la question fondamentale qu'il pose repose sur ce paradoxe :
d'une part la construction de l'UE repose sur un abandon de souveraineté des Etats (ce qui est logique)
mais d'autre part, cette construction n'y substitue aucun équivalent à l'échelle communautaire.
Par exemple, comme tu le souligne, en privilégiant des normes toujours plus contraignantes et obscures...en faisant le vide sur la souveraineté nationale
le débat reste donc ouvert(et à ouvrir) sur ce terrain, et Dieu sait si il devrait l'etre !
Message édité par eszterlu le 25-10-2003 à 11:22:34