Reprise du message précédent :

"Alors, heureuse?"

Carte mère cramée, je reprends les cr quand mon PC neuf est opérationnel.

Plein le cul de récupérer des pièces merguez,j'investis.

 
Et tu peux pas le faire du boulot?  

 
il risque de se cramer vu le manchot que c'est

Je suis en congés

 
T'as pas une tablette?    
 
(Congé maintenant?    )

Non et puis c'est chiant si je veux taper au clavier tranquillou

Et oui, vacances maintenant, ça évite se se retrouver avec les fils de pute de l'été.

Bon, tout ça pour passer mes vacances à bricoler

 
C'est pas con  

Bon, PC au point relais, plus qu'à le monter (j'ai pas fait ça depuis 10 ans ) et le cr arrive.

Je pars en vacances serein, jamais ce sera en ligne pour mon retour

Merde, je me rappelle plus de la journée du deuxième jour, à part qu'on s'est arrêté pisser à un endroit et qu'on est passé pour 12 pédales à commander des cocas.
 
Z'avez des indices? (en MP pour pas spoiler)
 
Par contre, la soirée me revient un peu mieux en mémoire

Jour 2 : direction le camping.
 
Au réveil, je décide de faire appel à roflcopter pour réveiller Cosmo, sauf qu'il décide de me castrer en conséquence. On prend le dej', on s'équipe et on fait le plein. Gremi oublie sa carte bleue à la station, on fait la pression des pneus. On roule dans des coins que j'ai oublié. Après un rond-point, tout le monde s'arrête du coup je manque de rater le coche.
 
Je pisse un bol et on va boire un coup dans un bar. Le patron, petit gros débonnaire, m'interpelle sur le port du cuir et de mon beau tutu. Je lui réponds que c'est moi qui fait la femme pour 12 personnes, qu'est-ce qu'on se lole. Il demande ce qu'on commande, je demande un coca-rondelle. Regard dubitatif du monsieur sur cette expression un peu étrange, qui se tourne vers les autres, réclamant la même chose.
 
On se retrouve avec 12 cocas-rondelle (enfin, 11 cocas-rondelle et un queuqueu-rondeuleu pour nano), servis par le patron qui nous traite littéralement de tarlouzes
 
On reprend la route, on bouffe je sais plus où mais bon, on s'en branle. Le plus important c'est qu'on arrive dans un camping où on retrouve notre ami Zolkichou qui est sur place, et H3L0 et Chveu (à moins qu'on les ai ramassés sur la route). Là, on se pose tranquille dans les mobil home, enlevant nos pantalons qui ne font pas encore sentir trop fort des genoux.
 
Après avoir bougé 50 fois les motos, on va faire les cons dans la piscine, à base de requin pédé qui met des doigts dans le cul, de concours de plat et de kamibus qui n'a pas vu le soleil depuis sa naissance vu sa couleur de peau façon merde de laitier. On est d'ailleurs obligés de le tenir en laisse, y'a des enfants.
 
Pendant que xdc passe un coup de téléphone, on matte une gonzesse qui se fait jeter à l'eau dans la piscine; de belles images pour se branler le soir dans son lit. Bon faudra que je fasse gaffe quand même, je dors avec Cosmo et il est taquin.  
 
Après la piscine, c'est un tour à la douche, et là Cosmo se ramasse une douche de l'amitié bien sentie, mais ce tarba contre-attaque avec une infiltration dans la veine, le tricheur.  
 
On va bouffer une pizza, le patron du camping est cool car on a le droit de taper dans nos bières sur la terrasse, dans notre apéro et même grosjulius a le droit d'insulter les autres. La fête quoi. Bref, après avoir raconté de la merde pendant des heures, on va aux mobil homes raconter de la merde pendant des heures et faire des blagues potaches au copains qui sont pas attentifs (genre planquer des chaussettes qui puent aux bons endroits).
 
Et puis c'est l'heure d'aller au lit, hein, parce que le lendemain c'est la deuxième étape, et qu'avoir le verbe haut et l'échange oral de haute volée, ça fatigue.

