C'est dans celui-là qu'on en apprend plus sur l'"homme" James Bond: il se marie, éprouve des émotions...  

D'abord, je signale que sur le sujet de James Bond je ne suis pas forcément objectif.
 
Sortent du lot, à mon sens :
- Casino Royale, complètement non-sensique. Et, à mon sens, l'un des meilleurs voire la meilleure parodie. Beaucoup de références.
- From Russia With Love et Goldfinger. Le premier notamment parce qu'il évite le schéma habituel de destruction de la grosse base du grand méchant à la fin et le côté "too much" de beaucoup trop de films, le second parce que "mythique" pour des raisons plus ou moins objectives (c'est quand même l'archétype de tous les films suivants, du moins ceux qui sont dans le "moule" ). Bon, certes, c'est un peu contradictoire.
- On Her Majesty's Secret Service, parce que Diana Rigg, et parce que pour la première fois (ou l'une des premières) on n'a pas une potiche en James Bond Girl, et le personnage Bond est également plus qu'une simple façade de super-héros.
- License to kill : un James Bond motivé non par le devoir, mais par la haine - il fallait quand même oser. Timothy Dalton est beaucoup plus proche du côté "tueur froid" du personnage initial, alors que Sean Connery est trop romantique (mais ça a fait le "mythe" ), et Roger Moore trop parodique.
 
Pas vu The Living Daylights.

- License to kill : un James Bond motivé non par le devoir, mais par la haine - il fallait quand même oser. Timothy Dalton est beaucoup plus proche du côté "tueur froid" du personnage initial, alors que Sean Connery est trop romantique (mais ça a fait le "mythe" ), et Roger Moore trop parodique.
 
Pas vu The Living Daylights.

moore trop parodique arguments stp

JE trouve qu'au niveau réalisme du jeu d'acteur, et violence, c dur quand même.

Dans le style "je suis James Bond, je suis immortel, même avec cinquante fusils pointés sur moi je garde mon sens de l'humour, mon sourire de séducteur irrésistible, et je n'éprouve pas le moindre sentiment, car comme je suis James Bond ils ne tireront pas (sinon, plus de films), et à la fin c'est moi qui leur mettrai la patée"... Sans compter que Moore, en fin de compte, ça a aussi été une surenchère vers le film d'action (ce que Connery avait partiellement initié, et que Brosnan parachèvera, alors que la parenthèse Dalton était un retour aux sources), et un éloignement considérable par rapport au film d'espionnage stricto sensu.
 
D'ailleurs, ça m'indique ce qui me plait dans From Russia With Love : c'est, pleinement, un film d'espionnage. L'un des rares de la série, en fin de compte.

Dans le style "je suis James Bond, je suis immortel, même avec cinquante fusils pointés sur moi je garde mon sens de l'humour, mon sourire de séducteur irrésistible, et je n'éprouve pas le moindre sentiment, car comme je suis James Bond ils ne tireront pas (sinon, plus de films), et à la fin c'est moi qui leur mettrai la patée"... Sans compter que Moore, en fin de compte, ça a aussi été une surenchère vers le film d'action (ce que Connery avait partiellement initié, et que Brosnan parachèvera, alors que la parenthèse Dalton était un retour aux sources), et un éloignement considérable par rapport au film d'espionnage stricto sensu.
 
D'ailleurs, ça m'indique ce qui me plait dans From Russia With Love : c'est, pleinement, un film d'espionnage. L'un des rares de la série, en fin de compte.