Reprise du message précédent :

 
j'le fais souvent, rapidement, on n'y fait plus attention du tout.
C'est surtout très bien pour les préliminaires, caresses, etc... ou ça peut créer une atmosphère sympa.

 
Moi devant BFM souvent, je regardais les actus pendant qu'on s'occupait de moi, et j'écrivais des mails ou des lignes de code pour le boulot , bon c'était juste des plans délire de temps en temps, pas envie de me faire mordre pour cause de manque de présence  

 
Je préfère Slam

 
Le cours de la bourse qui monte en direct  

 
Oh oui, oui, oui, !  

 
Je suis plus météo moi, la température qui monte    

 
Ca peut se faire sans TV ça
 

 
Pas la peine de taper si fort sur le buzzer

le télé achat

Vous êtes des grands malades

Encore mieux: Téléchat
Baiser avec Leguman en fond, c'est l'extase.

 
Attention à ne pas faire de qui pro quo en voulant répondre "les deux"

j'y ai pas encore pensé sérieusement, je pensais partir sur une playlist à vrai dire.  
Pour un album complet ce serait probablement Mechanical Animals, tout doux.
Pour une playlist, là, sans trop réfléchir: Great Big White World, Disassociative, The Speed of Pain, User friendly, The Last Day on Earth, In the shadow of the valley of death, The Bright Young Things, If I was your Vampire, They said that Hell's not hot, Devour, Third day of a seven day binge, Warship my wreck, Blood Honey, Heaven upside down...

Certains persos me foutraient trop la frousse  

Le téléphone  

Moi je suis branché musique chelou quand j'baise.
 
Genre Sigur Ross, ou des playlist d'ambiance. Voir du classique.  
C'est assez marrant en fait et surtout c'est pas systématique.
 
Un peu comme les mots cru : parfois on fait ça brutalement et elle hurle des trucs de fou, et je l'insulte aussi xD
Mais on a aussi des phases de slow sex très tendre.
 
C'est surtout la monotonie qui tue la vie sexuelle.

Le thème d'ouverture de The Shining, lô

 
Sur "Also sprach Zarathustra" surtout

ça doit être pas mal, ça.
Sinon je ferais bien un trip hippies/70's à base de rock à accords sympas et voix perchées: Led Zeppelin, Ozzy Osbourne, Black Sabbath…
… mais faudrait les acides et la fille délurée qui vont avec, et j'ai rien de tout ça en magasin.

Mouarf, avec un poil d'alcool ça le fait aussi !
 
Et les femmes ont plusieurs visages.

Bonjour à toutes et tous,
 
Je lurke ce topic depuis quelques jours et ayant constaté la présence de demoiselles adeptes ou pratiquantes BDSM, une question me tarabuste légèrement, je m'explique :
 
Dans la littérature BDSM (principalement hétéro maledom), il est souvent fait référence à un lien étrange entre la gène, voire la honte, d'être mises dans des situations scabreuses, et l'excitation qu'en tirent les soumises. Très fréquemment, la "jeune oie blanche" forcée de pratiquer des actes qu'elle juge dégradants ou sales, finit par ressentir une excitation sexuelle tirée de la honte qu'elle ressent à les pratiquer, particulièrement en public.
Ma question est la suivante : cette excitation n'est-elle, comme j'ai tendance à le penser, qu'un fantasme masculin du "viol" qui finit par devenir "jouissif", ou arrive-t-il réellement qu'une soumise (ou un soumis) puisse tirer finalement de l'excitation ou du plaisir d'une situation au départ non souhaitée et potentiellement honteuse ?  

 
On m'a plusieurs fois fait la reflexion que j'avais l'air une d'une petite fille sage

hola dérapage.  
la tu fais un // BDSM et viol. Je pense que tu n'as pas compris ce qu'est le BDSM/

 
C'est ce contraste qui m'excite.

 
N'est ce pas

J'ai tenté le sexe sous acides, c'était hyper compliqué. Le lsd fatigue énormément, donc faire le moindre mouvement devient chiant. On a fini par se frotter l'un contre l'autre comme deux animaux pour jouir (mal) en se tripotant.
Et on a taché le canap'    
 
J'ai des potes qui me disent que c'est une très bonne drogue pour le sexe.. Je sais pas... A réessayer (j'ai d'ailleurs une idée pas très catholique derrière la tête pour ce week-end, mais je crois que monsieur ne sera pas d'accord, faut que j'amène le sujet gentiment   )  

ah bah j'ai jamais reçu ce genre de textos mais je pense que ça m'émoustillerait  

 
Non je ne fais pas de parallèle entre les deux. Je n'ai simplement pas d'autre terme pour expliquer ce que je veux dire par là, d'où la mise entre guillemets du terme.
 
Je veux dire qu'il existe un fantasme, plutôt masculin, de la fille non consentante au départ et qui le devient finalement grâce au "talent" de M. SuperMythe, et que j'ai tendance à penser que c'est ce fantasme qui ressort dans cette littérature.
 
La question reste posée aux demoiselles pratiquantes de BDSM consenti, avez-vous parfois ressenti une excitation liée à la honte d'une situation, d'une position, d'une pratique exigée par le dominateur ?

C'est plus compliqué que ça.
Le FANTASME du viol, est quelque chose d'assez répandu (également chez les femmes), au point de, parfois, désirer l'exprimer IRL. Le BDSM sert à structurer ce désir en le délimitant et lui donnant un côté sécurisé où la personne soumise aura fixé ses regles. On parle de viol simulé.
Le fantasme du viol est déjà structuré, si on fantasme dessus, on réduit le champs des possibles aux seuls éléments erogene : en fantasme comme en BDSM, le viol n'est pas réel, il est thématique.

Dans la littérature, on lit du viol fantasmé, ni plus ni moins, et n'a donc pas vocation a être retranscrit IRL comme un viol réel.

D'autre part, l'excitation et le fait de mouiller ne fait pas le consentement. Ca n'est pas parce qu'une femme mouille qu'une femme est consentante. Ca n'est pas parce qu'elle mouille qu'elle AIME CA. Faut que ça rentre, ça.

Je ne vois pas le lien entre l'excitation liée à l'humiliation et le fait de passer de "non" à "oui" grâce au pouvoir de "M. SuperMythe"..

Bah en fait il n'y en a pas, juste que j'ai du mal à considérer comme réelle l'excitation liée à l'humiliation et que donc j'essaye de la raccrocher dans la littérature qui la met en avant avec un fantasme courant.

 
 
C'est intéressant. Je parle pour moi, mais le non consentement de ma part ou de celle de ma partenaire, la gène, la honte ou l'humiliation, même simplement verbale, sont des "tue l'amour" pour moi et entraîne systématiquement une perte durable d'érection. Du coup j'ai du mal à imaginer une femme physiologiquement excitée mais non consentante.

L'humiliation ca n'a rien à voir avec le fait de passer de non à oui.

 
 
 
Merci pour ta réponse qui finalement me conforte dans l'idée que la littérature BDSM est très éloignée de la réalité de la pratique consentie.

 
tu parles de quoi exactement, quand tu dis littérature BDSM ?

 
Du mommy porn j'pense.

J'ai une pensée émue pour tout ces mecs qui ont lu Gor et qui partent ensuite IRL se trouver une Kajira.