Travail baclé

 
Y'avait pas de bal des pompiers?  

On avait mangé à Mazamet, et le bar-coca-rondelle à Revel, devant le lac de St Ferreol ...

T'inquiète, la suite va être bien plus consistante, contrairement à tes selles de ce week-end.

Pourquoi? Tu as mis ta mÿthe dans son cul pour en connaître la consistance?  

Jour 3 : le gros lol commence (partie 1)

C'est le matin, on se réveille gentiment et on prend un groptitdej' histoire de bien être en cannes pour cette belle journée. Après avoir salopé 90% des tables du camping et attendu que notre ami Chveu émerge de sa torpeur (faut dire que vu les coups de soleil qu'il avait ramassé, il lui fallait récupérer un peu, notre petite écrevisse ), nous rassemblons les motos pour décoller.

C'est à ce moment-là que je roule dans une merde de chien, là, posée au milieu des graviers. Petit intermède : il faut dire que le satané chien du patron a deux caractéristiques :

• primo, il est pédé comme un foc, et n'arrête pas de se frotter à H3L0, de là à en déduire quelque chose c'est un pas que je ne franchirai pas
• secondo il est con comme un balai, ne pense qu'à bouffer et forcément, c'est lui le coupable, donc là je le hais encore plus, oui, encore plus que quand il a essayé de me salir la jambe avec sa vilaine bite.

J'entreprends un nettoyage sommaire avant que le caca ne jaillisse au visage de mes compères et ne me repeigne le dos. Quoi que étant donné que je ferme, je ne risque pas de salir grand-monde (contrairement à mes draps, à force de rêves humides ). Après m'être escrimé à retirer le disque de matière fécale de mon pneu arrière, nous pouvons nous mettre en route sur un joli chemin qui sent la violette.

Et c'est parti en direction de Castellane, sur des routes avec du lol (et de la chaleur, oui un peu quand même). D'ailleurs le soleil devient de plus en plus cuisant, et je commence à baigner salement dans mon jus : m'est avis que mes genoux vont se vinaigrer d'ici quelques jours Le groupe a un rythme à la fois propre et suffisamment enlevé pour que je ne sois pas derrière une masse grouillante qui nous bouchonne. Un arrêt plus tard et Guignoun nous quitte, il doit bosser le lendemain donc bon, hé, ho, quand faut y aller faut y aller. On l'encule sympathiquement et on se casse, le laissant dans ses pensées sans doutes maussades associées au labeur qu'il va reprendre.
Ah, et y'a Gremi aussi qui se casse. S'étant planqué dans le porte bagage la loutre, on l'avait pas repéré avec son petit gilet airbag qui fait vraiment tapette. Et dire qu'à présent j'en ai acheté un aussi et que je me trimballe ce look de merde, les bras m'en tombent...  

On s'arrête boire un coup dans un bar, il fait chaud et c'est marrant parce qu'en fait y'a des gamines qui jouent sur la place, du coup on fait les cons avec Zolki3n à m’enchainer en mode bondage, et puis après je vais poser le genou sur les jeux d'enfant type moto à ressort parce que c'est inédit ( ) et qu'en plus ça fait loler les gens. Surtout quand t'es en cuir avec un tutu par-dessus.

On s'arrête bouffer dans un patelin le midi dont j'ai oublié le nom (en même temps, je ne pense pas avoir retenu l'intitulé du bled même sur le moment). Là, PeNNer et Bubble Butt sont censés nous rejoindre, du coup on les attends en terrasse en buvant de queuqueuqueuleu ainsi que des bieures. Un énorme tas de fringues gorgées de transpirations illumine notre tablée, et bientôt des mouches viennent butiner les excrétions odoriférantes de nos corps. Super désagréable.

