Tout le problème consiste à savoir si je suis une totalité ou bien si je suis un morceau !


 
 
de ce long post je ne retiendrais que ce passage (desolé pour le reste):
si la raison fonctionne uniquement ainsi: en intériorisant,la seule possibilité pour la partie (l'homme) d'avoir conscience du tout ,ce serait que la partie (l'homme) contienne aussi le tout.
Il faudrait donc admettre un dieu immanent au monde car une partie de dieu serait encore dieu .

n°19296876
The matrix
Chacun fait ce qu'il en veut.
Posté le 26-07-2009 à 21:17:36  profilanswer
 


grizzlyhunter a écrit :

1 - aucune relation entre la dimension du temps et la problématique énoncée
 
2 - L'univers ne peut être considéré comme un sujet pensant. Donc au même titre qu'un caillou ou que ton clavier, il n'a conscience de rien du tout


Tu part vite en besogne...

nur a écrit :

Serait ce un topic de merde ? :(


Certainement pas, c'est mon champs d'action préféré.
 
[:drap]
 

nur a écrit :

Quand la partie a conscience du tout,ne peut t'on pas dire que le tout a conscience de lui meme ?
 


Ca pourrait.

nur a écrit :


exemple: l'homme a conscience de l'univers,mais l'univers ,considéré dans son ensemble,c'est a dire atemporel ou incluant la dimension du temps,pourrait t_il avoir conscience de lui meme ?                 :p


 
Malheureusement, l'observateur ne peut-être conscient de l'observé est de lui même à la fois... il faudrait pour faire ce que tu demande, inclure l'observateur dans l'observé, est à ce moment ci, le tout est conscient de lui même, mais la partie n'est plus la partie mais le tout.
 
Je vais lire à présent L'Antichrist, un pavé pareil ici, ça ne peut-être que lui.


Message édité par The matrix le 26-07-2009 à 21:24:41
n°19296913
The matrix
Chacun fait ce qu'il en veut.
Posté le 26-07-2009 à 21:20:41  profilanswer
 

l'Antichrist a écrit :

Citation :

Quand la partie a conscience du tout,ne peut t'on pas dire que le tout a conscience de lui meme ?
exemple: l'homme a conscience de l'univers,mais l'univers ,considéré dans son ensemble,c'est a dire atemporel ou incluant la dimension du temps,pourrait t_il avoir conscience de lui meme ?


 
Une pensée peut éclairer ta question, celle de Hegel (mieux même que celle de Spinoza). Il s'agit de donner un sens au savoir absolu sans faire intervenir le Dieu des religions.
 
Tout le projet de Hegel est de montrer que la totalité est le dépassement de toutes les bribes mais il faut éprouver les bribes parce que la totalité se donne dans les bribes. Sans les parties, le tout n'est qu'un agrégat et non une totalité vivante. Il faut échapper à l'indifférenciation de la totalité où l'on ne peut rien connaître. Penser un système de la totalité, c'est éprouver toutes les bribes mais aussi le passage de telle bribe à telle bribe. Etre dans la totalité, c'est ne pas être dans l'indifférencié : c'est vivre au contraire les différences, c'est éprouver les moments de morts, c'est sentir " la puissance du négatif ". La bribe n'est donc pas coupée de la totalité. Il faut comprendre que la vérité (qui est la vérité de la totalité) passe par la vie et la mort de toutes les bribes qui constituent la totalité. Mais pour atteindre la totalité, il faut accepter de lâcher les bribes c'est-à-dire ne pas s'attacher aux différents visages que prend la totalité. Pour atteindre le Vrai, il ne faut donc pas être fétichiste. Il faut lâcher les bribes pour s'élever au savoir absolu. Comment quitter la partie ? En s'élevant à la totalité, qui n'est pas un Tout indifférencié (où l'on ne peut rien penser) mais un Tout vivant qui ouvre à la vérité.
 
