salut, j ai un sujet de bac de francais a rendre pour la rentrée et je voudrais que quelqu un m explique un peu songe de platon de voltaire. voici un url pour le lire:
http://un2sg4.unige.ch/athena/voltaire/volt_pla.html
(c'est pas long)
 
je comprend vraiment rien a ce texte alors un peu d aide me servirai bien.

C'est une sorte de critique de Platon. Pour Voltaire, le monde des Idées platoniciennes est celui du rêve et pas de la réalité.
Qu'est-ce que t'as pas compris ?

Au fait, on ne parle pas normalement de "monde des Idées", enfin pas chez Platon en tout cas (c'est les Platoniciens qui ont inventé cette expression) : les Idées sont un ailleurs, parler de "monde des Idées" reviendrait donc à nier cela

Ca me parait un peu bizarre comme remarque et ça répond pas à sa question.

ce que je ne comprend pas c est l implicite du texte, ceux que voltaire veux critquer?

C'est explicite : c'est Platon qu'il critique et ses Idées qui tendent à l'immortalité et à la perfection, mais qui n'existent pas concrêtement, auxquelles rien ne correspond dans la réalité.
Il y a aussi une petite référence implicite à Leibniz dans le personnage qui construit la terre, mais là c'est plus subtil. En tous les cas Voltaire était également très critique par rapport à Leibniz. Il se peut d'ailleurs que ce texte soit une critique contre la philosophie de manière générale, et pas simplement contre Platon. Voltaire voit les philosophes comme des rêveurs, mais c'est d'abord de Platon dont il parle.

a ouai j ai capich, merci de ton de aide. ca fais plaisir que les parisiens s entraide. a+

 
Je ne répondais pas à sa question mais à ton message
 
La notion de "monde des Idées" est une invention des platoniciens; Platon n'empoyait pas cette notion de "monde" des Idées.

Plus exactement, il y a un lieu des Idées , mais qui appartient bien au même monde que le sensible.  

 
   
 
L'Idée est ailleurs, en fait, elle est en vue mais ne constitue pas un monde (il n'y a pas de monde des Idées) car dans ce cas, il n'y aurait plus cette notion d'Idée présente dans un Ailleurs.

Très bien, je note. Mais on s'en fout parce qu'il n'était pas question de ça dans le texte de Voltaire