Pennouille et la cagole se pointe, ça tombe bien on va pouvoir commander à bouffer et c'est le bordel parce qu'on est nombreux, parce que le serveur est à l'ouest (pardon? c'était une femme? oktamer bin qu'elle se rase la moustache alors, cordialy) et qu'on est servi au compte goutte. Bien évidemment, les connards qui ont choisi des plats sophistiqués du type "prince de mer dans son lit d'or" gueulent parce qu'ils se retrouvent avec une sardine à l'huile, mais faut dire que le service est particulièrement tarlouze niveau portion et que ça met 100 ans à arriver. A croire qu'ils ont oublié pourquoi les bandes de motards violaient et pillaient dans les années 50, ces arriérés.

On reprend la route parce que, ho, on a de la route à faire. Et si on la fait pas maintenant, on la fait plus tard. Donc autant la faire plus tôt, sinon on arrive plus tard. J'enfile avec un délicieux plaisir mes vêtements de moto gorgés de sueur, et on repart. Les roulages sont de qualité, à croire que Marcassin a bien géré le road book, ça évite qu'on se perde et qu'on mette 3 heures à retrouver les copains. A un moment Duke perd un pare-carter donc on s'arrête en catastrophe pour qu'il puisse constater le merdier. Comme quoi le sperme, ça colle pas tant que ça en fait, contrairement à ce que pouvait me dire ma meuf quand elle en prends plein ses cheveux.

On repart et on arrive dans le bled où on est censés trouver le gîte. On se gourre deux fois, on monte dans le village en mode pente raide avec les motos, et là on tombe sur une grande place avec un hôtel et que des frisé, à croire que la bavière n'est pas loin. Limite on se sent plus chez nous, du coup on lance deux-trois boutades façons 14-18 mais on n'insiste pas, sinon ça va finir comme en 40 #godwinpointreached.
Après avoir demandé si on pouvait boire un coup (fait soif) et si on pouvait bouffer sur place dans l'hôtel des germains, on cherche le gîte parce que le GPS indique de la merde... et on le trouve deux rues plus loin, par contre on est à la dèche niveau approvisionnement en bouffe (l'autre gîte peut pas nous servir, tout est fermé partout car on est dimanche, il est presque 19h...), y'a personne devant le gîte pour nous ouvrir et pour finir Bubble veut pisser. Bonne idée d'amener une meuf dans le groupe, putain. Cosmo essaie d'avoir le proprio du gîte, sans succès, on est comme des clodos et ça pue du cul, mais violent niveau repos

Du coup on a des comportements constructifs, étant donné qu'il y a une fontaine. On commence par s'arroser un peu, et puis beaucoup, faut dire que l'eau est bien fraiche et en abondance donc autant en profiter. Après, on fait un concours de celui qui tient le plus longtemps un bras plongé dans l'eau glacée, sauf qu'en fait H3L0 me rince la tronche et Xdc est vainqueur par forfait, le saligot. Bref c'est la méga jaille, et là y'a deux loups qui arrivent.

En fait c'est le proprio avec ses clebs qui se pointe, du coup on peut accéder au gite. C'est cool quoi qu'un peu bordélique. Tout le monde se met à l'aise, Duke se met les noyaux à l'air au ras de l'escalier, ce qui fait qu'on se retrouve face à face avec deux vilains kiwis quand on cherche à regarder par la fenêtre. Tandis que je tente de prendre une douche, l'animal se pointe en forçant la porte et me passe le cul à la graisse pour chaine, devant le regard médusé de Bubble , Grosju (qui ne perd pas une miette en filmant), Cosmo et kami . Je suis traumatisé pendant que tout le monde se gondole et que notre viking tente de me laver comme un bébé . C'est vraiment pédé.

Après avoir fait ma séance de psy en ligne, on se dit qu'on va aller à la fête du village d'à côté, où DJ Loop (le mec local) officie et qu'il est très bon selon les clochards du coin. On est donc partis pour une fête de la musique sans trop de conviction, à marcher pendant 40 minutes le long d'une départementale et en se faisant bouffer la gueule par les mouches . Tout ça pour quoi? Pour déboucher sur un bar bondé qui ne sert pas à bouffer, et une fête de village à moitié vide. Et merde.

