L'apocalypse est en route :
Je vous livre la traduction française d'un monstrueux article :
Source : http://news.independent.co.uk/uk/p [...] 333852.ece
Soyez bien sûr que la France sera un des prochains pays à subir cette ignominie, et que les prochaines victimes seront nous tous.
Après la lecture de cet article, vous en arriverez à la conclusion que bientôt seule une révolution des plus sanglantes (hélas!) nous lavera de toutes ces vermines qui veulent instaurer le nouvel ordre mondial et qui ne nous considèrent plus que comme du bétail.
LES PRISONNIERS VONT « ETRE PUCES COMME DES CHIENS »
Le marquage de haute technologie par « satellite » est prévu afin de créer plus d'espace dans les prisons.
Les groupes de défense des droits civils et les personnes chargées de surveiller les malfaiteurs pendant leur période de probation sont furieux face à ce régime "dégradant".
Par Brian Brady, éditeur de Whitehall
Publié le 13 janvier 2008
Les ministres prévoient d'implanter des micropuces "lisibles par machine" sous la peau de milliers de malfaiteurs dans le cadre d'une expansion du système de marquage électronique qui permettrait de créer plus d'espace dans les prisons britanniques.
Parmi les craintes concernant la sécurité des systèmes de marquage existants et la surpopulation des prisons, le Ministère de la justice enquête sur l'utilisation des satellites et de la technologie des ondes radio pour surveiller les criminels.
Mais, au lieu d'être contenues dans des bracelets portés autour de la cheville, les minuscules puces seraient insérées chirurgicalement sous la peau des délinquants de la collectivité, afin d’aider à faire respecter les couvre-feux à domicile. Ces puces d'identification par radiofréquence (RFID), aussi longues que deux grains de riz, sont capables de transporter des renseignements personnels scannables, y compris leur identité, leur adresse et leur casier judiciaire.
Les puces, qualifiées de "spychips" (« puces-espionnes ») par les militants pour la vie privée, sont déjà utilisées dans le monde entier afin de pister les chiens, les chats, le bétail et les bagages à l'aéroport, mais il n'existe aucun précédent de l’utilisation de cette technologie afin de surveiller les délinquants dans la collectivité. Ces puces sont également considérées comme un moyen de contribuer à maintenir l'ordre dans les prisons.
Un haut fonctionnaire du ministère de la Justice a confirmé hier soir que le ministère espérait pouvoir aller encore plus loin, en étendant la portée géographique de ces « puces internes » grâce à une liaison à un système de repérage par satellite similaire au système utilisé pour retrouver les véhicules volés. "Toutes les options sont sur la table, et c'est une option que nous tenons à poursuivre", a ajouté notre source.
Ce geste est en accord avec une proposition de Ken Jones, président de l'Association of Chief Police Officers (Acpo ou association des chefs de police), selon laquelle les puces électroniques devraient être implantées chirurgicalement dans le corps des pédophiles condamnés et des délinquants sexuels afin de les pister plus facilement. La technologie du Global Positioning System (GPS) est considérée comme la méthode favorisée pour surveiller de tels délinquants afin d’éviter qu'ils s’approchent de zones "interdites" telles que les écoles primaires.
"Nous avons voulu tirer bénéfice de cette technologie depuis plusieurs années, parce qu’elle semble une solution raisonnable aux problèmes auxquels nous sommes confrontés dans ce domaine", a dit hier soir un ministre de premier plan. "Nous l’avons étudiée et y sommes revenus, et nous nous sommes inquiétés de ses aspects pratiques et éthiques, mais lorsque vous regardez les défis auxquels le système de justice pénale fait face, son temps est venu (le temps de la puce)."
Le gouvernement a été contraint de revoir la politique de la détermination des peines au milieu de la grave surpopulation dans les prisons du pays, après que la population carcérale soit passée de 60.000 personnes en 1997 à 80.000 aujourd'hui. Cette crise signifie que le nombre de prisonniers détenus dans les cellules de police a augmenté de 13 fois l'année dernière, avec des postes de police qui ont abrité des malfaiteurs plus de 60.000 fois en 2007, comparativement à 4.617 l'année précédente. Le Royaume-Uni possède la plus grande population carcérale par habitant en Europe occidentale, et le gouvernement prévoit un supplément de 20.000 places pour un coût de £ 3.8 milliards - dont trois nouvelles et gigantesques "superprisons" - au cours des six prochaines années.
Plus de 17.000 individus, y compris des criminels et des suspects remis en liberté sous caution, sont soumis à une surveillance électronique, à tout moment, sous des couvre-feux qui les obligent à rester à la maison jusqu'à 12 heures par jour. Mais les chiffres officiels révèlent que près de 2.000 délinquants par an échappent à cette surveillance d'un an par l'altération des puces des bracelets de cheville ou en les arrachant. Les infractions à ces couvre-feux sont passées de 11.435 en 2005 à 43.843 en 2006 – une augmentation de 283%. Ce système de surveillance, qui s'appuie sur la technologie de la téléphonie mobile, peut échouer si le réseau se plante.
Un projet-pilote de contrôle des délinquants par satellite, qui avait coûté plusieurs millions de livres sterling, a été abandonné l'an dernier après qu’un reportage ait révélé que de nombreux criminels avaient simplement enterré la puce de cheville et l’unité séparée et portable de suivi qu’on leur avait distribué. Le projet de "prison sans barreaux" échouait également à pister les délinquants lorsqu’ils étaient dans l'ombre de hauts immeubles.
L'Independent du dimanche a à présent établi que les ministres ont évalué les mérites de cette technologie de pointe (la puce implantable) qui rendrait pratiquement impossible pour les particuliers de retirer leurs puces électroniques.
