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  [Conseil] Obtenir une rupture conventionnelle (sinon se faire jeter)

 


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Auteur Sujet :

[Conseil] Obtenir une rupture conventionnelle (sinon se faire jeter)

n°4520580
Rapture
Posté le 13-12-2013 à 16:56:03  profilanswer
 

Hello à tous,
 
exposé de la situation :
actuellement depuis qq années dans un cabinet de conseil en stratégie, organisation et management ( :whistle: ), j'en ai marre. Le boulot de super boîte d'intérim ne m'intéresse plus, l'ambiance lèche-cul me pèse, la quasi-stagnation des salaires (<inflation) me gonfle, etc. Bref, il est temps de changer d'air !
 
J'ai une idée de boîte depuis plusieurs mois mais dans le contexte business & marché du travail actuel, et avec des obligations perso, je ne peux pas vraiment me lancer sans les assedic derrière pour payer le loyer  et d'autres impondérables dont je me passerais bien, au début en tout cas. Et aussi pouvoir chercher du taf pendant 2/3 mois si ça marche pas.
 
Pour autant, après avoir bien trituré le sujet, j'ai vraiment envie de lancer cette boîte.
 
Problème : à ma demande de rupture conventionnelle (RC) mon cabinet m'a fait un gros [:nasyounz]  
En gros, tant qu'ils veulent pas te voir partir, tu peux te brosser.
 
Pour l'instant je suis planqué sur un mission peinard, sans chef à part le client qui s'en tape. 10h00-18h00 quoi.  
 
Des idées de stratégies sur "comment obtenir cette put*in de RC ?"
 
Merci de vos idées.


Message édité par Rapture le 17-02-2014 à 12:08:08
mood
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Posté le 13-12-2013 à 16:56:03  profilanswer
 

n°4522116
panamar
Posté le 16-12-2013 à 10:58:20  profilanswer
 

Bonjour Rapture,
 
Dans ton cas, je ne vois vraiment pas ce que ta boite aura à gagner on te laissant partir. tu staffé, tu rapportes du cash, pourquoi ils vont se débarrasser de toi, et en plus te payer des indemnités (même les légales)?  
A ce qui se dit, chaque boite a un nombre limité de RC à faire chaque année pour ne pas se faire passer pour un PSE, ils utilisent les cartouches dans les cas qui leur posent problème, le tien n'en a pas l'air à priori.
J'ai été dans la même situation que toi il y a un an. Je me suis mis sur le 'bench' au préalable, je suis devenu 'instaffable', j'ai sous entendu que j'étais en burn out et je n'ai rien obtenu :), j'ai fini par partir de moi même.

n°4522660
Fierh
RH et fière de l'être
Posté le 17-12-2013 à 08:45:09  profilanswer
 

Ca va etre dur.
 
Maintenant qu'ils savent que tu veux partir, ils vont attendre tranquillement que tu démissionnes... ils n'ont aucun intérêt à te proposer une rupture conventionnelle: ça leur coûte de l'argent et ça crée un précédent (après, tout le monde va en demander, et ils ne sont pas sortis!).
 
En revanche, il me semble qu'il existe des possibilités pour toucher qqch du Pôle Emploi en cas de création d'entreprise. Je n'en sais pas plus et ça ne doit pas être mirobolant, mais ça se regarde.

n°4522692
Rapture
Posté le 17-12-2013 à 10:36:21  profilanswer
 

Hello everybody,
 
merci pour vos réponses (yc en mp).
 
Vous avez raison. Maintenant qu'ils le savent, ils sont en position de force (ceci dit il n'y a aucune trace écrite, juste échanges oraux avec la personne en charge).
 
L'existence d'un quota de RC c'est ce qui se dit chez moi aussi. Ils en ont utilisés pas mal en 2011 et 2012 pour "alléger la voilure" côté supports (la question du PSE masqué fut évoquée en CE... ambiance ambiance...).
Mais ça n'enlève rien au fait qu'ils continuent à en donner sous le manteau qd ils veulent que tu te casses.
 