Enfin, ça c'était la première impression. Alors que nous nous rapprochons de l'espace des festivités, nous découvrons un univers qui, sous ses airs de fête paumée, va dévoiler un potentiel de débilité étonnant... que je vous narrerai plus tard

Qualitance    
C'était une fête de 21 juin #fetedelamusique , pour seule correction

Il y a tellement de qualité textuelle qu'on ne remarque pas le manque de photo  

Vous avez fait un arrêt a uzes pour que guigoune ET gremi rentrent chez eux en vous faisant a tous un bisou sur le front ...

Tiens bin tu ramasses pour la peine

C'est cool de se replonger dedans
Merci Charly

Grave, ça fait plaiz
 

Et c'est pas fini.

J'y mets le temps mais des que j'ai un moment je fais des grosses sessions... Un autre bout la semaine prochaine par conséquent

La prose de Chouignol  

Clique sur ma sign, bro, tu vas trouver du rab.

 
J'avais les signatures désactivées  

La fête de la musique, c'est bieng    
 
Je remarque que mes CR des moants parlent très peu de moto, et beaucoup de ce qu'il se passe autour. Quel est l'intérêt, finalement, de mettre un pavillon motard sur ces CR si on ne doit pas en parler? Alors allons-y.
 
Avant de partir au gîte, nous avons garé les motos dans la cour, et nous les avons toutes admirées. Enfin presque, le SV jaune dégueulasse de H3L0, c'était pas la peine. La Hornet de Bubble est finalement assez fade. La Tuono de cosmo, avec sa grosse caisse à outils, ressemblait plus à un camion de mécano qu'autre chose. Quant à celle d'Xdc, hormi le fait qu'elle klaxonne quand il braque à gauche, y'a rien d'intéressant à dire dessus, hormi qu'elle est moche avec son look kéké tuning.
Grosjulius s'est bien défendu avec le look de son hypercoincoin, et puis c'est de la bonne came, même si c'est Ducati. Et je dis pas ça parce que, hein, hé. Quand même.  
 
Vous voyez? En fait c'est chiant, je passe mon temps à dire du mal des motos pour rien, donc il n'y a aucun intérêt à reprendre le récit de la sorte. Et puis on manquerait des instants cocasse comme bubble butt qui se fait plonger la tête la première dans la fontaine, ou Cosmo qui lui prend son jean et son petit débardeur Rose afin de revêtir l'ensemble et nous filer la gaule.  
 

 
Je reprends le récit à peu près où je l'avais laissé : après 45 minutes de marche sur une route pourrie à s'insulter et à entendre "pédé/ta gueule" ou "ta gueule/pédé" dans la bouche d'une meuf toutes les 3 minutes, nous arrivons au village.
 
Nous passons par un chemin, tout en tenant fortement Kamibus en laisse : on n'est pas trop de deux avec Zolki3n, étant donné le nombre d'enfants qui trainent. Les mamans nous regardent toutes avec des regards concupiscents, faut dire que visuellement on envoie du lourd, comme d'hab. Après avoir fait la queue pour acheter deux cocas et un sandwich merguez-mayonnaise-beurre, on baffre car il fait faim. Alors que je suis en train de savourer les dernières bouchées de mon sandwich rillettes-boudin-saindoux , les premières notes de YMCA résonnent sur la place. La nuit n'est pas encore tombée, la soirée et à peine commencer et le level commence déjà à monter!
 
Bref, on termine la graille et on va ambiancer, d'abord avec Jokeur et Kami, puis avec tout le reste, la place du village. L'effet est sans appel : on engraine toute la populace, qui se met à danser au rythme endiablé de DJ Pégu. Le mec assure pas mal d'ailleurs, et va même nous lâcher un bon vieux "Black Pearl" à notre demande. C'est l'orgie, la jaille. Ambiance scandale, danse de vandale, ça se trémousse sur le mur, au ras des platines, y'a même de la viande locale qui participe.
 