Les puces, injectées à l'arrière du bras avec une seringue hypodermique, consistent en une capsule en verre trempé contenant une puce informatique, une antenne de cuivre et un «condensateur» qui transmet les données stockées sur la puce lorsqu’il est activé par un lecteur électromagnétique.
Mais les détails de cette option dramatique visant à renforcer les contrôles sur les criminels de Grande-Bretagne a provoqué une réponse furieuse de la part des probation officers (personnes chargées de surveiller les délinquants pendant leur période de probation) et des groupes des droits civiques. Shami Chakrabarti, directrice de Liberty, a déclaré: "Si le Home Office ne comprend pas pourquoi l'implantation d'une puce dans une personne est pire qu'un bracelet à puce placé autour d’une cheville, ce n’est pas d'un avocat des droits de l’homme dont ils ont besoin, mais d'une dérivation qui les ramène au bon sens.
"Avilir les délinquants de cette façon ne fera rien pour leur réadaptation ni pour notre sécurité, puisque certains trouveront inévitablement un moyen de contourner cette nouvelle technologie."
Harry Fletcher, secrétaire général adjoint de la National Association of Probation Officers (Association nationale des personnes chargées de surveiller les délinquants pendant leur période de probation), a dit que la proposition ne rendrait pas la vie de ses membres plus facile et avilirait leurs clients. Il a ajouté: «J'ai entendu parler de cette proposition, mais nous pensons que le système fonctionne assez bien tel qu’il est. Savoir où sont des malfaiteurs comme les pédophiles ne signifie pas que vous savez ce qu'ils font.
"C'est le genre d’idée débile qui provient du département de temps en temps, mais pucer le peuple de la même manière que nous puçons nos animaux de compagnie ne peut pas être la voie à suivre. Traiter les gens comme des morceaux de viande ne me semble pas représenter une amélioration du système."
Le leader américain de ce marché, VeriChip Corp, dont la société mère a vendu des puces radio pour les animaux pendant plus d'une décennie, a vendu 7.000 micropuces RFID (pour humains) dans le monde, dont environ 2.000 ont été implantées dans des humains. L'entreprise soutient que ses VeriChips sont utilisées dans plus de 5.000 installations, allant des soins de santé à la sécurité, en passant par les marchés gouvernementaux et industriels, mais elles ont aussi été utilisées pour vérifier l'adhésion des VIP dans les boîtes de nuit, permettant l’entrée automatique du porteur - et soustrayant le prix de leur consommation à partir d'un compte prépayé.
La valeur possible de cette technologie pour le système de la justice du Royaume-Uni a tout d'abord été mise en évidence il y a 18 mois, lorsque M. Jones, de l’Apco, a suggéré que les puces pourraient être implantées dans les délinquants sexuels. Les implants seraient suivis par satellite, permettant aux autorités de délimiter des "zones" incluant les écoles, les terrains de jeu et le domicile des anciennes victimes, zones dans lesquelles ces individus seraient interdits.
"Si nous sommes disposés à pister les voitures, pourquoi ne pas suivre les gens?" a dit M. Jones. "Vous pourriez mettre des puces chirurgicales dans les délinquants sexuels les plus dangereux qui acceptent d’être contrôlés."
Le cas pour: «Nous pistons bien les voitures, alors pourquoi pas les gens?»
Le Gouvernement lutte afin de garder la trace de milliers d’agresseurs au sein de la collectivité et il est inquiété par un système pénitentiaire surpeuplé proche de l'éclatement. Le puçage à l’intérieur (du corps) offre une solution qui pourrait imposer les couvre-feux de façon plus efficace qu'à l'heure actuelle, et d'étendre le système en gardant les agresseurs sexuels hors des "zones interdites". "Si nous sommes disposés à suivre les voitures, pourquoi ne pas suivre les gens?", dit Ken Jones, président de l'Association of Chief Police Officers (Acpo).
Les fonctionnaires font valoir que ces puces internes permettent aux autorités de faire appliquer des milliers d'ordonnances du tribunal, en s’assurant que les délinquants restent à l’intérieur de leurs propres murs durant les heures de couvre-feu - et qu’elles permettent la vérification immédiate des détails de l’identité quand ceux-ci sont contestés.
Ces puces internes ont également une utilisation dans le maintien de l'ordre dans les prisons. Aux États-Unis, elles sont utilisées afin de suivre le mouvement des membres des gangs à l’intérieur des prisons.
Les délinquants eux-mêmes préféreraient une puce qu’ils peuvent oublier, au lieu du kit encombrant transporté autour de la cheville.
Le cas contre: «Le reste d'entre nous pourrait suivre»
Les professionnels du système de justice pénale maintiennent que le système actuel est efficace à 95%. La technologie de l’identification par radiofréquence (RFID) n'est pas éprouvée. Cette technologie est en fait plus envahissante, et transporte davantage d'informations concernant son hôte. Ces dispositifs ont été surnommés "spychips" (« puces-espionnes ») par les critiques qui avertissent qu'elles transmettent des données sur les mouvements des autres personnes, et à leur insu.
L’experte en vie privée des consommateurs, Liz McIntyre, a dit qu’un de ses collègues avait déjà prouvé qu'il pouvait "cloner" une puce. « Il peut se cogner contre une personne pucée et siphonner le signal unique de la puce en quelques secondes », dit-elle.
Une entreprise projette des implants plus profonds qui pourraient vibrer, donner des électrochocs à la personne implantée, diffuser un message, ou servir de microphone afin de retransmettre les conversations. "Certaines gens pourraient stupidement rejeter tous les inconvénients et les cauchemars futuristes, puisque le puçage est proposé pour des criminels comme les violeurs et les assassins", a déclaré Mme McIntyre. « Le reste d'entre nous pourrait suivre ».