C'est clair que ça risque de durer et / ou d'être la guerre.
Faut planter du projet tout en ayant l'air de pas faire exprès. Un état d'esprit qui m'est étranger mais malheureusement je ne vois pas d'autre possibilité pour l'instant...

n°4523277
olivier201​3
Posté le 17-12-2013 à 21:15:02  profilanswer
 

salut,
 
Ta configuration est la pire: ce sera très dur à obtenir. En conseil c'est possible si tu étais copain/copain avec le gérant et qu'il est en difficulté, alors là un projet de reconversion c'est super.
 
Chez un utilisateur final ça m'a pris 6 mois pour l'obtenir mais pourrir l'ambiance en interne est assez simple.
 
A+

n°4524200
Rapture
Posté le 19-12-2013 à 12:19:07  profilanswer
 

olivier2013 a écrit :


Chez un utilisateur final ça m'a pris 6 mois pour l'obtenir mais pourrir l'ambiance en interne est assez simple.


 
Pour l'instant ma configuration est en effet la pire :
- je suis un peu expérimenté par rapport aux équipes (on est nombreux ceci dit, une 50aine à mon grade)
- je suis sur un projet tout seul, sans manager. En gros il me faudrait pourrir la cliente (adorable) pour qu'elle se plaigne à la manager.
 
Je suis peinard jusqu'à cet été sur ce projet. Après, je vais revenir en interne et là je vais devoir devenir instaffable.
Au programme : faire vraiment de la merde mais en ayant l'air déprimé, pas en mode "mais virez moi" pour ne pas rester plus d'une semaine en cas de staffing sur qch.
 
J'ai beau savoir en gros ce qu'il faut faire (livrables pourris, absence de proactivité, plantage de réunion, ...) ça peut même être marrant (quand tu es consultant tu as connu plein de situations où tu aurais aimé pourrir client, associé ou managers connards).  
 
Cependant ça risque d'être long et faut du courage, mais un peu malsain.  :sweat:

Message cité 1 fois
Message édité par Rapture le 19-12-2013 à 12:20:23
n°4524246
Alameda
Posté le 19-12-2013 à 13:44:51  profilanswer
 

Si tu veux (dois ?) vraiment le faire fait le en t'amusant autrement c'est toi qui vas craquer plus rapidement qu'eux.
 
Si tu y penses, filme et fait tourner histoire que l'on rigole un peu ;)

n°4524436
panamar
Posté le 19-12-2013 à 19:42:10  profilanswer
 

Rapture a écrit :


 
Pour l'instant ma configuration est en effet la pire :
- je suis un peu expérimenté par rapport aux équipes (on est nombreux ceci dit, une 50aine à mon grade)
- je suis sur un projet tout seul, sans manager. En gros il me faudrait pourrir la cliente (adorable) pour qu'elle se plaigne à la manager.
 
Je suis peinard jusqu'à cet été sur ce projet. Après, je vais revenir en interne et là je vais devoir devenir instaffable.
Au programme : faire vraiment de la merde mais en ayant l'air déprimé, pas en mode "mais virez moi" pour ne pas rester plus d'une semaine en cas de staffing sur qch.
 
J'ai beau savoir en gros ce qu'il faut faire (livrables pourris, absence de proactivité, plantage de réunion, ...) ça peut même être marrant (quand tu es consultant tu as connu plein de situations où tu aurais aimé pourrir client, associé ou managers connards).  
 
Cependant ça risque d'être long et faut du courage, mais un peu malsain.  :sweat:


Si j'ai un conseil à te donner, ne fait surtout pas ça. le monde est très petit, et tu risques de croiser des gens dans tes expériences futures. Je viens d'avoir le cas aujourd'hui, je passe un entretien avec un cabinet de conseil, la senior manager connait très bien un client pour qui j'ai travaillé pendant 5 ans et avec qui j'ai connu des hauts et des bas. Si tu veux vraiment te barrer, trouves toi un autre truc et quitte avec les honneurs, rien ne sert de te blacklister.. (je sais de quoi je parle, mon caractère de m**** ne me permet jamais de partir en laissant bonne impression :p)

n°4524865
olivier201​3
Posté le 20-12-2013 à 20:46:09  profilanswer
 

Salut,
 
Tout dépend comment sont faites les choses, les RPS (risques psycho-sociaux) sont un sujet de plus en plus sensible pour les entreprises.
 
Quand tu travailles sur une plateforme et que tu n'as plus le moral, ça finit par être une nuisance pour tout le monde.
 
