Reprise du message précédent :
De toutes façons nous étions prévenus
que c'était de la poesie à "deux balles"
ce n'est pas du prix qu'il était convenu
mais qu'il s'agit des accessoires du mâle!
Cependant un peu de retenue sera nécessaire
si l'on tient à continuer tranquilles ce topic
Pour éviter de mettre les modos en colère
car à coup de TT il se vengent, les sadiques
 
 

 
Parlons en donc du contenu,
Oui je ne parle point de cul :
Grassement comme vous le fîtes
Je trouve cela un peu limite
A la limite du "ban sodo"
Plébiscité par nos modos    
Je ne pense point manquer d'humour
Sauf qd le texte devient trop lourd
Tant subtil et répétitif
Que Robert à l'apéritif
 

A propos des modos, il n'y a pas lieu de s'inquieter,
De ce qui est dit ici le sens, ils ne comprennent rien,
Il faudrait peut-etre leur parler avec les mains,
Afin qu'ils viennent enfin sur ce topic pointer leur nez.

Voilà dans ce topic de qualitaÿ
Poésie à 2 balles détectaÿ
Il reviendrait, le fantôme de blabla,
Attention au modo, ça passera pas !

Chui fatigué,
je veux rentrer.
 

 
----> []

 
Lorsque le cul est fustigé
L'inspiration vient à manquer ?  

Enfin un topik ou l'on peut parler de poil
Et pourtant subsitent quelques forumeurs qui ralent
C'est comme ça il faut bien que les jeunes parlent
Mais si c'est pour ne rien dire, autant mettre les voiles

Ce midi, j'ai mangé du boudin
Accompagné d'une tarte tatin
Quand soudain, j'eu envie de vomir
Mais la gerbe ne veut plus partir

 
Lorsque tu m'auras expliquer,
Le sens du mot "fustigé",
Peut etre que je te répondrai    
 
 
PS: ho! ho!!!! 3 lignes!!!  

Ce week-end, j'irais voir mon oncle émile,
Il faut savoir que ce type est débile,
Mais du pognon, il en a plein les poches,
Je lui fais la bise, je sais, c'est moche.

Si ton oncle s'était appellé Hercule
Ta rime m'aurait parut moins ridicule

Pourquoi tout le monde se fiche de ma prose,
Pourtant je suis plutôt loin de la ménopause,
mais je ne partirais pas, ah bas non !
Et oui, les amis, je suis mauvais garçon...

Cuicui fait le pigeon,
Cuicui, qu'est ce qu'il est con.

 
J'ai aussi un oncle Ernest
mais ce mec est une vraie peste
je préfère me faire trouer le fion
que d'aller rendre visite à ce con

Mes souvenirs étaient approximatifs.  

Ils datent de l'époque où tu lisais Boule de Suif !

 
C'est pas faute d'essayer de lui couper les tifs,
Mais Monsieur veut les garder pour faires ses riffs.

De lire touts tes rimes en if
me donne l'impression que tu sniffes

 
Je fais l'effort d'etre attentif,
C'est poutant dur, j'en ai plein le pif,
Si ca continue je vais m'injecter du Cif.

Du cif dans tes veines
Du venin dans les miennes
Plutot que de jouer au con
Viens avec moi boire un canon

 
Boire un verre avec toi
Tres bonne idee, pourquoi pas?
Mais si de la boisson nous abusons,
Sur la gueule, on va se mettre des gnons.

Je m'engage devant témoin
à te provoquer en duel
Et je prendrai un grand soin
de t'achever à coup de pelle

 
Vous croyez, quelle naiveté,
Pouvoir facilement m'esquinter,
Mais vous ferez moins le barbot,
Quand il y aura du sang dans vos rots.

Cette délicieuse joute verbale
ne doit pas nous faire oublier
que votre vieille face de chacal
risque de sérieusement morfler

 
Vous faites le malin, bien a votre aise,  
Mais sachez, Monsieur, que je suis baleze,
Par un coup, des chandelles vous en verrez 20+16,
Et serez declaré KO, ne vous deplaise.
 