Vouloir connaître, c'est vouloir connaître la totalité. C'est ne rien vouloir laisser à l'extérieur. Mais n'est-ce pas l'essence même de la raison qui est intériorisation ? La raison connaissante intériorise : elle ne laisse rien à l'extérieur. Quand je pense une galaxie, je ne la pense pas extérieurement à moi mais en moi. Elle est moi. Etre un sujet, c'est donc intérioriser ce qui est. C'est avoir la totalité en soi. Le concept de totalité n'est donc pas d'abord l'extérieur que je veux saisir mais est l'extérieur en tant qu'il est saisi dans et par moi. En tant qu'il est moi. Dans le domaine de la connaissance, je suis dans la sphère de l'intériorisation. Quand je veux connaître, je veux connaître la totalité. Mais puis-je réaliser cela sans l'exemplification, sans le morceau, sans la bribe ? C'est, par exemple, ce que nous expérimentons en art. N'est-ce pas dans une oeuvre d'art particulière que nous voyons le support de l'Art tout entier ? Où est l'art si ce n'est dans les exemplifications que sont les oeuvres ? " La " musique n'existe pas : n'existent que des morceaux de musique. Cependant, dans un morceau, toute la musique est présente. Le morceau est bien support parce que si on le retire, la musique disparaît. Le monde de l'art est le monde de la totalité qui ne prend forme que dans l'instance particulière d'une oeuvre toujours circonstanciée. A ce moment là, la totalité n'est pas le contraire de la partie ou de la bribe : la bribe est ce qui soutient la totalité. Que se passe-t-il dans l'expérience esthétique ? Je suis face à une oeuvre particulière avec des sons et des couleurs particulières et pourtant, elle supporte l'art tout entier. Tout l'art est une toile de Vermeer, mais aussi dans une toile de Picasso, mais aussi dans un morceau de Beethoven, mais aussi dans une pièce de Rodin. L'art n'existe que dans les oeuvres. La totalité n'existe que dans les bribes. La symphonie est dans la totalité des notes mais sans note, on ne peut rien entendre. Les notes de musique soutiennent la totalité de la partition. La réciproque de cette idée réside en ceci que chaque note au moment où elle apparaît est la totalité de la symphonie. La totalité n'est donc plus à concevoir ce qui coiffe infiniment les bribes mais les bribes sont absolument nécessaires à l'existence de la totalité. Sans oeuvre d'art, l'art n'existe pas. Le morceau est donc la totalité : il n'y a que des morceaux. Nous ne pouvons pas faire l'expérience de l'art en général. Nous ne jouissons que d'oeuvres particulières. Mais dans chaque oeuvre, il y a la totalité de ce qu'il y à voir. L'oeuvre d'art soutient l'art. La bribe soutient la totalité. Soutien au sens fort : si nous l'enlevons, tout disparaît.
 
Mais reste le sujet qui fait l'expérience de tout cela ! C'est en moi que se joue la bribe et la totalité. Tout le problème consiste à savoir si je suis une totalité ou bien si je suis un morceau !


 
 
Elle est bonne ?  [:le roi du bedo]

n°19297113
Timoonn
Moune pour les intimes :o
Posté le 26-07-2009 à 21:39:44  profilanswer
 

2003-2009
C'est de la nécrophilie à ce stade :o


---------------
HFPonss - Désactivez votre Adblock sur HFR - Découper le monde à coup de rasoir pour voir au cœur du fruit, le noyau noir.
mood
Publicité
Posté le 26-07-2009 à 21:39:44  profilanswer
 

n°19310702
Profil sup​primé
Posté le 27-07-2009 à 22:58:57  answer
 

nur a écrit :

Quand la partie a conscience du tout,ne peut t'on pas dire que le tout a conscience de lui meme ?
exemple: l'homme a conscience de l'univers,mais l'univers ,considéré dans son ensemble,c'est a dire atemporel ou incluant la dimension du temps,pourrait t_il avoir conscience de lui meme ?                 :p


 
Pourquoi l'univers serait-il considéré comme atemporel?
La dimension de temps, qu'est-ce?
Et, quel rapport entre la dimension de temps et la conscience?
Je ne l'ai jamais compris...  :(  Aurais-je le temps de le comprendre?

n°19334492
The matrix
Chacun fait ce qu'il en veut.
Posté le 29-07-2009 à 19:02:50  profilanswer
 

Oh-shi encore gourage de topic, ....
 
 
Désolé  :o


Message édité par The matrix le 29-07-2009 à 22:42:54
n°19336976
The matrix
Chacun fait ce qu'il en veut.
Posté le 29-07-2009 à 22:46:49  profilanswer
 

Je suis confus nur, je te prie de m'excuser, je me suis un peu précipité, ... je vais ralentir la cadence... j'ai des dettes.


Message édité par The matrix le 29-07-2009 à 22:47:01
mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2
Page Suivante

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
Plus de sujets relatifs à : Topic métaphysique ; La Conscience.


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)