Personnellement au début des collègues étaient sceptiques et puis plusieurs mois après ils m'enviaient presque. Mais j'étais dans un environnement très favorable qui m'a permis de noircir le trait presque même de façon caricaturale.
 
A+

n°4541021
Rapture
Posté le 21-01-2014 à 18:23:00  profilanswer
 

@ panamar : le monde n'est pas si petit que ça je pense, ça dépend si on continue à tourner dans le même secteur de la même ville... mais c'est vrai qu'on peut ne pas avoir de bol.  De toute façon je souhaite quitter le conseil définitivement, et si possible être indépendant ensuite. Surtout, comme le dit olivier2013 il y a plusieurs façons de faire.

 

Ainsi, un collègue a parlé anonymement de mon cas à un type assez gradé "de confiance" de mon cabinet. Et la réponse du gradé va dans le sens d'olivier2013 : jouer les risques psycho-sociaux, c'est le seul moyen d'obtenir une rupture conventionnelle.

 

Je ne sais pas bien en quoi ça consiste exactement  :??: , mais si j'ai bien pigé :
- jouer les dépressifs au bord du gouffre,
- dire qu'on prend tout personnellement (remarque du client, du management), devenir irascible
- dire qu'on va voir le médecin, qu'on prend des médocs parce que "c'est vraiement trop dur"
- faire celui qui fait ce qu'il peut mais qui n'en peut plus,
- si besoin alerter la ligne interne d'alerte si elle existe
- ...
= bref le boulet gentil plutôt que le boulet méchant.

 

Je pense que comme les RPS sont encore mal cernés en termes de risque, même chez moi ils flippent.
ça fait un peu chier de la jouer comme ça mais je suis tellement motivé (et un peu déprimé aussi d'avoir la sensation d'être coincé dans ce taf) que je cherche comment la jouer RPS...


Message édité par Rapture le 21-01-2014 à 18:25:59
mood
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Posté le 21-01-2014 à 18:23:00  profilanswer
 

n°4557985
Rapture
Posté le 17-02-2014 à 12:05:33  profilanswer
 

Bon, après avoir retourné la question dans tous les sens, je n'aurai pas de rupture conventionnelle.

 

En revanche ma motivation et mes projets restent entiers : j'ai besoin de ce putain de chômage pour mener mon projet. Il ne me reste donc qu'à me faire virer...

 

Au choix : faute grave ou abandon de poste.

 

Ma crainte c'est que je n'arrive pas à lire dans la stratégie du service RH de mon cabinet : sont-ils capables de laisser pourrir la situation (ex : abandon de poste qui dure car il ne lance pas de procédure de licenciement, je suis pas payé, je finis par être obligé de revenir... méga loose) ? Au contraire vont-ils lancer les choses rapidos ?

 

Quels conseils pour faire une faute grave dans le milieu du conseil (non SSII : disons conseil en management, orga, gestion de projet, en gros du meneur de réunion et du chieur de slides et d'Excel) ?

 


Message édité par Rapture le 17-02-2014 à 12:06:31
n°4559983
Rapture
Posté le 20-02-2014 à 16:53:10  profilanswer
 

Bon, après avoir cherché un peu je partage ma stratégie, toute simple.
 
Au moment voulu (dans qq mois), de préférence au début d'un nouveau projet (plus facile de pourrir des gens qu'on connait pas), devenir ingérable, un vrai risque pour le projet : ne pas aller au réunion sans prévenir, ne pas faire le job ou le faire n'importe comment. Bref, "y aller au couteau".
 
Etape préalable facultative : débouler dans le bureau du DRH et lui dire :
 
"- Ecoute Coco, je veux quitter ce job et j'ai besoin du chômage. En effet, mon projet à venir le nécessite. Pour autant, je ne suis pas pressé : 3 mois, 6 mois, 12 mois, pas de problème.  
 
Finalement soit je reste ici à faire 10h-17h, je bosse un peu moins sur mon projet mais je garde mon salaire, soit je touche les assedics et je m'y consacre à 100%. En gros, vous me financez ou ce sont les assedics.  
 
The choice is your."
 
On sait jamais, le mec peut ê sensible au risque de pourrissage et proposer une rupture conventionnelle.
 
