Reprise du message précédent :

 
 
J'ai trouvé Le Cri très nouveau réaliste.

The Lodger, de John Brahm (1944),
 
http://le-cinema-de-tietie007.blog [...] brahm-1944
 
avec George Sanders et Merle Oberon, mais surtoutavec un acteur que je ne connaissais pas, Laird Cregar,  
 

 
peu connu car mort en 1944.
 
C'est une énième version de l'histoire de Jack The Ripper, qui est admirablement photographiée par Lucien Ballard, un directeur de la photographie qui a tourné avec les plus grands avec une carrière qui a duré plus d'un demi-siècle.
 

Gas-Oil, un film de Gilles Grangier (1955), cinéaste populaire qui a narré le quotidien de la France profonde dans les années 50-60. Petit film noir avec Jean Gabin, dans le rôle d'un camionneur, avec de nombreux seconds rôles qui ont fait la richesse du cinéma français d'après-guerre, les dialogues de Michel Audiard et la jeune Jeanne Moreau, qui amène un zeste de modernité dans ce long-métrage de bonne facture :
 

 
http://le-cinema-de-tietie007.blog [...] el-audiard

Apache Drums (Quand les tambours s'arrêteront) d'Hugo Fregonese (1951) est l'archétype du western des années 50, avec une morale très chrétienne propagée par le révérend Griffin,
 

 
et les Apaches Mescaleros qui vont faire le siège d'un pueblo du Nouveau-Mexique !
 

 
Mais, évidemment, la cavalerie sauvera tout le monde !  
 
A noter la présence de Clarence Muse, premier acteur afro-américain à avoir joué des rôles de premier plan à Hollywood, bien avant Sidney Poitier.
 

 
http://le-cinema-de-tietie007.blog [...] onese-1951

Pour une poignée de dollars, et Leone révolutionna le western !
 

 
http://le-cinema-de-tietie007.blog [...] rgio-leone