Après avoir perdu pendant 1h Zolki3n et Xdc (on pensait qu'ils étaient allés se faire pomper par un vieux sans le sou), ils reviennent vers nous, l'air exténués. Pas d'interprétation svp Xdc avait fait tomber son téléphone portable lors de son appel à sa femme... Portable qui s'est logé entre deux rochers énormes. Du coup Zolki a bataillé pour essayer de bouger les cailloux et récupérer le précieux appareil de communication afin que notre aminche puisse continuer à cramer son forfait en toute sérénité. C'est pas beau la solidarité, sérieux    
 
Il est 1h30 quand on décide de se barrer à quelques uns vers le gîte, sachant qu'avant, d'autres fiottes sont déjà rentrées pour jouer à Spaceteam en buvant des coups. Kami et Cosmo restent sur place, apparemment y'a une madame qui veut les ramoener.  
 
Quant à nous, Zolki, Jokeur, Bubble, Groju et moi-même (je crois que c'était ça le quinté gagnant, à confirmer ), on décide de rentrer par la départementale qui longe la nationale. Et là :
- pas d'éclairage
- des arbres partout
- le silence
 
Angoisse
 
Enfin, le silence. Entre les "ta gueule" qui fusent toutes les 3 secondes et les insultes, on a un peu de mal à imaginer ce que ça pourrait être On tente de faire le jeu du silence, mais bon on a une meuf rébou dans le groupe, donc forcément les taggle appellent les taggle, et on passe notre temps à faire du tapage nocturne alors qu'on voudrait du silence
Fort heureusement, la circulation est faible et on peut évoluer sans soucis sur la route, histoire d'esquiver une ou de calotte nocturne qui pourrait être douloureuse. Le silence commence à se faire, et y'a des bruits qui se font entendre dans les buissons. Bin du coup bubble butt gueule, et on la rassure mais elle gueule, du coup on lui dit de fermer sa gueule, et elle répond que c'est à nous de fermer notre gueule et que...
 
Bref 5 minutes plus tard, on en est au même point, y'a des chiens qui gueulent au loin du coup ça commence à stresser sur le fait que si les chiens sauvages déboulent dans le chemin, ils nous déglinguent et je dis que non, ils déglingueront uniquement la personne qu'on leur donnera à bouffer, et que si ça continue comme ça on sait qui ça sera. "Même si les chiens aiment pas la couenne",  mais bon, hein, fallait bien générer quelques "taggle pd" de plus
 
Et à un moment, y'a un bruissement fort sur le côté qui me fait (un peu ) sursauter, et là je me dis merde, y'a vraiment une bête, et moi je suis pas bourré donc y'a bien un truc... ouais, en fait c'est cet enculé de grosjulius qui depuis tout à l'heure, nous trolle avec un bâton et fait frissonner les buissons histoire d'entretenir la paranoïa  
 
 L'enfoiré Ahhh, on lui a pété la gueule, mais bien, il faisait moins le mariole après.
 
Bon, en arrivant au gîte on est un peu plus calmes, sauf qu'on découvre que la Hornet de Bubble a été perchée sur un escalier en pierre, c'est le premier groupe, les enfoirés Vu que la moto est à plus d'un mètre du sol, on évite d'y toucher et on la laisse là jusqu'au lendemain matin, du gros lol
 
Quant à Cosmo et Kami, ils ont eu droit à un taxi gratos, mais bon ils ont pas eu la pipe en prime, c'est bien dommage, y'aurait eu des photos à rajouter au CR

C'est bien, c'est beau, c'est bon.

Du grand art, on s'y croirait !

on a bataillé à plusieurs pour le tel d'xdc, y avait h3lo et Chveu. Prochaine fois on le laissera se démerder
 
Ce retour dans les bois  
 

Heureusement que vous étiez là, cette solidarité quand même. Et c'était pas des petits cailloux en plus

Bordel c'est clair, l'histoire de ce foutu téléphone
Dire qu'il est dignement mort suite à son passage dans la machine à laver

Heureusement que vous étiez là, jamais je l'aurai récupéré sans vous

 
Comme le portable "étanche" de Cosmouille dans le Jacuzzi à la 1ère moant