RDV dans x mois, je vous débrieferai (ça pourra servir à d'autres).


Message édité par Rapture le 20-02-2014 à 16:56:10
n°4560036
Barth95
Posté le 20-02-2014 à 18:33:04  profilanswer
 

En même temps, tu veux partir pour monter ta boite, c'est ton choix et ton risque.
 
Si t'appliques la stratégie que tu cites, j'espère que les prud'hommes ou autre te régulariseront tôt ou tard.

n°4560553
Alameda
Posté le 21-02-2014 à 15:52:26  profilanswer
 

Barth95 a écrit :

En même temps, tu veux partir pour monter ta boite, c'est ton choix et ton risque.
 
Si t'appliques la stratégie que tu cites, j'espère que les prud'hommes ou autre te régulariseront tôt ou tard.


 
 
Pas forcément d'accord avec toi, visiblement ça fait quelques années qu'il bosse, il a donc cotiser pour son "chômage". En plus de ça, il souhaite être au chômage pour monter un projet perso et pas pour aller boire des cocktails sur une quelconque plage des caraïbes.

n°4566933
Rapture
Posté le 04-03-2014 à 10:26:13  profilanswer
 

Barth95 a écrit :

En même temps, tu veux partir pour monter ta boite, c'est ton choix et ton risque.
 
Si t'appliques la stratégie que tu cites, j'espère que les prud'hommes ou autre te régulariseront tôt ou tard.


 
hey,
 
je ne sais pas comment il faut prendre cette réflexion. Si c'est une critique j'ai l'habitude. Je sais que ma démarche n'est pas politiquement correcte et critiquable.
Ceci dit si ma boîte marche, la caillasse tombera à flot dans les poches de l'Etat... ce sera un juste retour d'ascenseur.
 
Dans ma situation actuelle, à part revenir chez mes parents ou vivre sous les ponts, je n'ai juste pas d'autre choix (pas assez de capital pour financer projet + bouffer).

n°4570592
mece domin​ici
Posté le 11-03-2014 à 16:28:10  profilanswer
 

C'est marrant cette tendance à chercher le conflit.
 
T'as une position plutôt bonne, me semble-t-il : staffé avec des horaires plus que tranquilles. Qu'est-ce qui t'empêche de commencer à bosser sérieusement (càd presque un mi-temps) sur ton projet maintenant ? Sers-toi de cette période pour valider ton idée. Au bout de 4-5 mois de recherches, entretiens, échanges, études de marché, tu devrais avoir une bonne idée de la viabilité de ton projet.
 
Vérifie mais comme dit plus haut tu dois avoir un apport considérable de Pôle Emploi et autres organismes publics pour les chômeurs qui créent leur entreprise. Ca te permettra de faire le pont entre ta future démission (dont tu aurais tort de te priver, c'est jouissif) et les premiers revenus de ta boîte.

n°4570625
Tetedeienc​h
Head Of God
Posté le 11-03-2014 à 17:14:53  profilanswer
 

Alameda a écrit :


 
 
Pas forcément d'accord avec toi, visiblement ça fait quelques années qu'il bosse, il a donc cotiser pour son "chômage". En plus de ça, il souhaite être au chômage pour monter un projet perso et pas pour aller boire des cocktails sur une quelconque plage des caraïbes.


 
Depuis quand le chômage est un placement qu'on peut récupérer à volonté ?  [:spawn_cqn:3]


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n°4571793
Rapture
Posté le 13-03-2014 à 11:10:50  profilanswer
 

En fait le chômage est un droit qu'on acquière en cotisant. Pas de cotiz, pas de droit (cf. les étudiants au RSA).
 
Je ne vais pas rentrer dans le détail de mon projet mais il nécessite que je sois à temps plein dessus. En fait ça pourrait se faire avec un job à mi-temps par ex mais dans le conseil en orga c'est pas possible (sauf à la rigueur pour les jeunes mamans et encore, au 4/5 pas à mi-temps et dans ma boite ils les font super chier en mode flicage).
 