Des menaces, vous en proférez des tonnes
Je vous l'assure vous ne me faites pas peur
Et si fatalement, durant ce duel, le glas sonne
c'est vous qui subirez cette mortelle torpeur
 
Monsieur, je vous le déclare
Devant votre défaite annoncée
Sans clameurs ni fanfare
Dans ma chaumière je préfère rentrer

Voila mon essai
 
La tempête roule et se déchaîne,
Avivant mes instinct et ma haine.
Alors que l?eau nauséeuses,
Noient les rues sales et venteuses.
Nous sommes un spectacle d?effroi :
Quatre cavaliers que la Mort envois.
 
Sur notre passage le monde s?écroule
Les couleurs blanchissent? se troublent.
Dans notre sillage le chaos reprend droit ,
Cette vaine et fugace civilisation  s?apitoie,
Sur un temps et une histoire révolue,
Sur une fataliste et pathétique déconvenue,
 
La rage en mon c?ur palpite,
De son rythme insistant me sollicite.
Mes frère et moi fauchons la vie
Le voile de nature se flétrie
Laissant le vide se nourrir
De la vie des martyres.
 
Alors que la Terre devient poussière,
Sans mouvements, sans même une lumière.
Vers les étoiles nous prenons notre essor.
Et d?un faible signe saluons la Mort.
Ce rôle  fait de nous des pantins
Insensible à ce funeste destin.
 
Désolé    

Quand des idées de mort te guette
Va vite te faire une ptite branlette !
 

A midi, mon estomac crie famine
A minuit, de même fait ma pine
 
 
mmmmhhh....  

 
A minuit c'est copine,
ou c'est plutot mimine?

Aigritude moarde
 
La solitude me pèse
C'est là une évidence
Car, parole d'El Awrence,
J'aime quand même la baise
 
La solitude m'aère,
Je ne vais pas le nier,
Rien ne vaut la beauté
D'un voyage en Fazer
 
Mais, preuve qu'elles sont chiantes,
Ces dames n'aiment guère
La concurrence polluante
D'une jap' à caractère !
 
Elles voudraient faire de nous
De gentils chiens savants
Prêts à subir tout
Pour leurs beaux yeux charmants
 
Et bien qu'elles se soulagent
Leur clito tout moisi
Moto ou mariage
Pour ma part j'ai choisi !!!

Je suis consterné
Ce topic crève
Ca me fait raler
Quoique j'en galèje
 
Puisqu'on en est là,
Passez-en une longue,
Je vais de ce pas
Démouler un gong

Mes doigts pianotent sur le clavier
S'arrêtent parfois, irréguliers,
Attendant que les muses m'inspirent
Ces pauvres rimes qui prêtent à rire.
 
Je n'ai pourtant pas de problème
Pour éprouver des sentiments,
De belles joies en sombres peines
Je vagabonde éternellement.
 
Nourrir de profondes réflexions,
Imaginer d'étranges contrées,
Rêver d'exquises incantations,
Tout cela m'est très familier.
 
Malgré ces belles dispositions
Les mots ne sortent qu'avec douleur,
Au forceps de mes brouillons,
Je les arrache avec ardeur !

Aujourd'hui sort le premier Volume des cahiers des poètes regroupant toutes les création FHR.
Désolé pour les pubs! Mais ça ma déjà assez saouler de le faire    
 
 
http://zorgo.ifrance.com/Le%20cahi [...] es%201.pdf
 
Edit: lien pret dans 2 minutes

J'ai fait tout ça pour rien ?
Tout le monde s'en beurre la raie?
c'est sur je viendrai pas demain !
si c'est pour me fair ignorer
 
 
 

Las c'est absolument foutu.
Il s'est glissé en brigand,
Séchant alors mon tourment.
Il voulait du pâté, il l'eut.  
 
Salété de chat,  
Rat à deux balles.

Au cas où vous l'ignoreriez
La poésie est une musique
Elle respecte donc une rythmique
Qui se comptabilise en pieds !
 

Et d'un coup de pied lancé d'une main sure
il lui creva le ventre au milieu de la figure

Il y a des matins, on dirait des soirs
Et certaines nuits, aussi longues que noires
La vie meurt lentement, s'étouffe en silence
Quand sur nos tuiles sombres, les chats veillent et dansent.
 
Dans un sommeil fou, sans rêve ni lumière
Les hommes agonisent et pleurent des prières
Tandis que festoie à la gloire d'Ulthar
Le peuple des toits, fier et dérisoire.
 
Ces velus promeneurs, sautent et arpentent
Egoûts, caniveaux, recoins et charpentes
Nocturnes veilleurs, gardiens impassibles
Protecteurs discrets des heures impossibles.