Je suis staffé en horaire cool... Pour l'instant. Je suis tellement détaché de mon taf que le prochain staffing sérieux (pas le pseudo mi-temps actuel) va forcément mal se passer. Et je suis plus (en tout cas je n'en ai plus le désir) malléable comme un junior qui accepte en disant merci.

n°4572627
Tetedeienc​h
Head Of God
Posté le 14-03-2014 à 15:54:57  profilanswer
 

Rapture a écrit :

En fait le chômage est un droit qu'on acquière en cotisant. Pas de cotiz, pas de droit (cf. les étudiants au RSA).
 
Je ne vais pas rentrer dans le détail de mon projet mais il nécessite que je sois à temps plein dessus. En fait ça pourrait se faire avec un job à mi-temps par ex mais dans le conseil en orga c'est pas possible (sauf à la rigueur pour les jeunes mamans et encore, au 4/5 pas à mi-temps et dans ma boite ils les font super chier en mode flicage).
 
Je suis staffé en horaire cool... Pour l'instant. Je suis tellement détaché de mon taf que le prochain staffing sérieux (pas le pseudo mi-temps actuel) va forcément mal se passer. Et je suis plus (en tout cas je n'en ai plus le désir) malléable comme un junior qui accepte en disant merci.


 
Ce n'est pas parce que c'est un droit qu'il n'y a pas de règles pour pouvoir en profiter...
 
Toi, ce que tu veux, c'est parasiter le système pour le plier à tes moindres désirs, en bousculant au passage toutes les règles qui régissent le système.
 
Bref, tu veux adopter une attitude en tout point répréhensible et délétère pour notre système d'entraide.


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n°4574264
Rapture
Posté le 17-03-2014 à 14:53:34  profilanswer
 

Bien sûr qu'il ya des règles et bien sûr que je suis border line.
 
Mais si tu as un peu lu le sujet, je cherche à lancer une boîte et je ne peux pas le faire sans (je ne suis pas un héritier). Ce n'est pas un désir c'est un projet.
 
Sur un plan purement financier, l'Etat m'assure une avance de trésorerie de qq K€, étalé sur 24 mois.  
 
Si ma boîte marche, l'Etat sera plus que largement bénéficiaire en termes de cotiz et d'impôt.
Si ça ne marche pas, j'aurais utilisé les droits acquis.
 
Petite précision de vocabulaire : "droits acquis" n'a pas le sens de droit, genre droit de l'homme ou droits et devoirs. ça veut dire "tu cotises pour te couvrir contre un risque".
Merci de ne pas tout mélanger.

n°4574266
Tetedeienc​h
Head Of God
Posté le 17-03-2014 à 14:58:19  profilanswer
 

Rapture a écrit :

Bien sûr qu'il ya des règles et bien sûr que je suis border line.
 
Mais si tu as un peu lu le sujet, je cherche à lancer une boîte et je ne peux pas le faire sans (je ne suis pas un héritier). Ce n'est pas un désir c'est un projet.
 
Sur un plan purement financier, l'Etat m'assure une avance de trésorerie de qq K€, étalé sur 24 mois.  
 
Si ma boîte marche, l'Etat sera plus que largement bénéficiaire en termes de cotiz et d'impôt.
Si ça ne marche pas, j'aurais utilisé les droits acquis.
 
Petite précision de vocabulaire : "droits acquis" n'a pas le sens de droit, genre droit de l'homme ou droits et devoirs. ça veut dire "tu cotises pour te couvrir contre un risque".
Merci de ne pas tout mélanger.


 
Et ce n'est pas au chomâge de financer ton projet. Il est bon ? Soit un vrai entrepreneur : trouve des financements. Si le financeur est largement gagnant, une banque devrait te suivre, non ? :sarcastic:
 
Tu fais prendre un risque à de l'argent public qui n'est pas fait pour cela. L'état n'est pas une banque. Loin s'en faut.
 
Tu auras beau sortir toutes les phrases grandiloquentes mêlant des mots ridicules comme si le simple fait de les énoncer donnait de la hauteur à ta démarche ("droit de l'homme" ), tu ne feras jamais oublier que tu essaies de profiter du système et de monter une arnaque selon toute vraisemblance, en touchant une aide indûment.


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n°4574298
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Spé procrastination
Posté le 17-03-2014 à 15:39:14  profilanswer
 

Bon, projet borderline, je crois que tout a été dit en terme de conseil.

mood
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